Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

La Bible en 1 an - Jour 222

Sommaire

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Ruth 3

      1 Un jour, Noémi dit à Ruth : « Ma fille, je dois trouver une solution pour que tu sois heureuse.
      2 Tu le sais, ce Booz qui t’a laissée travailler avec ses servantes, il est de notre famille. Ce soir, il va battre l’orge sur la place où on bat les grains.
      3 Lave-toi, parfume-toi, mets ta belle robe et va là-bas. Mais ne te montre pas avant la fin de son repas.
      4 Quand Booz se couchera, regarde l’endroit où il est. Ensuite, approche-toi, écarte un peu sa couverture et couche-toi à ses pieds. Après cela, il te dira lui-même ce que tu dois faire. »
      5 Ruth répond : « Je ferai tout ce que tu m’as dit. »
      6 Ruth va à l’endroit où Booz bat les grains. Elle fait exactement ce que Noémi lui a dit.
      7 Booz mange et boit et il est de très bonne humeur. Il vient se coucher au bord du tas de grains. Alors Ruth s’approche doucement, elle écarte la couverture et se couche à ses pieds.
      8 Au milieu de la nuit, Booz se réveille brusquement. Il se retourne et voit une femme couchée à ses pieds.
      9 Il dit : « Qui est-ce ? » Elle répond : « C’est moi, Ruth. Protège-moi. En effet, tu es un proche parent et tu as la responsabilité de prendre soin de moi. »
      10 Booz répond : « Que le SEIGNEUR te bénisse ! Tu n’as pas cherché l’amour des jeunes gens, riches ou pauvres. Ce que tu viens de faire prouve ta fidélité à la famille de ta belle-mère. Tu as agi encore mieux qu’avant.
      11 Maintenant, Ruth, n’aie pas peur. Je ferai pour toi tout ce que tu voudras. En effet, tu es une femme de valeur, tout le monde le sait.
      12 Oui, c’est vrai, je dois prendre soin de toi. Mais il y a quelqu’un d’autre qui est encore plus proche de ta famille que moi.
      13 Reste ici cette nuit. Demain matin, nous verrons s’il veut remplir son devoir envers toi. Si oui, il doit le faire. S’il ne veut pas, je te promets ceci devant le SEIGNEUR : je ferai pour toi ce que je dois faire. Dors jusqu’à demain matin ! »
      14 Ruth reste couchée aux pieds de Booz jusqu’au matin. Puis elle se lève très tôt, avant la lumière du jour, pour qu’on ne la reconnaisse pas. En effet, Booz pensait : on ne doit pas savoir que cette femme est venue ici.
      15 Il dit à Ruth : « Enlève ton pagne de dessus et tiens-le bien. » Elle le tient bien. Alors Booz mesure à peu près 15 kilos d’orge et il les met dans le pagne de Ruth. Ensuite, il revient au village.
      16 Ruth va chez sa belle-mère. Noémi lui demande : « Cela s’est bien passé, ma fille ? » Ruth lui raconte tout ce que Booz a fait pour elle.
      17 Elle ajoute : « Il m’a donné ces 15 kilos d’orge en me disant : “Tu ne dois pas rentrer chez ta belle-mère les mains vides.” »
      18 Noémi dit : « Attends ici, ma fille. Tu vas voir comment les choses vont finir. En effet, cet homme-là ne sera pas satisfait s’il ne règle pas cette affaire aujourd’hui. »

