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GenĂšse 3

    • L'homme et la femme chassĂ©s du jardin d'Éden

      1 Parmi les bĂȘtes sauvages que le SEIGNEUR Dieu a faites, le serpent est le plus rusĂ©. Il demande Ă  la femme : « Est-ce que Dieu vous a vraiment dit : “Ne mangez aucun fruit du jardin” ? Â»

      2 La femme rĂ©pond au serpent : « Nous pouvons manger les fruits du jardin.

      3 Mais pour l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : “Ne mangez pas ses fruits et n’y touchez pas ! Sinon, vous mourrez.” Â»

      4 Le serpent rĂ©pond Ă  la femme : « Pas du tout ! Vous ne mourrez pas !

      5 Mais Dieu le sait bien : le jour oĂč vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront. Vous serez comme des dieux, vous pourrez savoir ce qui est bien ou mal. Â»

      6 La femme se dit : les fruits de cet arbre sont beaux, ils doivent ĂȘtre bons. Ils donnent envie d’en manger pour savoir plus de choses. Elle prend un fruit de cet arbre et le mange. Elle en donne Ă  son mari qui est avec elle, et il en mange aussi.

      7 Alors leurs yeux s’ouvrent. Maintenant, ils voient qu’ils sont nus. Ils attachent ensemble des feuilles d’arbre, et cela leur sert de pagne.

      8 Le soir, un vent lĂ©ger se met Ă  souffler. Le SEIGNEUR Dieu se promĂšne dans le jardin. L’homme et la femme l’entendent et ils se cachent devant lui, parmi les arbres du jardin.

      9 Le SEIGNEUR Dieu appelle l’homme. Il lui demande : « OĂč es-tu ? Â»

      10 L’homme rĂ©pond : « Je t’ai entendu dans le jardin. J’ai eu peur parce que je suis nu. Alors, je me suis cachĂ©. Â»

      11 Le SEIGNEUR Dieu lui demande : « Qui t’a appris que tu Ă©tais nu ? Est-ce que tu as mangĂ© le fruit que je t’avais interdit de manger ? Â»

      12 L’homme rĂ©pond : « La femme que tu m’as donnĂ©e, c’est elle qui m’a donnĂ© ce fruit, et j’en ai mangĂ©. Â»

      13 Le SEIGNEUR Dieu dit Ă  la femme : « Qu’est-ce que tu as fait lĂ  ? Â» La femme rĂ©pond : « Le serpent m’a trompĂ©e, et j’ai mangĂ© du fruit. Â»

      14 Alors le SEIGNEUR Dieu dit au serpent : « Puisque tu as fait cela, je te maudis : parmi tous les animaux, tu avanceras sur ton ventre et tu mangeras de la poussiĂšre tous les jours de ta vie.

      15 Voici ce que je dĂ©cide : la femme et toi, vous deviendrez des ennemis. Ceux qui naĂźtront d’elle et ceux qui naĂźtront de toi deviendront des ennemis. Ceux qui naĂźtront d’elle t’écraseront Ă  la tĂȘte, et toi, tu les blesseras au talon. Â»

      16 Ensuite, le SEIGNEUR dit Ă  la femme : « Je rendrai tes grossesses pĂ©nibles, et c’est dans la souffrance que tu mettras des enfants au monde. Tu seras attirĂ©e par ton mari, mais il sera ton maĂźtre. Â»

      17 Puis le SEIGNEUR dit Ă  l’homme : « Tu as Ă©coutĂ© ta femme et tu as mangĂ© le fruit que je t’avais interdit de manger. À cause de toi je maudis le sol. Tu devras te fatiguer tous les jours de ta vie pour tirer ta nourriture de la terre.

      18 Le sol produira pour toi des plantes Ă©pineuses de toutes sortes. Tu devras manger ce qui pousse dans les champs.

      19 Tu gagneras ta nourriture en transpirant beaucoup, jusqu’à ta mort. À ce moment-lĂ , tu retourneras dans la terre d’oĂč tu viens. Oui, tu es fait de poussiĂšre et tu retourneras Ă  la poussiĂšre. Â»

      20 L’homme, Adam, donne Ă  sa femme le nom d’Ève, c’est-Ă -dire « la Vivante Â». En effet, elle est la mĂšre de tous les vivants.

