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La Bible Chronologique - Jour 334

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La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18


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    • 1 Corinthiens 5

      1 D’ailleurs, on parle partout de l’immoralité tolérée parmi vous. On m’a rapporté un cas d’inconduite si grave qu’il ne s’en rencontre même pas chez les gens du monde. Il paraît que l’un de vous vit avec la (seconde) femme de son père !
      2 Et vous êtes encore fiers ! Vous vous enorgueillissez (de votre « liberté chrétienne ») au lieu d’être atterrés ! Vous auriez dû pleurer de honte et faire en sorte que l’auteur d’un tel forfait soit exclu du milieu de vous.
      3 Eh bien ! moi, bien que personnellement absent, je suis présent parmi vous par mon esprit et j’ai déjà porté mon jugement, comme si j’étais là, sur celui qui s’est rendu coupable d’une telle offense.
      4 Il faut que vous convoquiez, au nom du Seigneur, l’assemblée des membres de votre Église – je serai réuni avec vous en esprit – la puissance de notre Seigneur Jésus-Christ nous assistera, et c’est avec sa pleine autorité que vous prononcerez la sentence contre cet homme.
      5 Qu’il soit livré sans défense au pouvoir de Satan pour qu’il expérimente les conséquences néfastes du péché et que la vie de ses sens soit mortifiée ; que le mal qui est en lui soit détruit, afin que son esprit soit sauvé au jour du Seigneur.
      6 Ah ! vous n’avez vraiment pas lieu de vous vanter ! N’avez-vous jamais entendu dire : « Il suffit d’un peu de levain pour aigrir toute la pâte » ?
      7 Faites donc disparaître tout « vieux levain » du milieu de vous afin que vous soyez, et que vous restiez, « une pâte nouvelle ». En tant que chrétiens, vous êtes réellement libérés de tout « levain » et devenus des « pains sans levain », car nous aussi, nous avons un agneau pascal qui fut immolé pour nous, et c’est le Christ lui-même.
      8 C’est pourquoi célébrons la fête, non plus avec le « vieux levain » de l’ancienne vie ni avec le levain de la méchanceté et du vice, mais uniquement avec les pains sans levain qui s’appellent pureté et vérité, innocence et sincérité.
      9 Si dans ma précédente lettre, je vous ai écrit : « N’ayez pas de relations avec des personnes immorales »,
      10 je ne voulais évidemment pas dire par là qu’il vous faut éviter tout contact avec les gens du monde qui mènent une vie équivoque autour de vous, avec les adultères vivant dans le monde, ou bien les avares, les filous, les escrocs ou les adorateurs de faux dieux, car alors il vous faudrait sortir du monde.
      11 Non, je voulais simplement vous dire de ne pas entretenir de relations avec celui qui, tout en se disant votre frère, vivrait dans l’immoralité, aimerait trop l’argent, vénérerait les idoles ou serait un calomniateur, un homme adonné à la boisson ou enclin aux affaires malhonnêtes. Avec des gens de cette sorte, il vous faut rompre toute communion et ne pas même prendre de repas ensemble.
      12 Est-ce à moi de juger ceux qui vivent en dehors de l’Église ? Certes non, ce n’est pas mon affaire. Par contre, c’est bien à vous de juger ceux qui font partie de votre communauté et c’est sous votre responsabilité que la discipline doit être exercée chez vous.
      13 Ceux du dehors, Dieu les jugera. Mais vous, retranchez le coupable du milieu de vous.

