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La Bible en 1 an - Jour 230

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Versets relatifs

    • 1 Samuel 10

      1 Samuel prit alors le flacon d’huile qu’il avait emporté et le versa sur la tête de Saül. Puis il embrassa Saül et lui dit : « Le Seigneur lui-même t’a consacré comme chef de son peuple.
      2 Tout à l’heure tu vas me quitter. A Selsa, dans le territoire de Benjamin, tu rencontreras deux hommes près de la tombe de Rachel et ils te diront : “Les ânesses que tu cherches sont retrouvées ; ton père ne s’en soucie donc plus, mais il s’inquiète de vous et se demande ce qu’il doit faire pour retrouver son fils.”
      3 Tu continueras ton chemin et tu arriveras près du chêne de Tabor. Là, tu rencontreras trois hommes qui se rendent au sanctuaire de Béthel, l’un portant trois chevreaux, le deuxième trois galettes de pain, et le troisième une outre de vin.
      4 Ils te demanderont si tout va bien et t’offriront deux pains consacrés que tu accepteras.
      5 Ensuite, tu te rendras à Guibéa-Élohim, où se trouvent les gouverneurs philistins. Lorsque tu arriveras près de la ville, tu rencontreras un groupe de prophètes qui descendent du lieu sacré, précédés de joueurs de harpes, de tambourins, de flûtes et de lyres ; eux-mêmes seront en pleine excitation prophétique.
      6 Alors l’Esprit du Seigneur s’emparera de toi ; tu seras saisi de la même excitation qu’eux et tu deviendras un autre homme.
      7 Quand tous ces événements se seront produits, tu sauras que Dieu est vraiment avec toi. Dès lors, agis selon les circonstances.
      8 Tu devras encore descendre au Guilgal avant moi ; je t’y rejoindrai plus tard, pour offrir des sacrifices complets et des sacrifices de communion. Tu m’y attendras sept jours ; quand je serai là, je te communiquerai ce que tu devras faire. »
      9 Dès que Saül eut quitté Samuel, Dieu le transforma profondément. Et tous les événements annoncés par Samuel s’accomplirent ce même jour.
      10 Ainsi, lorsque Saül et son serviteur arrivèrent à Guibéa, ils rencontrèrent un groupe de prophètes ; l’Esprit de Dieu s’empara de Saül, qui se joignit à eux et fut saisi de la même excitation prophétique.
      11 Tous ceux qui le connaissaient de longue date et qui le virent tout excité au milieu des prophètes se demandèrent les uns aux autres : « Qu’est-il arrivé au fils de Quich ? Est-ce que Saül, lui aussi, est devenu prophète ? »
      12 L’un d’eux ajouta : « Et les autres, qui est leur maître ? » De là est né le proverbe qui dit : « Est-ce que Saül, lui aussi, est devenu prophète ? »
      13 Lorsque Saül eut retrouvé son calme, il se rendit au lieu sacré.
      14 Son oncle lui demanda : « Où êtes-vous allés, toi et ton serviteur ? » – « A la recherche des ânesses, répondit Saül. Mais nous ne les avons pas retrouvées, et nous sommes allés consulter Samuel. »
      15 L’oncle reprit : « Raconte-moi donc ce que Samuel vous a dit ». –
      16 « Il nous a simplement annoncé que les ânesses étaient retrouvées », affirma Saül. Mais il ne lui raconta rien de ce que Samuel lui avait dit au sujet de la royauté.
      17 Samuel convoqua les Israélites au sanctuaire de Mispa.
      18 Il leur dit : « Voici ce que déclare le Seigneur, le Dieu d’Israël : “C’est moi qui vous ai fait sortir d’Égypte, vous, le peuple d’Israël ; c’est moi qui vous ai délivrés de la domination des Égyptiens et de celle des autres royaumes qui vous ont opprimés.”
      19 Or vous, maintenant, continua Samuel, vous avez rejeté votre Dieu, qui pourtant vous a sauvés aux jours de malheur et d’angoisse, et vous lui avez dit : “Donne-nous un roi !” Eh bien, venez donc vous présenter devant le Seigneur, par tribus, puis par clans. »
      20 Samuel fit avancer chaque tribu d’Israël et tira au sort : le Seigneur désigna la tribu de Benjamin.
      21 Il fit alors avancer chaque clan de la tribu de Benjamin, et le clan de Matri fut désigné. Enfin, dans ce clan, Saül, fils de Quich, fut désigné. On le chercha, mais sans réussir à le trouver.
      22 On interrogea de nouveau le Seigneur : « Cet homme est-il venu ici ? » – « Allez voir parmi les bagages, répondit le Seigneur ; il y est caché. »
      23 On y courut, on l’en ramena, et il se présenta au milieu du peuple : il dépassait tout le monde d’une tête !
      24 Samuel dit au peuple : « Regardez ! Voici celui que le Seigneur a choisi. Il n’a pas son pareil dans tout le peuple. » Alors tous lui firent une ovation en criant : « Vive le roi ! »
      25 Ensuite, Samuel énuméra devant eux les droits et devoirs du roi, puis il les écrivit dans un livre qu’il déposa dans le sanctuaire. Enfin il renvoya les Israélites chez eux.
      26 De son côté, Saül rentra chez lui à Guibéa, accompagné d’une troupe de partisans que Dieu lui avait suscités.
      27 Mais il y eut aussi des vauriens pour dire : « Comment cet individu pourrait-il nous sauver ? » En effet, ils le méprisaient et ne lui apportèrent pas de cadeaux. Mais Saül n’y attacha pas d’importance.