      21 Le SEIGNEUR Dieu fait des vĂȘtements en peau d’animal pour l’homme et la femme, et il les habille de cette façon.

      22 Le SEIGNEUR Dieu se dit : « Eh bien, l’homme est devenu comme un dieu : il connaĂźt ce qui est bien ou mal. Maintenant, il ne faut pas qu’il prenne aussi les fruits de l’arbre de la vie. S’il en mangeait, il vivrait pour toujours. Â»

      23 Alors le SEIGNEUR Dieu chasse l’homme du jardin d’Éden et il l’envoie cultiver la terre qui a servi à le faire.

      24 AprĂšs que le SEIGNEUR a chassĂ© l’homme, il place des chĂ©rubins Ă  l’est du jardin d’Éden. Avec une Ă©pĂ©e de feu qui tourne dans tous les sens, les chĂ©rubins gardent l’entrĂ©e du chemin qui conduit Ă  l’arbre de la vie.
    • L'homme et la femme chassĂ©s du jardin d'Éden

      1 Le serpent Ă©tait le plus rusĂ© de tous les animaux des champs que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit Ă  la femme : Dieu a-t-il rĂ©ellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ?

      2 La femme dit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.

      3 Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez pas et vous n’y toucherez pas, sinon vous mourrez.

      4 Alors le serpent dit Ă  la femme : Vous ne mourrez pas du tout !

      5 Mais Dieu sait que, le jour oĂč vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux qui connaissent le bien et le mal.

      6 La femme vit que l’arbre Ă©tait bon Ă  manger, agrĂ©able Ă  la vue et propre Ă  donner du discernement. Elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi Ă  son mari qui Ă©tait avec elle, et il en mangea.

      7 Les yeux de tous deux s’ouvrirent ; ils prirent conscience du fait qu’ils Ă©taient nus. Ils se firent des ceintures avec des feuilles de figuier cousues ensemble.

      8 Alors ils entendirent la voix de l’Éternel Dieu qui parcourait le jardin avec la brise du soir. L’homme et sa femme allùrent se cacher devant l’Éternel Dieu, parmi les arbres du jardin.

      9 L’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit : OĂč es-tu ?

      10 Il rĂ©pondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin et j’ai eu peur, parce que je suis nu ; je me suis donc cachĂ©.

      11 l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangĂ© de l’arbre dont je t’avais dĂ©fendu de manger ?

      12 L’homme rĂ©pondit : C’est la femme que tu as mise auprĂšs de moi qui m’a donnĂ© de l’arbre, et j’en ai mangĂ©.

      13 Alors l’Éternel Dieu dit Ă  la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme rĂ©pondit : Le serpent m’a induite en erreur, et j’en ai mangĂ©.

      14 L’Éternel Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, Tu seras maudit entre tout le bĂ©tail Et tous les animaux de la campagne, Tu marcheras sur ton ventre Et tu mangeras de la poussiĂšre Tous les jours de ta vie.

      15 Je mettrai inimitiĂ© entre toi et la femme, Entre ta descendance et sa descendance : Celle-ci t’écrasera la tĂȘte, Et tu lui Ă©craseras le talon.

      16 Il dit Ă  la femme : Je rendrai tes grossesses trĂšs pĂ©nibles, C’est avec peine que tu accoucheras. Tes dĂ©sirs (se porteront) vers ton mari, Mais il dominera sur toi.

      17 Il dit Ă  l’homme : Parce que tu as Ă©coutĂ© la voix de ta femme et que tu as mangĂ© de l’arbre dont je t’avais dĂ©fendu de manger, Le sol sera maudit Ă  cause de toi ; C’est avec peine que tu en tireras ta nourriture Tous les jours de ta vie,

      18 Il te produira des chardons et des broussailles, Et tu mangeras l’herbe de la campagne.

      19 C’est Ă  la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, Jusqu’à ce que tu retournes dans le sol, D’oĂč tu as Ă©tĂ© pris ; Car tu es poussiĂšre, Et tu retourneras Ă  la poussiĂšre.

      20 L’homme donna Ă  sa femme le nom d’Ève : car elle a Ă©tĂ© la mĂšre de tous les vivants.

      21 L’Éternel Dieu fit Ă  Adam et Ă  sa femme des habits de peau, dont il les revĂȘtit.

      22 L’Éternel Dieu dit : Maintenant que l’homme est devenu comme l’un de nous pour la connaissance du bien et du mal, Ă©vitons qu’il tende la main pour prendre aussi de l’arbre de vie, en manger et vivre Ă©ternellement.