      Ruth 4

      1 Booz va à l’entrée du village, là où on discute des affaires. Il s’assoit. Booz a parlé à Ruth d’un parent très proche d’Élimélek. Cet homme passe justement par là. Booz lui dit : « Arrête-toi ! Viens t’asseoir ici. » L’homme s’arrête et il s’assoit.
      2 Alors Booz demande à dix anciens du village de s’asseoir avec eux. Ils s’assoient.
      3 Ensuite, Booz dit à cet autre parent d’Élimélek : « Noémi est revenue du pays de Moab, tu le sais. Eh bien, elle va vendre le champ qui était à notre frère Élimélek.
      4 Moi, j’ai décidé de t’en parler devant les anciens et devant tous ceux qui sont là. Si tu veux racheter ce champ, rachète-le. Si tu ne veux pas, dis-le-moi. En effet, c’est toi le premier qui as le droit de racheter, et moi le deuxième. » L’homme dit : « Je veux bien racheter le champ. »
      5 Booz dit : « Si tu achètes le champ à Noémi, tu dois aussi prendre pour femme Ruth la Moabite. Ainsi, la propriété du champ restera dans la famille de son mari mort. »
      6 L’homme répond : « Dans ce cas, je ne peux pas. En effet, je risque de diminuer ma propriété. Donc, prends pour toi le droit de racheter. Moi, je ne peux pas. »
      7 Autrefois, en Israël, quand des hommes achetaient ou échangeaient quelque chose, l’un des deux enlevait sa sandale et il la donnait à l’autre. Ce geste montrait que l’affaire était réglée.
      8 Donc, celui qui a le droit de racheter le champ d’Élimélek dit à Booz : « Achète le champ. » Puis il enlève sa sandale.
      9 Booz dit aux anciens et à tous ceux qui sont là : « Aujourd’hui, vous êtes témoins : j’achète à Noémi tout ce qui était à Élimélek et à ses fils Kilion et Malon.
      10 Je prends aussi pour femme Ruth la Moabite, qui était la femme de Malon. Ainsi la propriété du champ restera dans la famille du mort. De plus, il aura des enfants. Ainsi, son nom gardera sa place parmi ses frères, et sa famille sera présente quand les affaires de son village seront discutées. Aujourd’hui, vous êtes témoins de cela. »
      11 Les anciens et tous ceux qui sont là répondent : « Oui, nous en sommes témoins ! Que le SEIGNEUR bénisse la femme qui entre dans ta maison ! Qu’elle ressemble à Rachel et à Léa, les deux femmes de Jacob qui ont donné naissance au peuple d’Israël ! Que tu sois riche dans le clan d’Éfrata, et que ton nom soit célèbre à Bethléem !
      12 Que le SEIGNEUR te donne beaucoup d’enfants avec cette jeune femme ! Et que ta famille soit comme celle de Pérès, le fils de Juda et de Tamar ! »
      13 Alors Booz se marie avec Ruth, et Ruth devient sa femme. Il s’unit à elle. Le SEIGNEUR la bénit, elle devient enceinte et elle met au monde un garçon.
      14 C’est pourquoi les femmes disent à Noémi : « Remercions le SEIGNEUR ! Aujourd’hui, il te donne quelqu’un qui pourra prendre soin de toi. Ton petit-fils deviendra célèbre en Israël.
      15 Il va te faire revivre et te soutenir dans ta vieillesse. Ta belle-fille vaut mieux pour toi que sept fils, car elle t’aime et t’a donné ce petit-fils. »
      16 Alors Noémi prend l’enfant et elle le serre sur son cœur. Puis c’est elle qui s’occupe de lui.
      17 Les voisines disent : « Noémi a un fils ! » Elles lui donnent le nom d’Obed. Obed est le père de Jessé, qui est le père de David.
      18 Voici la liste des ancêtres de David, à partir de Pérès : Pérès est le père de Hesron.
      19 Hesron est le père de Ram. Ram est le père d’Amminadab.
      20 Amminadab est le père de Nachon. Nachon est le père de Salman.
      21 Salman est le père de Booz. Booz est le père d’Obed.
      22 Obed est le père de Jessé, et Jessé est le père de David.