      Jérémie 47

      1 Parole du Seigneur que le prophète Jérémie reçut concernant les Philistins. C’était avant que le Pharaon vienne attaquer Gaza.
      2 Voici ce que déclare le Seigneur : « Un flot qui grossit arrive du nord ; c’est bientôt un torrent impétueux, inondant le pays et ce qui s’y trouve, les villes et leurs populations. Les gens se mettent à crier, tous les habitants du pays entonnent une complainte.
      3 On entend les chevaux frapper le sol de leurs sabots, le grondement des chars, le fracas des roues. Les parents en oublient leurs enfants, ils se tiennent là, les bras ballants.
      4 C’est que le jour de la dévastation est venu pour tous les Philistins, si bien qu’il ne reste personne pour aider Tyr et Sidon. Le Seigneur ravage tout chez les Philistins, ces survivants de l’île de Kaftor.
      5 A Gaza, les têtes sont tondues, c’est le deuil. A Ascalon, c’est un silence de mort. Vous, les survivants des géants, jusqu’à quand vous entaillerez-vous le corps ?
      6 Vous dites : “Hélas, épée du Seigneur, ne prendras-tu jamais du repos ? Rentre dans ton fourreau, reste tranquille, arrête.”
      7 – Mais comment prendrait-elle du repos ? Le Seigneur lui a donné des ordres, et lui a confié comme objectif Ascalon et le bord de la mer. »