      23 L’Éternel Dieu le renvoya du jardin d’Éden, pour qu’il cultive le sol d’oĂč il avait Ă©tĂ© tirĂ©.

      24 AprĂšs avoir chassĂ© l’homme, il mit Ă  demeure Ă  l’est du jardin d’Éden, les chĂ©rubins et la flamme de l’épĂ©e qui tournoie, pour garder le chemin de l’arbre de vie.
    • 1

      Le serpent trompe Ève. (GenÚse 3:1-5)
      Adam et Ève transgressent l'ordre Divin, et sombrent dans le péché et la misÚre. (GenÚse 3:6-8)
      Dieu cherche à dialoguer avec Adam et Ève. (GenÚse 3:9-13)
      Le serpent est maudit, la Semence promise. (GenĂšse 3:14,15)
      La punition de la race humaine. (GenĂšse 3:16-19)
      Le premier vĂȘtement de l'homme. (GenĂšse 3:20,21)
      Adam et Ève sont exclus du paradis. (GenÚse 3:22-24)

      Satan a assailli nos premiers parents, pour les entraĂźner dans le pĂ©chĂ©, la tentation leur a Ă©tĂ© fatale. Le tentateur n'Ă©tait, en fait, que le diable, sous l'apparence d'un serpent. Le plan satanique consistait Ă  attirer nos premiers parents vers le pĂ©chĂ©, afin ensuite, de les sĂ©parer de Dieu. Le diable fut ainsi, au tout dĂ©but, un meurtrier, le Prince des dĂ©mons. La victime de cette tentation fut la femme : la tactique de l'ennemi a consistĂ© Ă  entrer en contact avec elle, pendant qu'elle Ă©tait seule. Beaucoup de tentations sont fatales lorsque la personne visĂ©e est seule ; mais la rĂ©union et la communion des saints augmentent infiniment leur force et leur sĂ©curitĂ©. Satan Ă©tait dans une position d'avantage en trouvant Ève prĂšs de l'arbre dĂ©fendu. L'ennemi l'a tentĂ©e, de façon Ă  atteindre ensuite Adam. Une des grandes stratĂ©gies de l'ennemi consiste Ă  nous envoyer des tentations par le moyen de mains innocentes, mais qui ont toutefois une influence certaine sur nous. Satan a posĂ© la question si le fait de manger de cet arbre constituait un pĂ©chĂ©. Il n'a pas, au dĂ©but, dissimulĂ© son plan, mais il a posĂ© une question qui semblait, au premier abord, pleine d'innocence. Ceux qui se sentiraient trop sĂ»rs d'eux, devraient observer une sage prudence avant d'entamer le dialogue avec le tentateur. Ce qu'Il a citĂ© n'Ă©tait que faussetĂ© ; Il a employĂ© un ton de moquerie. Le diable, ce menteur, est aussi un moqueur et ce, dĂšs le dĂ©but des temps ; ses adeptes sont Ă©galement des trompeurs. Satan est trĂšs habile pour tourner le loi divine en dĂ©rision, attirant de ce fait, les Ăąmes vers le pĂ©chĂ© ; c'est une grande sagesse de notre part de nous appuyer fermement sur les commandements divins et de les respecter de notre mieux. Dieu a-t-Il bien dit : « Tu ne mentiras pas, tu ne prendras pas Mon Nom en vain, tu ne sombreras pas dans l'ivresse Â» ? Toutes ces paroles prononcĂ©es sont certaines et bonnes ; avec l'aide de Sa grĂące, il faut nous y soumettre. Ève a eu la faiblesse d'entamer la conversation avec le serpent : elle aurait dĂ» percevoir le cĂŽtĂ© sournois des questions qui lui ont Ă©tĂ© posĂ©es et cela aurait dĂ» la faire fuir. Satan a commencĂ© Ă  sĂ©duire l'homme par le doute, puis il l'a conduit Ă  lui faire refuser ce qui a Ă©tĂ© Ă©tabli par Dieu. L'ennemi a promis quantitĂ© d'avantages du fait de manger de ce fruit. Le but satanique a consistĂ© Ă  provoquer de l'insatisfaction dans le cƓur de l'homme, comme si tout le contexte dans lequel il se trouvait n'Ă©tait pas aussi bon qu'il le semblait, et devrait ĂȘtre. Aucune amĂ©lioration de condition n'Ă©tait envisageable, Ă  moins que l'esprit de l'homme ne remĂ©die Ă  cette situation. Satan a toujours poussĂ© les hommes dans la recherche d'une amĂ©lioration, les persuadant de se prendre pour des dieux. L'ennemi a couru Ă  sa perte en voulant ĂȘtre comme le TrĂšs Haut ; il est donc normal qu'il ait procĂ©dĂ© de maniĂšre identique avec nos premiers parents en les animant du mĂȘme dĂ©sir, afin qu'ils courent aussi Ă  leur ruine.

      Le diable manipule toujours des personnes pour son propre intĂ©rĂȘt, en leur suggĂ©rant de fausses pensĂ©es Ă  l'Ă©gard de Dieu et en leur faisant miroiter de faux espoirs pour les conduire au pĂ©chĂ©.

      Ayons donc toujours une excellente opinion de notre Dieu et rejetons le pĂ©chĂ©, comme le pire des maux : rĂ©sistons au diable et il fuira loin de nous.

