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La Bible en 1 an - Jour 229

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Versets relatifs

    • 1 Samuel 9

      1 A cette époque-là, dans le pays de Benjamin, vivait un Benjaminite de condition aisée ; il s’appelait Quich et était fils d’Abiel, lui-même fils de Seror, petit-fils de Bekorath et arrière-petit-fils d’Afia.
      2 Quich avait un fils nommé Saül, un beau jeune homme : personne en Israël n’avait plus belle allure que lui, il dépassait tout le monde d’une tête.
      3 Un jour, les ânesses de Quich s’égarèrent. Quich ordonna donc à son fils Saül de prendre avec lui un serviteur et de partir à la recherche de ces bêtes.
      4 Saül et son compagnon traversèrent d’abord la région montagneuse d’Éfraïm, puis le territoire de Chalicha, mais ils ne trouvèrent rien ; ils passèrent par celui de Chaalim, en vain, puis par celui de Benjamin, mais ils ne trouvèrent toujours rien.
      5 Quand ils arrivèrent dans la région de Souf, Saül dit à son serviteur : « Rentrons à la maison, sinon mon père oubliera les ânesses pour ne plus s’inquiéter que de nous. »
      6 Le serviteur répondit : « Je sais que dans cette ville, là, devant nous, il y a un prophète, un homme réputé : tout ce qu’il annonce arrive à coup sûr. Allons donc le voir maintenant ; il nous indiquera peut-être de quel côté nous devons poursuivre nos recherches. » –
      7 « Mais, si nous y allons, dit Saül, qu’apporterons-nous à ce prophète ? Nous n’avons plus de pain dans nos sacs, nous n’avons aucun cadeau à lui offrir, il ne nous reste rien. » –
      8 « J’ai avec moi une petite pièce d’argent, reprit le serviteur ; nous la lui donnerons pour qu’il nous indique le chemin à prendre. »
      9 Saül dit alors : « C’est bien ; allons-y. » Et ils se rendirent à la ville où se trouvait le prophète. En cours de route, ils croisèrent des jeunes filles qui descendaient de la ville pour aller puiser de l’eau. Ils leur demandèrent : « Est-ce que le voyant est ici ? » – Autrefois en Israël, lorsqu’on voulait consulter Dieu, on disait : « Allons donc chez le voyant ». En effet, celui qu’on appelle aujourd’hui “prophète”, on l’appelait alors “voyant”. –
      12 Les jeunes filles leur répondirent : « Oui, il est arrivé juste avant vous ; il est venu dans notre ville aujourd’hui, car c’est le jour où la population offre un sacrifice sur le lieu sacré. Dépêchez-vous
      13 et vous le trouverez dès que vous entrerez en ville, avant qu’il monte au lieu sacré pour le repas. Personne ne mangera avant qu’il arrive, car c’est lui qui doit bénir le sacrifice ; les invités ne mangeront qu’ensuite. Allez-y maintenant, vous le trouverez tout de suite. »
      14 Ils continuèrent leur route. Au moment où ils entraient dans la ville, Samuel, qui en sortait pour se rendre au lieu sacré, arriva près d’eux.
      15 Or le jour précédent, le Seigneur avait averti Samuel de cette rencontre en disant :
      16 « Demain à la même heure, je te ferai rencontrer un homme de la tribu de Benjamin ; tu le consacreras comme chef de mon peuple Israël, pour qu’il le délivre du pouvoir des Philistins. En effet, mon peuple m’a appelé au secours, et j’ai vu dans quelle situation il se trouve. »
      17 Ainsi, dès que Samuel aperçut Saül, le Seigneur lui dit : « Voici l’homme dont je t’ai parlé ; c’est lui qui gouvernera mon peuple. »
      18 Saül s’approcha de Samuel et, à la porte de la ville, lui demanda : « Indique-moi, s’il te plaît, où loge le voyant. » –
      19 « C’est moi, le voyant, répondit Samuel. Veuille passer devant moi et montons au lieu sacré. Pour aujourd’hui, vous mangerez avec moi ; demain matin, quand j’aurai répondu à toutes les questions que tu te poses, je te laisserai aller.
      20 Quant aux ânesses disparues depuis trois jours, ne t’en inquiète plus : on les a retrouvées. Mais il faut maintenant que tu saches vers qui se porte l’attente du peuple d’Israël : c’est vers toi, vers la famille de ton père ! »
      21 Saül répondit : « Comment ? Je ne suis qu’un Benjaminite, un membre de la plus petite des tribus d’Israël, et mon clan est le moins nombreux de la tribu de Benjamin ! Comment peux-tu me dire une telle chose ? »
      22 Cependant Samuel emmena Saül et son serviteur et les conduisit dans la salle du repas ; il les installa à la place d’honneur, en compagnie d’une trentaine d’invités.
      23 Il ordonna ensuite au cuisinier d’apporter le morceau de viande qu’il lui avait remis et fait mettre de côté.
      24 Celui-ci alla chercher le gigot avec le morceau attenant et les déposa devant Saül. Samuel dit alors à Saül : « Voici devant toi les morceaux qu’on t’a réservés pour cette occasion. Mange, en compagnie de ceux que j’ai invités. » Ainsi Saül mangea, ce jour-là, avec Samuel.
      25 Puis ils redescendirent du lieu sacré à la ville, et Samuel s’entretint avec Saül, sur le toit en terrasse de la maison.
      26 Le lendemain, Saül et son serviteur se réveillèrent de bon matin. Lorsque le jour parut, Samuel appela Saül sur la terrasse : « En route, lui dit-il, je vais te raccompagner un bout de chemin. » Et Saül partit en compagnie de Samuel.
      27 Quand ils arrivèrent à la limite de la ville, Samuel dit à Saül : « Ordonne à ton serviteur de passer en avant. » Le serviteur s’éloigna. Samuel reprit : « Et toi, maintenant, reste ici, je vais te faire connaître ce que déclare le Seigneur. »