      Romains 8

      1 Maintenant donc, il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ.
      2 Car la loi de l’Esprit Saint, qui donne la vie par Jésus-Christ, t’a libéré de la loi du péché et de la mort.
      3 Dieu a accompli ce qui était impossible pour la loi de Moïse, parce que la faiblesse humaine la rendait impuissante : pour enlever le péché, il l’a condamné dans la nature humaine en envoyant son propre Fils vivre dans une condition semblable à celle de l’homme pécheur.
      4 Dieu a accompli cela pour que les exigences de la loi soient réalisées en nous qui vivons non plus selon notre propre nature, mais selon l’Esprit Saint.
      5 En effet, ceux qui vivent selon leur propre nature se préoccupent de ses désirs ; mais ceux qui vivent selon l’Esprit Saint se préoccupent des désirs de l’Esprit.
      6 Se préoccuper des désirs de sa propre nature mène à la mort ; mais se préoccuper des désirs de l’Esprit Saint mène à la vie et à la paix.
      7 Ceux qui sont dominés par les préoccupations de leur propre nature sont ennemis de Dieu ; ils ne se soumettent pas à la loi de Dieu, ils ne le peuvent même pas.
      8 Ceux qui dépendent de leur propre nature ne peuvent pas plaire à Dieu.
      9 Mais vous, vous ne vivez pas selon votre propre nature ; vous vivez selon l’Esprit Saint, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous. Celui qui n’a pas l’Esprit du Christ ne lui appartient pas.
      10 Si le Christ est en vous, votre corps reste tout de même destiné à la mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie en vous parce que vous avez été rendus justes devant Dieu.
      11 Si l’Esprit de celui qui a ramené Jésus d’entre les morts habite en vous, alors Dieu qui a ramené le Christ d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
      12 Ainsi donc, frères, nous avons des obligations, mais non envers notre propre nature pour vivre selon ses désirs.
      13 Car si vous vivez selon votre propre nature, vous allez mourir. Mais si, par l’Esprit Saint, vous faites mourir le comportement de votre être égoïste, vous vivrez.
      14 Tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont enfants de Dieu.
      15 Car l’Esprit que vous avez reçu n’est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse encore de peur ; mais c’est l’Esprit Saint qui fait de vous des enfants de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu : « Abba, ô mon Père ! »
      16 L’Esprit de Dieu atteste lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
      17 Nous sommes ses enfants, donc nous aurons aussi part aux biens que Dieu a promis à son peuple, nous y aurons part avec le Christ ; car si nous souffrons avec lui, nous serons aussi avec lui dans sa gloire.
      18 J’estime que nos souffrances du temps présent ne sont pas comparables à la gloire que Dieu nous révélera.
      19 La création entière attend avec impatience le moment où Dieu révélera ses enfants.
      20 Car la création est tombée sous le pouvoir de forces qui ne mènent à rien, non parce qu’elle l’a voulu elle-même, mais parce que Dieu l’y a mise. Il y a toutefois une espérance :
      21 c’est que la création elle-même sera libérée un jour du pouvoir destructeur qui la tient en esclavage et qu’elle aura part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu.
      22 Nous savons, en effet, que maintenant encore la création entière gémit et souffre comme une femme qui accouche.
      23 Mais pas seulement la création : nous qui avons déjà l’Esprit Saint comme première part des dons de Dieu, nous gémissons aussi intérieurement en attendant que Dieu fasse de nous ses enfants et nous accorde une délivrance totale.
      24 Car nous avons été sauvés, mais en espérance seulement. Si l’on voit ce que l’on espère, ce n’est plus de l’espérance : qui donc espérerait encore ce qu’il voit ?
      25 Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec patience.
      26 De même, l’Esprit Saint aussi nous vient en aide, parce que nous sommes faibles. En effet, nous ne savons pas prier comme il faut ; mais l’Esprit lui-même prie Dieu en notre faveur avec des supplications qu’aucune parole ne peut exprimer.
      27 Et Dieu qui voit dans les cœurs comprend ce que l’Esprit Saint veut demander, car l’Esprit prie en faveur des croyants, comme Dieu le désire.
      28 Nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu’il a appelés selon son plan.
      29 Car Dieu les a choisis d’avance ; il a aussi décidé d’avance de les rendre semblables à son Fils, afin que celui-ci soit l’aîné d’un grand nombre de frères.
      30 Ceux pour qui Dieu a pris d’avance cette décision, il les a aussi appelés ; ceux qu’il a appelés, il les a aussi rendus justes devant lui, ceux qu’il a rendus justes, il leur a aussi donné part à sa gloire.
      31 Que dirons-nous de plus ? Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ?
      32 Il n’a pas épargné son propre Fils, mais il l’a livré pour nous tous : comment ne nous donnerait-il pas tout avec son Fils ?
      33 Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? Personne, car c’est Dieu qui les déclare non coupables.
      34 Qui peut alors les condamner ? Personne, car Jésus-Christ est celui qui est mort, bien plus il est ressuscité, il est à la droite de Dieu et il prie en notre faveur.
      35 Qui peut nous séparer de l’amour du Christ ? La détresse le peut-elle ou bien l’angoisse, ou encore la persécution, la faim, les privations, le danger, la mort ?
      36 Comme le déclare l’Écriture : « A cause de toi, nous sommes exposés à la mort tout le long du jour, on nous traite comme des moutons qu’on mène à la boucherie. »
      37 Mais en tout cela nous remportons la plus complète victoire par celui qui nous a aimés.
      38 Oui, j’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour : ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d’autres autorités ou puissances célestes, ni le présent, ni l’avenir,
      39 ni les forces d’en haut, ni celles d’en bas, ni aucune autre chose créée, rien ne pourra jamais nous séparer de l’amour que Dieu nous a manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
    • 1 Samuel 10