      6 Observons biens les Ă©tapes qui mĂšnent Ă  la transgression : aucune d'elles n'Ă©lĂšve l'homme, mais au contraire, toutes le conduisent dans la fosse de la perdition. Au dĂ©but, « Elle vit Â». Un grand nombre de pĂ©chĂ©s provient de ce que l'on voit. Ne regardons pas Ă  ce qui peut nous conduire dangereusement Ă  la convoitise, Matthieu 5:28. Ensuite, « Elle prit Â». Elle a commis cet acte de son propre chef.

      Satan peut tenter mais ne peut forcer Ă  agir ; Il peut nous faire convoiter l'attrait nĂ©gatif du pĂ©chĂ© mais Il ne peut nous y faire sombrer Lui-mĂȘme, de force, Matthieu 4:6. AprĂšs, « Elle mangea Â». Quand elle vit le fruit, au dĂ©but, Ève pensait qu'elle ne le prendrait peut-ĂȘtre pas ; ou quand elle le prit, elle a peut-ĂȘtre pensĂ© qu'elle ne le mangerait pas : mais elle finit par le consommer. Il est sage de s'arrĂȘter au premier signe du pĂ©chĂ© et de s'en Ă©loigner avant de le commettre. Ensuite, Ève en donna aussi Ă  son mari. Ceux qui sont sur une pente dangereuse tentent d'entraĂźner les autres avec eux. En nĂ©gligeant l'arbre de la vie, qu'il avait le droit de manger, et en consommant celui de la connaissance, qui lui, Ă©tait interdit, Adam a pleinement montrĂ© qu'il se moquait de ce que Dieu lui avait dit et de ce qu'Il lui avait recommandĂ© de ne pas faire. Il n'a fait que ce qu'il lui plaisait de faire. Son pĂ©chĂ© s'appelle tout simplement la dĂ©sobĂ©issance, Romains 5:19 ; une dĂ©sobĂ©issance au commandement divin.

      Il n'a eu aucune circonstance attĂ©nuante, mais au contraire, une pleine libertĂ© pour accomplir totalement sa propre volontĂ©. Il s'est dĂ©tournĂ© rapidement. Il a entraĂźnĂ© toute sa postĂ©ritĂ© dans le pĂ©chĂ© et la ruine. Qui peut minimiser le mal du pĂ©chĂ© commis par Adam ?

      Adam et Ève se sont aperçus, un peu tard, de leur folie, en mangeant du fruit interdit. Ils ont vu le bonheur qu'ils ont perdu, et la misĂšre dans laquelle ils sont tombĂ©s. Le Dieu plein d'amour qu'ils ont connu a Ă©tĂ© bafouĂ©, Sa grĂące et Sa faveur ont Ă©tĂ© Ă©cartĂ©es. Observez bien Ă  quel point le pĂ©chĂ© mĂšne Ă  la honte et amĂšne les problĂšmes ; oĂč qu'il entre, tout est dĂ©truit. TĂŽt ou tard il apporte la confusion ; ce sentiment de tristesse peut conduire, soit Ă  la vraie repentance, qui se terminera dans la gloire cĂ©leste, soit au mĂ©pris de l'ordre divin qui fera comparaĂźtre le mĂ©chant devant Dieu, au jour du jugement. Notez Ă  quel point de folie sont rendus ceux qui ont pĂ©chĂ©. Ils sont plus occupĂ©s par le souci de plaire aux hommes que par celui d'obtenir le pardon divin. Les hommes s'efforcent de couvrir et de diminuer la gravitĂ© de leurs pĂ©chĂ©s ; toutes ces tentatives sont vaines et frivoles ; ils sont comme nos premiers parents qui se sont vĂȘtus de feuilles de figuier, faisant ainsi le maximum pour masquer leur faute : avouons qu'il nous est facile de faire de mĂȘme. Avant de commettre le pĂ©chĂ©, Adam et Ève acceptaient les visites divines, pleines de grĂąces, avec joie et humilitĂ© ; maintenant ces visites sont devenues pour eux une vĂ©ritable terreur. Il ne fait aucun doute qu'ils Ă©taient remplis de confusion.

      Tout cela rĂ©vĂšle la faussetĂ© du tentateur et ses mĂ©thodes frauduleuses. Satan a promis la sĂ©curitĂ© Ă  Adam et Ève, mais en fait, ils en Ă©taient bien dĂ©pourvus ! Nos parents furent dĂ©sormais misĂ©rables et incapables de se rĂ©conforter mutuellement !

