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La Bible en 1 an - Jour 120

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    • Nombres 7

      1 Le jour où Moïse eut terminé de dresser la demeure sacrée, il la consacra, avec tout son mobilier, en versant de l’huile d’onction sur elle, puis il consacra de la même façon l’autel et tous ses accessoires.
      2 Alors s’avancèrent les chefs de familles représentant les tribus d’Israël, ceux-là même qui avaient collaboré au recensement.
      3 Ils amenaient comme présents pour le Seigneur six chariots couverts et douze bœufs. Chaque chariot constituait l’offrande commune de deux chefs, et chaque bœuf celle d’un chef. Ils les amenèrent devant la demeure.
      4 Le Seigneur dit à Moïse :
      5 « Accepte leurs présents ! Ces chariots et ces bœufs seront utilisés pour le service de la tente de la rencontre. Tu les confieras aux lévites, en fonction de leurs tâches respectives. »
      6 Moïse accepta donc les chariots et les bœufs, et les répartit entre les lévites :
      7 il donna deux chariots et quatre bœufs aux Guerchonites, pour faciliter leur tâche,
      8 et les quatre chariots et huit bœufs restants aux Merarites, pour faciliter la leur, qu’ils accomplissaient sous la direction d’Itamar, fils du prêtre Aaron.
      9 Il ne remit ni chariots ni bœufs aux Quéhatites, car ils étaient responsables des objets sacrés, et ils devaient les porter sur leurs propres épaules.
      10 Le jour de la consécration de l’autel, les chefs de familles amenèrent également des présents pour sa dédicace.
      11 Mais le Seigneur dit à Moïse : « Que les chefs viennent à tour de rôle, un par jour, offrir leurs présents de dédicace. »
      12 Ils vinrent dans l’ordre suivant : premier jour : Nachon, fils d’Amminadab, de la tribu de Juda ; deuxième jour : Netanéel, fils de Souar, de la tribu d’Issakar ; troisième jour : Éliab, fils de Hélon, de la tribu de Zabulon ; quatrième jour : Élissour, fils de Chedéour, de la tribu de Ruben ; cinquième jour : Cheloumiel, fils de Sourichaddaï, de la tribu de Siméon ; sixième jour : Éliassaf, fils de Déouel, de la tribu de Gad ; septième jour : Élichama, fils d’Ammihoud, de la tribu d’Éfraïm ; huitième jour : Gamliel, fils de Pedassour, de la tribu de Manassé ; neuvième jour : Abidan, fils de Guidoni, de la tribu de Benjamin ; dixième jour : Ahiézer, fils d’Ammichaddaï, de la tribu de Dan ; onzième jour : Paguiel, fils d’Okran, de la tribu d’Asser ; douzième jour : Ahira, fils d’Énan, de la tribu de Neftali. Chacun amena les présents suivants : – un plat en argent, pesant 1 300 grammes, et un bol à aspersion, en argent, pesant 700 grammes, selon l’unité de poids en vigueur au sanctuaire ; ces deux récipients étaient remplis de farine pétrie avec de l’huile, pour une offrande végétale ; – une coupe en or, pesant 100 grammes, remplie de parfum à brûler ; – un taureau, un bélier et un agneau d’un an, destinés à des sacrifices complets ; – un bouc destiné à un sacrifice pour obtenir le pardon ; – deux bœufs, cinq béliers, cinq boucs et cinq agneaux d’un an, destinés à des sacrifices de communion.
      84 Au total, les présents offerts par les chefs de familles d’Israël, à l’occasion de la consécration de l’autel, furent les suivants : douze plats en argent, douze bols à aspersion, en argent, et douze coupes en or.
      85 Chaque plat pesait 1 300 grammes, et chaque bol 700 grammes ; cela représentait en tout 24 kilos d’argent, selon l’unité de poids du sanctuaire.
      86 Chaque coupe en or pesait 100 grammes ; les douze ensemble pesaient donc 1 200 grammes ; elles étaient remplies de parfum à brûler.
      87 Il y avait en outre douze taureaux, douze béliers et douze agneaux d’un an, destinés aux sacrifices complets, avec les offrandes végétales correspondantes, douze boucs destinés aux sacrifices pour le pardon,
      88 vingt-quatre taureaux, soixante béliers, soixante boucs et soixante agneaux d’un an, destinés aux sacrifices de communion. Tels furent les présents offerts pour la dédicace de l’autel, après sa consécration.
      89 Lorsque Moïse entrait dans la tente de la rencontre pour s’entretenir avec le Seigneur, il entendait la voix du Seigneur : elle venait d’un endroit situé entre les deux chérubins, sur le couvercle du coffre contenant le document de l’alliance. Alors il parlait avec lui.