      1 Or, Samuel prit une fiole d'huile, qu'il répandit sur la tête de Saül ; puis il le baisa, et dit : L'Éternel ne t'a-t-il pas oint pour être le conducteur de son héritage ?
      2 Aujourd'hui quand tu seras parti d'avec moi, tu trouveras, près du tombeau de Rachel, sur la frontière de Benjamin, à Tseltsach, deux hommes qui te diront : Les ânesses que tu étais allé chercher, ont été trouvées ; et voici, ton père ne pense plus aux ânesses, mais il est en peine de vous, disant : Que ferai-je pour retrouver mon fils ?
      3 Et lorsque de là tu auras passé plus avant, et que tu seras venu jusqu'au chêne de Tabor, tu seras rencontré par trois hommes qui montent vers Dieu, à Béthel, et qui portent, l'un trois chevreaux, l'autre trois tourteaux de pain, et l'autre une outre de vin ;
      4 Et ils te demanderont comment tu te portes, et ils te donneront deux pains, que tu recevras de leur main.
      5 Après cela, tu viendras à Guibea-Élohim, où est la garnison des Philistins ; et il arrivera qu'en entrant dans la ville, tu rencontreras une troupe de prophètes, descendant du haut lieu, ayant devant eux une lyre, un tambour, une flûte et une harpe, et qui prophétiseront ;
      6 Alors l'Esprit de l'Éternel te saisira, et tu prophétiseras avec eux, et tu seras changé en un autre homme.
      7 Et quand ces signes te seront arrivés, fais tout ce qui se présentera à faire ; car Dieu est avec toi.
      8 Puis tu descendras devant moi, à Guilgal ; et voici, je descendrai vers toi, pour offrir des holocaustes et des sacrifices de prospérités ; tu attendras sept jours, jusqu'à ce que j'arrive auprès de toi, et je te déclarerai ce que tu devras faire.
      9 Or, aussitôt que Saül eut tourné le dos pour s'en aller d'avec Samuel, Dieu lui changea le coeur, et lui en donna un autre, et tous ces signes lui arrivèrent en ce jour-là.
      10 Quand ils furent arrivés à Guibea, voici, une troupe de prophètes vint au-devant de lui ; et l'Esprit de Dieu le saisit, et il prophétisa au milieu d'eux.
      11 Et lorsque tous ceux qui le connaissaient auparavant, virent qu'il prophétisait avec les prophètes, les gens se dirent l'un à l'autre : Qu'est-il donc arrivé au fils de Kis ? Saül est-il aussi entre les prophètes ?
      12 Et quelqu'un de là répondit, et dit : Et qui est leur père ? C'est pourquoi cela passa en proverbe : Saül aussi est-il entre les prophètes ?
      13 Puis il cessa de prophétiser, et vint au haut lieu.
      14 Et un oncle de Saül dit à Saül et à son serviteur : Où êtes-vous allés ? Et il répondit : Chercher les ânesses ; mais voyant qu'elles ne se trouvaient point, nous sommes venus vers Samuel.
      15 Et l'oncle de Saül lui dit : Déclare-moi, je te prie, ce que vous a dit Samuel.
      16 Et Saül dit à son oncle : Il nous a assuré que les ânesses étaient trouvées ; mais il ne lui déclara pas le discours que Samuel avait tenu touchant la royauté.
      17 Or, Samuel convoqua le peuple, devant l'Éternel, à Mitspa ;
      18 Et il dit aux enfants d'Israël : Ainsi a dit l'Éternel, le Dieu d'Israël : J'ai fait monter Israël hors d'Égypte, et je vous ai délivrés de la main des Égyptiens, et de la main de tous les royaumes qui vous opprimaient ;
      19 Et aujourd'hui vous rejetez votre Dieu, qui vous a délivrés de tous vos maux et de toutes vos afflictions, et vous dites : Non, mais établis un roi sur nous. Présentez-vous donc maintenant devant l'Éternel, selon vos tribus, et selon vos milliers.
      20 Alors Samuel fit approcher toutes les tribus d'Israël ; et la tribu de Benjamin fut désignée.
      21 Puis, il fit approcher la tribu de Benjamin, selon ses familles, et la famille de Matri fut désignée ; puis Saül, fils de Kis, fut désigné, et ils le cherchèrent ; mais il ne se trouva point.
      22 Et ils consultèrent encore l'Éternel, en disant : Est-il encore venu un homme ici ? Et l'Éternel dit : Le voilà caché dans les bagages.
      23 Et ils coururent, et le tirèrent de là, et il se présenta au milieu du peuple ; et il dépassait tout le peuple, depuis les épaules en haut.
      24 Et Samuel dit à tout le peuple : Voyez-vous celui que l'Éternel a choisi ? Il n'y en a point dans tout le peuple qui soit semblable à lui. Et tout le peuple jeta des cris de joie, et dit : Vive le roi !
      25 Alors Samuel prononça devant le peuple le droit du royaume, et l'écrivit dans un livre, qu'il mit devant l'Éternel. Puis Samuel renvoya tout le peuple, chacun en sa maison.
      26 Saül aussi s'en alla en sa maison, à Guibea, et les gens de guerre, dont Dieu avait touché le coeur, allèrent avec lui.
      27 Mais il y eut des hommes pervers qui dirent : Comment celui-ci nous délivrerait-il ? Et ils le méprisèrent, et ne lui apportèrent point de présent ; mais il fit le sourd.

