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La Bible en 1 an - Jour 221

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Versets relatifs

    • Ruth 2

      1 Noémi avait un parent du côté d’Élimélek, son mari. C’était un homme riche et considéré, appelé Booz.
      2 Un jour, Ruth la Moabite dit à Noémi : « Permets-moi d’aller dans un champ ramasser les épis que les moissonneurs laissent derrière eux. Je trouverai bien quelqu’un d’assez bon pour me le permettre. » – « Vas-y, ma fille », répondit Noémi.
      3 Ruth partit donc et alla glaner dans un champ, derrière les moissonneurs. Or il se trouva que ce champ appartenait à Booz, le parent d’Élimélek.
      4 Un peu plus tard, Booz arriva de Bethléem. Il salua les moissonneurs en disant : « Que le Seigneur soit avec vous ! » – « Que le Seigneur te bénisse ! » répondirent-ils.
      5 Booz demanda au chef des moissonneurs : « Qui est cette jeune femme ? »
      6 L’homme répondit : « C’est la jeune Moabite, celle qui a accompagné Noémi à son retour de Moab.
      7 Elle a demandé la permission de glaner derrière les moissonneurs. Elle est venue ce matin et jusqu’à maintenant c’est à peine si elle s’est reposée. »
      8 Alors Booz dit à Ruth : « Écoute mon conseil. Ne va pas glaner dans un autre champ ; reste ici et travaille avec mes servantes.
      9 Observe bien à quel endroit le champ est moissonné et suis les femmes qui glanent. Sache que j’ai ordonné à mes serviteurs de te laisser tranquille. Si tu as soif, va boire de l’eau dans les cruches qu’ils ont remplies. »
      10 Ruth s’inclina jusqu’à terre et dit à Booz : « Pourquoi me traites-tu avec tant de bonté et t’intéresses-tu à moi qui suis une étrangère ? »
      11 Booz répondit : « On m’a raconté comment tu as agi à l’égard de ta belle-mère depuis que ton mari est mort. Je sais que tu as quitté ton père, ta mère et le pays où tu es née pour venir vivre au milieu d’un peuple que tu ne connaissais pas auparavant.
      12 Je souhaite que le Seigneur te récompense pour tout cela. Oui, que le Seigneur, le Dieu d’Israël, te récompense abondamment, puisque c’est sous sa protection que tu es venue te placer. »
      13 Ruth répondit : « Tu es vraiment bon pour moi, maître ! Tu me donnes du courage en me parlant aussi amicalement, alors que je ne suis même pas l’égale d’une de tes servantes. »
      14 A l’heure du repas, Booz dit à Ruth : « Viens manger avec nous ; prends un morceau de pain et trempe-le dans la vinaigrette. » Ruth s’assit donc à côté des moissonneurs et Booz lui offrit des grains rôtis. Elle en mangea autant qu’elle voulut et il lui en resta.
      15 Lorsqu’elle fut retournée glaner, Booz donna cet ordre à ses serviteurs : « Laissez-la glaner également entre les gerbes sans lui adresser de remarques.
      16 Retirez même quelques épis des gerbes et abandonnez-les par terre pour qu’elle les ramasse. Surtout, ne lui reprochez rien. »
      17 Ruth glana dans le champ de Booz jusqu’au soir, puis elle battit les épis qu’elle avait ramassés et elle remplit un grand sac de grains d’orge.
      18 Elle rapporta le sac au bourg et montra à sa belle-mère tout ce qu’elle avait récolté. Elle avait ramené également le reste de son repas et elle le lui donna.
      19 Noémi lui demanda : « Où as-tu glané tout cela aujourd’hui ? Dans quel champ as-tu travaillé ? Que Dieu bénisse celui qui s’est intéressé à toi ! » Ruth raconta alors à sa belle-mère qu’elle avait travaillé dans le champ d’un homme appelé Booz.
      20 Noémi déclara : « Je vois que le Seigneur garde sa bonté pour nous les vivants comme pour ceux qui sont morts. Qu’il bénisse cet homme ! » Elle ajouta : « Booz est notre proche parent, un de ceux qui sont chargés de prendre soin de nous. »
      21 Alors Ruth reprit : « Il m’a même dit de continuer à glaner derrière ses serviteurs jusqu’à ce qu’ils aient terminé toute la moisson. »
      22 Noémi dit à Ruth : « Très bien, ma fille, continue de travailler avec les servantes de Booz. Si tu allais dans le champ de quelqu’un d’autre, tu risquerais d’être maltraitée. »
      23 Ruth alla donc glaner avec les servantes de Booz jusqu’à ce que toute l’orge et tout le blé aient été récoltés. Elle continuait à habiter avec sa belle-mère.

