Respecter le bien d'autrui (1)
Si votre maison ressemble à celle des Criswell, elle doit être remplie d’une foule d’affaires ! Et une chose est …
Nous sommes le peuple d'alliance
Jér 31.33, Mt 26.28 Jér 31.31-33 31 Voici que les jours viennent, –– Oracle de l’Éternel, Où je conclurai avec …
Rends-moi la vue Seigneur !
« (Exode 13v 21) Et la nuée, marchait devant eux le jour… une colonne de feu éclairait le campement… (Exode …
Exode 19–40 - Synthèse
Redécouvrez le livre d’Exode à travers notre série Lire les Ecritures, et saisissez la logique reliant la conception littéraire à …
Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter
-
-
Versions de la Bible
- Segond 21
- Segond 1910
- Segond 1978 (Colombe)
- Parole de Vie
- Français Courant
- Semeur
- Parole Vivante
- Darby
- Martin
- Ostervald
- Hébreu / Grec - Strong
- Hébreu / Grec - Texte original
- World English Bible
Autres colonnes
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
16 à 17 Cas de séduction.
Cette loi ne se rattache aux précédentes que par l'idée générale d'abus de confiance à l'égard de la propriété d'autrui. Une fille non fiancée est le bien du père. Deutéronome 22.25-27 traite de la séduction d'une fiancée, cas qui était puni comme celui d'adultère. Le vrai parallèle du cas dont il s'agit ici se trouve Deutéronome 22.28-29
Dans la loi israélite, la séduction est traitée non comme un cas criminel, mais comme un dommage qui doit être réparé (ce qui n'est pas le cas chez nous). Cette réparation est le mariage forcé, qui oblige l'époux, aussi bien que tout autre mariage, à payer un douaire au père de la fiancée. De plus, d'après le Deutéronome, le mariage est dans ce cas indissoluble, sans divorce possible. Si le mariage n'a pas lieu, ce qui ne petit arriver que par suite d'un refus formel du père (ou aussi de la fille, selon le Talmud), le séducteur n'en doit pas moins payer un douaire comme on le paie quand on épouse une vierge ; probablement cinquante pièces d'argent (comme Deutéronome 22.29).
Aucun commentaire associé à ce passage.