      Jérémie 47

      1 La parole de l'Éternel qui fut adressée à Jérémie, le prophète, touchant les Philistins, avant que Pharaon frappât Gaza.
      2 Ainsi a dit l'Éternel : Voici des eaux qui montent de l'Aquilon ; elles deviennent un torrent débordé ; elles inondent la terre et ce qu'elle contient, les villes et leurs habitants ; les hommes poussent des cris, et tous les habitants du pays se lamentent.
      3 A cause du retentissement des sabots de ses puissants chevaux, du fracas de ses chars, du grondement de ses roues, les pères ne se tournent pas vers leurs enfants, tant les mains sont devenues lâches.
      4 C'est que le jour est venu de détruire tous les Philistins, de retrancher à Tyr et à Sidon quiconque reste encore pour les secourir. Car l'Éternel va détruire les Philistins, les restes de l'île de Caphtor.
      5 Gaza est devenue chauve. Askélon, avec le reste de leur vallée, se tait. Jusqu'à quand te feras-tu des incisions ?
      6 Ah ! épée de l'Éternel, jusqu'à quand ne cesseras-tu pas ? Rentre dans ton fourreau, apaise-toi, et te tiens en repos.
      7 Comment cesserais-tu ? L'Éternel lui a donné commandement ; c'est contre Askélon et contre le rivage de la mer qu'il l'a assignée.

      Romains 8

      1 Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l'esprit ;
      2 Parce que la loi de l'Esprit de vie, qui est en Jésus-Christ, m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.
      3 Car ce qui était impossible à la loi, parce qu'elle était affaiblie par la chair, Dieu l'a fait : envoyant son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché ; et pour le péché, il a condamné le péché dans la chair ;
      4 Afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.
      5 Car ceux qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair ; mais ceux qui vivent selon l'esprit, s'affectionnent aux choses de l'esprit.
      6 Car l'affection de la chair c'est la mort ; mais l'affection de l'esprit c'est la vie et la paix ;
      7 Parce que l'affection de la chair est inimitié contre Dieu ; car elle ne se soumet pas à la loi de Dieu ; et en effet, elle ne le peut.
      8 Or, ceux qui sont dans la chair, ne peuvent plaire à Dieu.
      9 Pour vous, vous n'êtes point dans la chair, mais dans l'esprit, s'il est vrai que l'Esprit de Dieu habite en vous. Or, si quelqu'un n'a point l'Esprit de Christ, celui-là n'est point à Lui.
      10 Mais si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché, mais l'esprit est vivant à cause de la justice.
      11 Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus des morts, habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels, par son Esprit qui habite en vous.
      12 Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair.
      13 En effet, si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si, par l'Esprit, vous faites mourir les ouvres du corps, vous vivrez.
      14 Car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu, sont enfants de Dieu.
      15 Car vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions : Abba, Père.
      16 Car l'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu.
      17 Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers ; héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ ; si toutefois nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui.
      18 Car j'estime qu'il n'y a point de proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir, qui sera manifestée en nous.
      19 En effet, la création attend, avec un ardent désir, que les enfants de Dieu soient manifestés,
      20 Car ce n'est pas volontairement que la création est assujettie à la vanité, mais c'est à cause de Celui qui l'y a assujettie,
      21 Dans l'espérance qu'elle sera aussi délivrée de la servitude de la corruption, pour être dans la liberté glorieuse des enfants de Dieu.
      22 Car nous savons que, jusqu'à présent, toute la création soupire, et souffre les douleurs de l'enfantement ;
      23 Et non seulement elle, mais nous aussi qui avons les prémices de l'Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.
      24 Car nous sommes sauvés en espérance. Or, l'espérance que l'on voit n'est plus espérance ; en effet, comment espérerait-on ce que l'on voit ?
      25 Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, c'est que nous l'attendons avec patience.
      26 Et même aussi l'Esprit nous soulage dans nos faiblesses ; car nous ne savons ce que nous devons demander pour prier comme il faut ; mais l'Esprit lui-même intercède pour nous par des soupirs qui ne se peuvent exprimer.
      27 Toutefois celui qui sonde les coeurs, connaît quelle est l'affection de l'Esprit, qui prie selon Dieu pour les saints.
      28 Or, nous savons aussi que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés, selon son dessein.
      29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être conformes à l'image de son Fils, afin que celui-ci soit le premier-né de plusieurs frères ;
      30 Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés ; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés ; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés.
      31 Que dirons-nous donc sur cela ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?
      32 Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il point toutes choses avec lui ?
      33 Qui accusera les élus de Dieu ? Dieu est celui qui les justifie.
      34 Qui les condamnera ? Christ est mort, et de plus il est ressuscité, il est même assis à la droite de Dieu, et il intercède aussi pour nous.
      35 Qui nous séparera de l'amour de Christ ? Sera-ce l'affliction, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ?
      36 Selon qu'il est écrit : Nous sommes livrés à la mort tous les jours à cause de toi, et nous sommes regardés comme des brebis destinées à la tuerie.
      37 Au contraire, dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs, par celui qui nous a aimés.
      38 Car je suis assuré que ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les principautés, ni les puissances, ni les choses présentes, ni les choses à venir,
      39 Ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature, ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur.
    • 1 Samuel 10