      9 Observez bien la question posĂ©e par Dieu, au dĂ©but de ce texte : « OĂč es-tu Â» ? Celui qui, par son pĂ©chĂ©, s'Ă©loigne de Dieu, devrait sĂ©rieusement considĂ©rer la situation dans laquelle il se trouve ; il est loin de toute bĂ©nĂ©diction, en plein territoire ennemi, esclave de Satan, sur la route de la ruine totale. Cette brebis perdue erre dans un chemin sans issue ; si le Bon berger ne l'avait pas recherchĂ©e et appelĂ©e, cette Ăąme n'aurait eu aucun espoir de bonheur et de paix. Si les pĂ©cheurs considĂ©raient vraiment l'Ă©tat dans lequel ils se trouvent, ils se tourneraient rapidement vers Dieu. Il est classique de constater que ceux qui ont pratiquĂ© le mal nient toujours l'Ă©vidence des faits, quand on les interroge. Comme Adam, nous avons de bonnes raisons d'ĂȘtre effrayĂ©s quand nous nous approchons de Dieu sans ĂȘtre revĂȘtus de la Justice de Christ. Le pĂ©chĂ© originel a Ă©tĂ© clairement rĂ©vĂ©lĂ© par le rappel du commandement divin Ă  Adam. Nous sommes dans le mĂȘme cas lorsque l'Esprit nous parle. Mais au lieu de reconnaĂźtre carrĂ©ment leur pĂ©chĂ©, avec toute la honte qui cela entraĂźne, Adam et Ève l'ont esquivĂ©, en reportant leur faute sur les autres.

      On rencontre une curieuse tendance chez ceux qui sont tentĂ©s : Ă  les Ă©couter on pourrait croire qu'ils sont tentĂ©s par Dieu ; comme si notre Dieu de bĂ©nĂ©dictions pouvait excuser les manquements Ă  la Loi qu'Il a dictĂ©e. Ceux qui veulent tirer des bĂ©nĂ©fices et des plaisirs du pĂ©chĂ© doivent s'attendre, en retour, Ă  ĂȘtre blĂąmĂ©s et honteux. IL dĂ©coule de tout cela, que les tentations de Satan ne sont toutes qu'enchantements ; tous les arguments de l'ennemi ne peuvent mener qu'Ă  la dĂ©ception ; toutes ses sĂ©ductions ne sont que tricheries ; quand il semble parler honnĂȘtement, ne le croyez pas. Ce n'est que par la dĂ©ception qui suit le pĂ©chĂ© que le cƓur s'endurcit. Voyez Romains 7:11;Heb 3:13.

      Mais bien que la subtilitĂ© satanique puisse nous faire tomber, cela ne nous justifiera en aucune maniĂšre. Bien qu'Il soit le Tentateur, nous, nous sommes les pĂ©cheurs. Ne nous laissons pas aller dans la facilitĂ© du pĂ©chĂ© car celui-ci aura vite fait de nous enjĂŽler ; affermissons, au contraire notre dĂ©termination Ă  le combattre, afin de ne pas souffrir de la dĂ©ception et de la tricherie envoyĂ©es par cet ennemi jurĂ©, qui ne cherche qu'Ă  dĂ©truire nos Ăąmes.

      14 Dieu applique sa sentence ; Il commence lĂ  oĂč le pĂ©chĂ© a dĂ©butĂ©, par le serpent. Les disciples du Diable doivent partager les punitions qui Lui sont rĂ©servĂ©es. Sous l'apparence du serpent, le Diable a Ă©tĂ© dĂ©couvert par Dieu, et Celui-ci l'a abaissĂ© et puni ; le serpent a Ă©tĂ© dĂ©testĂ© par la race humaine : Il sera aussi dĂ©truit et ruinĂ© aux derniers jours par le RĂ©dempteur, ce dernier lui brisera la tĂȘte. La guerre est dĂ©clarĂ©e entre la Semence de la femme et celle du serpent.

      On peut voir dans tout cela les fruits de cette inimitiĂ© : il y a une guerre perpĂ©tuelle entre la grĂące et la corruption, dans les cƓurs du peuple de Dieu. Satan, par ses corruptions, Ă©branles ces cƓurs, les passe au crible, et cherche Ă  les dĂ©vorer. Les cieux et l'enfer ne pourront jamais ĂȘtre rĂ©conciliĂ©s, tout comme la lumiĂšre et l'obscuritĂ© ; il en est de mĂȘme avec Satan et l'Ăąme sanctifiĂ©e. Il y a Ă©galement, en ce monde, une lutte perpĂ©tuelle entre le mĂ©chant et l'homme de Dieu. Une promesse pleine de grĂące est faite dans ce texte, au sujet de Christ : Il est Celui qui dĂ©livre l'homme tombĂ© sous la puissance de Satan. On dĂ©couvre ici toute la perspective de l'Ă©vangile : dĂšs que la blessure a Ă©tĂ© faite, le remĂšde a Ă©tĂ© fourni et rĂ©vĂ©lĂ©. C'est une rĂ©vĂ©lation, pleine de grĂące, reprĂ©sentĂ©e par un Sauveur, venu de Son plein grĂ©, alors que l'on ne le recherchait mĂȘme pas. Sans cette rĂ©vĂ©lation de la grĂące, qui donne l'espĂ©rance et le pardon, le pĂ©cheur convaincu sombrerait dans le dĂ©sespoir et l'endurcissement.

