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Matthieu 6.24

Nul ne peut servir deux maßtres ; car, ou il haïra l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre : vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.
« Personne ne peut servir deux maĂźtres : ou bien il haĂŻra le premier et aimera le second ; ou bien il s’attachera au premier et mĂ©prisera le second. Vous ne pouvez pas servir Ă  la fois Dieu et l’argent. »
Nul ne peut servir deux maßtres ; car, ou il haïra l'un et aimera l'autre, ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre : vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.
Nul ne peut servir deux maßtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon.
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      Josué 24

      15 Il est essentiel que ceux qui veulent servir Dieu, le fassent avec un esprit rĂ©solu. Le vĂ©ritable amour est le principal sentiment qui peut faire naĂźtre en nous la volontĂ© d'ĂȘtre Ă  Son service. Le PĂšre dĂ©sire seulement qu'on L'adore, en esprit et en vĂ©ritĂ©. Le cĂŽtĂ© charnel humain est inimitiĂ© contre Dieu, et de ce fait, nous rend incapable de Lui adresser toute adoration spirituelle, d'oĂč la nĂ©cessitĂ© d'ĂȘtre nĂ©s de nouveau.

      Un grand nombre d'enfants d'IsraĂ«l se contentĂšrent d'accomplir simplement les tĂąches qui leur Ă©taient imposĂ©es. JosuĂ© les plaça face Ă  leur responsabilité : rester indiffĂ©rent, ou servir l'Éternel ; « choisissez qui vous voulez servir, c'est Ă  vous de dĂ©cider ». Avant sa mort, le patriarche dĂ©sirait faire cette dĂ©claration au peuple, quel que soit le choix de ce dernier.

      Ceux qui sont assurés d'aller au ciel, doivent s'attendre à cheminer contre tous les courants contraires. Ils ne doivent pas suivre la majorité, mais au contraire, ceux qui pratiquent le bien. Personne ne peut prétendre avoir une conduite parfaite, en toutes circonstances, à moins qu'il ne se soumette devant Dieu, avant d'entreprendre toute action.

      Les Israélites furent d'accord avec Josué, étant influencés par l'exemple du patriarche, si richement béni.

      Beaucoup veulent servir le Seigneur. Ils doivent alors bien observer la conduite des hommes pieux : quelle est leur influence vis-à-vis des autres, quel zÚle ils manifestent pour accomplir leur tùche.

      JosuĂ© exhorta les enfants d'IsraĂ«l Ă  servir l'Éternel de tout leur cƓur. Ils durent d'abord renoncer Ă  accomplir cette tĂąche par eux-mĂȘmes, ce qui aurait Ă©tĂ© une chose vaine. Cette consĂ©cration du peuple pour Dieu Ă©tant le rĂ©sultat d'un choix dĂ©libĂ©rĂ©, JosuĂ© scella ce vƓu par une cĂ©rĂ©monie solennelle : il Ă©rigea un monument. Ce fut pratiquement la derniĂšre manifestation extĂ©rieure du patriarche. Si les enfants d'IsraĂ«l sombraient Ă  nouveau dans le pĂ©chĂ©, leur sang retomberait sur leur tĂȘte. Que ce soit dans la maison de Dieu, Ă  la table du Seigneur, ou mĂȘme dans divers lieux oĂč nous avons promis solennellement de Le servir devant des tĂ©moins, nous pouvons ĂȘtre assurĂ©s que si nous dĂ©faillons, Ă©tant tentĂ©s de L'abandonner, Il saura placer la crainte dans notre cƓur pour nous remettre dans le droit chemin. Dieu seul peut nous accorder la GrĂące de bĂ©nir nos tentatives d'engagement Ă  Son service !