      Jérémie 47

      Romains 8

      1 Mais maintenant, il n’y a plus de condamnation pour ceux qui appartiennent à Jésus-Christ. Si nous sommes unis à lui, nous n’avons donc à redouter aucune sentence contraire,
      2 car nous vivons à présent sous un nouveau régime : celui du Saint-Esprit. Cet Esprit nous donne la vie qui était dans le Christ Jésus et nous introduit dans la communion avec lui. Cette puissance vivifiante de l’Esprit me soulève hors du cercle vicieux du péché et de la mort ; cet ordre nouveau me permet d’échapper au régime du mal qui me menait à la ruine.
      3 Car ce que la loi s’est révélé incapable de réaliser, Dieu lui-même l’a fait. Les commandements, en effet, n’ont pu produire en nous une vie sainte : la résistance de notre être instinctif les paralysait. L’impuissance de la loi est due à la faiblesse humaine : ma volonté égoïste est plus forte que les préceptes, mon désir de jouissance leur ôte toute force. Voilà pourquoi Dieu a envoyé son propre Fils sous la forme d’un simple homme, revêtu d’un corps semblable à notre corps accessible au péché. Dans cette chair pareille à la nôtre, Jésus a triomphé du péché, et notre nature pécheresse s’est vue condamnée et désarmée. En offrant sa vie en sacrifice pour le péché, il a brisé le joug du mal.
      4 Désormais, une vie juste, conforme aux exigences de la loi, devient possible – à condition de ne plus mener notre existence d’après les normes usuelles, suivant les impulsions de l’homme livré à lui-même, mais de placer toute notre conduite sous le contrôle de l’Esprit de Dieu.
      5 Aussi longtemps que l’homme veut disposer seul de sa vie, il ne parvient pas à se détacher de lui-même : tous ses désirs, ses intérêts et ses plans tournent autour de sa personne. Livré à lui-même, il tend vers ce qui est conforme à la nature de l’homme non régénéré. Mais ceux qui suivent les suggestions de l’Esprit se préoccupent de ce que Dieu désire et concentrent leur recherche sur les richesses spirituelles.
      6 Or, suivre la pente de l’homme livré à lui-même, se laisser mener par ses instincts, c’est aller à la mort, mais rechercher la pensée de l’Esprit, obéir à ses directives, voilà ce qui nous conduit à la vie et à la paix.
      7 La vieille nature de l’homme livré à lui-même est opposée à Dieu. L’homme qui la suit ne se soucie guère d’accomplir la volonté de Dieu exprimée dans sa loi ; il ne veut ni ne peut s’y soumettre.
      8 C’est pourquoi, aussi longtemps que l’homme vit pour lui-même, pour la satisfaction des désirs de son être naturel, il ne peut être approuvé de Dieu. Ceux qui suivent leurs tendances instinctives ne sauraient lui plaire.
      9 Mais vous, vous n’êtes plus au service de vos penchants naturels. Vous vivez sous le contrôle de l’Esprit de Dieu, vous suivez ses injonctions, si du moins il a fait sa demeure en vous. Évidemment, si quelqu’un n’a pas l’Esprit du Christ en lui, il ne fait pas partie des siens, ce n’est pas un vrai chrétien.
      10 Si, par contre, le Christ vit en vous (par son Esprit), vous êtes devenus des hommes nouveaux, votre corps a beau rester mortel à cause du péché, votre être intérieur est vivifié par l’Esprit parce que vous avez été déclarés justes.
      11 Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, alors celui qui a donné à Jésus une vie nouvelle fera aussi revivre vos corps mortels par son Esprit qui demeure maintenant en vous.
