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La Bible en 1 an - Jour 233

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    • 1 Samuel 13

      1 []
      2 Saül choisit 3 000 soldats parmi les Israélites. Et 2 000 restent avec lui à Mikmas, dans la région montagneuse de Béthel. Les 1 000 autres soldats restent avec son fils Jonatan à Guibéa, dans le territoire de Benjamin. Saül renvoie les autres Israélites chez eux.
      3 Un jour, Jonatan tue le gouverneur philistin qui est à Guibéa. Les Philistins l’apprennent. Saül fait sonner de la trompette dans tout le pays. En effet, il se dit : « Il faut que les Hébreux apprennent cela. »
      4 Les Israélites apprennent donc cette nouvelle : Saül a tué un gouverneur philistin, et les Philistins ne peuvent plus supporter les Israélites. Alors l’armée se rassemble derrière Saül au Guilgal.
      5 Les Philistins, eux aussi, se réunissent pour combattre Israël. Ils ont 30 000 chars, 6 000 cavaliers, et des soldats aussi nombreux que les grains de sable au bord de la mer. Ils viennent installer leur camp à Mikmas, à l’est de Beth-Aven.
      6 Le peuple se voit menacé de très près. Alors les gens vont se cacher dans les grottes, dans les trous, dans les rochers, sous la terre et dans les citernes.
      7 Certains Hébreux traversent même le fleuve Jourdain et ils vont se réfugier dans la région de Gad et de Galaad. Pendant ce temps, Saül est encore au Guilgal, et toute son armée tremble de peur.
      8 Pendant sept jours, Saül attend Samuel. En effet, Samuel lui a donné rendez-vous, mais lui-même ne vient pas au Guilgal au moment fixé. Les soldats abandonnent Saül et ils s’en vont de tous côtés.
      9 Alors Saül commande de préparer les animaux pour le sacrifice complet et pour les sacrifices de communion. Puis il offre lui-même le sacrifice complet.
      10 Au moment où il termine cette cérémonie, Samuel arrive. Saül s’avance à sa rencontre pour le saluer.
      11 Samuel lui dit : « Qu’est-ce que tu as fait là ? » Saül répond : « J’ai vu que les soldats m’abandonnaient et qu’ils partaient de tous côtés. Toi-même, tu n’es pas venu au rendez-vous au moment fixé, et les Philistins se sont rassemblés à Mikmas.
      12 Je me suis dit : Maintenant, les Philistins vont venir nous attaquer au Guilgal. Et je n’ai rien fait pour obtenir la faveur du SEIGNEUR. C’est pourquoi j’ai décidé d’offrir moi-même le sacrifice complet. »
      13 Samuel dit à Saül : « Tu as agi comme un fou ! Tu n’as pas obéi au commandement que le SEIGNEUR ton Dieu t’a donné. Si tu l’avais fait, le SEIGNEUR aurait permis que pour toujours, quelqu’un de ta famille soit roi en Israël.
      14 Mais maintenant, tu ne pourras pas rester roi. Tu n’as pas obéi à l’ordre du SEIGNEUR. Alors le SEIGNEUR a cherché un homme qui lui plaît pour l’établir comme chef de son peuple. »
      15 Samuel quitte le Guilgal. Le reste de l’armée part avec Saül, et ils vont du Guilgal à Guibéa, dans le territoire de Benjamin. Saül inspecte les soldats qui sont restés avec lui : ils sont à peu près 600.
      16 Saül s’installe à Guéba, dans le pays de Benjamin, avec son fils Jonatan et l’armée qui lui reste. Les Philistins ont leur camp à Mikmas.
      17 Un jour, une troupe spécialement entraînée pour détruire sort du camp des Philistins. Elle se divise en trois équipes. La première équipe va vers Ofra, dans la région de Choual.
      18 La deuxième va vers Beth-Horon, la troisième va vers la frontière, qui passe au-dessus de la vallée des Hyènes, du côté du désert.
      19 À cette époque, il n’y a plus de forgeron dans tout le pays d’Israël. En effet, les Philistins ne veulent pas que les Hébreux se fabriquent des épées ou des lances.
