Entrer dans le royaume de Dieu - Pasteur Song
Titre : Entrer dans le royaume de Dieu Texte : Luc 16:19-26 Pasteur Song de l'Eglise Grâce Paris 22 rue …
Il ne nous est pas dit ici que l'homme riche obtint ses biens en fraudant, ou par l'oppression ; Christ montre cependant qu'une personne peut avoir de grandes richesses et beaucoup de plaisirs ici-bas, et périr sous la malédiction divine.
Cet homme riche a péché : il ne s'occupait que de lui. Il y avait aussi un brave homme, Lazare, qui lui, devait connaître la félicité éternelle, après avoir traversé sur terre le plus profond de l'adversité et de la détresse.
Il arrive souvent que certains serviteurs de Dieu, même les plus chers à Son cœur, soient grandement affligés ici-bas. Il ne nous est pas dit que l'homme riche ait fait le moindre mal, mais, malgré tout, nous ne lisons pas qu'il se soit préoccupé du sort de Lazare... Nous voyons ensuite la différence de condition dans laquelle se trouvaient ces deux hommes, au séjour des morts. L'homme riche, en enfer, levait ses yeux, étant en plein tourment. Il est impensable qu'il puisse y avoir des dialogues entre les « saints glorifiés » et les « pécheurs damnés », mais cette scène révèle la misère désespérée et les vains désirs qui peuvent animer les esprits condamnés.
Le jour vient, où ceux qui, aujourd’hui, détestent et méprisent les enfants de Dieu, recevront néanmoins de leur part une certaine marque de prévenance. Le damné, en enfer, n'aura pas le moindre soulagement de ses tourments : les pécheurs sont maintenant prévenus : souvenez-vous-en ! S’ils ne se repentent pas, ils n’auront aucun moyen pour éviter ce tourment. De même que les méchants n’ont de délices qu’ici-bas, et qu'ils seront, à l’heure de la mort, séparés à jamais de tout ce qui leur est cher, les hommes pieux et bons, n’ont à supporter, quant à eux, de pénibles instants que dans cette vie ; à leur mort, ils en seront délivrés, à jamais !
Béni soit Dieu, qu’il n’y ait pas, en ce monde, le moindre abîme qui sépare l’homme, inique par nature, de la Grâce : nous pouvons passer de notre état de pécheur, à celui de pardonnés par Dieu ; si par contre, nous mourons dans nos péchés, il n'y a plus d’échappatoire à la colère divine.
Nous voyons dans ce texte que cet homme riche avait cinq frères et qu’il aurait voulu les arrêter dans leur conduite coupable ; leur venue dans ce lieu de tourments allait accentuer davantage la misère de ce triste personnage, et il voulait leur montrer la possibilité de ne pas en prendre le chemin !
Combien désireraient faire « marche arrière », pour annuler les fautes qu'ils ont pu commettre ! Ceux qui tenteraient de faire ce type de prière, que l'homme riche fit à Abraham pour essayer de justifier les siens, devront chercher bien loin des preuves pour tenter de les disculper : un pécheur damné n’a rien pour être défendu : il n’a que ses fautes à présenter ! Il n'y a certainement aucun encouragement à suivre l’exemple de cet homme riche : toutes ses prières ont été vaines.
Un « messager » revenant de la mort, ne pourrait pas en dire plus que ce qui est dit dans les Écritures. La même force de dissuasion, capable de briser toute conviction positive de la Parole de Dieu, serait également capable de triompher du témoignage d’un individu revenant du séjour des morts...
Cherchons « à la loi et au témoignage », comme il nous est dit dans Isa 8:19,20 : c'est en effet la véritable parole de prophétie, sur laquelle nous pouvons nous reposer, 2Pierre 1:19.
Les circonstances de chaque époque nous montrent qu'aucune
frayeur, aucun argument, ne peuvent conduire à la véritable
repentance ; cette dernière ne peut se produire sans la Grâce
particulière que Dieu nous accorde et qui renouvelle le cœur du
pécheur !
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Un homme riche ; ce mot est assez fréquemment employé en un sens défavorable dans l'Ecriture. L'histoire de celui-ci va justifier d'une manière saisissante les sérieux avertissements que Jésus vient de donner aux pharisiens avares qui se moquaient de lui, (versets 14-18) et compléter l'application de la parabole précédente. (versets 9-13)
- La pourpre dont se revêtait somptueusement ce riche, était la robe de dessus, le manteau, tandis que le fin lin, étoffe précieuse qui se fabriquait en Egypte, composait la tunique. Un seul trait peint sa manière de vivre : grec il faisait joyeuse chère chaque jour magnifiquement.
