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La Bible Chronologique - Jour 335

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La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18


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    • 1 Corinthiens 9

      1 Ne suis-je donc pas libre ? Ne suis-je pas apôtre ? N’ai-je pas vu, de mes yeux, notre Seigneur ? (Je le sais, quelques-uns me dénient ce titre, mais) vous-mêmes, n’êtes-vous pas un fruit du travail que le Seigneur m’a confié ?
      2 Si certains refusent de reconnaître en moi un apôtre, vous, du moins, vous ne le ferez certainement pas, puisqu’en tant qu’Église du Seigneur, vous êtes la preuve qui scelle l’authenticité de mon service apostolique.
      3 Vous êtes ma meilleure réponse à ceux qui me critiquent et mettent (mon apostolat) en cause, la défense que j’oppose à mes détracteurs.
      4 (Revenons à la question de tout à l’heure :) en tant qu’apôtres, n’aurions-nous pas une pleine liberté ? Ne serions-nous pas libres de manger et de boire à notre guise ?
      5 N’aurions-nous pas le droit d’avoir, nous aussi, une femme chrétienne qui nous accompagnerait dans nos tournées, comme les autres apôtres, les frères du Seigneur et Pierre lui-même ?
      6 Ou bien, Barnabas et moi-même serions-nous les seuls à devoir travailler pour gagner notre pain ?
      7 Dites-moi : avez-vous jamais entendu parler d’un soldat faisant la guerre à ses propres frais, ou d’un vigneron qui n’aurait pas le droit de manger des fruits de sa vigne ? Quel berger élève un troupeau sans jamais profiter du lait de ses brebis ?
      8 « Considérations tout humaines ! » dites-vous. Mais ne tirons-nous nos arguments que des usages du monde et des principes établis par les hommes ? La loi ne dit-elle pas la même chose ?
      9 En effet, c’est bien dans la loi de Moïse qu’il est écrit : Tu ne muselleras pas le bœuf qui foule ton grain. Dieu s’inquiéterait-t-il uniquement des bœufs ?
      10 N’avait-il pas nos intérêts en vue en parlant ainsi ? Ces paroles n’ont-elles pas une signification pour nous ? Oui, certainement, c’est pour nous que cette parole fut écrite, car il faut que celui qui laboure le fasse avec espérance et que celui qui bat le blé ait la perspective de jouir du fruit de son travail.
      11 Puisque nous avons semé parmi vous les biens spirituels, serait-ce de notre part une prétention exorbitante si nous attendions de vous quelque avantage matériel ?
      12 Du moment que d’autres exercent ce droit sur vous, ne l’aurions-nous pas à plus forte raison ? Eh bien ! nous avons préféré ne pas en user : c’est consciemment que nous avons renoncé à notre liberté – comme nous renonçons à tout, et nous supportons patiemment toutes sortes de privations – afin d’éviter de placer un obstacle quelconque dans le chemin de l’Évangile du Christ.
      13 Et pourtant, vous le savez, ceux qui font le service sacré dans le temple vivent des revenus du temple. Ceux qui sont attachés aux offices de l’autel reçoivent leur part des sacrifices offerts sur l’autel.
      14 De même, le Seigneur a donné des instructions pour que ceux qui annoncent l’Évangile vivent de l’Évangile.
      15 Mais j’ai volontairement renoncé à ces droits. Et si je le mentionne ici, ce n’est pas pour les revendiquer et en profiter à mon tour ; je préférerais mourir (de faim) plutôt que de me laisser ravir ce titre de gloire.
      16 En effet, le seul fait d’annoncer l’Évangile n’est pas un titre de gloire pour moi, c’est une obligation qui m’est imposée : je me sens contraint de le faire. Malheur à moi si je ne prêche pas la Bonne Nouvelle !
      17 Ah ! certes, si c’est de mon plein gré que j’accomplis cette tâche, je reçois une récompense, et je me trouve même suffisamment payé de ma peine en le faisant. Mais puisque c’est involontairement, je ne fais que m’acquitter d’une responsabilité qui m’a été confiée, tout comme un gérant remplirait un office imposé.
