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La Bible Chronologique - Jour 347

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La Bible Chronologique - Jour 331 - 1 Thessaloniciens 1.1,1 Thessaloniciens 1.1-2,1 Thessaloniciens 1.2-3,1 Thessaloniciens 1.3-4,1 Thessaloniciens 1.4-5,1 Thessaloniciens 1.5-6,1 Thessaloniciens 1.6-7,1 Thessaloniciens 1.7-8,1 Thessaloniciens 1.8-9,1 Thessaloniciens 1.9-10,1 Thessaloniciens 1.10,1 Thessaloniciens 2.1,1 Thessaloniciens 2.1-2,1 Thessaloniciens 2.2-3,1 Thessaloniciens 2.3-4,1 Thessaloniciens 2.4-5,1 Thessaloniciens 2.5-6,1 Thessaloniciens 2.6-7,1 Thessaloniciens 2.7-8,1 Thessaloniciens 2.8-9,1 Thessaloniciens 2.9-10,1 Thessaloniciens 2.10-11,1 Thessaloniciens 2.11-12,1 Thessaloniciens 2.12-13,1 Thessaloniciens 2.13-14,1 Thessaloniciens 2.14-15,1 Thessaloniciens 2.15-16,1 Thessaloniciens 2.16-17,1 Thessaloniciens 2.17-18,1 Thessaloniciens 2.18-19,1 Thessaloniciens 2.19-20,1 Thessaloniciens 2.20,1 Thessaloniciens 3.1,1 Thessaloniciens 3.1-2,1 Thessaloniciens 3.2-3,1 Thessaloniciens 3.3-4,1 Thessaloniciens 3.4-5,1 Thessaloniciens 3.5-6,1 Thessaloniciens 3.6-7,1 Thessaloniciens 3.7-8,1 Thessaloniciens 3.8-9,1 Thessaloniciens 3.9-10,1 Thessaloniciens 3.10-11,1 Thessaloniciens 3.11-12,1 Thessaloniciens 3.12-13,1 Thessaloniciens 3.13,1 Thessaloniciens 4.1-18,1 Thessaloniciens 5.1-28,2 Thessaloniciens 1.1-12,2 Thessaloniciens 2.1-17,2 Thessaloniciens 3.1-18


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    • Actes 24

      1 Cinq jours plus tard, le grand-prêtre Ananias lui-même vint à Césarée accompagné de plusieurs responsables du peuple et d’un avocat nommé Tertulle. Ils se présentèrent au gouverneur pour porter plainte contre Paul.
      2 Le détenu fut cité à comparaître et Tertulle commença son réquisitoire en ces termes : — Excellence, grâce à toi, à ta sage administration et aux réformes importantes que ta sollicitude pour ce peuple t’a inspirées, nous jouissons d’une paix profonde et complète.
      3 Sois assuré, noble gouverneur Félix, que partout et toujours, nous en éprouvons la plus vive gratitude.
      4 Toutefois nous ne voudrions pas abuser de ta patience et te retenir inutilement. Je te prie seulement de nous écouter quelques instants avec la bienveillance qui te caractérise.
      5 Attendu que cet individu-ci est, comme nous l’avons découvert, une véritable peste, qu’il fomente des troubles parmi tous les Juifs du monde entier, semant la division dans nos rangs ; attendu qu’il est le chef de file de la secte des Nazaréens,
      6 et que nous l’avons pris en flagrant délit au moment où il s’apprêtait à profaner le temple, nous l’avons arrêté. (Nous voulions le juger d’après notre loi.
      7 Mais le commandant Lysias est intervenu avec beaucoup de violence et l’a arraché brutalement de nos mains, nous ordonnant de porter notre accusation devant toi.)
      8 Tu peux procéder toi-même à son interrogatoire et tu reconnaîtras certainement, d’après ses réponses, le bien-fondé de toutes nos accusations.