Vivre dans le luxe, se livrer aux jouissances des sens, tout en restant égoïstement indifférent aux besoins et aux maux du pauvre, (verset 21) telle était la conduite de ce riche. Il n'est pas mis d'autre péché à sa charge, il n'est pas dit qu'il menât une vie immorale. Sa fin est un avertissement d'autant plus universel et d'autant plus terrible pour les égoïstes honorables gui se trouvent par milliers dans la société de tous les temps. (Matthieu 25.41-45)
Il ne nous est pas dit ici que l'homme riche obtint ses biens en fraudant, ou par l'oppression ; Christ montre cependant qu'une personne peut avoir de grandes richesses et beaucoup de plaisirs ici-bas, et périr sous la malédiction divine.
Cet homme riche a péché : il ne s'occupait que de lui. Il y avait aussi un brave homme, Lazare, qui lui, devait connaître la félicité éternelle, après avoir traversé sur terre le plus profond de l'adversité et de la détresse.
Il arrive souvent que certains serviteurs de Dieu, même les plus chers à Son cœur, soient grandement affligés ici-bas. Il ne nous est pas dit que l'homme riche ait fait le moindre mal, mais, malgré tout, nous ne lisons pas qu'il se soit préoccupé du sort de Lazare... Nous voyons ensuite la différence de condition dans laquelle se trouvaient ces deux hommes, au séjour des morts. L'homme riche, en enfer, levait ses yeux, étant en plein tourment. Il est impensable qu'il puisse y avoir des dialogues entre les « saints glorifiés » et les « pécheurs damnés », mais cette scène révèle la misère désespérée et les vains désirs qui peuvent animer les esprits condamnés.
Le jour vient, où ceux qui, aujourd’hui, détestent et méprisent les enfants de Dieu, recevront néanmoins de leur part une certaine marque de prévenance. Le damné, en enfer, n'aura pas le moindre soulagement de ses tourments : les pécheurs sont maintenant prévenus : souvenez-vous-en ! S’ils ne se repentent pas, ils n’auront aucun moyen pour éviter ce tourment. De même que les méchants n’ont de délices qu’ici-bas, et qu'ils seront, à l’heure de la mort, séparés à jamais de tout ce qui leur est cher, les hommes pieux et bons, n’ont à supporter, quant à eux, de pénibles instants que dans cette vie ; à leur mort, ils en seront délivrés, à jamais !
Béni soit Dieu, qu’il n’y ait pas, en ce monde, le moindre abîme qui sépare l’homme, inique par nature, de la Grâce : nous pouvons passer de notre état de pécheur, à celui de pardonnés par Dieu ; si par contre, nous mourons dans nos péchés, il n'y a plus d’échappatoire à la colère divine.
Nous voyons dans ce texte que cet homme riche avait cinq frères et qu’il aurait voulu les arrêter dans leur conduite coupable ; leur venue dans ce lieu de tourments allait accentuer davantage la misère de ce triste personnage, et il voulait leur montrer la possibilité de ne pas en prendre le chemin !
Combien désireraient faire « marche arrière », pour annuler les fautes qu'ils ont pu commettre ! Ceux qui tenteraient de faire ce type de prière, que l'homme riche fit à Abraham pour essayer de justifier les siens, devront chercher bien loin des preuves pour tenter de les disculper : un pécheur damné n’a rien pour être défendu : il n’a que ses fautes à présenter ! Il n'y a certainement aucun encouragement à suivre l’exemple de cet homme riche : toutes ses prières ont été vaines.
Un « messager » revenant de la mort, ne pourrait pas en dire plus que ce qui est dit dans les Écritures. La même force de dissuasion, capable de briser toute conviction positive de la Parole de Dieu, serait également capable de triompher du témoignage d’un individu revenant du séjour des morts...
Cherchons « à la loi et au témoignage », comme il nous est dit dans Isa 8:19,20 : c'est en effet la véritable parole de prophétie, sur laquelle nous pouvons nous reposer, 2Pierre 1:19.
Les circonstances de chaque époque nous montrent qu'aucune frayeur, aucun argument, ne peuvent conduire à la véritable repentance ; cette dernière ne peut se produire sans la Grâce particulière que Dieu nous accorde et qui renouvelle le cœur du pécheur !