      1 Corinthiens 6

      1 D’autre part, lorsque l’un de vous a un différend avec un frère, comment ose-t-il le citer en justice devant des juges incroyants au lieu de recourir à l’arbitrage des chrétiens ?
      2 Ignoreriez-vous par hasard que les chrétiens auront un jour à juger le monde ? Si donc vous êtes destinés à être les juges du monde entier, seriez-vous incapables de vous prononcer sur des questions insignifiantes ?
      3 Ne savez-vous pas que nous jugerons même les anges ? Et nous serions incompétents pour des bagatelles de la vie quotidienne ?
      4 Or, si vous avez des litiges sur des questions d’intérêt, vous vous adressez précisément à des gens qui n’ont rien à dire dans l’Église et qui ne jouissent d’aucun crédit parmi vous : c’est à leur jugement que vous vous référez !
      5 Je le dis à votre honte ! Est-il possible qu’il n’y ait vraiment pas un seul homme intelligent parmi vous qui puisse servir d’arbitre entre ses frères ?
      6 Faut-il qu’on se traîne en justice entre frères et qu’on aille jusqu’à plaider l’un contre l’autre précisément devant des incroyants ?
      7 De toute façon, vos mésententes à elles seules sont déjà les indices d’un état alarmant ; vos procès entre vous sont un aveu de défaite. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt l’injustice ? Pourquoi ne consentez-vous pas plutôt à vous laisser dépouiller de vos droits et à subir des dommages ?
      8 Mais non, c’est au contraire vous qui commettez des injustices, vous qui dépouillez les autres, et c’est au détriment de vos frères que vous le faites !
      9 Ne savez-vous pas que ceux qui méprisent les commandements de Dieu et lèsent les droits d’autrui n’entreront point dans le royaume de Dieu ? Ne vous faites pas d’illusions à ce sujet ; il n’y aura point de part dans l’héritage de ce royaume pour les immoraux, les idolâtres, les adultères ou les pervers : débauchés, sensuels, homosexuels, etc.
      10 ni pour les voleurs, les avares ou les escrocs, pas plus que pour les ivrognes, les calomniateurs ou les accapareurs.
      11 Voilà bien ce que vous étiez autrefois, du moins, certains d’entre vous. Mais vous avez été lavés et, à présent, vous êtes consacrés à Dieu et vous avez été purifiés, vous avez été acquittés de vos fautes et déclarés justes au nom du Seigneur Jésus-Christ et par l’Esprit de notre Dieu.
      12 « Alors, tout m’est permis », dites-vous. Certes, mais tout n’est pas bon pour moi. Je peux tout me permettre, c’est vrai, excepté de me placer sous un esclavage quelconque. J’entends, moi, ne pas me laisser dominer ou asservir par quoi que ce soit.
      13 « Les aliments sont faits pour le ventre et le ventre pour les aliments » : certes, et un jour, Dieu mettra fin à l’un comme à l’autre. Mais attention ! notre corps, lui, n’a pas été fait pour la débauche : il appartient au Seigneur et le Seigneur en prend soin.
      14 Comme Dieu a ressuscité le Seigneur d’entre les morts, il nous ressuscitera, nous aussi, par sa puissance.
      15 En effet, ne savez-vous pas que vos corps sont maintenant des parties intégrantes du Christ lui-même : ses membres, ses organes ? Et j’irais arracher des membres du Christ pour les unir à une prostituée ? Assurément non !
      16 Ou bien, ignoreriez-vous qu’un homme qui s’unit à une prostituée devient physiquement un avec elle ? Car il est écrit : Les deux ne seront qu’un seul être.
      17 Par contre, celui qui s’unit au Seigneur devient spirituellement un avec lui grâce à son Esprit.
      18 C’est pourquoi, fuyez le dévergondage et les unions illégitimes. Tous les autres péchés qu’un homme peut commettre ne touchent pas directement son corps, tandis que celui qui se livre à la débauche introduit le péché dans son propre corps.
      19 Ou bien auriez-vous oublié que votre corps est le sanctuaire même du Saint-Esprit qui vous a été donné par Dieu et qui, maintenant, demeure en vous ? Vous n’êtes donc plus les maîtres de votre corps et vous ne pouvez pas en disposer à votre gré. Vous ne vous appartenez plus à vous-mêmes.
      20 Car c’est à un grand prix que vous avez été rachetés. Honorez donc Dieu et rendez-lui gloire par votre corps même, aussi bien que par votre esprit, car tous deux appartiennent à Dieu.