      Jérémie 46

      1 Parole du Seigneur que le prophète Jérémie reçut concernant les nations.
      2 Au sujet de l’Égypte et de l’armée du roi d’Égypte, le Pharaon Néco. Celui-ci se trouvait à Karkémich, au bord de l’Euphrate, lorsque le roi Nabucodonosor de Babylone lui infligea une défaite. C’était la quatrième année du règne de Joaquim, fils de Josias et roi de Juda.
      3 Les officiers hurlent : « Préparez les boucliers, les grands et les petits. Avancez pour le combat.
      4 Attelez les chevaux, en selle, cavaliers ! Mettez le casque ! A vos rangs ! Astiquez les lances, revêtez les cuirasses. »
      5 Mais que se passe-t-il ? Que vois-je ? Ils perdent courage, ils cèdent du terrain. Leurs troupes d’élite sont battues, c’est le sauve-qui-peut, personne ne se retourne ; c’est la terreur de toutes parts, déclare le Seigneur.
      6 Inutile aux plus rapides de vouloir se sauver ! Inutile aux troupes d’élite de vouloir échapper ! Là-bas, vers le nord, sur les bords de l’Euphrate, ils trébuchent, et c’est la chute.
      7 Qui donc ressemble au Nil en crue, à ce fleuve aux eaux bouillonnantes ?
      8 C’est l’Égypte. Elle disait : « Comme le Nil en crue, comme ses eaux bouillonnantes, je vais inonder la terre et anéantir les villes avec leurs habitants.
      9 A l’assaut, les chevaux, à toute allure, les chars ! En avant, les troupes d’élite, gens de Kouch et de Pouth, porteurs du petit bouclier, et gens de Loud, armés de l’arc ! »
      10 Mais pour le Seigneur, pour le Dieu de l’univers, c’est le jour attendu, le jour de la revanche contre ses adversaires. L’épée est comme un monstre qui dévore à sa faim et s’enivre de leur sang. Quel carnage pour le Seigneur, pour le Dieu de l’univers, au pays du nord, sur les bords de l’Euphrate !
      11 Malheureuse Égypte, monte jusqu’en Galaad y chercher du baume calmant... Mais il est inutile de multiplier les soins : ta blessure ne guérira pas.
      12 Les nations ont appris comment tu as été humiliée, car ta plainte s’entend partout. Le héros heurte un autre héros, ils trébuchent et tombent tous les deux.
      13 Parole que le Seigneur adressa au prophète Jérémie, quand le roi Nabucodonosor de Babylone arriva pour attaquer l’Égypte :
      14 « Annoncez la nouvelle en Égypte, faites-la connaître à Migdol, à Memphis et à Tapanès. Dites-leur : “A vos postes, aux armes !” Car la guerre a déjà englouti vos voisins.
      15 Mais que se passe-t-il ? Ton taureau sacré est à terre ; il n’a pas résisté à la poussée du Seigneur,
      16 qui fait trébucher et tomber une foule de soldats. Ils se disent l’un à l’autre : “Allons, retournons chez nous, dans notre patrie, fuyons les horreurs de la guerre.”
      17 Quant au Pharaon, le roi d’Égypte, qu’on lui attribue ce surnom : “Beaucoup de bruit pour rien” !
      18 Par ma vie, j’en fais le serment, dit le Roi, qui a pour nom “le Seigneur de l’univers” : l’ennemi viendra, c’est aussi sûr que le Tabor est une montagne et que le Carmel domine la mer !
      19 Population d’Égypte, c’est le moment pour toi de ramasser tes affaires pour partir en exil. Car la ville de Memphis va devenir un désert sinistre, une ruine inhabitée.
      20 Quelle jolie bête, l’Égypte ! Mais, venant du nord, une mouche piquante est arrivée sur elle.
      21 Les soldats mercenaires, en Égypte, étaient l’objet de tous les soins. Or même eux font demi-tour, tous, ils prennent la fuite. Aucun ne résiste quand arrive le jour du désastre, quand j’interviens contre eux.
      22 Ses troupes s’esquivent sans plus de bruit qu’un serpent dès que les ennemis arrivent en force contre elle, tels des bûcherons brandissant leur hache.
      23 Ils abattent sa forêt, son impénétrable forêt ; c’est ce qu’annonce le Seigneur. Ils arrivent en masse, comme un nuage de sauterelles, innombrables.
      24 C’est la honte pour l’Égypte : elle tombe au pouvoir d’un peuple venu du nord. »
      25 Le Seigneur de l’univers, le Dieu d’Israël, annonce : “Je vais intervenir contre Amon, le dieu de Thèbes, contre l’Égypte, ses dieux et ses rois – contre le Pharaon et ceux qui comptent sur lui –.
      26 Je vais les livrer à ceux qui désirent leur mort : le roi Nabucodonosor de Babylone et ses troupes. Plus tard l’Égypte pourra retrouver son ancienne situation.” Voilà ce que déclare le Seigneur.
      27 « Toi, Israël mon serviteur, n’aie donc pas peur ; ne perds pas courage, toi qui descends de Jacob, car je viens te sauver de ces régions lointaines. Je viens sauver tes enfants du pays où ils sont exilés. Israël, tu retrouveras tranquillité et sécurité, on ne vous inquiétera plus.
      28 Toi, Israël mon serviteur, n’aie donc plus peur, déclare le Seigneur, car je suis avec toi. Je veux en finir avec toutes les nations chez lesquelles je t’ai dispersé, mais non pas avec toi, bien que j’aie dû te corriger comme il fallait. Je ne pouvais tout de même pas te traiter en innocent ! »

