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La Bible en 1 an - Jour 222

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Versets relatifs

    • Ruth 3

      1 Noémi, la belle-mère de Ruth, lui dit un jour : —Ma fille, je ne veux pas négliger de te chercher une situation qui te rende heureuse.
      2 Tu sais que Booz, avec les servantes duquel tu as travaillé, est notre parent. Ce soir il doit vanner l’orge amassée dans l’aire.
      3 Lave-toi donc et parfume-toi, puis mets tes plus beaux habits et rends-toi à l’aire où il bat son orge. Mais ne fais pas connaître ta présence avant qu’il ait fini de manger et de boire.
      4 Quand il se couchera pour dormir, note bien l’endroit où il s’installe, approche-toi, écarte la couverture pour lui découvrir les pieds et puis, couche-toi là. Il te dira alors ce que tu devras faire.
      5 Ruth lui répondit : —Je ferai tout ce que tu me dis.
      6 Elle descendit dans l’aire et suivit toutes les instructions de sa belle-mère.
      7 Booz mangea et but et il fut très content, puis il alla se coucher au bord du tas d’orge. Alors Ruth s’approcha tout doucement, elle écarta la couverture pour découvrir ses pieds et se coucha là.
      8 Au milieu de la nuit, Booz eut un frisson, il se pencha en avant et s’aperçut qu’une femme était couchée à ses pieds.
      9 —Qui es-tu ? lui demanda-t-il. —Je suis Ruth, ta servante. Veuille me prendre sous ta protection car, en tant que proche parent, tu es responsable de moi.
      10 —Que l’Eternel te bénisse, ma fille, lui dit-il. Ce que tu viens de faire est une preuve d’amour envers ta belle-mère encore plus grande que ce que tu as déjà fait. En effet, tu aurais pu courir après les jeunes hommes, qu’ils soient pauvres ou riches.
      11 Maintenant, ma fille, ne t’inquiète pas : je ferai pour toi tout ce que tu demandes, car tous les gens de l’endroit savent que tu es une femme de valeur.
      12 Il est vrai que j’ai envers toi la responsabilité d’un proche parent, mais il existe un parent plus direct que moi.
      13 Passe ici la fin de la nuit, et demain matin nous verrons si cet homme veut s’acquitter envers toi de sa responsabilité de proche parent. Si oui, qu’il le fasse. S’il refuse, je te promets, aussi vrai que l’Eternel est vivant, que je m’en acquitterai envers toi. En attendant, reste couchée jusqu’au matin !
      14 Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, puis elle se leva au petit jour avant que l’on puisse se reconnaître, car Booz avait dit : Il ne faut pas que l’on sache qu’une femme est venue sur l’aire.
      15 Avant qu’elle parte, il lui dit : —Donne la cape que tu portes, tiens-la bien ! Elle la tint ainsi, et il y versa vingt-cinq litres d’orge et l’aida à les charger sur elle, puis elle rentra à la ville.
      16 Quand elle arriva chez sa belle-mère, celle-ci lui demanda : —Comment les choses se sont-elles passées, ma fille ? Alors Ruth lui raconta tout ce que cet homme avait fait pour elle.
      17 Elle ajouta : —Il m’a même donné ces vingt-cinq litres d’orge, car il m’a dit : « Tu ne retourneras pas les mains vides auprès de ta belle-mère. »
      18 Noémi lui dit : —Maintenant, ma fille, reste là jusqu’à ce que tu saches comment les choses tourneront, car cet homme ne se donnera aucun répit avant d’avoir réglé cette affaire aujourd’hui.