      1 Corinthiens 7

      1 J’en viens à présent aux questions que vous m’avez posées dans votre lettre : « C’est une excellente chose, dites-vous, qu’un homme se passe de femme ».
      2 Oui, mais que de dangers menacent les célibataires et que les tentations sont puissantes ! C’est pourquoi, pour éviter tout dérèglement, il est préférable que chaque homme ait sa femme, et chaque femme son mari.
      3 Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 En effet, le corps de la femme ne lui appartient plus : il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus : il est à sa femme.
      5 Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, convenir mutuellement de renoncer pour un certain temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais que ce soit pour une courte période après laquelle vous reprendrez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan le moyen d’exploiter votre incapacité à dominer vos instincts.
      6 Notez bien qu’il s’agit d’un simple conseil, d’une concession et nullement d’un ordre.
      7 Personnellement, je souhaiterais que tout le monde soit comme moi, mais je sais que chacun reçoit de Dieu son don particulier, l’un le don (du célibat), l’autre celui (du mariage).
      8 J’aimerais cependant dire aux non-mariés, et en particulier aux veuves, que c’est une bonne chose de vivre seul comme moi.
      9 Toutefois, s’ils trouvent qu’ils n’ont pas reçu le don de continence et ne peuvent se maîtriser en ce domaine, qu’ils se marient, car mieux vaut se marier que de se consumer en désirs insatisfaits.
      10 Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, ou plutôt, ce que le Seigneur lui-même leur commande : que la femme ne se sépare pas de son mari.
      11 Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas divorcer d’avec sa femme.
      12 Pour les autres couples, je n’ai pas d’indication expresse de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis : si un frère chrétien est lié à une femme non croyante qui consente à rester avec lui, qu’il ne divorce pas.
      13 De même, si une femme a un mari non croyant qui consente à habiter avec elle, qu’elle ne se sépare pas de son mari.
      14 Car le mari non croyant est bien un mari légitime, du fait de son union avec sa femme ; et de même, la femme non croyante est bien une épouse légitime, du fait de son union avec un mari croyant. Si cela n’était pas, vos enfants seraient des bâtards, alors qu’en réalité, ce sont des enfants légitimes.
      15 Mais si le conjoint non croyant est déterminé à demander la séparation, eh bien ! qu’il s’en aille ; dans ce cas, ni le frère ni la sœur ne sont liés : Dieu vous a appelés à vivre dans la paix.
      16 Certes, (par le maintien du lien conjugal,) toi, femme, tu peux amener ton mari au salut, mais sais-tu si tu y parviendras ? De même, toi mari, tu peux devenir le moyen de conversion de ta femme, mais comment en avoir la certitude ?
      17 En dehors de ce cas, tenez-vous en à la règle générale que j’enseigne partout : que chacun continue à vivre dans la condition que le Seigneur lui a assignée comme son lot, qu’il organise sa vie conformément à la vocation qui lui a été adressée et suivant les dons qu’il a reçus ; qu’il demeure dans le cadre où l’a trouvé l’appel de Dieu. C’est là ce que je prescris dans toutes les Églises.
      18 Par exemple, quelqu’un était-il circoncis lors de son appel ? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. L’appel l’a-t-il trouvé incirconcis ? Qu’il ne se fasse pas circoncire.
      19 Les rites extérieurs ne signifient rien : que l’on soit juif ou non juif n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est d’obéir aux commandements de Dieu.
      20 Que chacun demeure dans l’état où l’appel de Dieu l’a touché.
      21 Étais-tu esclave lors de ton appel ? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Même si tu peux devenir libre, vois les avantages de ta condition présente et mets-les à profit.
      22 Car un esclave qui vit dans la communion du Seigneur, parce que Dieu l’y a appelé, est en réalité un affranchi du Seigneur. Inversement, l’homme libre qui a été appelé devient un esclave du Christ.
      23 C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! Ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Donc, frères, que chacun serve Dieu dans les conditions où il était lorsque Dieu l’a appelé.
      25 Pour ceux ou celles qui n’ont jamais été mariés, je n’ai pas d’indication précise de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis, c’est celui d’un homme à qui le Seigneur a témoigné sa miséricorde et qui, par conséquent, est tenu de lui être fidèle, d’un homme qui, par la grâce de Dieu, a droit à votre confiance.
      26 À cause des difficultés de l’heure présente et des calamités imminentes, j’estime qu’il est bon que chacun demeure dans la situation où il se trouve.
      27 Es-tu fiancé ou marié ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Reste libre.
      28 En revanche, si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas un péché pour un jeune homme ou une jeune fille de se marier, mais ces personnes-là auront à subir maintes épreuves dans la vie courante et elles connaîtront bien des souffrances, et je voudrais vous les épargner.
      29 Je vous assure, frères : le temps est bien limité ; que, désormais, ceux qui sont mariés vivent comme s’ils étaient libres de tout lien ;
      30 que ceux qui pleurent ne s’abandonnent pas à leur douleur, et que ceux qui se réjouissent ne s’oublient pas dans leur joie ; que ceux qui achètent ne se cramponnent pas à leurs possessions, qu’ils ne les considèrent pas comme leur propriété : qui sait pour combien de temps elles leur appartiennent ?
      31 Bref, que tous ceux qui sont engagés dans les affaires de ce monde en vivent détachés et que ceux qui jouissent de ses biens apprennent à s’en passer. Car la figure de ce monde passe et le présent ordre des choses s’achemine vers son déclin.
      32 C’est pourquoi je voudrais vous savoir exempts de tout souci et libres de préoccupations et d’inquiétudes. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire et de lui donner entière satisfaction.
      33 Celui qui est marié doit s’occuper des questions matérielles, des affaires de ce monde, il cherche à plaire à sa femme ;
      34 et le voilà partagé, tiraillé entre des intérêts opposés. Il en est de même de la femme non mariée ou de la jeune fille. Elles n’ont d’autre souci que de prendre à cœur les intérêts du Seigneur, visant à se consacrer à lui corps et esprit. Tandis que la femme mariée doit se consacrer aux affaires de ce monde, car elle veut plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre propre intérêt, et non pour vous tendre un piège ou pour vous imposer un joug supplémentaire. Je ne veux pas restreindre votre liberté, mais seulement promouvoir parmi vous une vie digne et bien ordonnée. J’aimerais vous encourager à vous consacrer au Seigneur sans réserve, à vous attacher à lui sans partage et à le servir sans que rien ne vienne vous en détourner.
      36 Mais si quelqu’un pense qu’il y a trop d’inconvénients à rester célibataire, si ses désirs le subjuguent et qu’il s’estime déshonoré en dépassant seul la fleur de l’âge, eh bien ! qu’il suive l’inclination de son cœur et fasse ce qui lui semble bon : il ne pèche pas. Que ces gens-là se marient donc !
      37 Toutefois, si quelqu’un se sent libre de toute contrainte extérieure et capable de tenir son corps en bride, si, après avoir pesé le pour et le contre, il est arrivé en son for intérieur à une ferme conviction et qu’il a pris, dans la pleine liberté de sa volonté, la décision de rester célibataire, il fait bien.
      38 En somme, celui qui renonce à son célibat et se marie fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux encore.
      39 Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari pour toute sa vie ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien et qu’elle en décide dans la communion avec le Seigneur.
      40 Toutefois elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est du moins mon avis, et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.