      Jérémie 38

      1 Chefatia, fils de Matan, Guedalia, fils de Pachehour, Youkal, fils de Chélémia, et Pachehour, fils de Malkia, ont entendu les paroles que Jérémie répétait à tout le monde :
      2 « Voici un message du SEIGNEUR : “Celui qui restera dans cette ville mourra par la guerre, la famine ou la peste. Mais celui qui sortira pour se rendre aux Babyloniens restera en vie. Il aura gagné au moins cela.”
      3 « Voici encore un message du SEIGNEUR : “Je livrerai cette ville à l’armée du roi de Babylone, c’est sûr, et celui-ci la prendra.” »
      4 Ensuite, les officiers ont dit au roi Sédécias : « Il faut faire mourir Jérémie ! Ce qu’il dit décourage complètement les soldats et la population qui restent dans la ville. Ce n’est pas le bonheur du peuple que cet homme recherche, c’est son malheur. »
      5 Alors le roi Sédécias leur a répondu : « Faites de lui ce que vous voulez. Je suis le roi, pourtant je ne peux rien contre vous. »
      6 Les officiers ont donc pris Jérémie et ils l’ont jeté dans la citerne de Malkia, le fils du roi. Ils ont descendu Jérémie avec des cordes. Dans cette citerne qui se trouvait dans la cour de garde, il n’y avait pas d’eau, mais seulement de la boue. Et Jérémie s’est enfoncé dans la boue.
      7 Or, un Éthiopien, appelé Ébed-Mélek, était un serviteur important dans la maison du roi. Il a appris qu’on avait mis Jérémie dans la citerne. Le roi se tenait à la porte de Benjamin.
      8 Alors Ébed-Mélek est allé trouver le roi et lui a dit :
      9 « Mon seigneur le roi, tout ce que ces hommes ont fait au prophète Jérémie, c’est mal ! Ils l’ont jeté dans une citerne. Il va mourir de faim dans son trou, parce qu’il n’y a plus de nourriture dans la ville. »
      10 Alors le roi a donné cet ordre à Ébed-Mélek, l’Éthiopien : « Prends 30 hommes avec toi et fais remonter Jérémie de la citerne avant qu’il meure ! »
      11 Ébed-Mélek a emmené les 30 hommes. Il est allé au palais du roi, dans une pièce située sous la salle du trésor. Là, il a pris quelques vieux chiffons. Il les a fait descendre pour Jérémie dans la citerne, avec des cordes.
      12 Puis Ébed-Mélek, l’Éthiopien, a dit à Jérémie : « Mets ces vieux chiffons sous tes bras, et les cordes par-dessous. » C’est ce que Jérémie a fait.
      13 Alors les hommes ont tiré sur les cordes et ils l’ont fait remonter de la citerne. Après cela, Jérémie est resté dans la cour de garde.
      14 Le roi Sédécias a envoyé quelqu’un chercher le prophète Jérémie et il l’a fait venir à la troisième entrée du temple. Il lui a dit : « Je veux te poser une question, ne me cache rien. »
      15 Jérémie a répondu à Sédécias : « Si je te dis la vérité, tu vas me faire mourir. Et si je te donne un conseil, tu ne le suivras pas. »
      16 Mais le roi Sédécias a fait en secret ce serment à Jérémie : « Par le SEIGNEUR vivant qui nous a donné la vie, je le jure : je ne te ferai pas mourir. Et je ne te livrerai pas aux gens qui veulent ta mort. »
      17 Alors Jérémie a dit à Sédécias : « Voici les paroles du SEIGNEUR, Dieu de l’univers et Dieu d’Israël : “Si tu sors pour te rendre aux officiers du roi de Babylone, tu sauveras ta vie et celle de ta famille. Et Jérusalem ne sera pas brûlée.
      18 Mais si tu ne sors pas pour te rendre aux officiers du roi de Babylone, Jérusalem sera livrée aux Babyloniens. Ils y mettront le feu et toi, tu ne leur échapperas pas.” »
      19 Le roi Sédécias a répondu à Jérémie : « J’ai peur des Judéens qui sont passés aux Babyloniens. Je risque d’être livré à eux, et ils se moqueront de moi. »
      20 Mais Jérémie lui a dit : « Non, tu ne seras pas livré à eux. Écoute donc ce que je te dis de la part du SEIGNEUR. Alors tout ira bien pour toi, et tu resteras en vie.
      21 Mais si tu refuses de te rendre, voici ce que le SEIGNEUR m’a fait connaître :
      22 toutes les femmes restées dans ton palais, on les conduira devant les officiers du roi de Babylone. Et elles chanteront en parlant de toi : “Ils t’ont vraiment bien trompé, tes meilleurs amis ! Tes pieds s’enfoncent dans la boue, et eux, ils t’abandonnent !”
      23 Oui, on conduira tes femmes et tes fils devant les Babyloniens, et toi, tu ne leur échapperas pas non plus. Le roi de Babylone te fera prisonnier et il mettra le feu à Jérusalem. »
      24 Alors Sédécias a répondu à Jérémie : « Personne ne doit être au courant de ce que nous venons de dire, ainsi tu ne mourras pas.
      25 Les officiers vont sûrement apprendre que j’ai parlé avec toi. Ils vont te demander ce que nous avons dit ensemble. Ils vont te dire : “Si tu ne nous caches rien, nous ne te tuerons pas.”
      26 Tu leur répondras : “J’ai demandé avec force au roi de ne pas me renvoyer chez Yonatan. Sinon je mourrai.” »
      27 Tous les officiers sont en effet venus trouver Jérémie et ils lui ont posé des questions. Mais Jérémie leur a répondu comme le roi l’avait commandé. Alors, ils l’ont laissé tranquille, parce que personne n’avait entendu leur conversation.
      28 Jérémie est donc resté dans la cour de garde jusqu’au jour où Jérusalem a été prise. Voici ce qui est arrivé quand Jérusalem a été prise :