      20 Chaque Israélite doit donc aller chez un forgeron philistin pour faire aiguiser son soc de charrue, sa houe, sa hache ou sa bêche.
      21 Pour aiguiser tous ces outils, ou pour faire redresser un aiguillon, il faut payer cher, presque une pièce d’argent.
      22 Le jour du combat, la troupe de Saül et de Jonatan n’a donc pas d’épées ni de lances. Saül et son fils sont les seuls à en avoir.
      23 Un groupe de soldats philistins va se placer au passage de Mikmas.

      Jérémie 50

      1 Voici la parole que le SEIGNEUR a adressée à la ville de Babylone et à la Babylonie par l’intermédiaire du prophète Jérémie.
      2 « Annoncez cette nouvelle à tous les peuples, faites-la connaître en dressant des signaux, faites-la connaître, ne cachez rien. Dites : Babylone est prise ! C’est la honte pour ses statues, le découragement total pour ses faux dieux. Bel est couvert de honte, oui, Mardouk est complètement découragé.
      3 Un peuple arrivant du nord vient attaquer Babylone. Il va faire de son pays un désert de tristesse, personne n’y habitera plus. Hommes et bêtes, tous fuiront, tous disparaîtront. »
      4 Le SEIGNEUR déclare : « À ce moment-là, les gens d’Israël et les gens de Juda viendront ensemble. Ils marcheront en pleurant pour me chercher, moi, le SEIGNEUR leur Dieu.
      5 Ils demanderont le chemin qui conduit à Sion, ils tourneront leur visage vers la ville. Ils viendront et ils se lieront à moi par une alliance qui dure toujours et qu’ils n’oublieront jamais.
      6 Les gens de mon peuple étaient comme des moutons perdus. Leurs bergers les trompaient en les laissant aller dans tous les sens sur les montagnes. Ils sont partis sur les montagnes, puis sur les collines, et ils ont oublié leur enclos.
      7 Tous ceux qui les rencontraient les dévoraient, et leurs ennemis disaient : “Nous ne faisons rien de mal ! En effet, ces gens-là ont péché contre le SEIGNEUR, qui est un abri sûr, et en qui leurs ancêtres mettaient leur espoir.” »
      8 « Enfuyez-vous de Babylone, quittez le pays ! Soyez comme des boucs à la tête d’un troupeau.
      9 Oui, je vais mettre en mouvement plusieurs grands pays et je les enverrai attaquer Babylone. Ces peuples arriveront du nord, ils se rangeront contre cette ville et ils la prendront. Un combattant habile ne revient jamais les mains vides. De même, les flèches de ces peuples atteignent toujours leur but.
      10 Le SEIGNEUR déclare : Le pays des Babyloniens sera pillé, et tous ceux qui le pilleront emporteront autant de richesses qu’ils voudront.
      11 Réjouissez-vous et dansez de joie, vous qui avez détruit ce qui était à moi ! Bondissez comme de jeunes veaux dans l’herbe verte ! Hennissez comme des chevaux !
      12 Votre mère est toute couverte de honte, celle qui vous a mis au monde a perdu son honneur. Maintenant, votre pays est le dernier de tous, c’est un désert, une terre sèche. »
      13 À cause de la colère du SEIGNEUR, votre pays reste sans habitants, c’est un immense désert de tristesse. Tous ceux qui passent près de Babylone sont bouleversés. Ils poussent des cris d’horreur en voyant une telle destruction.
      14 Vous tous, tireurs à l’arc, rangez-vous autour de Babylone pour l’attaquer ! Tirez sur elle, ne gardez pas vos flèches ! En effet, elle est coupable envers le SEIGNEUR.
      15 De tous côtés, poussez contre elle les cris de guerre ! Elle lève les bras pour se rendre. Ses tours tombent, les murs qui la protègent s’écroulent. Le SEIGNEUR se venge. Vengez-vous donc de Babylone ! Faites-lui ce qu’elle a fait aux autres !
      16 Éliminez de cette ville ceux qui sèment et ceux qui récoltent. Devant les combats sans pitié, que chacun rentre chez lui, qu’il fuie dans son pays !
