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La Bible en 1 an - Jour 228

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Versets relatifs

    • 1 Samuel 7

      1 Les gens de Quiriath-Yéarim viennent le chercher. Ils le transportent sur une colline, dans la maison d’Abinadab. Puis ils consacrent Élazar, fils d’Abinadab, pour qu’il garde le coffre du SEIGNEUR.
      2 Beaucoup de temps passe, environ 20 ans, depuis le jour où le coffre sacré a été installé à Quiriath-Yéarim. Les Israélites désirent se rapprocher du SEIGNEUR.
      3 Alors Samuel leur dit : « Si vous revenez vers le SEIGNEUR de tout votre cœur, n’adorez plus les Astartés ni les autres dieux étrangers ! Attachez-vous au SEIGNEUR et servez-le, lui seul. Alors il vous délivrera du pouvoir des Philistins. »
      4 Les Israélites rejettent donc les Baals et les Astartés, et ils servent le SEIGNEUR seul.
      5 Ensuite Samuel donne cet ordre aux Israélites : « Réunissez-vous tous à Mispa. Là, je prierai le SEIGNEUR pour vous. »
      6 Les Israélites se réunissent à Mispa. Ils puisent de l’eau et ils la répandent sur le sol devant le SEIGNEUR, comme une offrande. Ce jour-là, ils jeûnent et ils disent : « Nous avons péché contre le SEIGNEUR. » C’est là, à Mispa, que Samuel devient juge du peuple d’Israël.
      7 Les Philistins apprennent que les Israélites sont réunis à Mispa. Alors leurs chefs vont les attaquer. Quand les Israélites entendent cette nouvelle, ils ont très peur des Philistins.
      8 Ils disent à Samuel : « Ne garde pas le silence ! Ne nous abandonne pas ! Crie vers le SEIGNEUR notre Dieu, pour qu’il nous sauve du pouvoir des Philistins. »
      9 Samuel prend un agneau très jeune. Il le brûle tout entier en sacrifice pour le SEIGNEUR. Puis il crie vers lui en faveur des Israélites, et le SEIGNEUR répond à sa prière.
      10 Pendant que Samuel offre le sacrifice, les Philistins avancent pour combattre les Israélites. Mais ce jour-là, le SEIGNEUR fait éclater le tonnerre contre les Philistins. Alors ils tremblent de peur et ils sont battus par les Israélites.
      11 Les soldats d’Israël sortent de Mispa. Ils poursuivent les Philistins jusqu’au-dessous de Beth-Kar et ils les battent complètement.
      12 Samuel dit : « Le SEIGNEUR nous a secourus jusqu’ici. » Alors Samuel prend une grosse pierre. Il la dresse entre Mispa et La Dent, et il l’appelle la « Pierre-du-Secours ».
      13 Maintenant, les Philistins sont abaissés et ils ne reviennent plus dans le pays d’Israël. Le SEIGNEUR fait peser sa puissance sur eux pendant toute la vie de Samuel.
      14 Les Philistins ont pris des villes au peuple d’Israël, depuis Écron jusqu’à Gath. Ils les rendent, et les Israélites libèrent leur pays du pouvoir des Philistins. La paix revient aussi entre les Israélites et les Amorites.
      15 Samuel est juge du peuple d’Israël pendant toute sa vie.
      16 Chaque année, il part et il va à Béthel, au Guilgal et à Mispa. Il rend la justice à ces trois endroits.
      17 Ensuite, il revient à Rama, où il habite. Là aussi, il rend la justice. C’est à Rama qu’il construit un autel au SEIGNEUR.