      Actes 28

      1 Après cela, nous apprenons que l’île s’appelle Malte.
      2 Ses habitants sont très bons pour nous. Ils allument un grand feu et ils nous accueillent tous autour du feu. En effet, la pluie s’est mise à tomber et il fait froid.
      3 Paul ramasse un tas de bois mort et il le jette dans le feu. Mais une vipère sort du tas de bois à cause de la chaleur et elle s’accroche à la main de Paul.
      4 Quand les habitants de l’île voient la vipère pendue à la main de Paul, ils se disent entre eux : « Cet homme est sûrement un assassin. Il a échappé à la mer, mais la justice de Dieu ne lui permet pas de vivre. »
      5 Alors Paul secoue la vipère dans le feu et il ne souffre pas du tout.
      6 Les autres croient que Paul va enfler ou qu’il va tomber mort tout à coup. Ils attendent longtemps, mais ils voient que rien de mal n’arrive à Paul. Alors ils changent d’avis et ils disent : « C’est un dieu ! »
      7 Près de cet endroit, il y a la propriété du principal notable de l’île. Il s’appelle Publius. Pendant trois jours, il nous reçoit et il nous loge comme des amis dans sa maison.
      8 Le père de Publius est couché, il a de la fièvre et la dysenterie. Paul va le voir, il prie en posant la main sur sa tête et il le guérit.
      9 Alors tous les autres malades de l’île viennent voir Paul, et celui-ci les guérit.
      10 Les gens nous montrent beaucoup de respect. Quand nous partons, ils nous donnent tout ce qu’il faut pour le voyage.
      11 Au bout de trois mois, nous partons sur un bateau d’Alexandrie. C’est le « Castor et Pollux » qui avait passé la mauvaise saison dans l’île.
      12 Nous arrivons à Syracuse et nous y restons trois jours.
      13 De là, nous suivons la côte et nous allons à Reggio. Le jour suivant, le vent du sud se met à souffler, et en deux jours, nous arrivons à Pouzzoles.
      14 Dans cette ville, nous trouvons des chrétiens qui nous invitent à passer une semaine chez eux. Et voici comment nous allons à Rome.
      15 Les chrétiens de Rome ont appris que nous arrivions. Ils viennent à notre rencontre jusqu’au Marché d’Appius et aux Trois-Auberges. Quand Paul les voit, il remercie Dieu et reprend courage.
      16 Nous arrivons à Rome. On permet à Paul d’habiter dans un logement privé avec un soldat pour le garder.
      17 Trois jours plus tard, Paul invite les notables juifs de Rome à venir chez lui. Quand ils sont réunis, il leur dit : « Frères, je n’ai rien fait contre notre peuple, ni contre les coutumes de nos ancêtres. Pourtant, on m’a arrêté à Jérusalem et on m’a livré aux Romains.
      18 Ceux-ci m’ont interrogé et ils voulaient me libérer. En effet, ils n’avaient pas trouvé de raison pour me condamner à mort.
      19 Mais les chefs juifs n’étaient pas d’accord, et j’ai été obligé de faire appel à l’empereur romain. Pourtant, je ne veux pas accuser mon peuple.
      20 Voilà pourquoi j’ai demandé à vous voir et à parler avec vous. Vous savez ce que le peuple d’Israël espère, oui, c’est à cause de cela que je suis attaché avec ces chaînes. »
      21 Les notables juifs lui répondent : « Nous n’avons reçu aucune lettre de Judée à ton sujet. Aucun de nos frères n’est venu ici pour faire un rapport ou pour nous dire du mal de toi.
      22 Mais nous voulons que tu nous expliques toi-même ce que tu penses. En effet, nous le savons, partout il y a des gens qui disent du mal de ton groupe. »
      23 Les notables juifs choisissent avec Paul un jour pour le rencontrer, et ce jour-là, ils reviennent le voir chez lui. Cette fois, ils sont plus nombreux. Depuis le matin jusqu’au soir, Paul leur donne des explications et il leur annonce avec force le Royaume de Dieu. Il leur parle de Jésus et il essaie de les persuader. Pour cela, il se sert de la loi de Moïse et des livres des prophètes.
      24 Les uns sont persuadés par ce qu’il dit, mais les autres refusent de croire.
      25 Au moment de partir, ils ne sont toujours pas d’accord entre eux. Paul leur dit seulement : « L’Esprit Saint avait raison quand il a dit à vos ancêtres, par la bouche du prophète Ésaïe :
      26 “Va voir ce peuple et dis-lui : Vous entendrez bien, mais vous ne comprendrez pas. Vous regarderez bien, mais vous ne verrez pas.
      27 Oui, ce peuple ne veut pas comprendre. Ils ont bouché leurs oreilles, ils ont fermé leurs yeux. Ils n’ont pas voulu voir avec leurs yeux, entendre avec leurs oreilles, comprendre avec leur cœur. Ils n’ont pas voulu se tourner vers moi. C’est pourquoi je n’ai pas pu les guérir.” »
      28 Paul dit encore : « Vous devez savoir une chose : Dieu a envoyé la Bonne Nouvelle du salut à ceux qui ne sont pas juifs. Eux, ils l’écouteront ! »
      29 []
      30 Paul reste encore deux années entières dans le logement qu’il a loué, et il reçoit tous ceux qui viennent le voir.
      31 Il annonce le Royaume de Dieu et dans son enseignement, il présente le Seigneur Jésus-Christ avec beaucoup d’assurance et en toute liberté.
    • Ruth 3