      Romains 7

      1 Frères, vous savez sûrement déjà ce que je vais vous dire, car vous connaissez la loi : la loi n’a autorité sur un homme qu’aussi longtemps qu’il vit.
      2 Par exemple, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il vit ; mais si le mari meurt, elle est libérée de la loi qui la liait à lui.
      3 Si donc elle devient la femme d’un autre homme du vivant de son mari, on la considère comme adultère ; mais si son mari meurt, elle est libre par rapport à la loi, de sorte qu’elle peut devenir la femme d’un autre sans être adultère.
      4 Il en va de même pour vous, mes frères. Vous êtes morts à l’égard de la loi, en étant unis au corps du Christ. Ainsi vous appartenez maintenant à un autre, c’est-à-dire à celui qui a été ramené d’entre les morts afin que nous produisions ce qui est agréable à Dieu.
      5 En effet, quand nous vivions selon notre propre nature, les désirs mauvais excités par la loi agissaient dans notre être tout entier et nous produisions ce qui mène à la mort.
      6 Mais maintenant, nous sommes libérés de la loi, car nous sommes morts à ce qui nous retenait prisonniers. Nous pouvons donc servir Dieu d’une façon nouvelle, sous l’autorité de l’Esprit Saint, et non plus à la façon ancienne, sous l’autorité de la loi écrite.
      7 Que faut-il en conclure ? La loi est-elle péché ? Certainement pas ! Mais la loi m’a fait connaître ce qu’est le péché. En effet, je n’aurais pas su ce qu’est la convoitise si la loi n’avait pas dit : « Tu ne convoiteras pas. »
      8 Le péché a saisi l’occasion offerte par le commandement pour produire en moi toutes sortes de convoitises. Car, sans la loi, le péché est chose morte.
      9 Autrefois, sans la loi, j’étais vivant ; mais quand le commandement est intervenu, le péché a pris vie
      10 et moi je suis mort : le commandement qui devait conduire à la vie s’est trouvé, dans mon cas, conduire à la mort.
      11 Car le péché a saisi l’occasion, il m’a trompé au moyen du commandement et, par lui, il m’a fait mourir.
      12 Ainsi, la loi elle-même est sainte et le commandement est saint, juste et bon.
      13 Ce qui est bon est-il devenu alors une cause de mort pour moi ? Certainement pas ! C’est le péché qui en a été la cause. Il a fait apparaître ainsi sa véritable nature de péché : il a utilisé ce qui est bon pour causer ma mort. Et voilà comment le péché est devenu, au moyen du commandement, plus gravement péché que jamais.
      14 Nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis un être faible, vendu comme esclave au péché.
      15 Je ne comprends pas ce que je fais : car je ne fais pas ce que je voudrais faire, mais je fais ce que je déteste.
      16 Si je fais précisément ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.
      17 Ce n’est donc pas moi qui agis ainsi, mais c’est le péché qui habite en moi.
      18 Car je sais que le bien n’habite pas en moi, c’est-à-dire en l’être faible que je suis. Certes, le désir de faire le bien existe en moi, mais non la capacité de l’accomplir.
      19 En effet, je ne fais pas le bien que je veux et je fais le mal que je ne veux pas.
      20 Si je fais ce que je ne veux pas, alors ce n’est plus moi qui agis ainsi, mais le péché qui habite en moi.
      21 Je découvre donc ce principe : moi qui veux faire le bien, je suis seulement capable de faire le mal.
      22 Au fond de moi-même, je prends plaisir à la loi de Dieu.
      23 Mais je trouve dans mon être une autre loi qui combat contre celle qu’approuve mon intelligence. Elle me rend prisonnier de la loi du péché qui est en moi.
      24 Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui m’entraîne à la mort ?
      25 Dieu soit loué, par Jésus-Christ notre Seigneur ! Ainsi, je suis au service de la loi de Dieu par mon intelligence, mais dans ma faiblesse humaine, je suis asservi à la loi du péché.
    • 1 Samuel 9