      1 Samuel 8

      1 Quand Samuel devient vieux, il nomme ses fils comme juges du peuple d’Israël.
      2 Son fils aîné s’appelle Joël, et le deuxième s’appelle Abia. Ils rendent la justice à Berchéba.
      3 Mais ils ne suivent pas l’exemple de leur père. Ils sont corrompus par l’argent, ils acceptent des cadeaux et ils rendent des jugements injustes.
      4 C’est pourquoi les anciens d’Israël se réunissent et ils viennent trouver Samuel à Rama.
      5 Ils lui disent : « Maintenant, tu es vieux, et tes fils ne suivent pas ton exemple. Alors donne-nous un roi pour nous gouverner. Cela se fait chez tous les autres peuples. »
      6 Samuel n’est pas content du tout que les Israélites demandent un roi. Il se met à prier le SEIGNEUR.
      7 Le SEIGNEUR lui dit : « Écoute-les ! Accepte ce qu’ils demandent. Ce n’est pas toi qu’ils rejettent, c’est moi. Ils ne veulent plus que je sois leur roi.
      8 Depuis le moment où je les ai fait sortir d’Égypte jusqu’à maintenant, ils m’ont toujours abandonné. Ils ont adoré d’autres dieux. Ils font la même chose avec toi.
      9 C’est pourquoi tu dois accepter ce qu’ils demandent. Mais préviens-les bien. Dis-leur ce que le roi qui les gouvernera aura le droit de faire. »
      10 Samuel répète toutes les paroles du SEIGNEUR aux Israélites, qui lui ont demandé un roi.
      11 Il leur dit : « Le roi qui vous gouvernera, voici ce qu’il aura le droit de faire. Il prendra parmi vos fils des soldats pour conduire ses chars de guerre. Ils monteront ses chevaux, ou bien ils courront devant son char.
      12 Certains devront commander 1 000 hommes ou 50 hommes. D’autres laboureront ses champs et feront ses récoltes. D’autres encore fabriqueront ses armes et feront du matériel pour ses chars.
      13 Il prendra aussi vos filles comme parfumeuses, cuisinières et boulangères.
      14 Il prendra vos meilleurs champs, vos plus belles vignes et vos plus beaux oliviers. Il les donnera à ses officiers.
      15 Il prendra le dixième de vos récoltes dans vos champs et dans vos vignes. Il le donnera à ses fonctionnaires et à ses officiers.
      16 Il prendra vos serviteurs et vos servantes. Il choisira les plus forts de vos jeunes gens, et même vos ânes, pour les mettre à son service.
      17 Dans vos troupeaux, il prendra un mouton sur dix et une chèvre sur dix. Enfin, vous-mêmes, vous serez ses esclaves.
      18 À ce moment-là, vous crierez vers le SEIGNEUR, à cause du roi que vous aurez choisi. Mais le SEIGNEUR ne vous répondra pas. »
      19 Les Israélites refusent d’écouter les paroles de Samuel. Ils lui disent : « Cela ne fait rien ! Nous voulons quand même un roi !
      20 Alors nous aussi, nous serons comme les autres peuples. Notre roi rendra la justice parmi nous. Il sera le chef de notre armée et il combattra avec nous. »
      21 Samuel écoute tout ce que les Israélites disent et il le répète au SEIGNEUR.
      22 Le SEIGNEUR lui dit : « Écoute-les, donne-leur un roi. » Ensuite, Samuel dit aux Israélites : « Rentrez chez vous, chacun dans sa ville ! »