      1

      Les directives que Naomi donna à Ruth. (Ruth 3:1-5)
      Boaz reconnaît qu'il a le droit de rachat sur Ruth. (Ruth 3:6-13)
      Le retour de Ruth auprès de sa belle-mère. (Ruth 3:14-18)

      Le mariage devrait être source de paix et de quiétude, comme cela devrait être le cas pour chaque institution ici-bas ; cette union devrait consolider les affections et affermir les liens entre les conjoints, tout au long de la vie. En conséquence, cet engagement devrait être pris avec le plus grand sérieux, il devrait être soumis à la prière, pour discerner l'orientation à prendre, le tout pour la gloire de Dieu, en considération de Ses préceptes. Les parents devraient soigneusement conseiller leurs enfants au sujet de cette importante décision, afin que tout puisse concourir à leur bien.

      Rappelons-nous bien ce principe : ce qui peut nous convenir au mieux, est ce qui procure le meilleur état de notre âme ! La démarche que suggéra Naomi à Ruth, peut nous paraître quelque peu étrange : elle était en fait basée sur les usages et les lois pratiqués en Israël à cette époque. S'il y avait eu la moindre trace d'hypocrisie dans cet acte, Naomi ne l'aurait pas suggéré.

      Cette directive donnée par cette dernière, qui n'était en fait qu'une prosélyte au Judaïsme, était tout à fait convenable, aux yeux de Boaz. Il était normal, pour les veuves de cette époque, de donner cette directive aux jeunes, \\#De 25:5-10\\.

      Mais nous n'avons pas de trace dans la Parole, d'une telle procédure relatée dans d'autres époques ; elle ne s'applique pas de nos jours.

      S'il y avait eu une quelconque méchanceté inhérente à cette démarche, Ruth par ses qualités de vertu et de raison, ne l'aurait pas entreprise.

      6 Ce qui pourrait paraître incorrect voire déplacé à certaines époques ou dans certains pays, peut être tout à fait normal en d'autres temps ou pour des nations différentes. Étant juge en Israël, Boaz se devait de conseiller à Ruth ce qu'elle devait faire : il possédait le droit de rachat, et connaissait les différentes procédures relatives au mariage, en vigueur en Israël. La conduite de Boaz est digne de tout éloge. Il n'a pas essayé de tirer quelque avantage de Ruth ; il ne l'a pas dédaignée, en tant que pauvre ou étrangère destituée, ni soupçonnée de mauvaises intentions. Il l'a considérée en tant que femme vertueuse, il lui a même fait une promesse au sujet de son rachat, et l'a renvoyée dès le lendemain matin, avec un présent pour sa belle-mère. Sa promesse était conditionnelle : bien qu'étant de la même parenté que Ruth, il ne disposait pas toutefois de la priorité absolue sur son rachat.
      14 Ruth a fait tout ce qui était en son pouvoir pour approcher Boaz, elle devait maintenant attendre patiemment le cours des événements. Boaz, ayant commencé de s'enquérir au sujet de Ruth, voulait maintenant veiller au bon déroulement de la suite des faits, la concernant. De nombreuses raisons motivent les véritables croyants à se confier en Dieu : ce Dernier a en effet promis de prendre soin de Ses enfants. Notre force réside dans le calme et la tranquillité, Esa 30:7.

      Ce récit nous encourage à nous placer, « par la foi », aux pieds du Seigneur : Il est notre « Parent » le plus proche, Il a pris sur Lui notre nature pécheresse. Il a le « droit de rachat » sur notre personne. Sachons recevoir Ses directives : « Seigneur que veux-tu que je fasse » ? Actes 9:6. Il ne nous rejettera jamais si nous Lui posons ce genre de question.

      Désirons ardemment le même « Appui céleste » pour nos enfants ou nos amis, afin que le Seigneur puisse exercer Sa bonté envers eux !

      Ruth 4

      1

      Le parent le plus proche de Ruth refuse de racheter cette dernière. (Ruth 4:1-8)
      Boaz épouse Ruth. (Ruth 4:9-12)
      Naissance d'Obed. (Ruth 4:13-22)

      Cette coutume de rachat d'héritage dépendait des lois données jadis par Moïse et sans aucun doute, l'affaire mentionnée dans ce texte était tout à fait légale. Quand l'homme de la parenté de Ruth entendit les conditions énoncées pour ce rachat, il refusa d'accepter.

      Certains, dans le même style de pensée, reculent devant la grande Rédemption qui nous est proposée ; ils ne sont pas disposés à embrasser la piété ; ils n'en ont entendu que du bien, et n'ont rien contre elle ; ils sont même prêts à témoigner en sa faveur, mais ils ne désirent pas marcher avec Jésus, être « en » Lui, par crainte de perdre les intérêts qu'ils ont en ce monde.