      1 Samuel 7

      1 Rois 18

      21 Dans ce texte, nous voyons que plusieurs, parmi le peuple d'IsraĂ«l, ne savaient plus Ă  quel dieu se fier : finalement, ils se tournĂšrent vers l'Éternel. Élie invita tous les enfants d'IsraĂ«l Ă  dĂ©terminer, entre JĂ©hovah ou Baal, quel Ă©tait vraiment le Dieu suprĂȘme, le CrĂ©ateur, le Gouverneur, et le Juge du monde, le Seul qui soit digne d'ĂȘtre suivi.

      Il est dangereux d'hésiter, sans prendre de décision, entre le service de Dieu et l'asservissement du péché, la domination de Christ et celle de nos convoitises. Si Jésus est le Seul qui puisse nous sauver, sachons nous confier en Lui en toutes choses ; si la Bible représente véritablement pour nous, la Parole de Dieu, sachons L'honorer et La recevoir entiÚrement, en soumettant notre raisonnement humain à l'enseignement divin qu'elle contient.

      Élie proposa de mettre Ă  l'Ă©preuve les faux prophĂštes. Baal Ă©tait alors majoritairement vĂ©nĂ©rĂ© en IsraĂ«l, mais cela n'a pas intimidĂ© le prophĂšte de l'Éternel. Il s'Ă©cria : « le dieu qui rĂ©pondra par le feu sera Dieu ». L'expiation divine ne pouvait ĂȘtre faite que par le biais d'un sacrifice, avant que le Jugement de l'Éternel ne soit transformĂ© en MisĂ©ricorde. Dieu, ayant la facultĂ© de pardonner le pĂ©chĂ©, par le biais d'un sacrifice, est le Seul qui puisse sauver les Siens de la fatalitĂ© de la mort. L'Éternel n'a jamais exigĂ© que Ses adorateurs emploient pour L'honorer, les mĂȘmes rites que ceux utilisĂ©s pour Baal ; malgrĂ© le fait que le service du diable puisse satisfaire et choyer le corps, il comporte d'autres caractĂ©ristiques, telles que la cruautĂ©, l'envie et l'ivresse.

      Dieu nous demande de mortifier les convoitises et les corruptions auxquelles nous sommes sujets ; mais les pĂ©nitences et les brutalitĂ©s corporelles ne Lui procurent aucune satisfaction. Qui exigeait que les prĂȘtres de Baal se fassent de telles incisions ? Quelques mots exprimĂ©s avec une foi sereine, accompagnĂ©e d'une ardente affection pour la Gloire de Dieu et d'un amour pour l'Ăąme de notre prochain, ainsi que la soif de recevoir la faveur et la prĂ©sence du Seigneur, constituent les Ă©lĂ©ments de la priĂšre efficace et fervente du « juste », priĂšre qui sera loin d'ĂȘtre vaine. Élie n'a pas cherchĂ© sa propre gloire, mais celle de Dieu, pour le bien du peuple. Tous les enfants d'IsraĂ«l furent convaincus et satisfaits par le miracle divin ; JĂ©hovah est le seul Dieu.

      Il est certain que plusieurs, parmi le peuple, furent convaincus de la Puissance divine, sans toutefois se convertir Ă  Dieu.

      BĂ©nis soient ceux qui n'ont pas connu les Ă©vĂšnements relatĂ©s dans ce texte et qui ont cru en l'Éternel : leur cƓur a Ă©tĂ© alors davantage touchĂ© par Sa Parole que celui des hommes qui virent ce miracle.

      2 Rois 17

      Ezéchiel 20

      Sophonie 1

      Matthieu 4

      Matthieu 6

      Luc 16

      13 Dans cette parabole des deux maßtres, notre Seigneur nous donne un avertissement solennel : vous ne pouvez pas servir Dieu et le monde, tous deux si différents dans leurs desseins !

      AprÚs que notre Seigneur ait ainsi enseigné, les pharisiens, dans leur convoitise, traitÚrent ces directives avec mépris. Mais Jésus les prévint, que par leur opposition, ils combattaient en fait le fondement de la loi : notre Seigneur le spécifia en mentionnant un cas concernant le divorce.