      Jérémie 44

      1 Le SEIGNEUR a adressé sa parole à Jérémie. Elle concernait tous les gens de Juda qui vivaient en Égypte, dans les villes de Migdol, Tapanès, Memphis et dans la région de Patros. Jérémie leur a donc dit :
      2 « Voici un message du SEIGNEUR de l’univers, Dieu d’Israël : Vous avez vu tous les malheurs que j’ai fait venir sur Jérusalem et sur les autres villes de Juda. Aujourd’hui, elles sont détruites, et il n’y a plus du tout d’habitants là-bas.
      3 Cela est arrivé parce que les gens m’ont mis en colère par le mal qu’ils ont commis. En effet, ils sont allés offrir des sacrifices à des dieux étrangers et ils les ont adorés. Pourtant ils ne connaissent pas ces dieux-là. D’ailleurs, vous-mêmes et vos ancêtres, vous ne les connaissiez pas non plus.
      4 Et moi, j’ai passé mon temps à vous envoyer tous mes serviteurs, les prophètes. L’un après l’autre, ils vous ont dit : “Ne faites pas ces choses horribles que je déteste !”
      5 Mais vous n’avez pas écouté, vous n’avez pas tendu l’oreille. Vous n’avez pas abandonné le mal que vous faisiez, et vous avez continué à offrir des sacrifices à des dieux étrangers.
      6 Alors j’ai répandu ma violente colère. Elle a brûlé les villes de Juda et les rues de Jérusalem. Celles-ci ne sont plus que des tas de ruines et des endroits déserts, comme on peut le voir aujourd’hui. »
      7 Jérémie dit encore : « Et maintenant, voici ce que dit le SEIGNEUR, Dieu de l’univers et Dieu d’Israël : “Vous vous faites beaucoup de mal à vous-mêmes. Pourquoi ? Est-ce que vous voulez supprimer les hommes, les femmes, les jeunes et les bébés du peuple de Juda ? Est-ce que vous souhaitez qu’il ne reste plus rien de vous ?
      8 Est-ce que vous cherchez à provoquer ma colère par vos actions ? En effet, vous offrez des sacrifices à des dieux étrangers dans ce pays d’Égypte, où vous êtes venus habiter. Est-ce que vous désirez vraiment vous faire éliminer et devenir pour tous les pays du monde un exemple de malédiction et de honte ?
      9 Est-ce que vous avez oublié le mal commis dans le pays de Juda et dans les rues de Jérusalem ? Ce sont vos parents, les rois de Juda, les femmes de Salomon, vous-mêmes et vos femmes qui l’avez commis.
      10 Jusqu’à maintenant, personne ne l’a regretté, personne ne m’a montré du respect, personne n’a obéi à l’enseignement et aux commandements que je vous ai donnés, à vous et à vos ancêtres.” »
      11 Jérémie a ajouté : « C’est pourquoi, voici le message du SEIGNEUR de l’univers, Dieu d’Israël : “Je vais me tourner contre vous pour votre malheur, et je vais éliminer tout le peuple de Juda.
      12 Je prendrai ceux qui sont restés en vie en Juda, qui sont venus se réfugier en Égypte, et ils mourront tous. C’est dans ce pays qu’ils mourront par la guerre ou par la famine, tous, petits et grands. Oui, ils mourront de cette façon, et on les prendra comme exemple quand on lancera une malédiction, quand on parlera d’une chose horrible ou maudite, et quand on voudra couvrir quelqu’un de honte.
      13 J’agirai contre ceux qui se sont installés en Égypte, comme j’ai agi contre les gens de Jérusalem : par la guerre, la famine et la peste.
      14 Parmi ceux qui sont restés en vie en Juda, et qui sont venus se réfugier en Égypte, personne ne pourra fuir, personne n’échappera à la mort. Personne ne reviendra dans le pays de Juda, où ils désirent pourtant revenir pour y habiter. Ils n’y reviendront pas, sauf quelques-uns qui auront échappé à la mort.” »
      15 Tous ceux qui étaient installés en Égypte, à Patros, ont répondu à Jérémie. Il y avait là tous les hommes, qui savaient que leurs femmes offraient des sacrifices à des dieux étrangers. Il y avait aussi toutes les femmes, rassemblées en grand nombre. Ils ont dit :
      16 « Tu affirmes que tu nous parles de la part du SEIGNEUR. Mais nous ne voulons pas t’écouter.
      17 Nous continuerons plutôt à faire tout ce que nous avons promis. Nous offrirons de l’encens et du vin à la déesse Astarté, la Reine du ciel. Nous avons toujours fait cela, ainsi que nos parents, nos rois et nos ministres, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem. Nous avions alors assez à manger, tout allait bien pour nous, et nous ne connaissions pas le malheur.
      18 Mais un jour, nous avons arrêté d’offrir de l’encens et du vin à la Reine du ciel. Et depuis, nous manquons de tout et nous mourons par la guerre et la famine. »
      19 Les femmes ont dit encore : « Quand nous offrons de l’encens et du vin à la Reine du ciel, est-ce que nos maris ne sont pas d’accord avec nous ? Quand nous faisons pour elle des gâteaux qui la représentent, quand nous lui offrons du vin, ils le savent bien. »
      20 Mais Jérémie a dit à tous, hommes et femmes, qui lui avaient répondu de cette façon :
      21 « C’est vrai, vous offriez déjà de l’encens dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem, vous, vos parents, vos rois, vos ministres et les autres gens de Juda. Et le SEIGNEUR s’en est bien souvenu, il ne l’a pas oublié.
      22 Mais le SEIGNEUR n’a pas pu supporter vos actions mauvaises ni les choses horribles que vous avez faites. C’est pourquoi votre pays est devenu un tas de ruines, un lieu horrible, sans habitants, et on le prend comme exemple pour lancer une malédiction. Tout le monde peut voir cela aujourd’hui.
      23 Voici pourquoi ce malheur vous a frappés : vous avez offert de l’encens à des dieux étrangers, vous avez péché contre le SEIGNEUR. Vous ne l’avez pas écouté, vous n’avez pas suivi son enseignement, ses commandements et ses conseils. Tout le monde peut voir cela aujourd’hui. »
      24 Jérémie a dit encore à tous, hommes et femmes : « Vous tous, gens de Juda, qui êtes en Égypte, écoutez les paroles du SEIGNEUR.
      25 Voici le message du SEIGNEUR de l’univers, Dieu d’Israël : Vous et vos femmes, vous avez dit : “Nous avons promis d’offrir de l’encens et du vin à la Reine du ciel. Et nous voulons tenir nos promesses.” Eh bien, tenez-les, faites ce que vous avez dit !
      26 Mais vous tous, gens de Juda, qui habitez en Égypte, écoutez bien ce que je vous annonce ! Moi, le SEIGNEUR, je le jure par mon grand nom : dans toute l’Égypte, aucun homme de Juda ne prononcera plus jamais mon nom quand il fera un serment. Personne ne dira plus : “Par le Seigneur, le DIEU vivant...”
      27 Je vais chercher à agir non pas pour leur bonheur mais pour leur malheur. Les gens de Juda qui sont en Égypte mourront par la guerre et la famine. Il n’en restera plus aucun.
      28 Quelques-uns seulement échapperont à la guerre, et ils reviendront d’Égypte au pays de Juda. Alors le reste des gens de Juda réfugiés en Égypte sauront si c’est votre parole ou la mienne qui se réalise.
      29 Moi, le SEIGNEUR, je le déclare : J’agirai contre vous ici, en Égypte. Je vous donnerai un signe. Ainsi vous verrez que mes paroles contre vous se réalisent pour votre malheur. Voici ce signe :
      30 J’ai livré Sédécias, roi de Juda, à Nabucodonosor, roi de Babylone, son ennemi qui voulait sa mort. Eh bien, de la même façon, je vais livrer le roi d’Égypte, le Pharaon Hofra, à ses ennemis qui veulent sa mort. Voilà ce que je dis, moi, le SEIGNEUR. »