      1 Or il y avait un homme de Benjamin, nommé Kis, fils d'Abiel, fils de Tséror, fils de Bécorath, fils d'Aphiach, fils d'un Benjamite, et vaillant homme.
      2 Il avait un fils, nommé Saül, jeune et beau, et aucun des enfants d'Israël n'était plus beau que lui ; et, des épaules en haut, il dépassait tout le peuple.
      3 Or, les ânesses de Kis, père de Saül, s'étaient égarées ; et Kis dit à Saül, son fils : Prends maintenant avec toi un des serviteurs, lève-toi, et va chercher les ânesses.
      4 Il passa donc par la montagne d'Éphraïm, et il passa par le pays de Shalisha, mais ils ne les trouvèrent point ; puis ils passèrent par le pays de Shaalim, et elles n'y étaient pas ; ils passèrent ensuite par le pays de Benjamin, et ils ne les trouvèrent point.
      5 Quand ils furent venus au pays de Tsuph, Saül dit à son serviteur, qui était avec lui : Viens, et retournons-nous-en, de peur que mon père ne cesse de s'inquiéter des ânesses, et ne soit en peine de nous.
      6 Mais il lui dit : Voici, je te prie, il y a dans cette ville un homme de Dieu, et c'est un homme vénéré, et tout ce qu'il dit arrive ; allons-y maintenant ; peut-être qu'il nous enseignera le chemin que nous devons suivre.
      7 Et Saül dit à son serviteur : Mais si nous y allons, que porterons-nous à cet homme ? car nos sacs sont vides de provisions, et nous n'avons aucun présent à porter à l'homme de Dieu. Qu'avons-nous avec nous ?
      8 Et le serviteur répondit de nouveau à Saül, et dit : Voici il se trouve encore entre mes mains le quart d'un sicle d'argent ; je le donnerai à l'homme de Dieu, et il nous enseignera notre chemin.
      9 (Autrefois en Israël, quand on allait consulter Dieu, on disait ainsi : Venez, allons jusqu'au Voyant ; car celui qu'on appelle aujourd'hui le prophète, s'appelait autrefois le Voyant.)
      10 Et Saül dit à son serviteur : Tu as bien dit ; viens, allons. Et ils s'en allèrent à la ville où était l'homme de Dieu.
      11 Comme ils montaient par la montée de la ville, ils trouvèrent des jeunes filles qui sortaient pour puiser de l'eau, et ils leur dirent : Le Voyant est-il ici ?
      12 Et elles leur répondirent, et dirent : Il y est, le voilà devant toi ; hâte-toi maintenant ; car il est venu aujourd'hui à la ville, parce que le peuple fait aujourd'hui un sacrifice sur le haut lieu.
      13 Dès que vous serez entrés dans la ville, vous le trouverez, avant qu'il monte au haut lieu pour manger ; car le peuple ne mangera point jusqu'à ce qu'il soit venu, parce qu'il doit bénir le sacrifice ; après cela ceux qui sont conviés en mangeront. Montez donc maintenant ; car vous le trouverez précisément aujourd'hui.
      14 Ils montèrent donc à la ville. Comme ils entraient dans le milieu de la ville, voici, Samuel, qui sortait pour monter au haut lieu, les rencontra.
      15 Or, un jour avant que Saül vînt, l'Éternel avait fait à Samuel une révélation, lui disant :
      16 Demain, à cette même heure, je t'enverrai un homme du pays de Benjamin, et tu l'oindras pour être conducteur de mon peuple d'Israël, et il délivrera mon peuple de la main des Philistins. Car j'ai regardé mon peuple, parce que son cri est venu jusqu'à moi.
      17 Et lorsque Samuel eut vu Saül, l'Éternel lui dit : Voici l'homme dont je t'ai parlé ; c'est lui qui dominera sur mon peuple.
      18 Et Saül s'approcha de Samuel, au milieu de la porte, et dit : Indique-moi, je te prie, où est la maison du Voyant.
      19 Et Samuel répondit à Saül, et dit : C'est moi qui suis le Voyant. Monte devant moi au haut lieu, et vous mangerez aujourd'hui avec moi ; et je te laisserai aller au matin, et je te déclarerai tout ce qui est en ton coeur.
      20 Mais quant aux ânesses que tu as perdues, il y a aujourd'hui trois jours, ne t'en mets point en peine, parce qu'elles ont été retrouvées. Et vers qui tend tout le désir d'Israël ? N'est-ce point vers toi, et vers toute la maison de ton père ?
      21 Et Saül répondit, et dit : Ne suis-je pas Benjamite, de la moindre tribu d'Israël, et ma famille n'est-elle pas la plus petite de toutes les familles de la tribu de Benjamin ? Et pourquoi m'as-tu tenu de tels discours ?
      22 Samuel prit Saül et son serviteur, et il les fit entrer dans la salle, et leur donna une place à la tête des conviés, qui étaient environ trente hommes.
      23 Et Samuel dit au cuisinier : Donne la portion que je t'ai donnée, et que je t'ai dit de réserver.
      24 Alors le cuisinier prit l'épaule, avec ce qui est dessus, et la mit devant Saül. Et Samuel dit : Voici ce qui a été réservé ; mets-le devant toi, et mange, car il t'a été gardé pour cette heure, lorsque je résolus de convier le peuple. Et Saül mangea avec Samuel ce jour-là.
      25 Ils descendirent ensuite du haut lieu dans la ville, et Samuel parla avec Saül sur la plate-forme.
      26 Puis ils se levèrent de bon matin, et à la pointe du jour, Samuel appela Saül sur la plate-forme, et lui dit : Lève-toi, et je te laisserai aller. Saül se leva donc, et ils sortirent tous deux, lui et Samuel.
      27 Comme ils descendaient au bas de la ville, Samuel dit à Saül : Dis au serviteur qu'il passe devant nous (et il passa) ; mais toi, arrête-toi maintenant, que je te fasse entendre la parole de Dieu.