      9 Les Juifs s’empressèrent de confirmer ses paroles en disant : — Oui, tout ce qu’il a dit est exact.
      10 Sur un signe du gouverneur, Paul prit la parole : — Depuis plusieurs années, dit-il, tu administres cette province et tu exerces la justice sur notre nation. C’est donc en toute confiance que je viens te présenter ma défense.
      11 Comme tu peux le vérifier toi-même, il n’y a pas plus de douze jours que je suis monté à Jérusalem pour y adorer Dieu.
      12 Personne ne m’a vu dans la cour du temple en train de discuter avec quelqu’un. Jamais on ne m’a surpris à soulever le peuple ou à causer du désordre, soit dans les synagogues, soit ailleurs dans la ville.
      13 Je mets ces gens au défi de prouver les accusations qu’ils viennent de porter contre moi.
      14 Certes, je le reconnais volontiers devant toi : pour mes compatriotes, je suis un hérétique car je sers le Dieu de mes ancêtres suivant la Voie qu’ils qualifient de secte. Mais, en fait, je crois à tout ce qui est écrit dans la loi et les prophètes.
      15 J’ai, dans mon cœur, la même espérance en Dieu qu’ils ont eux-mêmes : comme eux, je suis convaincu que les justes et les pécheurs ressusciteront.
      16 C’est pourquoi je m’applique sans cesse à garder une conscience irréprochable, tant devant Dieu que devant les hommes.
      17 Pour la première fois, après plusieurs années d’absence, je suis revenu dans mon pays pour apporter une aide financière à mes concitoyens pauvres et pour présenter des offrandes à Dieu.
      18 J’étais dans la cour du temple en train d’apporter ces offrandes. Je venais d’achever, dans le calme et le recueillement, les cérémonies de la purification, sans provoquer ni attroupement ni désordre.
      19 C’est là que des Juifs de la province d’Asie m’ont trouvé. Ce sont eux qui devraient être ici pour soutenir leurs accusations devant toi, s’ils avaient quelque reproche à me faire.
      20 Ou bien alors, que du moins ceux qui sont présents disent de quel méfait ils m’ont reconnu coupable lorsque j’ai comparu devant le Grand Conseil.
      21 À moins qu’ils estiment être un crime d’avoir lancé à leur barre cette seule parole : « Si je suis mis en accusation, c’est parce que je crois en la résurrection des morts ».
      22 Felix, qui était très bien renseigné au sujet de la doctrine chrétienne, ajourna le procès en disant : — Quand le commandant Lysias viendra ici, j’examinerai votre affaire à fond et je vous ferai connaître ma décision.
      23 Il donna à l’officier responsable de Paul l’ordre de le ramener en prison, mais de le traiter avec égards et de lui laisser quelque liberté. En particulier, on ne devait pas empêcher ses amis de venir le voir et de lui rendre des services.
      24 Quelques jours plus tard, Félix revint, accompagné de sa femme Drusille qui était juive. Il fit appeler Paul et lui demanda de leur parler de la foi en Jésus-Christ.
      25 Mais lorsque Paul en vint à expliquer comment vivre pour être juste aux yeux de Dieu, lorsqu’il parla de la maîtrise de soi et du jugement à venir, Félix, visiblement mal à l’aise, lui dit : — Bon, cela suffira pour aujourd’hui. Tu peux te retirer. Quand j’en aurai le temps, je te ferai rappeler.
      26 Par ailleurs, il nourrissait secrètement l’espoir que Paul lui proposerait de racheter sa liberté par une forte rançon. C’est pourquoi il le faisait venir assez souvent et s’entretenait avec lui.
      27 Deux années s’écoulèrent ainsi, après quoi Félix fut remplacé par Porcius Festus. Mais, pour se ménager les bonnes grâces des Juifs, il partit en laissant Paul sous les verrous.

      Actes 25

      1 Trois jours après son installation à la tête de la province, Festus se rendit de Césarée à Jérusalem.
      2 Dès son arrivée, les chefs des prêtres et les dirigeants de la nation juive se présentèrent devant lui pour porter plainte contre Paul.