      Ruth 4

      1 Booz se rendit à la porte de la ville, et il y prit place. Quand le plus proche parent, dont il avait parlé et qui avait le devoir de s’occuper de Ruth vint à passer, Booz lui dit : —Un tel ! Viens donc t’asseoir ici ! L’homme s’approcha et s’assit.
      2 Booz fit approcher dix hommes parmi les responsables de la ville et leur demanda de s’asseoir avec eux. Lorsqu’ils se furent installés,
      3 il s’adressa ainsi au plus proche parent : —Noémi, qui est revenue du pays de Moab, met en vente le champ d’Elimélek, notre parent.
      4 J’ai pensé t’en informer et te proposer de le racheter par-devant les habitants de la ville et les responsables de mon peuple ici présents. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le. Sinon, déclare-le moi, que je le sache, car tu viens en premier lieu pour disposer du droit de rachat, et je viens directement après toi. L’homme lui répondit : —Oui, je veux le racheter.
      5 Booz poursuivit : —Si tu acquiers le champ de la main de Noémi, tu prendras pour femme Ruth la Moabite, la veuve du défunt, pour donner au défunt une descendance qui héritera de son *patrimoine.
      6 —Dans ces conditions, dit le plus proche parent, je ne peux pas racheter pour mon compte, car je ferais tort à mon propre patrimoine. Reprends donc à ton compte mon droit de rachat, car je ne puis en profiter moi-même.
      7 Autrefois, en Israël, lorsqu’on procédait à un rachat ou à un échange de biens, la coutume voulait que l’un des contractants ôte sa sandale et la donne à l’autre pour valider la transaction.
      8 Ainsi, l’homme qui avait le droit de rachat dit à Booz : « Acquiers le champ », et il retira sa sandale.
      9 Alors Booz déclara aux responsables et à tous ceux qui étaient là : —Vous êtes témoins aujourd’hui que j’ai acquis de la main de Noémi tout ce qui appartenait à Elimélek et tout ce qui était à Kilyôn et à Mahlôn.
      10 De ce fait, je prends aussi pour femme Ruth la Moabite, la veuve de Mahlôn, pour susciter au défunt une descendance qui recevra son héritage et pour que son nom ne disparaisse pas dans son lignage et dans sa ville natale. Vous en êtes témoins aujourd’hui.
      11 Alors tous ceux qui se trouvaient à la porte et tous les responsables dirent : —Oui : nous en sommes témoins ! Que l’Eternel rende la femme qui entre dans ta famille semblable à Rachel et à Léa qui, à elles deux, ont donné naissance à tout le peuple d’Israël ! Puisses-tu toi-même prospérer à Ephrata et devenir célèbre à Bethléhem !
      12 Que l’Eternel t’accorde, par cette jeune femme, une descendance aussi nombreuse que celle de Pérets, le fils que Tamar a donné à Juda.
      13 C’est ainsi que Booz prit Ruth pour femme. Lorsqu’il se fut uni à elle, l’Eternel accorda à Ruth de devenir enceinte, et elle donna naissance à un fils.
      14 Les femmes de Bethléhem dirent à Noémi : —Béni soit l’Eternel qui ne t’a pas privée d’un soutien de famille ! Que son nom devienne célèbre en Israël !
      15 Il te rendra une raison de vivre et prendra soin de toi dans tes vieux jours, puisque c’est ta belle-fille qui t’aime qui t’a donné ce petit-fils. Elle vaut mieux pour toi que sept fils.
      16 Noémi prit le nouveau-né et le serra sur son cœur. C’est elle qui se chargea de l’élever.
      17 Les voisines s’écrièrent : —Noémi a eu un fils ! Et elles lui donnèrent le nom d’Obed. Obed fut le père d’Isaï et le grand-père de David.
      18 Voici la liste généalogique de Pérets : Pérets eut pour fils Hetsrôn,
      19 qui eut pour fils Ram, qui eut pour fils Amminadab,
      20 qui eut pour fils Nahchôn, qui eut pour fils Salma,
      21 qui eut pour fils Booz, qui eut pour fils Obed,
      22 qui eut pour fils Isaï, qui eut pour fils David.

