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24
Aucun habitant ne dit : Je suis malade ! Le peuple de Jérusalem reçoit le pardon de ses iniquités.
2
Et voici, on lui amena un paralytique couché sur un lit. Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : Prends courage, mon enfant, tes péchés te sont pardonnés.
3
Sur quoi, quelques scribes dirent au dedans d'eux : Cet homme blasphème.
4
Et Jésus, connaissant leurs pensées, dit : Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées dans vos coeurs ?
5
Car, lequel est le plus aisé, de dire : Tes péchés sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi, et marche ?
6
Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés : Lève-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison.
20
C'est à cause de votre incrédulité, leur dit Jésus. Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne : Transporte-toi d'ici là, et elle se transporterait ; rien ne vous serait impossible.
21
Jésus leur répondit : Je vous le dis en vérité, si vous aviez de la foi et que vous ne doutiez point, non seulement vous feriez ce qui a été fait à ce figuier, mais quand vous diriez à cette montagne : Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, cela se ferait.
22
Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez.
5
Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
6
Il y avait là quelques scribes, qui étaient assis, et qui se disaient au dedans d'eux :
7
Comment cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ?
8
Jésus, ayant aussitôt connu par son esprit ce qu'ils pensaient au dedans d'eux, leur dit : Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos coeurs ?
9
Lequel est le plus aisé, de dire au paralytique : Tes péchés sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi, prends ton lit, et marche ?
10
Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés :
11
Je te l'ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison.
22
Jésus prit la parole, et leur dit : Ayez foi en Dieu.
23
Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne : Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir.
24
C'est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir.
17
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ;
18
ils saisiront des serpents ; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur feront point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.
14
Depuis, Jésus le trouva dans le temple, et lui dit : Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire.
30
C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre sont morts.
31
Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
32
Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
28
Et Dieu a établi dans l'Église premièrement des apôtres, secondement des prophètes, troisièmement des docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de gouverner, de parler diverses langues.
29
Tous sont-ils apôtres ? Tous sont-ils prophètes ? Tous sont-ils docteurs ?
30
Tous ont-ils le don des miracles ? Tous ont-ils le don des guérisons ? Tous parlent-ils en langues ? Tous interprètent-ils ?
6
Mais qu'il l'a demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d'autre.
13
Quelqu'un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu'il prie. Quelqu'un est-il dans la joie ? Qu'il chante des cantiques.
15
la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné.
16
Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace.
14
Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute.
15
Et si nous savons qu'il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée.
16
Si quelqu'un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu'il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il l'a donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort ; ce n'est pas pour ce péché-là que je dis de prier.
Un moyen extérieur de guérir, auquel on avait souvent recours en Orient, était l'huile dont on oignait les parties du corps qui étaient malades. (Marc 6.13 ; Luc 10.34)
Peut-être aussi les premiers chrétiens voyaient-ils dans l'huile ainsi employée un symbole de l'Esprit-Saint, dont la puissance devait opérer la guérison. A ce moyen devait se joindre la prière, offerte à Dieu pour la guérison du malade.
Il était naturel enfin que pour accomplir ce devoir solennel, on appelât les anciens de l'Eglise, ses pasteurs, qui, par leur caractère, possédaient toute la confiance du malade Ceux-ci après l'avoir oint d'huile au nom du Seigneur, priaient pour sa guérison.
Grec : Qu'ils prient sur lui, à son sujet, peut-être en lui imposant les mains. Sans doute, dans l'ignorance où ils étaient de la volonté de Dieu, ils ne pouvaient demander une telle faveur qu'avec une humble soumission à cette volonté.
Toutefois Jacques tient surtout à exprimer la ferme confiance que la prière de la foi sauvera (c'est-à-dire : guérira, Matthieu 9.22, note) le malade et que le Seigneur le relèvera de son lit de maladie. Aussi, dans la suite, (versets 16-18) il insiste sur le pouvoir immense de la prière du juste.
C'est à tort qu'on a expliqué sauver, du salut éternel, et relever, de la résurrection au dernier jour. La prière d'intercession ne peut sauver une âme, si elle ne se repent.
Jacques a ici en vue des péchés qui seraient la cause immédiate ou éloignée de la maladie. De là le ton dubitatif de sa parole : s'il a commis des péchés. Or, il faut que ces péchés soient pardonnés pour que Dieu guérisse le malade que la cause soit ôtée avec l'effet, que la grâce supprime le châtiment.
- Le prétendu sacrement de l'extrême-onction, que les catholiques fondent sur ce passage, n'a pas le moindre rapport avec les paroles de l'apôtre : celles-ci n'ont en vue que la guérison, celui-là est censé préparer à la mort, par le magique opus operatum d'une cérémonie sacramentelle.