      Ce droit de rachat fut donc accordé à Boaz. L'équité et la transparence dans tout ce qui concerne les transactions commerciales, doivent être à la base des règles de conduite de chacun :les Israélites de cette époque se devaient de les observer, sans ruse. L'honnêteté est finalement la meilleure des politiques !

      9 Les hommes sont souvent prêts à saisir toutes les opportunités pour améliorer leur situation, mais par contre, bien peu connaissent la valeur de la piété. Il en est ainsi pour les soi-disant « sages » de ce monde, que le Seigneur rend responsables de leur folie. Ils ne se soucient pas de leur âme, mais rejettent le salut de Christ, par crainte de perdre leurs biens, leur « héritage » terrestre.

      Mais Dieu honora Boaz, en le plaçant dans la lignée généalogique du Messie, alors que celui qui avait priorité sur ce droit de rachat, eut peur de s'endetter en épousant Ruth, négligeant ainsi la transmission de sa postérité, ce qui lui fit perdre son nom à jamais.

      13 Ruth enfanta un fils, qui, par sa descendance, permettra à des milliers de personnes de venir à Dieu ; ce fils, étant de la lignée ancestrale de Christ, fut en effet un des « éléments » du bonheur qui apportera plus tard, le Salut. Cela s'adresse à nous, les « Gentils », aussi bien qu'à ceux qui sont de descendance juive.

      Ruth était un témoignage du Dieu vivant auprès du monde païen ; le Seigneur signifiait ainsi qu'Il n'oubliait personne dans Son plan de la Rédemption : au temps marqué, le Père et Ses élus, ne feront « qu'un » dans le salut.

      Le mariage de Boaz et Ruth se fit sous l'égide de la prière et la naissance de leur enfant fut l'objet de diverses louanges. Quel dommage que cet exemple de piété ne soit pas davantage suivi aujourd'hui, parmi les chrétiens, ce qui éviterait, lors des mariages, de tomber dans le formalisme de ce monde !

      Nous voyons dans ce texte l'origine filiale de David, au travers de Ruth. Plus tard, viendra le moment, où Bethlehem, en Juda, révélera une Merveille bien plus considérable que celle de la naissance du fils de Ruth : celle d'un bébé qui sera banni parmi les siens, ébranlant l'autorité romaine de cette époque, lors de l'arrivée des mages d'Orient, qui déposèrent devant Lui, à Ses pieds, de l'or, de l'encens et de la myrrhe. Son Nom durera éternellement et toutes les nations Le béniront.

      Que par cette merveilleuse Descendance, Christ, tous les habitants de la terre soient bénis !

      Jérémie 38

      1

      Jérémie est jeté dans un cachot, dont il est ensuite délivré par un Éthiopien. (Jérémie 38:1-13)
      Il conseille au roi de se rendre aux Chaldéens. (Jérémie 38:14-28)

      Jérémie continua à prêcher ouvertement. Les princes redoublèrent alors de méchanceté envers lui.

      Il est fréquent de voir des impies considérer les serviteurs de Dieu, comme leurs ennemis, ce qui révèle bien la dureté de ces pécheurs. Ainsi, Jérémie fut jeté dans un cachot. De nombreux et fidèles « témoins » de Dieu ont été ainsi mis en prison, hélas, dans le plus grand secret.

      Ébed-Mélec était d’origine éthiopienne ; malgré cela, il parla au roi en toute intégrité, lui rapportant le mal commis par ces hommes, envers Jérémie.

      Remarquez comment Dieu peut susciter aux Siens des « amis », capables de les délivrer éventuellement de la détresse ! Des ordres furent donnés par Ébed-Mélec, pour sortir le prophète de cette fosse. Que ceci puisse nous encourager à être zélés pour l’œuvre du Seigneur ! Ce régime de faveur, à l’égard de Jérémie, révélait en fait une certaine affection, de la part de son libérateur.

      Y-a-t-il une différence de comportement constatable, entre les faits relatés par ce texte, et la conduite des hommes d’aujourd’hui ? En fait, les enfants de Dieu cherchent toujours à se conformer à l’exemple de leur Sauveur, alors que les enfants de Satan cherchent sans cesse à suivre leur maître redoutable...

      14 Jérémie n'était pas tenté de répéter à Sédécias, ces avertissements solennels : il craignait d’une part, de se mettre en danger lui-même, et d’autre part de culpabiliser davantage le roi ; le prophète, dans cette crainte, se soumit néanmoins à la volonté divine.

      Moins les hommes craignent Dieu, plus ils appréhendent leurs semblables ; ils n’osent alors même plus agir selon leur conscience ou leur opinion personnelle !