      3 Ils lui demandèrent avec instance, comme une faveur spéciale, de transférer l’accusé à Jérusalem. Ils avaient déjà fait leurs plans : sur le trajet, ils voulaient lui dresser une embuscade et le tuer pour se débarrasser de lui.
      4 Mais Festus leur répondit : — Paul est sous bonne garde à Césarée. D’ailleurs, je ne vais pas tarder à y retourner moi-même.
      5 À ce moment-là, ajouta-t-il, il vous suffira de déléguer cette affaire à quelques notables compétents et influents : ils n’auront qu’à m’accompagner, et si cet homme a fait quelque chose d’irrégulier, eh bien ! qu’ils portent plainte contre lui.
      6 Effectivement, après être resté encore une huitaine de jours à Jérusalem, Festus redescendit à Césarée. Dès le lendemain de son retour, il se rendit à son tribunal et y fit comparaître Paul.
      7 À peine celui-ci fut-il entré, qu’il fut entouré de tous côtés par des Juifs venus de Jérusalem et accablé d’accusations nombreuses et graves, sans que ses accusateurs soient en mesure de prouver une seule d’entre elles.
      8 Paul se défendit : — Je n’ai rien fait de répréhensible ; je n’ai ni violé la loi juive, ni profané le temple, ni conspiré contre César.
      9 Mais Festus voulait se concilier la faveur des Juifs, c’est pourquoi il demanda à Paul : — Acceptes-tu de retourner à Jérusalem pour y être jugé sur cette affaire sous ma présidence ? —
      10 Non, répliqua Paul, j’ai été déféré au tribunal impérial devant lequel je me trouve ici, c’est de lui que je relève, c’est donc à lui de me juger. Quant aux Juifs, je ne leur ai fait aucun tort, tu as pu fort bien t’en rendre compte par toi-même.
      11 Si j’ai commis quelque crime passible de la peine de mort, je suis prêt à le payer de ma vie, je ne demande pas de grâce. Si, par contre, les accusations de ces gens-là s’avèrent sans aucun fondement, nul n’a le droit de me livrer, par complaisance, entre leurs mains. J’en appelle à César !
      12 Alors, Festus, après en avoir conféré avec ses assesseurs, décida : — Tu en as appelé à César ; tu comparaîtras donc devant César.
      13 À quelque temps de là, le roi Agrippa et sa sœur Bérénice arrivèrent à Césarée pour présenter leurs hommages à Festus.
      14 Leur visite se prolongea plusieurs jours. Le gouverneur en profita pour exposer au roi l’affaire de Paul : — J’ai là un homme, dit-il, que mon prédécesseur Félix a laissé en prison.
      15 Lors de mon passage à Jérusalem, les chefs des prêtres et les dirigeants de la nation juive sont venus présenter leurs griefs contre lui et ils ont demandé que je le condamne.
      16 Mais je leur ai fait comprendre que les Romains n’ont pas coutume d’agir par complaisance et de livrer un prévenu entre les mains de ses adversaires, avant de l’avoir confronté avec ses accusateurs et de lui avoir donné l’occasion de se défendre contre eux de leurs griefs.
      17 Alors, ils sont venus ici avec moi, et pour ne pas différer l’affaire, j’ai tenu audience dès le lendemain et j’ai fait comparaître cet homme.
      18 Je m’attendais à ce que ses accusateurs le chargent de toutes sortes de crimes graves. Il n’en fut rien.
      19 Au fond, il ne s’agissait que de subtilités relatives à leur religion et, en particulier, d’une controverse au sujet d’un certain Jésus, qui a été mis à mort et dont ce Paul prétend qu’il est en vie.
      20 Personnellement, je me trouve plutôt embarrassé devant un débat de ce genre. C’est pourquoi j’ai demandé à Paul s’il consentait à monter à Jérusalem pour que son affaire y soit jugée.
      21 Mais il a préféré user de son droit d’appel et il a demandé que sa cause soit portée devant le tribunal de l’empereur. J’ai donc ordonné de le garder en prison jusqu’à ce que je puisse le déférer à César.