      Romains 6

      1 Alors, qu’est-ce que cela veut dire ? Est-ce que nous devons continuer à pécher pour que les bienfaits de Dieu se répandent en abondance ?
      2 Sûrement pas ! Nous sommes passés par une mort qui nous a séparés du péché. Alors, comment pouvons-nous vivre encore dans le péché ?
      3 Vous le savez bien : notre baptême, en nous unissant au Christ Jésus, nous a tous unis à sa mort.
      4 Donc, par le baptême, nous avons été plongés avec lui dans la mort. Mais la puissance glorieuse du Père a réveillé le Christ de la mort, pour que, nous aussi, nous vivions d’une vie nouvelle.
      5 En effet, nous avons été totalement unis à lui au moment où nous sommes morts avec lui. De même, nous serons unis à lui en nous levant comme lui de la mort.
      6 Comprenons bien ceci : ce que nous étions avant a été cloué sur la croix avec le Christ. Alors le péché qui fait partie de nous-mêmes est détruit, et nous ne sommes plus esclaves du péché.
      7 Oui, celui qui est mort est libéré du péché.
      8 Mais si nous sommes morts avec le Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui.
      9 Nous le savons bien : depuis que le Christ s’est réveillé de la mort, il ne doit plus mourir, la mort n’a plus de pouvoir sur lui.
      10 Le Christ est mort, et sa mort l’a séparé totalement du péché, une fois pour toutes. Maintenant il est vivant, et sa vie est tout entière pour Dieu.
      11 De même, vous aussi, vous devez penser ceci : vous êtes morts en étant totalement séparés du péché, mais, en étant unis à Jésus-Christ, vous êtes vivants pour Dieu.
      12 Donc le péché ne doit plus avoir de pouvoir sur votre corps qui mourra un jour, et vous ne devez plus obéir aux désirs mauvais de votre corps.
      13 Ne mettez plus votre corps au service du péché, comme un moyen pour faire le mal. Au contraire, mettez-vous au service de Dieu, comme des vivants revenus de la mort. Servez-vous de votre corps comme d’un moyen pour faire ce qui est juste.
      14 Ce n’est plus la loi qui vous commande, mais c’est l’amour de Dieu pour vous. Le péché ne peut donc plus avoir de pouvoir sur vous.
      15 Ce n’est plus la loi qui nous commande, mais c’est l’amour de Dieu pour nous. Alors, est-ce une raison pour faire le mal ? Sûrement pas !
      16 Vous ne savez pas ceci ? Quand vous vous mettez au service de quelqu’un comme esclaves, vous êtes les esclaves du maître à qui vous obéissez. Alors, ou bien vous êtes esclaves du péché, et le péché vous conduit à la mort, ou bien vous êtes serviteurs de Dieu, et Dieu vous rend justes parce que vous lui obéissez.
      17 Remercions Dieu ! Autrefois, vous étiez esclaves du péché. Maintenant, vous avez obéi de tout votre cœur à l’enseignement donné à tous et que vous avez reçu.
      18 Vous avez été libérés du péché et vous êtes au service de ce qui est juste.
      19 J’utilise une comparaison humaine parce que vous avez du mal à comprendre. Autrefois, comme des esclaves, vous aviez mis votre corps au service d’une vie immorale et pleine de désordre, et le résultat, c’était la désobéissance à Dieu. De même, aujourd’hui, comme des esclaves, mettez votre corps au service de ce qui est juste, et le résultat, ce sera une vie qui plaît à Dieu.
      20 Quand vous étiez esclaves du péché, faire ce qui est juste ne vous intéressait pas !
      21 Et à ce moment-là, quelles actions avez-vous faites ? Aujourd’hui, vous en avez honte, parce que le résultat, c’est la mort.
      22 Mais maintenant, vous êtes libérés du péché et vous êtes devenus les serviteurs de Dieu. Ainsi, vous faites des actions qui plaisent à Dieu, et le résultat, c’est la vie avec Dieu pour toujours.
      23 Oui, avec le péché, ce qu’on gagne, c’est la mort. Mais avec Dieu, ce qu’on reçoit gratuitement, c’est la vie avec lui pour toujours, en union avec le Christ Jésus, notre Seigneur.
    • 1 Samuel 7