      Jérémie 37

      1 Nabucodonosor, roi de Babylone, avait installé Sédécias, un fils de Josias, comme roi dans le pays de Juda. Sédécias avait donc remplacé Konia, fils de Joaquim.
      2 Mais ni lui, ni ses officiers, ni les citoyens de Juda n’écoutèrent les avertissements que le Seigneur leur adressait par l’intermédiaire du prophète Jérémie.
      3 Cependant le roi Sédécias envoya Youkal, fils de Chélémia, et le prêtre Sefania, fils de Maasséya, auprès du prophète Jérémie pour lui dire : « Nous venons te demander de prier le Seigneur notre Dieu pour nous tous. »
      4 A cette époque, on n’avait pas encore mis Jérémie en prison ; il pouvait donc aller et venir librement.
      5 D’autre part, l’armée du Pharaon était sortie d’Égypte. Les Babyloniens, qui étaient en train d’assiéger la ville de Jérusalem, avaient appris cette nouvelle et s’étaient retirés à quelque distance de Jérusalem.
      6 Alors le prophète Jérémie reçut cette parole du Seigneur :
      7 « Voici ce que déclare le Seigneur, Dieu d’Israël : “Allez dire au roi de Juda, qui vous a envoyés pour me consulter : l’armée du Pharaon, qui était sortie pour vous secourir, a fait demi-tour et rentre chez elle, en Égypte.
      8 Les Babyloniens vont donc revenir attaquer cette ville, ils la prendront et la détruiront par le feu.
      9 Moi, le Seigneur, je le déclare : ne vous faites pas d’illusions en pensant que les Babyloniens sont vraiment partis. Ils ne partiront pas !
      10 Supposez que vous puissiez battre toute l’armée babylonienne qui est en guerre contre vous, supposez qu’il n’en reste que des hommes blessés, eh bien, chacun d’eux se remettrait debout dans sa tente, et ils viendraient tous détruire cette ville par le feu.” »
      11 Pendant que l’armée babylonienne s’était retirée à distance de Jérusalem pour éviter l’armée du Pharaon,
      12 Jérémie voulut sortir de la ville pour aller dans le territoire de Benjamin et y prendre part, avec les gens de son village, à une répartition de terrains communaux.
      13 Il passait par la porte de Benjamin quand il tomba sur le chef des gardes, nommé Iria, fils de Chélémia et petit-fils de Hanania. Iria retint le prophète et lui dit : « Tu es en train de passer aux Babyloniens ! » –
      14 « Ce n’est pas vrai, répondit Jérémie ; je ne passe pas du tout aux Babyloniens. » Mais Iria n’admit pas ces explications, il l’arrêta et le conduisit à ses chefs ;
      15 ceux-ci se mirent en colère contre Jérémie et le frappèrent ; puis ils l’enfermèrent dans la maison du secrétaire d’État Yonatan, dont on avait fait une prison.
      16 Jérémie fut mis dans un cachot voûté. Il y était depuis longtemps,
      17 quand le roi Sédécias envoya quelqu’un le chercher, pour pouvoir l’interroger en secret dans son palais. « As-tu un message du Seigneur pour moi ? lui demanda-t-il. » – « Oui, répondit Jérémie ; le voici : “Tu seras livré au roi de Babylone.” »
      18 Puis Jérémie demanda au roi Sédécias : « Quelle faute ai-je commise contre toi, ou contre tes officiers, ou contre la population de cette ville pour que vous m’ayez fait mettre en prison ?
      19 Et que sont devenus vos prophètes, qui vous prédisaient que le roi de Babylone ne viendrait pas s’attaquer à vous ni à ce pays ? »
      20 Enfin Jérémie ajouta : « Et maintenant, Monseigneur le Roi, je te prie d’écouter la supplication que je te présente : Ne me renvoie pas chez le secrétaire d’État Yonatan, sinon j’y mourrai. »
      21 Alors le roi Sédécias ordonna qu’on mette Jérémie dans la cour de garde et qu’on lui donne chaque jour un pain rond de la rue des Boulangers, tant qu’il y aurait du pain dans la ville. C’est ainsi que Jérémie resta dans la cour de garde.