      Jérémie 46

      1 La parole de l'Éternel, qui fut adressée à Jérémie, le prophète, pour les nations,
      2 Touchant l'Égypte, touchant l'armée de Pharaon-Néco, roi d'Égypte, qui était près du fleuve de l'Euphrate, à Carkémish, et qui fut battue par Nébucadnetsar, roi de Babylone, la quatrième année de Jéhojakim, fils de Josias, roi de Juda.
      3 Préparez le bouclier et l'écu, et approchez-vous pour le combat !
      4 Attelez les chevaux, et vous, cavaliers, montez ! Présentez-vous avec les casques, fourbissez les lances, revêtez les cuirasses !
      5 Que vois-je ? Ils sont effrayés ; ils tournent le dos ; leurs hommes forts sont mis en pièces ; et ils fuient sans regarder en arrière ; la frayeur est de toutes parts, dit l'Éternel.
      6 Que le plus léger ne s'enfuie point, et que le fort n'échappe pas ! Au nord, sur les bords du fleuve d'Euphrate, ils chancellent et tombent !
      7 Qui est celui qui monte comme le Nil, et dont les eaux s'émeuvent comme les fleuves ?
      8 C'est l'Égypte. Elle monte comme le Nil ; ses eaux s'émeuvent comme les fleuves ; elle dit : "Je monterai ; je couvrirai la terre ; je détruirai les villes et ceux qui y habitent !"
      9 Montez, chevaux ; chars, précipitez-vous ! Et que les hommes vaillants se montrent : ceux de Cush et de Put qui manient le bouclier, et les Ludiens qui manient et bandent l'arc !
      10 Ce jour est au Seigneur, à l'Éternel des armées ; c'est un jour de vengeance, pour se venger de ses ennemis. L'épée dévore, s'assouvit, s'enivre de leur sang ; car il y a un sacrifice au Seigneur, l'Éternel des armées, dans le pays du nord, sur les bords de l'Euphrate.
      11 Monte en Galaad, et prends du baume, vierge, fille de l'Égypte ! En vain multiplies-tu les remèdes ; point de guérison pour toi !
      12 Les nations ont appris ta honte, et ton cri remplit la terre ; car les forts ont chancelé l'un sur l'autre, et tous deux sont tombés ensemble.
      13 La parole que l'Éternel prononça à Jérémie, le prophète, touchant la venue de Nébucadnetsar, roi de Babylone, pour frapper le pays d'Égypte :
      14 Annoncez-le en Égypte ; publiez-le à Migdol, publiez-le à Noph et à Tachphanès ! Dites : Lève-toi et tiens-toi prêt ; car l'épée dévore autour de toi.
      15 Pourquoi tes vaillants hommes sont-ils emportés ? Ils n'ont pu tenir ferme, parce que l'Éternel les a renversés.
      16 Il en a fait chanceler un grand nombre, et même ils tombent l'un sur l'autre, et ils disent : "Allons, retournons vers notre peuple et au pays de notre naissance, loin de l'épée qui désole."
      17 Là, ils s'écrient : "Pharaon, roi d'Égypte, n'est que du bruit ! Il a laissé échapper l'occasion."
      18 Je suis vivant, dit le roi dont le nom est l'Éternel des armées, comme le Thabor entre les montagnes, comme le Carmel qui s'avance dans la mer, il viendra !
      19 Fais ton bagage pour la captivité, habitante, fille de l'Égypte ; car Noph deviendra un désert, elle sera brûlée, elle n'aura plus d'habitants.
      20 L'Égypte est comme une très belle génisse ; mais la destruction vient, elle vient du nord.
      21 Ses mercenaires aussi sont chez elle comme des veaux bien nourris. Mais eux aussi, ils tournent le dos, ils fuient ensemble ; ils ne tiennent pas ferme ; car le jour de la calamité est venu sur eux, le temps de leur visitation.
      22 Sa voix se fait entendre comme celle du serpent ; car ils marchent avec une armée, et ils viennent contre elle avec des haches, comme des bûcherons.
      23 Ils coupent sa forêt, dit l'Éternel, parce qu'elle est impénétrable. Car ils sont plus nombreux que les sauterelles, on ne pourrait les compter.
      24 La fille d'Égypte est honteuse ; elle est livrée entre les mains d'un peuple du nord.
      25 L'Éternel des armées, le Dieu d'Israël a dit : Voici, je vais punir Amon de No, Pharaon, l'Égypte, ses dieux et ses rois, Pharaon et ceux qui se confient en lui.
      26 Et je les livrerai entre les mains de ceux qui cherchent leur vie, entre les mains de Nébucadnetsar, roi de Babylone, et entre les mains de ses serviteurs. Mais après cela, elle sera habitée comme aux jours d'autrefois, dit l'Éternel.
      27 Et toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point ; ne t'épouvante pas, Israël ! Car voici, je te délivrerai du pays lointain, et ta postérité de la terre où elle est captive. Alors Jacob reviendra, et sera en repos et à l'aise, et il n'y aura personne qui le trouble.
      28 Toi, Jacob, mon serviteur, ne crains point, dit l'Éternel ; car je suis avec toi. Je détruirai entièrement toutes les nations parmi lesquelles je t'ai dispersé ; mais toi, je ne te détruirai point entièrement ; je te châtierai avec mesure ; cependant je ne te tiendrai pas pour innocent.