      1

      L'arche est ôtée de Kirjath-Jearim. (1 Samuel 7:1-4)
      Les Israélites se repentent solennellement. (1 Samuel 7:5-6)
      L'Éternel confond les Philistins. (1 Samuel 7:7-12)
      Les Philistins sont humiliés, Samuel est juge en Israël. (1 Samuel 7:13-17)

      Dieu finit par trouver un endroit pour faire reposer l'arche ; si certains repoussaient cette dernière, d'autres étaient prêts à la recevoir. Il n'est pas nouveau de voir l'arche de Dieu reposer dans une maison privée.

      Quand ils ne disposaient pas d'endroits publics, Christ et Ses apôtres ont prêché en faisant du « porte à porte ».

      Vingt ans passèrent avant que la maison d'Israël ne s'inquiète au sujet de l'arche. Pendant ce temps, le prophète Samuel œuvrait pour rétablir une véritable piété parmi le peuple. Les quelques mots qu'il utilisa sont très expressifs ; ce fut l'un des réveils spirituels les plus efficaces qui eut lieu en Israël.

      5 Les enfants d'Israël puisèrent de l'eau et la répandirent devant l'Éternel ; c'était un témoignage de leur humiliation et du regret de leurs péchés. Ils se repentirent devant Dieu. Ils confessèrent résolument leur iniquité et prirent la décision de rejeter toute mauvaise action. Ils déclarèrent publiquement : « nous avons péché contre l'Éternel ». Honteux de leurs actes, ils rendirent gloire à Dieu.

      Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité, 1Jean 1:9*.

      * Référence biblique ajoutée par le traducteur

      7 Les Philistins envahirent Israël.

      Quand les pécheurs commencent à se repentir et à changer leurs habitudes, ils doivent s'attendre à ce que Satan rassemble toute son énergie contre eux, et dispose de tous ses moyens pour s'opposer à cet élan et ainsi les décourager. Les Israélites implorèrent Samuel de tout leur cœur, afin qu'il prie pour eux.

      Quel réconfort pour tous les croyants, de savoir que le grand Médiateur est toujours actif, et ne reste jamais silencieux ! En Effet, Jésus intercède sans cesse en notre faveur, auprès de Dieu.

      Le sacrifice de Samuel, accompli sans prière préalable, eut été un acte complètement vain. Mais Dieu a répondu favorablement à la requête du prophète. Ce dernier érigea à la gloire de Dieu, un mémorial pour cette victoire, Eben-Ezer, pour encourager Israël.

      Au travers des générations successives, l'église a eu maintes fois l'occasion d'établir des « Eben-Ezer », pour les délivrances divines reçues ; ni les persécutions extérieures, ni les corruptions internes n'ont prévalu contre l'assemblée des saints, car jusqu'à présent, le Seigneur l'a toujours aidée : « et Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde », Matthieu 28:20*.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      13 Durant ce grand réveil des enfants d'Israël, l'arche n'a pas, malgré tout, été ôtée de Silo, ni placée à proximité du tabernacle. Cette négligence face aux institutions du Lévitique révélait à quel point la signification typique de l'arche s'était estompée dans le cœur des Hébreux ; quand cette dernière se retrouva chez eux, elle fut l'objet d'un service vide de sens, comparé au comportement normal que le peuple aurait dû avoir. Le repentir, la foi, l'amour de Dieu et du prochain, auraient dû être alors leur règle de vie !