      Jérémie 38

      1 Chephatia, fils de Mattân, Guedalia, fils de Pachhour, Youkal, fils de Chélémia, et Pachhour, fils de Malkiya, entendirent les paroles que Jérémie adressait à tout le peuple. Il disait :
      2 —Voici ce que déclare l’Eternel : Celui qui restera dans cette ville mourra par l’épée, par la famine ou par la peste ; mais celui qui en sortira pour se rendre aux Chaldéens aura la vie sauve ; il aura au moins gagné cela.
      3 Voici ce que déclare l’Eternel : Cette ville sera livrée à l’armée du roi de Babylone, qui s’en emparera.
      4 Alors les dirigeants dirent au roi : —Il faut faire mourir cet homme, car ce qu’il dit démoralise les soldats qui restent encore dans cette ville, ainsi que toute la population. Cet homme-là ne cherche pas le bien du peuple, il ne veut que son malheur.
      5 Le roi Sédécias leur répondit : —Il est entre vos mains, car le roi ne peut rien vous refuser.
      6 Ils prirent donc Jérémie et le descendirent avec des cordes dans la citerne appartenant à Malkiya, un prince de sang, celle qui se trouvait dans la cour du corps de garde. Il n’y avait pas d’eau dans la citerne ; dans le fond, il n’y avait que de la vase, et Jérémie s’y enfonça.
      7 Mais Ebed-Mélek, un Ethiopien, un fonctionnaire attaché au palais royal, apprit qu’ils avaient jeté Jérémie dans la citerne. Or, le roi siégeait à la porte de Benjamin.
      8 Alors Ebed-Mélek sortit du palais et alla parler au roi. Il lui dit :
      9 —Mon seigneur le roi ! Ces hommes ont mal agi envers le prophète Jérémie en le descendant dans la citerne ; il y mourra de faim, puisqu’il n’y a plus de pain dans la ville.
      10 Le roi ordonna à Ebed-Mélek l’Ethiopien : —Prends avec toi trois hommes et fais remonter le prophète Jérémie de la citerne avant qu’il meure.
      11 Ebed-Mélek prit donc ces hommes avec lui et rentra au palais royal dans une pièce située sous la salle du trésor. Il y prit des linges déchirés ou usés. Puis il les descendit avec des cordes à Jérémie dans la citerne.
      12 Ebed-Mélek l’Ethiopien dit à Jérémie : —Mets ces chiffons sous tes aisselles par-dessus les cordes. Ce que fit Jérémie.
      13 Puis ils le hissèrent hors de la citerne avec les cordes. Après cela, Jérémie resta dans la cour du corps de garde.
      14 Le roi Sédécias envoya chercher le prophète Jérémie et le fit conduire à la troisième entrée du Temple de l’Eternel. Il lui dit : —Je vais te poser une question, ne me cache rien !
      15 Jérémie répondit à Sédécias : —Si je te révèle ce que tu me demandes, ne vas-tu pas me faire mettre à mort ? Et si je te donne un conseil, tu ne m’écouteras pas !
      16 Alors le roi Sédécias jura secrètement à Jérémie : —Aussi vrai que l’Eternel est vivant et que c’est de lui que nous tenons notre vie, je ne te ferai pas mourir et je ne te remettrai pas entre les mains de ces gens qui en veulent à ta vie.
      17 Alors Jérémie dit à Sédécias : —Voici ce que déclare l’Eternel, le Dieu des *armées célestes, Dieu d’Israël : Si tu te rends immédiatement aux officiers du roi de Babylone, tu auras la vie sauve, toi et ta famille, et cette ville ne sera pas incendiée.
      18 Mais si tu ne te rends pas aux officiers du roi de Babylone, cette ville sera livrée aux Chaldéens, qui y mettront le feu, et toi, tu ne leur échapperas pas.
      19 Mais le roi Sédécias répondit à Jérémie : —J’ai peur des Juifs qui sont déjà passés aux Chaldéens. Je crains de leur être livré et d’être outragé par eux.
      20 —On ne te livrera pas à eux, lui répondit Jérémie. Ecoute donc l’Eternel selon ce que je t’ai dit ; tu t’en trouveras bien et tu auras la vie sauve.
      21 Mais si tu refuses de te rendre, voici ce que l’Eternel m’a révélé :
      22 Toutes les femmes qui restent dans le palais royal de Juda vont être emmenées aux officiers du roi de Babylone, et elles diront : « Ils t’ont tendu un piège, tes bons amis, te voilà pris ; et pendant que tes pieds enfoncent dans la boue, eux se sont éclipsés. »
      23 Toutes tes femmes et tes enfants vont être emmenés d’ici aux Chaldéens et tu ne leur échapperas pas, car le roi de Babylone se saisira de toi et cette ville sera incendiée.
      24 Alors Sédécias dit à Jérémie : —Que personne ne sache rien de toute cette conversation, et tu ne seras pas mis à mort.
      25 Si les dirigeants apprennent que j’ai parlé avec toi, et s’ils viennent te demander : « Fais-nous savoir ce que tu as dit au roi et ce que le roi t’a dit ; ne nous cache rien, et nous ne te ferons pas mourir »,
      26 tu leur répondras : « J’ai supplié le roi de ne pas me faire ramener dans la maison de Jonathan, pour que je n’y meure pas. »
      27 Effectivement, l’ensemble des dirigeants vinrent trouver Jérémie pour le questionner, et il leur répondit comme le roi le lui avait ordonné. Alors ils le laissèrent tranquille, car rien ne s’était dit de l’entretien.
      28 Ainsi Jérémie demeura dans la cour du corps de garde jusqu’au jour où Jérusalem fut conquise. Voici comment Jérusalem fut prise.