      22 Alors, Agrippa dit à Festus : — Je serais curieux d’entendre moi-même cet homme. Depuis longtemps, j’aurais aimé le rencontrer. — Rien de plus facile, lui répondit Festus, tu pourras l’entendre dès demain.
      23 Le lendemain, en effet, Agrippa et Bérénice arrivèrent en grand apparat et firent une entrée solennelle dans la salle d’audience, suivis des officiers supérieurs et des notables de la ville. Sur un ordre de Festus, Paul fut introduit. —
      24 Majesté, dit alors le gouverneur en s’adressant au roi Agrippa, et vous tous qui êtes présents, voilà l’homme en question. Aussi bien à Jérusalem qu’ici à Césarée, toute la population juive est venue m’assiéger pour protester contre lui. À grands cris, ils réclamaient sa mort.
      25 Pour ma part, je dois avouer que je n’ai rien trouvé dans son cas qui mérite la peine capitale. Cependant, puisqu’il en a appelé à l’empereur, j’ai décidé de l’y déférer.
      26 Mais franchement, je n’ai rien de bien défini à communiquer à l’empereur sur son cas. C’est pourquoi je vous ai réunis et je le fais comparaître devant vous – et tout spécialement devant toi, roi Agrippa – afin qu’après cette audience, je sois en mesure de rédiger un rapport.
      27 En effet, cela me paraîtrait peu raisonnable de transférer un prisonnier à Rome sans spécifier clairement les accusations portées contre lui.

      Actes 26

      1 Agrippa dit à Paul : — Tu as la parole. Expose-nous ta cause. Paul fit alors un geste de la main et présenta ainsi sa défense : —
      2 Roi Agrippa ! Je m’estime heureux d’avoir aujourd’hui le privilège de me justifier devant toi de toutes les accusations que les Juifs ont portées contre moi.
      3 Tu connais mieux que personne toutes leurs coutumes et leurs controverses. Veuille donc, je te prie, avoir la bonté de m’écouter jusqu’au bout.
      4 Tous mes compatriotes savent quelle a été ma conduite depuis ma prime jeunesse, tant dans mon pays natal qu’à Jérusalem.
      5 Comme ils me connaissent depuis longtemps, ils peuvent témoigner, s’ils le veulent bien, que je me suis conformé aux règles du parti le plus strict de notre religion : celui des pharisiens.
      6 Aujourd’hui encore, si je suis traduit en justice, c’est parce que j’ai proclamé (comme tout bon pharisien) mon espérance dans la promesse que Dieu lui-même a faite à nos ancêtres
      7 et dont nos douze tribus espèrent voir l’accomplissement. C’est cela qu’elles demandent sans relâche à Dieu dans le culte qu’elles lui rendent jour et nuit. Oui, c’est à cause de cette espérance que je suis mis en accusation, et cela par des Juifs, ô roi !
      8 Et pourtant ! trouvez-vous incroyable, vous Juifs, que Dieu puisse ressusciter des morts ?
      9 Il est vrai que, moi aussi, j’ai d’abord cru qu’il fallait m’opposer de toutes mes forces à la cause de Jésus de Nazareth. J’étais convaincu qu’il était de mon devoir de combattre ce nom énergiquement et par tous les moyens.
      10 Et c’est ce que j’ai fait : à Jérusalem, je me suis procuré des pleins pouvoirs auprès des grands-prêtres ; j’ai personnellement fait jeter en prison un grand nombre de disciples de ce Jésus et, lorsqu’il s’agissait de les condamner, j’ai voté leur mise à mort.
      11 Combien de fois ai-je couru d’une synagogue à l’autre pour les dépister et les faire punir ! J’essayais de les amener, par la violence, à renier leur foi : j’étais si fanatique et si furieux contre eux que j’allais les traquer jusqu’au-delà des frontières de mon pays, dans les villes étrangères.