      1 Samuel 8

      1

      Le mauvais comportement des fils de Samuel. (1 Samuel 8:1-3)
      Les Israélites demandent un roi. (1 Samuel 8:4-9)
      Inconvénients de la royauté. (1 Samuel 8:10-22)

      Il est peu probable que les fils de Samuel aient été aussi profanes et méchants que les fils d'Éli; mais ils furent des juges corrompus, toujours avides de profit. Samuel n'a jamais accompli ce genre de corruption, à l'inverse de ses fils : leur profession de juge fut alors pervertie. En plus de cette situation malsaine, les enfants d'Israël étaient menacés par l'invasion de Nahath, roi des Ammonites.
      4 Samuel était gêné ; il supportait malgré tout patiemment ce qui lui était rapporté à son sujet et sur sa propre famille ; mais il fut contrarié quand les enfants d'Israël lui demandèrent : « donne-nous un roi pour nous juger, comme il y en a dans toutes les nations ». Cette démarche du peuple le poussa à s'agenouiller devant Dieu. Quand tout va mal, il est de notre intérêt, aussi bien que notre devoir, de porter notre problème devant Dieu. Samuel finit par répondre qu'Israël aurait un roi.

      Dieu n'était pas vraiment satisfait par cette demande ; parfois Il s'oppose à nous, dans Sa bonté, alors que d'autres fois, Il nous gratifie dans Sa colère, comme ce fut le cas dans ce passage. Dieu sait parfaitement comment diriger le cours des événements pour que Sa volonté soit accomplie, en vue d'être glorifié, même quand la folie des hommes tend à contrecarrer Ses desseins !

      10 Si les enfants d'Israël voulaient avoir un roi qui règne sur eux, comme c'était l'usage dans les contrées d'Orient, ils devaient s'attendre à supporter un joug excessivement lourd. Ceux qui se soumettent au pouvoir du monde et de la chair, s'assujettissent en fait à de terribles maîtres, avec toute la tyrannie engendrée par la domination du péché. Les lois divines diffèrent largement des manières d'opérer des hommes ; les premières devraient être notre règle à suivre, dans toutes les circonstances de la vie alors que les méthodes des hommes devraient nous porter à la prudence. Quand ces derniers constatent leurs échecs, ils osent se plaindre à Dieu, qui alors, ne veut même pas les entendre !

      Quand nous nous engageons, selon nos désirs et nos projets, dans des voies qui nous mettent en péril, nous ne faisons que nous priver du bénéfice de la prière et des avantages de l'aide divine.

      Les enfants d'Israël étaient obstinés et insistaient pour demander un roi. Les résolutions hâtives et les désirs précipités amènent souvent à la repentance. Il est sage, d'être reconnaissant pour les avantages reçus chaque jour, et de rester patient, malgré les désagréments que peuvent éventuellement nous faire subir ceux qui nous gouvernent ; il faut prier continuellement pour nos dirigeants, afin qu'ils puissent régir toutes choses dans la crainte de Dieu, et que nous puissions vivre sous leur administration, en toute piété et honnêteté. Il est bon de voir se ternir peu à peu nos désirs des attraits du monde ; quand nous songeons aux différentes périodes difficiles traversées et à la façon dont la providence divine nous a guidés, nous ne pouvons que glorifier le Seigneur !

      Jérémie 44

      1

      Les Juifs en Égypte persistent dans l’idolâtrie. (Jérémie 44:1-14)
      Ils refusent de changer de conduite. (Jérémie 44:15-19)
      Jérémie dénonce la dévastation qui va les frapper. (Jérémie 44:20-30)

      Dieu rappelle aux Juifs les péchés qui furent à l’origine des désolations, qui frappèrent Juda.

      Il nous incombe d’avertir le plus sérieusement possible les autres, des dangers du péché ! Si vous aimez Dieu, ne Le provoquez pas ; si vous aimez votre âme, ne commettez pas l’iniquité, ce ne pourrait que lui être néfaste. À l'heure de la tentation, laissons la conscience opérer dans notre cœur.