      Actes 28

      1 Une fois hors de danger, nous avons appris que notre île s’appelait Malte.
      2 Les habitants, qui ne parlaient pas le grec, nous ont témoigné une bienveillance peu ordinaire. Ils ont allumé un grand feu et nous ont tous accueillis à sa chaleur, car il s’était mis à pleuvoir et il faisait froid.
      3 Paul avait ramassé une brassée de bois sec et il allait la jeter dans le feu quand la chaleur en a fait sortir une vipère qui s’est accrochée à sa main.
      4 En voyant l’animal suspendu à sa main, les habitants se disaient entre eux : —Pas de doute : cet homme est un criminel ! Il a pu échapper à la mer, mais la justice ne l’a pas laissé vivre !
      5 Cependant, Paul avait, d’une secousse, jeté l’animal dans le feu et ne ressentait aucun mal.
      6 Tous s’attendaient à le voir enfler ou bien tomber subitement raide mort. Après une longue attente, voyant qu’il ne lui arrivait rien de fâcheux, ils ont changé d’avis et se sont mis à dire : —C’est un dieu.
      7 Tout près de là se trouvait un domaine appartenant au premier personnage de l’île nommé Publius. Il nous a accueillis très aimablement et nous a offert l’hospitalité pendant trois jours.
      8 Or, son père était justement cloué au lit par la fièvre et la dysenterie. Paul s’est rendu à son chevet, a prié en lui imposant les mains, et l’a guéri.
      9 Après cela, tous les autres malades de l’île venaient le voir et ils étaient guéris, eux aussi.
      10 Cela nous a valu toutes sortes de marques d’honneur et, quand est venu le moment de reprendre la mer, on a pourvu à tous les besoins de notre voyage.
      11 C’est seulement trois mois plus tard que nous sommes repartis à bord d’un bateau d’Alexandrie, à l’emblème de Castor et Pollux, qui avait passé l’hiver dans un port de l’île.
      12 Nous avons fait escale pendant trois jours à Syracuse.
      13 De là, nous avons longé la côte jusqu’à Reggio. Le lendemain, le vent du sud s’est levé et, en deux jours, nous avons gagné Pouzzoles.
      14 Dans cette ville, nous avons trouvé des frères qui nous ont invités à passer une semaine avec eux. Et c’est ainsi que nous sommes allés à Rome.
      15 Les frères de cette ville, qui avaient eu de nos nouvelles, sont venus à notre rencontre jusqu’au Forum d’Appius et aux Trois-Tavernes. Quand Paul les a vus, il a remercié Dieu et a pris courage.
      16 Après notre arrivée à Rome, Paul fut autorisé à loger dans un appartement personnel, sous la garde d’un soldat.
      17 Au bout de trois jours, il invita les chefs des *Juifs à le rencontrer. Quand ils furent réunis chez lui, il leur dit : —Mes frères, bien que je n’aie rien fait de contraire aux intérêts de notre peuple, ni aux traditions de nos ancêtres, j’ai été arrêté à *Jérusalem et livré entre les mains des Romains.
      18 Ceux-ci, après enquête, voulaient me relâcher parce qu’ils n’avaient trouvé aucune raison de me condamner à mort.
      19 Mais, comme les Juifs s’y opposaient, je me suis vu contraint d’en appeler à l’empereur, sans pour autant vouloir accuser mes compatriotes.
      20 Et c’est ce qui explique que je vous aie invité à venir me voir et vous entretenir avec moi : car c’est à cause de l’espérance d’*Israël que je porte ces chaînes.
      21 Les Juifs lui répondirent : —En ce qui nous concerne, nous n’avons reçu aucune lettre de *Judée à ton sujet, et aucun de nos frères n’est venu de là-bas pour nous faire un rapport ou pour nous dire du mal de toi.
      22 Mais nous pensons devoir t’entendre exposer toi-même ta pensée. Quant à la secte dont tu fais partie, nous savons qu’elle rencontre partout une sérieuse opposition.
      23 Ils fixèrent donc un autre rendez-vous et, au jour convenu, revinrent chez lui, encore plus nombreux que la première fois. L’entretien dura du matin jusqu’au soir. Paul leur exposa sa doctrine : il leur annonça le règne de Dieu et, en s’appuyant sur la *Loi de *Moïse et les paroles des *prophètes, il cherchait à les convaincre au sujet de Jésus.
      24 Les uns se laissèrent persuader par ses paroles, mais les autres refusèrent de croire.
      25 Au moment de quitter Paul, ils n’étaient toujours pas d’accord entre eux et Paul fit cette réflexion : —Elles sont bien vraies ces paroles que le Saint-Esprit a dites à vos ancêtres, par la bouche du prophète *Esaïe :
      26 Va trouver ce peuple et dis-lui : Vous aurez beau entendre, vous ne comprendrez pas ; vous aurez beau voir, vous ne saisirez pas.
      27 Car le cœur de ce peuple est devenu insensible, ils ont fait la sourde oreille et ils se sont bouché les yeux, de peur que leurs yeux ne voient, que leurs oreilles n’entendent, de peur qu’ils ne comprennent, qu’ils ne se tournent vers moi et que je ne les guérisse.
      28 Et Paul ajouta : —Sachez-le donc : désormais ce salut qui vient de Dieu est maintenant apporté aux païens ; eux, ils écouteront ce message.
      30 Paul resta deux années entières dans le logement qu’il avait loué. Il y recevait tous ceux qui venaient le voir.
      31 Il proclamait le règne de Dieu et enseignait, avec une pleine assurance et sans aucun empêchement, ce qui concerne le Seigneur Jésus-Christ.
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