      Actes 28

      1

      Paul est reçu avec bienveillance à Malte. (Actes 28:1-10)
      Il arrive à Rome. (Actes 28:11-16)
      Son exposé avec les Juifs. (Actes 28:17-22)
      Paul prêche devant les Juifs ; il demeure prisonnier à Rome. (Actes 28:23-31)

      Dieu peut faire en sorte que des étrangers nous traitent spontanément en amis, même au temps de la détresse. Ceux qui sont parfois méprisés pour leur simplicité, sont souvent plus amicaux que ceux qui se distinguent par leur « raffinement » ; la conduite de certains païens, voire certains exclus, condamne facilement de nombreuses personnes, soi-disant « civilisées », témoignant de leur appartenance au Seigneur.

      Les habitants de cette île pensaient que Paul était un assassin, et que cette vipère était envoyée par la Justice divine, pour venger le sang versé. Ils étaient convaincus qu'il y a un Dieu qui gouverne le monde, et que les évènements n'arrivent jamais par hasard, même les plus bénins : pour eux, tout était mené par la direction divine, et le mal poursuivait immanquablement les pécheurs ; ils savaient aussi que Dieu récompensait les bonnes œuvres, et qu’Il punissait les mauvaises. Ces hommes savaient également que le meurtre est une faute épouvantable, qui ne devait pas rester longtemps impunie. Ils étaient persuadés que tous les méchants de ce monde devaient être punis durant leur vie.

      Bien qu'il y ait ici-bas des exemples qui prouvent qu'il y a un Dieu et une Providence, beaucoup de coupables restent cependant impunis, ce qui montre qu'il y aura un Jugement divin à venir.

      Ces habitants de Malte pensaient également que ceux qui étaient particulièrement affligés ici-bas étaient de mauvaises gens. La révélation divine met véritablement ce sujet en lumière : les hommes bons sont souvent grandement affligés, afin que leurs épreuves affermissent leur foi et leur patience.

      Remarquons comment Paul fut délivré du danger ; il en est ainsi pour la Grâce de Christ : les croyants « secouent » les « tentations » de Satan, avec une sainte résolution. Quand nous méprisons les blâmes et les reproches des hommes, les regardant avec un saint mépris, ayant notre conscience en paix, nous devons, comme Paul, « secouer la vipère dans le feu » : nous n'aurons aucun mal, et nous serons gardés, dans l’exercice de notre devoir.

      N’étant pas atteint par la morsure de ce serpent, Paul obtint, par la Puissance divine une certaine célébrité parmi son entourage : il a ainsi ouvert une voie pour la réception de l'Évangile. Le Seigneur procure des amis à Son peuple, en chaque lieu où Il le conduit ; il en découle de nombreuses bénédictions pour ceux qui sont dans la détresse !

      11 Les banalités d'un voyage sont généralement sans grand intérêt ; par contre, le réconfort qui découle de la communion avec les saints, parfois éloignés, et la gentillesse témoignée par des amis, méritent une mention particulière !

      Les chrétiens de Rome étaient vraiment loin d’éprouver de la honte ou une certaine gène envers Paul, en tant que prisonnier, ils étaient assez empressés pour lui témoigner toute leur fraternité et leur respect. Paul en fut grandement réconforté.

      Quand nos amis nous manifestent leur gentillesse, c’est Dieu qui incline leur cœur en ce sens, et nous devons Lui en donner toute la gloire. Quand nous voyons, en quelque endroit que ce soit, des personnes « porter » le Nom de Christ, craindre Dieu et Le servir, nous devons élever notre cœur vers le ciel en actions de grâces. Combien de personnages importants sont entrés dans Rome, en grand triomphe et ont été couronnés ! Certains étaient pourtant de véritables fléaux en ce monde...

      Nous voyons ici l’apôtre Paul, cet homme juste, faire son entrée dans Rome, enchaîné, tel un pauvre coupable, or il représentait, plus que quiconque, une des plus grandes bénédictions pour cette ville.

      Cette situation humiliante de l’apôtre n'est-elle pas suffisante pour nous écarter à jamais de la vanité et des faveurs du monde ? Ce fait peut encourager ceux qui sont prisonniers pour la cause du Seigneur, car Il peut faire en sorte d’accorder à ceux qui les détiennent, une certaine clémence à leur égard.

      Lorsque Dieu semble tarder à délivrer Son peuple de l'oppression, mais qu’Il adoucit cependant son sort en lui donnant toute la patience requise, ce dernier a toutes les raisons d'en être reconnaissant !

      17 Les principaux des Juifs allaient examiner le cas de Paul, dans le but de l’acquitter et de lui rendre tout l'honneur qui lui était dû. En faisant appel à César, l’apôtre ne cherchait pas à accuser sa nation, il voulait seulement clarifier sa situation ambigüe.