      Les Juifs déportés par Dieu en Chaldée, y demeuraient par la puissance de la Grâce divine, détournés de l'idolâtrie ; mais ceux qui entrèrent en Égypte, de leur propre volonté perverse, étaient plus que jamais attachés à leurs idoles.

      Quand nous succombons à la tentation, il est tout à fait normal que Dieu nous laisse, livrés à nous-mêmes. Si nous marchons contrairement à la volonté divine, le Seigneur s’opposera alors à nous.

      Les malheurs les plus terribles auxquels les hommes sont exposés, sont occasionnés par leur négligence du salut, offert en Jésus !

      15 Les pécheurs cités dans ce texte, défiant toute autorité, ne cherchaient même pas à s’excuser, déclarant ouvertement qu’ils allaient continuer à commettre ce qui était interdit.

      Ceux qui désobéissent à Dieu, voient leur « santé spirituelle » se dégrader inlassablement, leur cœur étant sans cesse endurci par l’exercice du péché.

      Les paroles de ce texte traduisent vraiment l’état d’un cœur rebelle. Même les afflictions, qui auraient dû faire renoncer ces hommes à leurs péchés, n’ont fait que provoquer chez eux un état de rébellion.

      Il est regrettable de voir que ceux qui devraient exercer la bonté, en aidant les autres à découvrir le salut céleste, s’endurcissent en fait dans leurs péchés, montrant par là, à leur entourage, le chemin de l'enfer. En mélangeant l'idolâtrie et l’adoration divine, et en rejetant Christ comme Médiateur, on ne fait que provoquer Dieu, tout en menant les hommes à la ruine. Tous ceux qui adorent des images, ou des représentations de saints, des anges, et la reine du ciel, devraient se rappeler que toutes ces pratiques idolâtres furent déjà commises par les Juifs de cette époque !

      20 Quel que soit le mal qui puisse nous atteindre, il est dû à notre péché, à l’encontre du Seigneur ; nous devrions donc nous tenir, à Son égard, dans une crainte respectueuse, et cesser de pécher.

      Puisque les Juifs mentionnés dans ce texte étaient déterminés à persister dans leur idolâtrie, Dieu allait donc continuer à les punir. Le peu de reste de piété qui subsistait dans leur cœur, allait être définitivement perdu.

      Toutes nos illusions, par lesquelles nous nous méprenons vainement, finiront par s’évanouir tôt ou tard ; seuls les projets divins verront leur plein accomplissement, à l’inverse de ceux que nous pourrions, par convoitise, particulièrement désirer.

      Quand nos aspirations sont conformes à la Miséricorde divine, elles doivent toujours être associées au repentir et à l'obéissance !

      Romains 6

      1

      Les croyants doivent faire « mourir » leur péché, et vivre « en » Dieu. (Romains 6:1,2)
      Ceci est allégué par leur baptême et leur union avec Christ. (Romains 6:3-10)
      Ils sont « vivants », en Dieu. (Romains 6:11-15)
      Ils sont libérés de la domination du péché. (Romains 6:16-20)
      La fin du péché, c’est la mort, le salaire de la sainteté est la vie éternelle. (Romains 6:21-23)

      L'apôtre est très explicite quant à la nécessité de recherche de la sainteté. Il n'écarte pas la Grâce de l'Évangile, mais il souligne cependant que le rapport entre la justification et la sainteté est indissociable.

      Pour que la Grâce puisse abonder, il faut qu'il y ait dans le cœur du pécheur, une véritable horreur de la pratique permanente du mal. Les vrais croyants sont « morts au péché », donc ils ne doivent pas s’y soumettre.

      Aucun homme ne peut être en même temps mort et vivant ! Il n'y a que l’insensé qui puisse désirer être « mort au péché », tout en pensant qu'il soit encore possible pour lui de le pratiquer ouvertement.

      3 Le baptême enseigne la nécessité de « mourir au péché », et d’être « délivré » de tout ce qui motive les impies et les profanes ; il enseigne également qu’il faut « ressusciter » dans une marche avec Dieu, en nouveauté de vie.

      Ceux qui professent l’impiété peuvent manifester des signes extérieurs d'une mort au péché, et d'une nouvelle naissance de la justice, mais ne sont jamais passés en fait, de la « famille » de Satan à celle de Dieu.