      12 Voilà pourquoi, chers frères, nous ne sommes plus tributaires de nos instincts. Si nous avons des obligations, ce n’est plus envers l’homme livré à lui-même : nous ne sommes plus obligés d’accomplir ce qu’il exige de nous.
      13 Si vous continuez à suivre ses impulsions et à le laisser régner en vous, vous marchez vers la mort. Par contre, si, par la puissance du Saint-Esprit, vous livrez à la mort les actes mauvais que vous accomplissez dans votre corps charnel, vous vivrez réellement.
      14 Car ceux qui se laissent diriger par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.
      15 En effet, vous n’avez pas reçu un esprit servile ; l’Esprit qui vous a été donné ne vous transforme pas en esclaves, il ne vous ramène pas sous la férule de la crainte, il vous a introduits de plein droit dans la famille de Dieu, il a fait de vous les fils adoptifs de Dieu, ce qui nous permet de l’appeler : « Père, mon cher Père ».
      16 C’est encore l’Esprit saint qui atteste à notre esprit : « Oui, tu es un enfant de Dieu ».
      17 Enfants de Dieu ? Mais alors, nous sommes aussi ses héritiers. Nous aurons donc part à tous les trésors de Dieu, exactement comme le Christ, et tout ce que Dieu donne à son Fils sera aussi nôtre. Oui, si maintenant nous sommes unis à lui, si nous portons ses souffrances, nous serons aussi à ses côtés, associés à sa gloire dans le monde nouveau.
      18 J’estime d’ailleurs qu’il n’y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire à venir qui sera bientôt révélée. En comparaison de l’avenir magnifique que Dieu nous a préparé, les contrariétés de cette vie pèsent moins que rien.
      19 Une profonde nostalgie étreint toute la création. Elle attend avec un ardent désir la révélation (de la gloire) des fils de Dieu. Toutes les créatures aspirent à l’avènement de ce jour où Dieu manifestera la vraie nature de ses enfants.
      20 Car jusqu’à ce jour, la création, livrée au pouvoir du néant, tourne à vide : tout dépérit et meurt. Elle n’est pour rien dans cet état de choses ; contre son gré, sans aucune faute de sa part, mais par solidarité avec celui qui a failli, elle vit une existence sans but. Elle garde néanmoins un espoir :
      21 elle aussi sera délivrée un jour de son asservissement aux puissances de mort ; la tyrannie des perpétuels changements et les décadences inéluctables cesseront, et elle connaîtra la liberté dont les enfants de Dieu glorifiés jouiront.
      22 Nous le savons bien, en effet : jusqu’à présent un profond gémissement monte de la création. Oui, tous les êtres soupirent et souffrent dans une sorte de travail d’enfantement universel jusqu’à ce qu’un monde nouveau soit né.
      23 Ils ne sont pas les seuls : nous aussi, nous soupirons au plus profond de nous-mêmes et nous vivons dans une certaine tension, car nous avons seulement reçu l’Esprit divin comme un acompte. Ce cadeau de bienvenue offert par Dieu nous donne un avant-goût de la gloire future. Aussi attendons-nous avec patience à être établis (de plein droit) fils adoptifs de Dieu. Cette condition de vrais fils entraînera aussi pour nous la libération totale et la transformation de notre corps.
      24 Nous sommes bien sauvés dès à présent, mais la pleine réalisation de notre salut est encore à venir, elle est l’objet de notre espérance. Mais qui dit espérance dit attente. Espérer s’oppose donc à posséder, à voir. En effet, ce que je vois réalisé, ai-je encore besoin de l’espérer ?
      25 Espérer, c’est se porter vers l’invisible. Et nous attendons la réalisation de nos espérances avec la patience qui persévère en toute confiance.