      Romains 7

      1 Frères, ne savez-vous pas, (car je parle à des personnes qui connaissent la loi) que la loi n'a de pouvoir sur l'homme que pendant qu'il est en vie ?
      2 En effet, la femme qui est mariée, est liée par la loi à son mari, tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi du mari.
      3 Si donc, durant la vie de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère, si elle épouse un autre homme.
      4 Ainsi donc, vous aussi, mes frères, vous êtes morts à la loi, par le corps de Christ, pour être à un autre, savoir, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.
      5 Car lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés, excitées par la loi, agissaient dans nos membres, de manière à produire des fruits pour la mort.
      6 Mais maintenant que nous sommes délivrés de la loi, étant morts à celle sous laquelle nous étions retenus, nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon la lettre, qui a vieilli.
      7 Que dirons-nous donc ? La loi est-elle la cause du péché ? Nullement ! Au contraire, je n'ai connu le péché que par la loi ; car je n'eusse point connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point.
      8 Mais le péché, prenant occasion du commandement, a produit en moi toute sorte de convoitises. Car sans la loi, le péché est mort.
      9 Pour moi, autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie,
      10 Et moi, je suis mort ; et il s'est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m'a donné la mort.
      11 Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir.
      12 Ainsi la loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.
      13 Ce qui est bon m'a-t-il donc donné la mort ? Nullement ! mais c'est le péché, afin qu'il parût péché, en me donnant la mort par une chose bonne et que le péché devînt excessivement pécheur par le commandement.
      14 En effet, nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi je suis charnel, vendu au péché.
      15 Car je n'approuve point ce que je fais, je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais.
      16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.
      17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.
      18 Car je sais que le bien n'habite point en moi, c'est-à-dire, dans ma chair, parce que j'ai la volonté de faire le bien ; mais je ne parviens pas à l'accomplir.
      19 Car je ne fais pas le bien que je veux ; mais je fais le mal que je ne veux pas faire.
      20 Que si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.
      21 Je trouve donc cette loi en moi ; c'est que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.
      22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;
      23 Mais je vois une autre loi dans mes membres, qui combat contre la loi de mon esprit et qui me rend captif sous la loi du péché, qui est dans mes membres.
      24 Misérable homme que je suis ! qui me délivrera de ce fardeau de mort ?
      25 Je rends grâces à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! Je suis donc assujetti moi-même, par l'esprit, à la loi de Dieu, mais par la chair, à la loi du péché.
    • 1 Samuel 9