      18 En quoi consiste alors ma récompense ? En la satisfaction de pouvoir offrir l’Évangile gratuitement, en renonçant volontairement aux droits que me conférerait ma qualité de prédicateur de l’Évangile.
      19 Cela m’assure mon indépendance à l’égard de tous les hommes. Et pourtant, bien que je sois un homme libre, je me suis fait l’esclave de tous, afin de gagner le plus de gens possible à Jésus-Christ.
      20 Lorsque j’étais avec les Juifs, j’ai vécu comme eux, afin de gagner des Juifs. Et comme ils sont soumis à la loi (de Moïse), je me suis moi-même assujetti à cette loi, bien qu’en réalité, j’en sois personnellement dégagé. Mais je l’ai fait pour conquérir ceux qui sont sous le régime de la loi.
      21 Avec ceux qui vivent sans la loi, je me suis comporté en affranchi de la loi – alors qu’en réalité, je ne vis pas en dehors de la loi de Dieu, puisque je me sens lié par la loi du Christ – mais c’était pour gagner au Christ ceux qui ne connaissent pas la loi.
      22 Dans mes relations avec les chrétiens à l’esprit étroit, tiraillés par leurs scrupules de conscience, je me suis fait comme l’un d’entre eux, afin de gagner ces faibles pour le Christ. Je me suis adapté en tout à tous afin d’en conduire au moins quelques-uns au salut par tous les moyens possibles.
      23 Or, tout cela, je le fais pour la cause de l’Évangile, afin d’en partager les bénédictions avec d’autres. Je prends ma part dans sa proclamation pour avoir, moi aussi, part à ses promesses.
      24 (Pourquoi ?) Ne savez-vous pas que, dans les courses du stade, tous les concurrents s’efforcent de gagner et, cependant, un seul remporte le prix ? Vous donc, courez comme lui afin de vous assurer la victoire.
      25 Tous les athlètes qui participent à une compétition sportive s’imposent toutes sortes d’abstinences. Ils disciplinent leur vie dans tous les domaines pour remporter la victoire et recevoir une couronne, qui sera pourtant bien vite fanée, alors que nous, nous aspirons à une couronne qui ne se flétrira jamais.
      26 C’est pourquoi, si je cours, ce n’est pas à l’aveuglette, mais sur le trajet prescrit, en gardant les yeux rivés au but. Si je m’exerce au pugilat, ce n’est pas pour donner des coups en l’air ; je ne me bats pas contre des fantômes.
      27 J’entraîne mon corps par l’endurcissement et la discipline afin de le réduire à ma merci ; je le maîtrise et le maintiens asservi, de peur qu’après avoir appelé les autres au combat et leur avoir proclamé la Bonne Nouvelle, je ne me trouve moi-même disqualifié.

      1 Corinthiens 10

      1 Car il ne faut pas que vous ignoriez, frères, que nos ancêtres, après leur sortie d’Égypte, ont tous marché sous la protection de la nuée, ils sont tous passés sains et saufs à travers la mer,
      2 ils ont donc tous, en quelque sorte, été baptisés « en Moïse » dans la nuée et dans la mer.
      3 Ils ont, en outre, tous bénéficié de la même nourriture reçue par des voies surnaturelles, (symbole de l’aliment) spirituel.
      4 Ils ont tous bu du même breuvage spirituel, car ils buvaient de l’eau jaillie miraculeusement d’un rocher. Ce rocher représentait symboliquement le rocher spirituel qui les accompagnait et qui n’était autre que le Christ lui-même.
      5 Malgré tout cela, la plupart d’entre eux ne furent pas agréés par Dieu, puisque le désert fut jonché de leurs cadavres.
      6 Tous ces faits ont une signification symbolique. Ce sont des figures prophétiques qui nous servent de leçon pour nous avertir de ne pas tolérer en nous de mauvais désirs comme ceux auxquels ils ont succombé et qui ont causé leur perte.