      Beaucoup « d’intĂ©gristes », fervents de toute rigueur de piĂ©tĂ©, sont en rĂ©alitĂ© les pires ennemis du vĂ©ritable cheminement spirituel vers Dieu et par lĂ , essaient d'Ă©loigner les autres de la VĂ©ritĂ©.

      Romains 6

      16 Tout homme est serviteur d’un maĂźtre, auquel il doit rendre des comptes, qu’il s’agisse des culpabilitĂ©s de son cƓur, qui conduisent Ă  la mort, ou de l'obĂ©issance nouvelle et spirituelle implantĂ©e par la rĂ©gĂ©nĂ©ration.

      Dans ce texte, l'apĂŽtre se rĂ©jouit de voir les nouveaux convertis obĂ©ir de tout cƓur Ă  l'Évangile, auquel ils se conforment en tous points. De mĂȘme que du mĂ©tal prenant la forme d’un vase neuf, quand il est fondu et versĂ© dans un moule, le croyant, nĂ© de nouveau, devient une autre crĂ©ature. Il y a ainsi une grande diffĂ©rence dans la libertĂ© de pensĂ©e de l’impie et l'esprit du croyant : ils sont opposĂ©s quant Ă  leur « esclavage » ; cela permet au vĂ©ritable chrĂ©tien, assurant le service de son Seigneur lĂ©gitime, de Le considĂ©rer comme son PĂšre, tout en sachant qu’il est lui-mĂȘme Son fils et Son hĂ©ritier, par l'adoption de la GrĂące.

      Quand on est dominé par le péché, on en devient esclave, volontairement, sans en détester, hélas, le pouvoir néfaste. Ceux qui sont maintenant serviteurs de Dieu, étaient jadis esclaves du péché.

      21 Le plaisir et le profit du pĂ©chĂ© ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pĂ©cheurs ne sont que des « semeurs d'iniquitĂ© et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en rĂ©sultent. La honte est arrivĂ©e dans le monde avec le pĂ©chĂ©, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du pĂ©chĂ©, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquitĂ© puisse paraĂźtre agrĂ©able et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du pĂ©chĂ©. Si le fruit de son existence est la saintetĂ©, s'il connaĂźt une croissance spirituelle active, sous le rĂ©gime de la GrĂące vĂ©ritable, il connaĂźtra la vie Ă©ternelle, en fait, une fin trĂšs heureuse ! Bien que ce chemin de la saintetĂ©, Ă©troit et Ă©pineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile Ă  gravir, il mĂšne cependant Ă  la vie Ă©ternelle.

      Le don de Dieu est la vie Ă©ternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur JĂ©sus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a prĂ©parĂ©, nous y prĂ©pare et nous prĂ©serve ; Il reprĂ©sente tout notre salut !

      Galates 1

      10 En prĂȘchant l'Évangile, l'apĂŽtre cherchait Ă  amener des personnes Ă  l'obĂ©issance, non envers les hommes, mais envers Dieu. Paul n'a pas tentĂ© de changer la doctrine de Christ, ni de gagner la faveur des hommes ; il n’a pas cherchĂ© Ă  esquiver la colĂšre de ces derniers.

      Dans ce ministĂšre si important (la diffusion de l’Évangile), nous ne devons pas craindre les dĂ©sapprobations Ă©ventuelles des hommes, ni d'ailleurs chercher leur faveur : nous devons Ă©noncer notre message avec sagesse.

      L’apĂŽtre a reçu la doctrine de l'Évangile par rĂ©vĂ©lation cĂ©leste. Il ne s’est pas tournĂ© vers le christianisme, comme beaucoup, simplement par son Ă©ducation.

      1 Timothée 6

      17 « Être riche » ici-bas est complĂštement diffĂ©rent que de l'ĂȘtre envers Dieu. Rien n'est plus incertain que les richesses de ce monde ! Ceux qui en possĂšdent, doivent savoir que c'est Dieu qui leur a permis d’en avoir, pour qu'ils puissent en jouir en toute libĂ©ralité ; beaucoup de personnes possĂšdent des biens, mais en profitent de mauvaise maniĂšre, n'ayant pas un cƓur apte Ă  les utiliser convenablement.