      Jérémie 46

      Romains 7

      1 Mes frères, vous connaissez bien la loi juive ; en tout cas, vous possédez tous suffisamment de notions juridiques pour savoir qu’une personne est soumise à la loi seulement de son vivant. Si elle meurt, la loi perd toute emprise sur elle.
      2 Ainsi, par exemple, une femme mariée est liée légalement à son mari tant que celui-ci est en vie. S’il vient à mourir, elle est dégagée de la loi matrimoniale qui l’unissait à lui.
      3 Si, du vivant de son époux, elle se donnait à un autre homme, elle serait taxée d’adultère. Après le décès de son conjoint, elle est légalement libre et ne commet donc pas d’adultère en épousant quelqu’un d’autre.
      4 Il en est de même pour vous, mes frères : la mort subie par le Christ est aussi la vôtre, puisque vous êtes devenus un avec lui. Cette mort a creusé un fossé infranchissable entre la loi et vous. Si vous êtes morts, le lien qui vous unissait à la loi est donc rompu. La loi n’a plus de pouvoir sur vous. Vous êtes par conséquent libres d’appartenir à un autre, de contracter une union avec lui, je veux dire : avec le Christ, le Ressuscité, qui vous a arrachés à la mort avec lui. Unis à lui, vous pouvez à présent porter des fruits pour Dieu et accomplir ce qui lui est agréable.
      5 Lorsque, livrés à nous-mêmes, nous croyions mener notre vie selon notre bon plaisir, c’étaient en fait nos instincts corrompus qui nous dictaient notre comportement. La loi ne réussissait qu’à exciter et attiser nos passions. Les désirs coupables, exaspérés par l’interdiction, nous poussaient au mal. Ils étaient si actifs dans nos membres que les fruits de notre vie nous destinaient à la mort.
      6 Mais maintenant, nous avons été soustraits au pouvoir de la loi. Oui, le tyran n’a pu retenir ses esclaves : la mort nous a fait sortir de la prison où la loi nous gardait captifs. À présent, nous possédons une nouvelle vie. Nous sommes libres de servir Dieu, et nous le servons, non plus comme sous le régime périmé du code légal, en étant assujettis à des prescriptions écrites, mais d’une manière spirituelle, avec les forces que nous donne l’Esprit du Christ en nous.
      7 Faudrait-il en conclure que « loi et péché sont une seule et même chose » ? Certes non ! Mais, par la loi, j’ai appris à identifier le péché et à prendre conscience de ma culpabilité. Par exemple, je n’aurais pas su que c’est mal de désirer ce que les autres possèdent, si la loi ne m’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas. Je ne me serais jamais senti coupable sans cette déclaration.
      8 Mais alors, le péché qui était en moi a trouvé dans le commandement une occasion de se manifester ; il s’en est forgé une arme contre moi. L’interdiction même lui a servi pour susciter en moi toutes sortes de convoitises, la défense n’a fait qu’exciter mes mauvais désirs. Or, là où il n’y a pas de loi, le péché est inerte.
      9 Ah ! autrefois, avant d’être soumis à la loi, je vivais tranquille. Mais dès que survint le commandement, le péché s’éveilla à la vie –
      10 et moi, je mourus. Je pris conscience d’être un pécheur, c’est-à-dire un condamné à mort. Ainsi, la loi qui devait me servir de guide sur le chemin de la vie m’a, en fait, mené vers la condamnation et la mort.