      7 Ne vous engagez pas dans des voies idolâtres comme beaucoup d’entre eux, selon ce qui est écrit : Le peuple s’assit pour manger (les sacrifices offerts au veau d’or à Horeb) et pour boire, puis ils se levèrent pour se divertir et danser (autour de l’idole).
      8 Ne devenons pas la proie de pratiques impures, ne nous laissons pas entraîner dans des liaisons coupables comme certains d’entre eux (lorsqu’ils péchèrent avec les filles de Moab) et, en un seul jour, il mourut vingt-trois mille personnes.
      9 Ne provoquons pas le Seigneur comme le firent certains d’entre eux qui, pour l’avoir fait, périrent sous la morsure des serpents.
      10 Ne vous plaignez pas de votre sort et ne murmurez pas (contre Dieu). Certains d’entre eux le firent et tombèrent sous les coups de l’ange exterminateur.
      11 Tous ces événements, je le répète, ont une portée prophétique : ces malheurs leur sont arrivés pour nous servir d’avertissement et pour illustrer la manière dont Dieu agit. Ils ont été consignés par écrit pour que nous en tirions instruction, nous qui vivons dans la période finale de l’Histoire, vers laquelle convergent les richesses de tous les temps.
      12 C’est pourquoi, si quelqu’un se croit fort, il a particulièrement besoin de veiller à ne pas tomber dans le péché.
      13 Les tentations qui vous ont assaillis jusqu’ici sont communes à tous les hommes : aucune d’elles n’a dépassé les forces humaines. D’ailleurs, Dieu est fidèle, et il ne permettra pas non plus à l’avenir que l’épreuve dépasse vos forces. Au moment de la tentation, il vous donnera la force d’y résister et il préparera une issue pour que vous en sortiez vainqueurs.
      14 Pour toutes ces raisons, mes bien-aimés, je vous en conjure : fuyez l’idolâtrie et évitez tout ce qui rappelle le culte des faux dieux.
      15 Je vous parle là comme à des gens raisonnables, j’en appelle donc à votre intelligence : jugez vous-mêmes de ce que je vais dire.
      16 La « coupe de reconnaissance » sur laquelle nous invoquons la bénédiction du Seigneur ne signifie-t-elle pas que nous sommes au bénéfice du sang du Christ versé pour nous ? N’est-elle pas une expression de notre communion avec lui ? Et le pain que nous rompons, ne représente-t-il pas notre communion au corps du Christ ?
      17 Du moment qu’il n’y a qu’un seul pain, nous tous, malgré notre grand nombre, nous ne formons qu’un seul corps, puisque nous partageons ce pain unique entre tous et que chacun en a sa part.
      18 Pensez à ce qui se passe dans le peuple d’Israël, j’entends Israël dans son sens littéral et terrestre : ceux qui mangent les victimes offertes en sacrifice ne sont-ils pas liés par leur commune adoration, ne sont-ils pas en communion avec l’autel puisqu’ils sont au bénéfice du sacrifice qui y est offert ?
      19 Cela signifierait-il que la viande sacrifiée à une idole devienne quelque chose de plus qu’une viande ordinaire ? Ou que l’idole corresponde à une divinité réelle ? Certainement pas !
      20 Mais je dis que les sacrifices des païens sont offerts à des esprits démoniaques et à « ce qui n’est pas Dieu ». Or, je ne veux pas que vous entriez en communion avec les démons.
      21 Vous ne pouvez boire à la coupe du Seigneur et en même temps à celle des démons ; vous ne pouvez être à la fois les hôtes du Seigneur à sa table et ceux des démons à la leur.
      22 Ou bien voudrions-nous lancer un défi au Seigneur et provoquer sa jalousie ? Nous croirions-nous plus forts que lui ?
      23 « Nous sommes libres de faire tout ce qui nous plaît ! » dites-vous. Mais est-ce que tout est bon pour nous ? « Tout nous est permis. » Sans doute. Mais tout n’aide pas forcément à croître spirituellement et à bâtir une communauté stable.
      24 Que chacun de vous, au lieu de ne songer qu’à lui-même et de chercher à jouir de tout ce qui est permis pour son avantage personnel, pense aussi au salut et aux intérêts des autres.