      1 Corinthiens 8

      1 Passons à la question des viandes sacrifiées aux idoles : « Nous sommes tous des gens éclairés, dites-vous, et nous possédons la connaissance voulue ». C’est entendu, mais la connaissance seule inspire souvent des sentiments de suffisance. Le savoir rend orgueilleux, tandis que l’amour est constructif : c’est lui qui bâtit (l’Église), parce que celui qui aime aide les autres à croître dans la foi.
      2 Si quelqu’un croit savoir (plus que les autres) et se flatte de sa « science », il n’a pas encore compris de quelle nature est la vraie connaissance.
      3 Mais si quelqu’un aime Dieu, il a atteint la perfection de la connaissance, car alors il est connu de lui. Dieu lui-même l’enseigne.
      4 Ainsi donc, sur la question : « Peut-on manger des viandes immolées aux idoles ? », (vous m’écrivez :) « Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a d’autre dieu que le Dieu unique ».
      5 Cela est vrai, car, bien que les gens du monde peuplent ciel et terre de prétendus « dieux », bien qu’ils vénèrent réellement des multitudes de divinités et d’êtres auxquels ils font porter le titre de Seigneur,
      6 nous ne connaissons qu’un seul Dieu : le Pèrede qui toute chose vient, pour qui nous avons été créés, vers qui nous sommes en chemin. De même : Il n’y a qu’un seul Seigneur, (c’est le Seigneur) Jésus-Christ, par qui tout existe, à qui nous devons la vie.
      7 Mais tous les chrétiens ne reconnaissent pas encore clairement ces faits. Quelques-uns, entraînés par la force de l’habitude, continuent à considérer l’idole comme une réalité et ils mangent ces viandes avec la pensée qu’elles ont été consacrées à une divinité réelle. Alors, leur conscience, qui est faible, est troublée et se trouve entachée de culpabilité.
      8 Certes (comme vous dites) : « Un aliment n’a aucune influence sur nos relations avec Dieu, et ce n’est pas notre nourriture qui nous en rapprochera ou nous rendra agréables à ses yeux ; que nous mangions de ceci, que nous ne mangions pas de cela, nous n’y perdons rien, nous n’y gagnons rien, cela ne nous rendra ni meilleurs ni pires ».
      9 Toutefois, faites bien attention : la liberté que vous prenez d’exercer vos droits ne doit pas devenir, pour les personnes scrupuleuses ou mal affermies dans la foi, un piège ou une occasion de chute.
      10 Suppose, en effet, qu’un de ces chrétiens mal affermis te voie, toi « l’homme éclairé », assis à table dans un temple d’idoles. Est-ce réellement ce spectacle qui fortifiera sa conscience faible et lui permettra désormais de manger (sans hésitation) des viandes sacrifiées aux idoles ? Encouragé par ton exemple, ne sera-t-il pas plutôt tenté de violer ses scrupules de conscience et de manger de ces viandes, sans conviction ?
      11 En agissant ainsi, il se causera du tort à lui-même, (peut-être) un tort irréparable. Et c’est à cause de ta connaissance que ce faible va courir à sa perte, ce frère pour lequel, pourtant, le Christ a donné sa vie !
      12 Si vous péchez de la sorte envers des frères en blessant leur conscience mal affermie, vous péchez contre le Christ lui-même.
      13 C’est pourquoi, si la viande que je mange devait constituer une tentation pour mon frère, si elle devait l’inciter à tomber dans le péché, je préférerais renoncer à la viande, une fois pour toutes, plutôt que d’être pour lui une occasion de chute.
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