      Par la foi en cette promesse, nos premiers parents et les patriarches qui vécurent avant le déluge, étaient justifiés et sauvés.

      Des points doivent ĂȘtre remarquĂ©s au sujet de Christ.

      PremiÚrement, Son incarnation, ou Sa venue dans la chair. C'est un grand encouragement pour le pécheur de voir que le Sauveur est la Semence de la femme, Il est os de nos os, Heb 2:11,14.

      DeuxiĂšmement, Ses souffrances et Sa mort ; la remarque de Satan « qui brise le talon Â» reprĂ©sente Sa nature humaine meurtrie. Les souffrances de Christ sont prolongĂ©es par celles des saints qui souffrent en Son Nom. Le Diable tente le peuple de Dieu, il le persĂ©cute et le met Ă  mort ; il en est de mĂȘme avec les meurtrissures de Christ, affligĂ© par les afflictions des siens. Mais tandis que le talon est brisĂ© ici-bas, la TĂȘte est dans les cieux.

      TroisiĂšmement, Sa victoire sur Satan. Christ a rĂ©duit Ă  nĂ©ant la tentation de Satan, en extirpant les Ăąmes de Son pouvoir. Par Sa mort Il a portĂ© un coup fatal au royaume satanique, Il a frappĂ© la tĂȘte du serpent d'une blessure inguĂ©rissable. DĂšs que l'Ă©vangile gagne du terrain, l'Ennemi finit par tomber.

      16 La femme, par son pĂ©chĂ©, est condamnĂ©e Ă  souffrir et Ă  ĂȘtre assujettie ; les punitions Ă  ce manquement, ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©es aprĂšs qu'elle ait succombĂ© au dĂ©sir de ses yeux, de sa chair et de son orgueil. Le pĂ©chĂ© n'apporte que souffrance et tristesse dans le monde, ce qui provoque des torrents de larmes. Ne cherchons pas l'origine de tous nos soucis quand nous vivons dans le pĂ©chĂ©. Le commandement divin « Il dominera sur toi Â» s'adresse aux Ă©pouses. Si l'homme n'avait pas pĂ©chĂ©, il aurait tout rĂ©gi avec sagesse et amour ; de mĂȘme, la femme aurait obĂ©i avec douceur et humilitĂ©. Adam a fait porter la responsabilitĂ© de la faute Ă  sa femme ; mais bien qu'Ève soit en faute d'avoir persuadĂ© son mari de manger du fruit dĂ©fendu, il revient Ă  Adam de porter la responsabilitĂ© de l'avoir Ă©coutĂ©e. Ainsi, au jour du Jugement, les indulgences demandĂ©es par les hommes quant Ă  leurs frivolitĂ©s, se retourneront contre eux. Dieu a montrĂ© son dĂ©plaisir envers Adam. PremiĂšrement, en maudissant son environnement habitable. Dieu avait donnĂ© Ă  la descendance humaine une terre oĂč il faisait bon vivre ; celle-ci est maintenant souillĂ©e par le pĂ©chĂ© humain. Adam n'a pas Ă©tĂ© maudit, comme le serpent le fut, uniquement le sol en subit les consĂ©quences. DeuxiĂšmement son travail et ses plaisirs sont tachĂ©s d'amertume. Le travail est notre devoir, il doit ĂȘtre accompli avec fidĂ©litĂ© ; toute pratique d'oisivetĂ© finira par ĂȘtre condamnĂ©e. Les dĂ©sagrĂ©ments et la fatigue dus au travail ne sont qu'une juste rĂ©tribution que nous devons subir avec patience ; et ce n'est mĂȘme pas la punition que nous devrions avoir Ă  cause de notre pĂ©chĂ©.

      Bien que l'homme ne soit pas astreint Ă  manger la poussiĂšre, comme le serpent, il en est rĂ©duit Ă  se nourrir avec l'herbe des champs. TroisiĂšmement, la durĂ©e de sa vie sera rĂ©duite ; si l'on considĂšre tous les ennuis qui lui sont Ă©chus aprĂšs la chute, c'est presque une faveur de lui avoir donnĂ© peu de jours Ă  vivre ici-bas.