      25 Vous pouvez bien manger de tout ce qui se vend à la boucherie, sans faire d’enquête sur l’origine de ces viandes par scrupule de conscience.
      26 En effet, la terre appartient au Seigneur avec tout ce qu’elle contient.
      27 Si un non-croyant vous invite et que vous ayez envie d’y aller, mangez tranquillement de tout ce qu’on vous servira, sans vous laisser tourmenter par des scrupules de conscience.
      28 Mais si quelqu’un vous dit : « Cette viande a été offerte en sacrifice à une idole », alors, abstenez-vous d’en manger à cause de celui qui vous a prévenus et pour des raisons de conscience.
      29 Par conscience, j’entends, bien entendu, non la vôtre, mais la sienne. — Mais pourquoi, (demandez-vous,) ma conscience serait-elle régie par une conscience étrangère et pourquoi ma liberté serait-elle mise en question par des jugements d’autrui ?
      30 Si je mange d’un cœur reconnaissant et que je remercie Dieu pour les aliments dont je jouis, pourquoi serais-je critiqué ou calomnié au sujet d’un aliment pour lequel je rends grâce à Dieu ? —
      31 Parce que, soit que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, vous devez tout faire pour la gloire de Dieu.
      32 Il faut donc que rien, dans votre comportement, ne soit un sujet de scandale ou une occasion de chute, ni pour les Juifs, ni pour les non-Juifs, ni pour les membres de l’Église de Dieu.
      33 C’est d’après ces principes que j’agis moi-même : je m’efforce, en toutes circonstances, de m’adapter à tous les hommes en tenant compte de leurs opinions, de leurs désirs et de leurs intérêts. Je ne considère pas ce qui me serait agréable ou avantageux, mais je pense aux multitudes d’hommes perdus, cherchant à les conduire au salut.

      1 Corinthiens 11

      1 Suivez donc mon exemple, comme moi, de mon côté, je suis celui que le Christ nous a laissé.
      2 Vous m’assurez avoir gardé un très bon souvenir de moi et avoir retenu tout ce que je vous ai enseigné, respectant les règles que je vous ai données et maintenant fidèlement les traditions telles que je vous les ai transmises. Je vous en félicite.
      3 Je voudrais cependant attirer votre attention sur un point : comme le Christ est le chef de tout homme, l’homme est le chef de la femme, alors que le chef du Christ, c’est Dieu.
      4 Si donc un homme priait ou parlait de la part de Dieu la tête couverte, il ferait affront à son chef.
      5 En revanche, si une femme priait ou parlait de la part de Dieu, la tête découverte, elle ferait affront à son chef à elle, l’homme, car elle se placerait ainsi sur le même plan qu’une femme rasée.
      6 Si donc une femme ne se couvre pas la tête, pourquoi, pendant qu’elle y est, ne se fait-elle pas aussi tondre les cheveux ? Mais si elle trouve que c’est un signe de honte pour une femme d’être tondue ou rasée, qu’elle se couvre aussi la tête.
      7 L’homme ne doit pas avoir la tête couverte, puisqu’il représente la personne de Dieu et reflète sa gloire. La femme, par contre, est le reflet de la gloire de l’homme.
      8 En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme de l’homme,
      9 et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme.
      10 Voilà pourquoi la femme doit porter sur la tête un signe de son autorité, à cause des anges.
      11 Toutefois, dans l’ordre institué par le Seigneur, la femme est inséparable de l’homme, et l’homme l’est de la femme ; devant le Seigneur, aucun des deux n’a une existence indépendante,
      12 car si la femme a été tirée de l’homme, celui-ci, à son tour, naît de la femme et, finalement, tous deux doivent leur vie à Dieu.
      13 Pour cette question de tête couverte, examinez la chose entre vous et formez-vous un jugement personnel : estimez-vous convenable pour une femme de prier Dieu la tête découverte ? Ne le considérez-vous pas comme inconvenant et indécent ?