      11 En réalité, le commandement devint l’instrument du mal qui a saisi cette occasion pour me séduire et me tuer,
      12 car la loi en elle-même est sainte et chaque commandement est saint, juste et bon.
      13 Est-il donc possible que quelque chose de bon en soi ait des conséquences si néfastes ? Le bien peut-il me faire mourir ? Évidemment non ! L’auteur de ce crime, c’est le péché. Sa véritable nature devait être démasquée. Or, en me donnant la mort par une bonne chose, il a montré son vrai visage : grâce au commandement, il est apparu dans toute sa virulence. Sa nature foncièrement maléfique a donc paru au grand jour.
      14 Nous savons que la loi a été inspirée par l’Esprit de Dieu. Elle est donc spirituelle, mais moi, je ne le suis pas. Je préfère laisser mes propres pensées me diriger. Et voilà pourquoi je suis comme un homme livré à lui-même, à la merci du péché, comme un esclave entre ses mains.
      15 Vraiment, je ne me comprends pas moi-même : mon comportement me désoriente et je ne reconnais pas mes propres actes : ma façon d’agir me paraît étrangère à moi-même. Je fais, non ce que ma volonté a décidé, mais ce que je déteste et que mon sens moral réprouve.
      16 Par mes convictions intimes, je rends hommage à la loi, mon être profond l’approuve et en reconnaît l’excellence. Mais c’est plus fort que moi. Je ne puis faire autrement.
      17 Le véritable acteur, ce n’est donc plus moi, mais le péché qui s’est installé en moi. C’est lui qui me pousse irrésistiblement à de mauvaises actions.
      18 Par expérience, je sais qu’en moi, c’est-à-dire dans mon être naturel, n’habite rien de bon. Ce n’est pas la bonne volonté qui me manque, mais plutôt la force de réaliser mes bonnes intentions.
      19 Je n’arrive pas à accomplir le bien que je me propose et je commets, malgré moi, le mal que j’étais pourtant décidé à éviter.
      20 Si donc je fais ce que je ne veux pas, je ne suis pas vraiment maître de moi-même. Celui qui me gouverne et me fait agir, ce n’est plus mon moi, c’est le péché qui a élu domicile en moi.
      21 Je vis en constante contradiction avec moi-même : je voudrais faire le bien, mais je constate que seul le mal est à ma portée, et je ne puis résister à ses sollicitations.
      22 Mon être intérieur adhère de tout cœur à la loi divine, il en approuve joyeusement les exigences.
      23 Cependant, je suis bien obligé de constater, en mon corps, l’empreinte d’une autre loi. Mes facultés humaines sont régies par un principe opposé à celui de ma raison et qui me met sans cesse en conflit avec la loi de ma conscience. Et cette force mauvaise me domine si bien que je me retrouve prisonnier sous la férule du péché qui est à l’œuvre dans mes membres.
      24 Quel déchirement terrible ! Infortuné que je suis ! Qui me libérera de l’emprise de ma nature pécheresse ? Qui affranchira mon corps de l’esclavage des mauvais instincts ?
      25 Dieu merci ! Il existe une issue : Dieu lui-même m’a délivré par Jésus-Christ notre Seigneur. (En résumé,) livré à moi-même et à mes propres forces, je suis, d’un côté, lié à la loi de Dieu par ma conscience et ma raison, mais d’un autre côté, je suis, dans ce que je vis concrètement, esclave de la loi du péché.
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