      La nature corrompue de chaque individu, est désignée par le « vieil homme », elle découle de notre premier père Adam ; lors de la nouvelle naissance du véritable croyant, elle est « crucifiée » avec Christ, par la Grâce qui provient de la croix. Cet état peut paraître faible et moribond, cependant il mène à la vie, et même, vers la victoire spirituelle ! Mais toutes les convoitises du corps, voué au péché, et tout ce qui n'est pas conforme à la sainte loi divine, tout cela doit être écarté, afin que les croyants ne puissent plus être esclaves du mal, mais qu'ils soient « vivants » pour Dieu, et soient heureux de Le servir !

      11 Nous trouvons dans ce texte les raisons les plus valables pour lutter contre le péché et pour nous consacrer à l’affermissement de notre sainteté. Étant, par la Grâce, libérés du règne du péché, vivant pour Dieu, et ayant la perspective de la vie éternelle, il convient aux croyants d’avancer avec ferveur vers ce but. Les convoitises de « l’ancienne nature » du croyant n’étant pas tout à fait étouffées, ce dernier doit vigoureusement leur résister, en luttant sérieusement, avec l’aide de la Grâce divine, afin de ne point se laisser dériver dans cet état mortel. Le fait de savoir que l’état de cette ancienne nature aura bientôt une fin, encourage le véritable chrétien, en particulier dans sa lutte contre les tentations, les convoitises, éléments qui l'embarrassent si souvent et l'affligent...

      Plaçons-nous à la disposition de Dieu, tels des « armes » ou des « outils », prêts pour le combat et l'œuvre de la Justice, à Son service. Nous disposons de la Puissance de la Grâce divines. Le péché ne dominera plus sur nous. Les promesses que Dieu nous a adressées sont plus puissantes et plus efficaces, pour anéantir le péché, que celles que nous pourrions lui faire.

      Le péché peut troubler le véritable croyant, mais en fin de compte, ce dernier ne sera pas dominé ; il pourra être blessé par ses chutes éventuelles, mais celles-ci ne domineront pas en lui !

      Quelqu'un pourrait-il prétexter cette doctrine pour se permettre de pratiquer délibérément le péché ? Que de telles pensées abominables, si contraires aux perfections de Dieu, et à la conception de l’Évangile, si opposées à l'existence de la Grâce, soient rejetées ! Qu’est-ce qui pourrait vaincre plus efficacement le péché, que l'Amour de Christ ? Continuerions-nous délibérément à pécher contre une telle Bonté et un tel Amour ?

      16 Tout homme est serviteur d’un maître, auquel il doit rendre des comptes, qu’il s’agisse des culpabilités de son cœur, qui conduisent à la mort, ou de l'obéissance nouvelle et spirituelle implantée par la régénération.

      Dans ce texte, l'apôtre se réjouit de voir les nouveaux convertis obéir de tout cœur à l'Évangile, auquel ils se conforment en tous points. De même que du métal prenant la forme d’un vase neuf, quand il est fondu et versé dans un moule, le croyant, né de nouveau, devient une autre créature. Il y a ainsi une grande différence dans la liberté de pensée de l’impie et l'esprit du croyant : ils sont opposés quant à leur « esclavage » ; cela permet au véritable chrétien, assurant le service de son Seigneur légitime, de Le considérer comme son Père, tout en sachant qu’il est lui-même Son fils et Son héritier, par l'adoption de la Grâce.

      Quand on est dominé par le péché, on en devient esclave, volontairement, sans en détester, hélas, le pouvoir néfaste. Ceux qui sont maintenant serviteurs de Dieu, étaient jadis esclaves du péché.

      21 Le plaisir et le profit du péché ne sont absolument pas ses « fruits ». Les pécheurs ne sont que des « semeurs d'iniquité et de vanité », ne moissonnant que les mauvais fruits qui en résultent. La honte est arrivée dans le monde avec le péché, et elle en est encore une manifestation certaine. Le fruit du péché, c'est la mort. Bien que le chemin de l’iniquité puisse paraître agréable et attirant, il ne finira cependant qu'en amertume.

      Devant une telle constatation, le croyant est libre, il est affranchi de l’esclavage du péché. Si le fruit de son existence est la sainteté, s'il connaît une croissance spirituelle active, sous le régime de la Grâce véritable, il connaîtra la vie éternelle, en fait, une fin très heureuse ! Bien que ce chemin de la sainteté, étroit et épineux, culmine au « sommet d'une colline », difficile à gravir, il mène cependant à la vie éternelle.

      Le don de Dieu est la vie éternelle. Ce don s’acquiert par le biais de notre Seigneur Jésus-Christ. Christ l'a « acheté », l'a préparé, nous y prépare et nous préserve ; Il représente tout notre salut !

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