      12 C’est ainsi qu’un jour je me suis rendu à Damas, mandaté par les grands-prêtres et muni de leurs pleins pouvoirs.
      13 J’étais en chemin, il était environ midi lorsque j’ai vu, ô roi, une lumière venant du ciel, plus éclatante que celle du soleil. Elle m’enveloppait de sa clarté, moi et mes compagnons de voyage.
      14 Nous sommes tous tombés à terre, et j’entendis une voix qui me disait en araméen : — Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Il est dangereux de te rebiffer contre ta propre conscience.
      15 Je demandai : — Qui es-tu, Seigneur ? Et le Seigneur dit : — Je suis Jésus, celui que tu persécutes.
      16 Mais lève-toi, tiens-toi debout. Voici pourquoi je te suis apparu : c’est pour t’engager à mon service. Tu témoigneras de ce que tu as vu aujourd’hui. À l’avenir encore, je me manifesterai à toi et tu annonceras ce que tu verras.
      17 Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et des autres peuples et je vais te renvoyer vers eux,
      18 pour que tu leur ouvres les yeux, que tu les ramènes des ténèbres à la lumière, et que tu les délivres du pouvoir de Satan pour les soumettre à celui de Dieu. S’ils placent leur confiance en moi, je pardonnerai leurs péchés et je leur donnerai leur part d’héritage avec tous ceux que Dieu a choisis et qui, par la foi en moi, lui appartiennent.
      19 Après cela, ô roi, pouvais-je refuser d’obéir à cette vision venue du ciel ?
      20 J’ai donc commencé à prêcher : d’abord aux habitants de Damas, puis à ceux de Jérusalem et de toute la Judée, plus tard, enfin, aux autres peuples. Je leur ai annoncé qu’ils devaient changer et se tourner vers Dieu par une réelle conversion, en prouvant par des actes la réalité de leur changement intérieur.
      21 C’est pour cette raison que les Juifs se sont emparés de moi dans la cour du temple et qu’ils ont essayé de me tuer sur place.
      22 Mais jusqu’à ce jour, Dieu m’a protégé, de sorte que je vis toujours et que je peux continuer à rendre mon témoignage aux petites gens comme aux puissants de ce monde. D’ailleurs, j’annonce seulement ce que les prophètes et Moïse ont prédit, rien de plus :
      23 c’est-à-dire que le Christ devait souffrir, qu’il mourrait et ressusciterait le premier d’entre les morts, et pour annoncer la lumière du salut, non seulement au peuple juif, mais aussi aux autres nations.
      24 Paul en était là dans sa défense, quand Festus s’écria à haute voix : — Mon pauvre Paul, tu déraisonnes ! Toutes tes études t’ont fait perdre la tête. —
      25 Non, Excellence, répondit Paul, je ne suis pas fou. Tout ce que je dis est vrai et sensé.
      26 D’ailleurs, Sa Majesté est certainement au courant des faits que j’avance : c’est pourquoi je lui en parle franchement, en toute confiance. Je suis persuadé qu’aucun détail des événements auxquels j’ai fait allusion ne lui a échappé, car ils ne se sont pas accomplis en cachette dans un coin perdu.
      27 Roi Agrippa, crois-tu à ce qu’ont dit les prophètes ? Oui, je suis sûr que tu y crois.
      28 Alors, Agrippa dit à Paul : — Pour un peu, tu me persuaderais de me faire chrétien ! —
      29 Qu’il s’en faille de peu ou de beaucoup, reprit Paul, plaise à Dieu que non seulement toi-même, mais encore tous ceux qui m’écoutent en cet instant, vous en veniez à être comme moi… à l’exception de ces chaînes !
      30 Là-dessus, le roi se leva, le gouverneur et Bérénice ainsi que tous les assistants l’imitèrent.
      31 En se retirant, ils se disaient les uns aux autres : — Cet homme n’a rien fait qui mérite la mort ou la prison.
      32 Et Agrippa dit à Festus : — S’il n’avait pas fait appel à l’empereur, il aurait pu être relâché.
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