      Actes 27

      1 Lorsqu’il fut décidé que nous partirions en bateau pour l’Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un officier appelé Julius, capitaine dans le bataillon romain dit « bataillon de l’empereur ».
      2 Nous avons embarqué sur un bateau d’Adramytte, qui devait se diriger vers les ports de la province d’Asie, et nous sommes partis. Aristarque, un Macédonien de Thessalonique, était avec nous.
      3 Le lendemain, nous sommes arrivés à Sidon. Julius, qui traitait Paul avec bienveillance, lui permit d’aller voir ses amis pour recevoir ce dont il avait besoin.
      4 Après être repartis de là, nous avons passé le long de la côte abritée de l’île de Chypre, car les vents nous étaient contraires.
      5 Nous avons traversé la mer près de la Cilicie et de la Pamphylie, et nous sommes arrivés à Myra, en Lycie.
      6 Là, l’officier romain trouva un bateau d’Alexandrie qui se rendait en Italie et il nous y fit embarquer.
      7 Pendant plusieurs jours, nous avons navigué lentement et c’est avec beaucoup de peine que nous sommes parvenus devant la ville de Cnide. Comme le vent nous empêchait d’aller plus loin dans cette direction, nous avons passé par le cap Salmoné pour nous trouver du côté abrité de l’île de Crète.
      8 Nous avons avancé avec beaucoup de peine le long de la côte et sommes arrivés à un endroit appelé Bons-Ports, près de la ville de Lasée.
      9 Nous avions perdu beaucoup de temps et il devenait dangereux de continuer à naviguer, car le jour du jeûne d’automne était déjà passé. C’est pourquoi Paul donna cet avertissement aux marins :
      10 « Je vois, mes amis, que ce voyage sera dangereux : le bateau et sa cargaison vont subir de graves dommages et, de plus, nous risquons nous-mêmes d’y perdre la vie. »
      11 Mais l’officier romain avait plus confiance dans l’opinion du capitaine et du propriétaire du bateau que dans les paroles de Paul.
      12 En outre, le port ne convenait pas pour y passer l’hiver ; c’est pourquoi, la plupart des hommes à bord décidèrent de partir de là : ils voulaient atteindre, si possible, Phénix, un port de Crète tourné vers le sud-ouest et le nord-ouest, pour y passer l’hiver.
      13 Un léger vent du sud se mit à souffler, et ils pensèrent qu’ils pouvaient réaliser leur projet. Ils levèrent l’ancre et avancèrent en se tenant très près de la côte de Crète.
      14 Mais bientôt, un vent violent appelé « vent du nord-est » descendit des montagnes de l’île.
      15 Le bateau fut entraîné : il était impossible de le maintenir contre le vent et nous avons dû nous laisser emporter.
      16 Nous avons passé au sud d’une petite île appelée Cauda, qui nous abritait un peu. Nous avons réussi alors, avec beaucoup de peine, à nous rendre maîtres du canot de sauvetage.
      17 Les marins l’ont remonté à bord, puis ils ont attaché des cordes de secours autour du bateau. Comme ils craignaient d’aller se jeter sur les bancs de sable des côtes de Libye, ils lâchèrent l’ancre flottante et se laissèrent ainsi entraîner par le vent.
      18 La tempête continuait à nous secouer violemment de sorte que, le lendemain, ils se mirent à jeter la cargaison à la mer
      19 et, le jour suivant, ils lancèrent de leurs propres mains l’équipement du bateau par-dessus bord.
      20 Pendant plusieurs jours, on ne put voir ni le soleil, ni les étoiles, et la tempête restait toujours aussi forte. Nous avons finalement perdu tout espoir d’être sauvés.