      Bien que la mort soit redoutable par nature, et bien triste, mĂȘme Ă  la fin d'une vie bien remplie, cela aboutit toujours par cette punition. Le pĂ©chĂ© a apportĂ© la mort dans le monde : si Adam n'avait pas commis d'iniquitĂ©, il ne serait pas mort. Il a ouvert le chemin de la tentation, mais le Seigneur a palliĂ© Ă  sa faute. Quelle satisfaction admirative nous pouvons avoir, devant la mort et les souffrances expiatoires de notre Seigneur JĂ©sus !

      Il a ainsi subi la sentence prĂ©vue Ă  l'origine pour nos premiers parents. Est-ce que les douleurs de l'enfantement sont survenues par le pĂ©chĂ© ? Nous pouvons lire en, Isa 53:11 Ă  quel point l'Ăąme de Christ a souffert ; Il a souffert jusqu'Ă  la mort, Actes 2:24. Est-ce que la servitude est survenue par le pĂ©chĂ© ? Christ est nĂ© sous la loi, Galates 4:4. Il a Ă©tĂ© fait malĂ©diction pour nous, Il a Ă©tĂ© maudit dans Sa mort, Galates 3:13. Les Ă©pines sont-elles venues par le pĂ©chĂ© ?

      Notre Sauveur a Ă©tĂ© couronnĂ© d'Ă©pines, pour nous. Est-ce que la sueur est survenue par le pĂ©chĂ© ? Il a Ă©tĂ© couvert de sueur pour nous, il a Ă©tĂ© couvert de grumeaux de sang. Est-ce que la douleur est due au pĂ©chĂ© ? Il a Ă©tĂ© fait homme de douleur ; pendant Son agonie, Son Ăąme a Ă©tĂ© au comble de la souffrance. Est-ce que la mort est survenue suite au pĂ©chĂ© ? Il a Ă©tĂ© obĂ©issant jusqu'Ă  la mort. Le remĂšde est proportionnel Ă  la blessure. BĂ©ni soit Dieu pour son Fils, notre Seigneur JĂ©sus-Christ.

      20 Dieu appela l'homme Adam, ce qui signifie « terre rouge Â» ; Adam appela la femme Ève, c'est Ă  dire « la vie Â».

      Adam a portĂ© le nom du corps mortel, Ève celui de l'Ăąme vivante. Le premier homme a probablement espĂ©rĂ© entrevoir les bĂ©nĂ©dictions que pourrait offrir un rĂ©dempteur, la Semence promise, en appelant sa femme Ève, « la vie Â». Car Christ a Ă©tĂ© « la vie Â» offerte Ă  tous les croyants ; en Lui toutes les familles de la terre reçoivent les bĂ©nĂ©dictions. Notez aussi avec quelle attention Dieu a pris soin de nos premiers parents, malgrĂ© leur pĂ©chĂ©. Leurs vĂȘtements sont arrivĂ©s en mĂȘme temps que le pĂ©chĂ©. Ne soyons pas fiers de nos vĂȘtements, ils ne sont en effet que le gage de notre honte originelle. Quand Dieu a fabriquĂ© les habits de nos premiers parents, il les fit, d'une part, chauds et solides, mais aussi, simples et ordinaires ; pas de robe de pourpre, mais un manteau de peau. Que ceux qui sont revĂȘtus de triste maniĂšre ne se plaignent pas. Ils doivent se contenter de pouvoir disposer de la nourriture et du vĂȘtement ; ils sont au mĂȘme stade qu'Adam et Ève. Quant Ă  ceux qui sont vĂȘtus avec raffinement, qu'ils apprennent Ă  ne pas en faire une pierre d'achoppement. On suppose que les bĂȘtes dont la peau a servi Ă  faire des vĂȘtements, n'ont pas Ă©tĂ© tuĂ©es pour servir de nourriture mais Ă  titre de sacrifice, en image Ă  Christ, La Victime expiatoire.

      Adam et Ève ont fabriquĂ© des sortes de tabliers en feuilles de figuiers ; ces vĂȘtements se sont avĂ©rĂ©s trop petits, Isa 28:20.

      Il en est ainsi pour les haillons de notre droiture. Dieu a remplacĂ© les vĂȘtements de nos premiers parents par de nouveaux, en peau, confortables, solides, durables et Ă  leur pointure : il en est ainsi pour la droiture de Christ ; appuyons-nous donc, en toute confiance, sur notre Seigneur JĂ©sus-Christ !