      Le véritable christianisme s’applique à toute l'humanité, il n’a pas été « bâti » sur des opinions étroites, ni des intérêts privés. Il ne vise pas les bénéfices de ce monde ni ses avantages, mais tous ses buts sont spirituels et éternels. Il est, et a toujours été critiqué, alors qu’il représente la sainte « vie spirituelle » en Christ !

      Regardons toutes les villes et les villages où Christ est glorifié, en tant que seul Sauveur de l'humanité, où chacun est appelé à Le suivre en nouveauté de vie : nous pouvons voir à quel point ceux qui se donnent à Lui, sont parfois considérés comme faisant partie intégrante d'une secte, subissant ainsi de nombreuses sarcasmes. Tel est le traitement que ces enfants de Dieu sont parfois appelés à subir, tant qu'il restera des impies ici-bas...

      23 Paul voulait persuader les Juifs de la véracité de tout ce qui concernait Jésus. Certains étaient « travaillés » par la Parole, alors que d'autres restaient endurcis dans leur refus de croire ; certains admiraient cette Lumière spirituelle, alors que d'autres fermaient leurs yeux. Le même genre de réaction a toujours existé lorsque l'Évangile a été prêché...

      Paul se sépara alors de ces Juifs, observant que le Saint-Esprit avait bien décrit leur incrédulité. Tous ceux qui entendent l'Évangile sans y porter une sérieuse attention, devraient trembler devant la ruine spirituelle qui les guette ; en effet, qui pourra les « guérir du péché », si Dieu n’intervient ?

      Ces Juifs eurent ensuite beaucoup de discussions entre eux. De nombreuses personnes font de grands raisonnements, tout en restant néanmoins dans l’erreur. Elles sont parfois en désaccord avec leur entourage, mais ne veulent pas cependant céder à l’évidence de la Vérité. En fait, elles ne peuvent être convaincues par le message de l’Évangile qu’elles entendent, sans que la Grâce de Dieu n’ouvre leur esprit.

      Si nous pouvons éprouver de la tristesse devant l’attitude de tels contempteurs, nous devons néanmoins nous réjouir que le salut de Dieu soit envoyé à d'autres, qui eux, le recevront ! Si nous faisons partie de cette dernière catégorie, nous devons être reconnaissants envers Celui qui nous a apporté ce salut.

      L'apôtre est resté fidèle à son principe faire connaître et ne prêcher rien d'autre que Christ, Christ crucifié. Les chrétiens qui sont tentés de s'écarter de leur « devoir », doivent reconsidérer leur situation en se posant ces questions : ma nouvelle orientation concerne-t-elle le Seigneur Jésus ? Que va-t-elle réellement m’apporter, quels en seront les impacts dans ma marche spirituelle avec Lui ?

      Paul n'a pas vanté ses propres mérites, mais il a prêché Christ, sans éprouver aucune honte pour l'Évangile. Bien que l’opportunité de son témoignage ait été relativement courte, il put prêcher sans être dérangé. Même si cette « ouverture spirituelle », (son témoignage), fut éphémère, personne ne put la fermer ; pour beaucoup ce fut une prédication efficace, puisqu'il est dit qu'il y avait des saints, même dans la maison de César, Philippiens 4:22.

      Nous apprenons aussi dans Philippiens 1:13, comment la Providence divine dirigea, par l’emprisonnement de Paul, la diffusion de l'Évangile. Non seulement les Romains, mais toute l'église de Christ encore aujourd’hui, même dans les endroits les plus reculés du globe, ont une véritable raison de bénir le Seigneur, pour le fait que Paul, au plus fort de sa maturité et de son expérience spirituelle, ait été détenu prisonnier et qu’il ait pu ainsi annoncer l’Évangile. C'était de sa prison, de sa main probablement enchaînée à celle du soldat qui le gardait, que l'apôtre écrivit ses épîtres aux Éphésiens, aux Philippiens, aux Colossiens, et peut-être aux Hébreux ; ces lettres témoignaient peut-être plus que toutes les autres, de l'amour chrétien dont son cœur débordait, et l'expérience spirituelle qui animait son âme.

      Le croyant du temps présent peut ressentir éventuellement moins de joie céleste que l'apôtre Paul, mais chaque partisan du Sauveur est également sûr de pouvoir jouir jusqu’au terme de sa vie, de la sécurité et de la paix spirituelles. Cherchons à vivre de plus en plus dans l'Amour du Sauveur ; œuvrons de façon à Le glorifier dans tous nos faits et gestes ; nous serons alors avec certitude, par Sa force et dès à présent, parmi le nombre des « vainqueurs » ; par Sa Miséricorde et Sa Grâce, nous serons bientôt dans la compagnie bénie de ceux qui seront assis auprès de Christ sur Son trône ; Il est Lui-même vainqueur et est assis sur le trône de Son Père, à la droite de Dieu, pour l'éternité !

Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.