      26 Ce même Esprit (qui nourrit notre espérance) nous soutient. Il nous prend en charge avec nos faiblesses et nous aide dans nos limitations présentes ; il vient à notre secours quand nous prions. De nous-mêmes, nous ne connaissons guère nos droits et nos devoirs en nous approchant de Dieu : nous ne savons pas prier efficacement, nous ne trouvons pas les paroles justes. Alors, l’Esprit lui-même intervient et plaide en notre faveur. C’est lui qui intercède en nous, sans paroles, dans ces soupirs qui montent du plus profond de nos cœurs.
      27 Et Dieu, qui lit dans les cœurs et y scrute les pensées les plus secrètes, comprend le langage de l’Esprit. Il connaît ses aspirations. Il sait discerner le sens de ces soupirs, car l’Esprit intercède pour nous, son peuple, en harmonie avec la volonté de Dieu.
      28 Nous savons, du reste, que les intentions bienveillantes de Dieu sont à l’origine de tout ce qui nous arrive : Dieu fait concourir toutes choses au bien de ceux qui l’aiment, car c’est conformément à son plan qu’ils ont été appelés (au salut).
      29 En effet, ceux que Dieu a enveloppés d’avance dans son plan d’amour, il les a aussi destinés, depuis le commencement, à porter son image. Il a décidé de faire d’eux ses enfants au même titre que son propre Fils et de les façonner pour qu’ils lui ressemblent, afin qu’il soit l’aîné d’une nombreuse famille de frères.
      30 Ceux à qui Dieu a réservé d’avance une telle destinée, il les a aussi appelés à venir à lui, ceux auxquels il a adressé son appel ont aussi été déclarés justes, et ceux qu’il a fait accéder à cette justice et à cette vie nouvelle ont été revêtus de la beauté de la sainteté, Dieu leur a accordé leur part de la gloire (céleste).
      31 Que dire de plus ? Si Dieu se place ainsi de notre côté, qui peut tenir contre nous ?
      32 Il n’a même pas épargné son propre Fils, mais l’a sacrifié pour nous sauver tous : comment ne nous donnerait-il pas aussi tout (ce dont il désire nous combler) ?
      33 Qui osera encore accuser les élus de Dieu ? Dieu lui-même les déclare justes et les acquitte.
      34 Qui pourrait les condamner ? Celui qui a subi la peine de mort pour eux, c’est Jésus-Christ. Bien plus, il est ressuscité ! Il est assis à la droite de Dieu et il plaide notre cause.
      35 Qu’est-ce qui pourra s’interposer entre l’amour du Christ et nous ? Nos soucis ou nos épreuves ? Lorsque nous sommes persécutés, que nous manquons de pain, d’habits ou d’argent, est-ce parce qu’il ne nous aime plus ? Quand nous sommes exposés au danger ou menacés d’une mort violente, est-ce le signe que Dieu nous a abandonnés ?
      36 Non, car l’Écriture nous rapporte cette prière : Parce que nous t’appartenons, Seigneur, nous sommes journellement en danger de mort. On nous considère comme des brebis destinées à l’abattoir.
      37 Mais dans tous ces combats, celui qui nous a tant aimés est près de nous ; avec lui nous restons vainqueurs et nous allons de victoire en victoire.
      38 Oui, j’en ai l’absolue certitude, rien ne pourra nous arracher à l’amour de Dieu : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les puissances infernales, ni les dangers présents ni l’incertitude de l’avenir. Aucune autre force de l’univers,
      39 qu’elle vienne d’en-haut ou de l’abîme, aucune autre créature, non, rien au monde ne peut ériger une séparation entre nous et l’amour que Dieu nous a témoigné en Jésus-Christ notre Seigneur et dont nous jouissons en communion avec lui.
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