      22 Dieu a ordonnĂ© que l'homme sorte du jardin ; Il lui a dit qu'il ne devait en aucun cas en avoir la jouissance plus longtemps. Mais l'homme aimait bien cet endroit et ne voulait pas le quitter, ce qui a poussĂ© Dieu Ă  l'en expulser. Ceci rĂ©vĂšle bien la chute d'Adam et le cĂŽtĂ© fautif de la race humaine ; la communion avec Dieu a Ă©tĂ© rompue, l'homme a Ă©tĂ© sĂ©parĂ© des bĂ©nĂ©dictions et de la gloire du paradis. Adam a Ă©tĂ© expulsĂ© pour travailler la terre, de laquelle il avait Ă©tĂ© tirĂ©. Il a Ă©tĂ© envoyĂ© sur un site de travail, non pas sur un lieu de souffrance. Nos premiers parents ont Ă©tĂ© privĂ©s des privilĂšges qu'ils avaient de par leur Ă©tat d'innocence ; il n'ont pas pour autant Ă©tĂ© laissĂ©s dans le dĂ©sespoir. Le chemin de l'arbre de vie a Ă©tĂ© barrĂ©. Il a Ă©tĂ© dorĂ©navant impossible Ă  l'homme d'accĂ©der par ses propres moyens Ă  la droiture, Ă  la vie et Ă  la joie car l'alliance divine a Ă©tĂ© rompue avec toute la malĂ©diction que cela a engendrĂ©. Nous sommes tous condamnĂ©s si nous tombons sous le jugement de cette alliance divine. Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© cela Ă  Adam, non pas pour le conduire au dĂ©sespoir, mais pour l'inciter Ă  se tourner vers la vie et la joie que peut fournir la Semence promise, par laquelle nous pouvons entrer, en nouveautĂ© de vie, dans la voie de la saintetĂ© qui nous est ouverte.
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      GenĂšse 2

      20 L'homme donna des noms Ă  tout le bĂ©tail, aux oiseaux du ciel et Ă  tous les animaux sauvages, mais pour lui-mĂȘme il ne trouva pas d'aide qui soit son vis-Ă -vis.
      23 L'homme dit : « Voici cette fois celle qui est faite des mĂȘmes os et de la mĂȘme chair que moi. On l'appellera femme parce qu'elle a Ă©tĂ© tirĂ©e de l'homme. Â»

      GenĂšse 5

      29 Il l’appela NoĂ© en disant : « Celui-ci nous consolera de notre travail et de la peine que ce sol procure Ă  nos mains parce que l'Eternel l'a maudit. Â»

      GenĂšse 16

      11 L'ange de l'Eternel lui dit : « Te voici enceinte. Tu mettras au monde un fils Ă  qui tu donneras le nom d'IsmaĂ«l, car l'Eternel t'a entendue dans ton malheur.

      GenĂšse 29

      32 LĂ©a tomba enceinte et mit au monde un fils qu’elle appela Ruben, car elle dit : « L'Eternel a vu mon humiliation et dĂ©sormais mon mari m'aimera. Â»
      33 Elle tomba encore enceinte et mit au monde un fils, et elle dit : « L'Eternel a entendu que je n'Ă©tais pas aimĂ©e et il m'a aussi accordĂ© celui-ci. Â» Et elle lui donna le nom de SimĂ©on.
      34 Elle tomba encore enceinte et mit au monde un fils, et elle dit : « Cette fois-ci, mon mari s'attachera Ă  moi, car je lui ai donnĂ© trois fils. Â» C'est pourquoi on l’appela LĂ©vi.
      35 Elle tomba encore enceinte et mit au monde un fils, et elle dit : « Cette fois, je cĂ©lĂ©brerai l'Eternel. Â» C'est pourquoi elle lui donna le nom de Juda. Puis elle cessa d'avoir des enfants.

      GenĂšse 35

      18 Alors qu’elle allait rendre l'Ăąme, car elle Ă©tait mourante, elle lui donna le nom de Ben-Oni, mais son pĂšre l'appela Benjamin.

      Exode 2

      10 Quand il eut grandi, elle l'amena Ă  la fille du pharaon et il fut un fils pour elle. Elle l'appela MoĂŻse, « car, dit-elle, je l'ai retirĂ© de l'eau. Â»

      1 Samuel 1

      20 Dans le cours de l'annĂ©e, Anne devint enceinte et elle mit au monde un fils qu'elle appela Samuel, car, dit-elle, « je l'ai demandĂ© Ă  l'Eternel Â».

      Matthieu 1

      21 Elle mettra au monde un fils et tu lui donneras le nom de JĂ©sus car c'est lui qui sauvera son peuple de ses pĂ©chĂ©s. Â»
      23 La vierge sera enceinte, elle mettra au monde un fils et on l’appellera Emmanuel, ce qui signifie « Dieu avec nous Â».

      Actes 17

      26 Il a fait en sorte que tous les peuples, issus d'un seul homme, habitent sur toute la surface de la terre, et il a dĂ©terminĂ© la durĂ©e des temps et les limites de leur lieu d’habitation.
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