      14 Votre sentiment instinctif ne vous dit-il pas qu’il est indigne pour un homme de porter des cheveux longs,
      15 mais qu’une longue chevelure fait honneur à la femme, elle constitue sa parure et lui a été donnée comme un voile naturel pour se couvrir ?
      16 Mais après tout, si quelqu’un veut continuer à contester sur ce point, je ne peux lui dire qu’une chose : nous n’avons pas cette coutume parmi nous, pas plus que les Églises de Dieu.
      17 Puisque j’en suis aux directives concernant vos réunions, il me faut mentionner un point pour lequel je ne saurais vous féliciter. C’est que vos réunions, au lieu de vous apporter des bénédictions et de contribuer à votre progrès, tournent à votre détriment et vous font devenir pires.
      18 Tout d’abord, j’apprends que lorsque vous tenez une assemblée des membres de votre Église, il se forme parmi vous des groupes séparés, de sorte que vos divisions apparaissent au grand jour. J’incline à croire qu’il doit y avoir une part de vérité dans ce qu’on raconte.
      19 Il faut bien qu’il y ait des partis parmi vous, pour que les « gens de valeur » puissent se mettre en évidence et jouer leur rôle !
      20 Ensuite, lorsque vous vous réunissez pour manifester votre unité, on ne peut vraiment plus appeler cela célébrer la cène du Seigneur. Ce n’est pas le repas du Seigneur que vous prenez,
      21 car, à peine êtes-vous à table que chacun s’empresse de manger ses propres provisions sans attendre, si bien que l’on voit des gens souffrir de la faim à côté d’autres qui mangent et boivent avec excès.
      22 S’il ne s’agit que de manger et de boire, n’avez-vous pas vos maisons pour le faire ? Voulez-vous manifester par cette conduite votre mépris de l’Église de Dieu ? Ou bien avez-vous l’intention d’humilier les membres pauvres de votre assemblée (en leur faisant sentir leur dénuement et en les mettant publiquement dans l’embarras) ? Que dois-je dire de tout cela ? Puis-je vous féliciter ? Certainement pas.
      23 Car ce que je vous ai enseigné est bien différent. Or, voici la tradition que je vous ai transmise de la part du Seigneur lui-même : le Seigneur Jésus, la nuit où il devait être trahi, prit du pain,
      24 remercia Dieu, puis le rompit en disant : « Ceci est mon corps qui va être livré pour vous ; faites ceci en souvenir de moi ».
      25 De même, après le repas, il prit la coupe et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance scellée de mon sang ; faites ceci, toutes les fois que vous en boirez, en souvenir de moi ».
      26 Donc, chaque fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe, vous commémorez la mort du Seigneur, témoignant qu’il est mort pour vous, et ceci jusqu’au moment de son retour.
      27 C’est pourquoi quiconque mangerait le pain ou boirait de la coupe du Seigneur d’une manière indigne se rendrait coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc, avant de manger de ce pain et de boire de cette coupe, s’examine sérieusement lui-même.
      29 Car celui qui en mange et en boit en faisant fi de (ce qu’implique pour lui son appartenance au) corps du Seigneur s’attire par là le jugement de Dieu, car il prononce lui-même sa sentence de condamnation.
      30 C’est pour cette raison qu’il y a parmi vous tant de malades et d’infirmes, et qu’un trop grand nombre se sont même complètement endormis dans la mort.
      31 Si nous faisions cet examen personnel et que nous nous jugions nous-mêmes, nous ne tomberions pas sous le jugement du Seigneur et nous éviterions sa sentence.
      32 Toutefois, être jugé par le Seigneur, c’est être pris sous sa discipline ; ses jugements doivent nous amener à nous corriger, et chacun de ses châtiments contribue à notre éducation. Leur but est de nous éviter d’être condamnés avec le reste du monde.
      33 Ainsi donc, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour manger en commun et prendre le repas du Seigneur, attendez-vous les uns les autres.
      34 Si quelqu’un a particulièrement faim, qu’il mange d’abord chez lui. Il ne faudrait pourtant pas que vos réunions attirent sur vous la condamnation divine. Quant aux autres points, je les réglerai lors de mon passage chez vous.
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