      Qu'y a-t-il de meilleur que l'opportunité de pouvoir pratiquer le bien ? C'est la manifestation de la foi en Christ, par les fruits de l'amour, notre assurance de posséder la vie éternelle ; les hommes charnels et les impies qui nous environnent sont avides de tout gain, ne pouvant avoir aucune espérance, autre que celle des tourments célestes qui leur sont réservés.

      Cette « doctrine », la vaine recherche des richesses, s'oppose en fait Ă  la VĂ©ritĂ© de l'Évangile, et Ă  la vĂ©ritable connaissance du Seigneur, sinon elle approuverait ce Dernier et consentirait Ă  Le suivre.

      Ceux qui se fient Ă  la raison plutĂŽt qu’à la foi courent le danger d'abandonner cette derniĂšre. La GrĂące inclut tout ce qui est bon, elle est un sĂ©rieux moyen de percevoir la Gloire divine ; lĂ  oĂč Dieu accorde Sa GrĂące, Il rĂ©vĂšle Sa Gloire !

      2 Timothée 4

      Jacques 4

      1 Jean 2

      15 Ce qui fait partie du monde peut ĂȘtre dĂ©sirĂ© et possĂ©dĂ© en vue d’emplois et de buts que Dieu a prĂ©vus ; cela doit toutefois ĂȘtre utilisĂ© selon Sa grĂące et Ă  Sa gloire !

      Les croyants ne doivent pas rechercher les attraits de ce monde, ni leur donner une valeur qui puisse donner prise au pĂ©chĂ©. Le monde place un obstacle entre le cƓur et Dieu ; plus l'amour du monde prĂ©domine, plus l'amour envers Dieu va s’amenuiser...

      Les convoitises du monde sont classĂ©es ainsi d'aprĂšs les trois penchants principaux d'une nature dĂ©pravĂ©e : 1. Le dĂ©sir de la chair, du corps : les mauvais dĂ©sirs du cƓur, l'envie de rechercher tout ce qui peut exciter et enflammer les plaisirs sensuels. 2. Le dĂ©sir des yeux : les yeux prennent plaisir aux richesses et Ă  l’aviditĂ© de possĂ©der : c’est la cupiditĂ©. 3. La fiertĂ©, l'orgueil de la vie : un homme « vain » dĂ©sire ardemment la grandeur et le faste d'une vie dont la gloire est pourtant sans issue ; ceci inclut la recherche acharnĂ©e des honneurs et des acclamations.

      Les attraits du monde se « fanent rapidement et finissent par disparaitre ; le dĂ©sir coupable lui-mĂȘme ne dure qu'un temps : il finit par s'Ă©roder et disparaĂźtre, alors qu’une sainte affection perdure.

      L'amour de Dieu est Ă©ternel. De nombreux et vains efforts ont Ă©tĂ© tentĂ©s pour Ă©viter la contrainte de ce texte, contourner ses limitations, ses distinctions ou ses exceptions. Beaucoup ont essayĂ© de nous montrer jusqu'oĂč peut aller l'esprit charnel et l'amour du monde ; mais la signification de ces versets est claire et ne peut ĂȘtre incomprise.

      MĂȘme si que ce dĂ©sir de victoire sur le monde est ardent dans le cƓur d’un homme, ce dernier n'a aucun fondement sur lequel s’appuyer et sa chute sera inĂ©luctable ; il ne sera tout au plus qu’un ĂȘtre stĂ©rile. Cependant, les vanitĂ©s et les convoitises du monde sont si attrayantes, que sans une priĂšre assidue, nous ne pourrons Ă©chapper Ă  cette « pente dangereuse », ni obtenir la victoire sur le prince du mal...

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