      21 Ceux qui étaient à bord n’avaient rien mangé depuis longtemps. Alors Paul, debout devant eux, leur dit : « Vous auriez dû m’écouter, mes amis, et ne pas quitter la Crète ; nous aurions ainsi évité ces dommages et ces pertes.
      22 Mais maintenant, je vous invite à prendre courage, car aucun de vous ne perdra la vie ; le bateau seul sera perdu.
      23 Cette nuit, en effet, un ange du Dieu à qui j’appartiens et que je sers s’est approché de moi
      24 et m’a dit : “N’aie pas peur, Paul ! Il faut que tu comparaisses devant l’empereur, et Dieu, dans sa bonté pour toi, t’accorde la vie de tous ceux qui naviguent avec toi.”
      25 Courage donc, mes amis, car j’ai confiance en Dieu : il en sera comme il m’a dit.
      26 Mais nous devons échouer sur la côte d’une île. »
      27 C’était la quatorzième nuit que la tempête nous emportait sur la mer Méditerranée. Vers minuit, les marins eurent l’impression que nous approchions d’une terre.
      28 Ils lancèrent une sonde et trouvèrent que l’eau était profonde de trente-sept mètres ; un peu plus loin, ils lancèrent de nouveau la sonde et trouvèrent vingt-huit mètres de profondeur.
      29 Ils craignaient que notre bateau ne heurte des rochers, c’est pourquoi ils jetèrent quatre ancres à l’arrière et attendirent avec impatience la venue du jour.
      30 Cependant, les marins cherchaient à s’échapper du navire ; ils firent descendre à l’eau le canot de sauvetage et prétendirent qu’ils allaient fixer des ancres à l’avant du bateau.
      31 Paul dit à l’officier romain et aux soldats : « Si ces gens ne restent pas sur le bateau, vous ne pouvez pas être sauvés. »
      32 Alors les soldats coupèrent les cordes qui retenaient le canot et le laissèrent aller.
      33 Avant la venue du jour, Paul les invita tous à prendre de la nourriture, en disant : « Voici aujourd’hui quatorze jours que dure votre attente angoissée et que vous restez sans rien manger.
      34 Je vous invite donc à prendre de la nourriture, car vous en avez besoin pour être sauvés. Aucun de vous ne perdra même un cheveu de sa tête. »
      35 Sur ces mots, Paul prit du pain et remercia Dieu devant tous, puis il le rompit et se mit à manger.
      36 Tous reprirent alors courage et mangèrent aussi.
      37 Nous étions, sur le bateau, deux cent soixante-seize personnes en tout.
      38 Quand chacun eut mangé à sa faim, on jeta le blé à la mer pour alléger le bateau.
      39 Lorsque le jour parut, les marins ne reconnurent pas la terre, mais ils aperçurent une baie avec une plage et décidèrent d’y faire aborder le bateau, si possible.
      40 Ils détachèrent les ancres et les laissèrent partir dans la mer ; ils délièrent en même temps les cordes des rames qui servaient de gouvernail. Puis ils hissèrent une voile à l’avant du bateau pour que le vent le pousse et ils se dirigèrent vers la plage.
      41 Mais ils arrivèrent contre un banc de sable entre deux courants où le bateau resta pris. La partie avant du bateau était enfoncée dans le sable et ne pouvait pas bouger, tandis que la partie arrière était brisée par la violence des vagues.
      42 Les soldats voulaient tuer les prisonniers, afin qu’aucun d’eux ne s’échappe à la nage.
      43 Mais l’officier romain, qui désirait sauver Paul, les empêcha d’exécuter leur projet. Il ordonna à ceux qui savaient nager de sauter à l’eau les premiers pour gagner la terre ;
      44 les autres devaient les suivre en se tenant à des planches ou à des débris du bateau. Et c’est ainsi que tous parvinrent à terre sains et saufs.
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