      Psaumes 42

      1 Du répertoire du chef de chorale. Poème chanté appartenant au recueil de la confrérie de Coré.
      2 Comme une biche soupire après l’eau du ruisseau, moi aussi, je soupire après toi, ô Dieu.
      3 J’ai soif de Dieu, du Dieu vivant. Quand pourrai-je enfin entrer dans son temple, pour me présenter devant lui ?
      4 Jour et nuit, j’ai ma ration de larmes, car on me dit sans cesse : « Ton Dieu, que fait-il donc ? »
      5 Je veux laisser revenir les souvenirs émouvants du temps où j’avançais en tête du cortège vers la maison de Dieu, avec la foule en fête, criant à Dieu sa reconnaissance et sa joie.
      6 A quoi bon me désoler, à quoi bon me plaindre de mon sort ? Mieux vaut espérer en Dieu et le louer à nouveau, lui, mon Sauveur et mon Dieu !
      7 Au lieu de me désoler, je veux m’adresser à toi, ô Dieu, de l’endroit où je suis, aux sources du Jourdain, près du Mont-Petit dans les montagnes de l’Hermon.
      8 Tu fais gronder les torrents, un flot en appelle un autre, tu les fais tous déferler sur moi, je suis complètement submergé.
      9 Que le Seigneur me montre sa bonté, le jour, et je passerai la nuit à chanter pour lui, à prier le Dieu qui me fait vivre.
      10 Je veux dire à Dieu, à mon Rocher : « Pourquoi m’as-tu oublié, pourquoi dois-je vivre accablé, pourquoi laisses-tu mes ennemis m’écraser ? »
      11 Me voilà complètement brisé par leurs insultes, quand ils me disent sans cesse : « Ton Dieu, que fait-il donc ? »
      12 A quoi bon me désoler, à quoi bon me plaindre de mon sort ? Mieux vaut espérer en Dieu et le louer à nouveau, lui, mon Sauveur et mon Dieu !

      Psaumes 43

      1 Rends-moi justice, ô Dieu, défends ma cause contre des gens sans pitié. Délivre-moi des menteurs et des malfaiteurs.
      2 Car c’est toi, Dieu, qui es mon protecteur. Pourquoi donc m’as-tu repoussé, pourquoi dois-je vivre accablé, pourquoi laisses-tu mes ennemis m’écraser ?
      3 Fais-moi voir ta lumière et ta vérité. Qu’elles me guident vers la montagne qui t’est consacrée, qu’elles me conduisent à ta demeure !
      4 Alors je m’approcherai de ton autel, de toi-même, Dieu ma plus grande joie. Je prendrai ma guitare pour te louer, toi qui es mon Dieu !
      5 A quoi bon me désoler, à quoi bon me plaindre de mon sort ? Mieux vaut espérer en Dieu et le louer à nouveau, lui, mon Sauveur et mon Dieu.

      Cantique 5

      1 Je viens à mon jardin, petite sœur, ma promise, et j’y fais ma cueillette de myrrhe et d’herbes parfumées ; j’y mange mon rayon de miel, j’y bois mon vin et mon lait. Amis Mangez, mes amis, buvez, enivrez-vous d’amour.
      2 J’étais endormie, mais mon cœur restait en éveil. J’entends quelque chose, c’est mon bien-aimé qui frappe à la porte : Lui « Ouvre-moi, petite sœur, ma tendre amie, ma colombe, mon trésor. J’ai la tête couverte de rosée et les cheveux trempés des gouttes de la nuit.
      3 J’ai retiré mes vêtements, je ne vais pas me rhabiller ! Je viens de me laver les pieds, je ne vais pas les resalir ! »
      4 Mon bien-aimé passe la main par le guichet de la porte, et j’en ai le cœur battant.
      5 D’un bond je suis debout pour ouvrir à mon bien-aimé. J’ai les mains et les doigts couverts d’huile de myrrhe, quand je saisis la poignée du verrou.
      6 J’ouvre à mon bien-aimé ; mais il est parti, il n’est plus là. Je sors à sa poursuite, je le cherche, sans le trouver. J’ai beau l’appeler, pas de réponse.
      7 Mais je rencontre les gardes, qui font leur ronde sur les remparts de la ville. Ils me frappent, ils me blessent, ils m’arrachent mon châle.
      8 Ah, filles de la capitale, je vous le demande instamment : si vous rencontrez mon bien-aimé, que lui raconterez-vous ? Que je suis malade d’amour ! Dites-le-lui.
      9 Dis-nous, la belle, qu’a-t-il de plus qu’un autre, ton amoureux ? Oui, qu’a-t-il de plus qu’un autre pour que tu nous fasses pareille demande ?
      10 Mon bien-aimé est reconnaissable entre dix mille à son teint resplendissant et cuivré.
      11 Sa tête est dorée. Il a les cheveux bouclés comme les fleurs de dattier, et d’un noir de corbeau.
      12 Ses yeux ont le charme des colombes penchées sur un ruisseau ; leur iris semble baigner dans du lait, comme logé dans un écrin.
      13 Ses joues sont une plate-bande odorante, semée d’herbes parfumées. Ses lèvres ont l’éclat de l’anémone où perle une huile de myrrhe.
      14 Ses bras sont comme un anneau d’or chargé de pierreries. Son corps est une plaque d’ivoire couverte de saphirs.
      15 Ses jambes font penser à des colonnes de marbre blanc, solidement plantées sur des socles d’or fin. Il a fière allure, comme les monts du Liban ; il a la distinction des cèdres.
      16 Sa bouche est douce à mon baiser, tout en lui appelle mon désir. Voilà mon bien-aimé, filles de la capitale, voilà mon ami !
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