      17 Israël était comme un mouton perdu poursuivi par les lions. Le premier qui en a mangé, c’est le roi d’Assyrie. Ensuite, Nabucodonosor, roi de Babylone, est venu, et il lui a brisé les os.
      18 C’est pourquoi, voici les paroles du SEIGNEUR de l’univers, Dieu d’Israël : « Je vais agir contre le roi de Babylone et contre son pays, comme j’ai agi contre le roi d’Assyrie. »
      19 « Moi, je vais ramener Israël à son pâturage. Il trouvera de quoi manger sur la montagne du Carmel et sur le plateau du Bachan, dans la région montagneuse d’Éfraïm et au pays de Galaad. Il mangera à sa faim.
      20 C’est moi, le SEIGNEUR, qui le déclare. À ce moment-là, on cherchera les fautes d’Israël, mais il n’y en aura pas. On cherchera les péchés de Juda, mais on n’en trouvera pas. En effet, je pardonnerai à ceux que je laisserai en vie. »
      21 Le SEIGNEUR déclare à l’ennemi de Babylone : « Lance une attaque contre le pays de l’eau amère. Attaque-le et attaque les habitants de Pécod. Tue-les, détruis-les jusqu’au dernier ! Fais tout ce que j’ai commandé.
      22 Dans le pays, on entend le bruit de la guerre. Quelle catastrophe terrible !
      23 Babylone était le marteau qui écrasait le monde entier. Il a été cassé en mille morceaux. Comment est-ce possible ? Babylone n’est plus qu’un lieu horrible au milieu des peuples. Comment est-ce possible ?
      24 Babylone, je t’ai tendu un piège, et tu as été prise sans t’en apercevoir. Tu as été découverte et attrapée, parce que tu t’es attaquée à moi, le SEIGNEUR. »
      25 Le SEIGNEUR sort les armes de sa réserve et il va montrer sa colère. Au pays de Babylone, il y a du travail pour le Seigneur, DIEU de l’univers.
      26 Venez de partout dans cette ville ! Ouvrez ses greniers, faites des tas avec ses richesses et détruisez-la ! Rien ne doit en rester.
      27 Tuez tous ses meilleurs soldats, menez-les à l’abattoir ! Quel malheur pour eux, car c’est le moment où le SEIGNEUR va agir contre eux !
      28 Écoutez ! Ceux qui fuient le pays de Babylone, ceux qui sont encore en vie viennent annoncer à Sion : « Le SEIGNEUR notre Dieu t’a vengée, il a vengé son temple. »
      29 Rassemblez tous les tireurs à l’arc, lancez-les contre la ville de Babylone. Entourez-la de tous côtés ! Ne laissez personne s’enfuir ! Traitez-la comme elle a traité les autres, faites-lui ce qu’elle a fait aux autres ! Oui, elle a été orgueilleuse envers le SEIGNEUR, le Dieu saint d’Israël.
      30 « C’est pourquoi ce jour-là, ses jeunes gens tomberont sur les places, tous ses soldats mourront. » Voilà ce que le SEIGNEUR déclare.
      31 « Je t’en veux, orgueilleuse Babylone, je le déclare, moi, le Seigneur, DIEU de l’univers. Maintenant, c’est ton tour, c’est le moment où je vais agir contre toi.
      32 L’orgueilleuse perd l’équilibre et tombe. Personne ne la relèvera. Je mets le feu à ses villes, il brûlera tout ce qui les entoure. »
      33 Voici ce que dit le SEIGNEUR de l’univers : « Les gens d’Israël sont écrasés par la violence, et ceux de Juda aussi. Ceux qui les ont déportés les retiennent, ils refusent de les relâcher.
      34 Moi, leur défenseur, je suis puissant, j’ai pour nom “SEIGNEUR de l’univers”. Je vais les défendre avec force. Ainsi je ferai trembler les habitants de Babylone et je rendrai la paix à la terre. »
      35 Le SEIGNEUR déclare : « Guerre aux Babyloniens, aux habitants de Babylone, à ses chefs et à ses sages !
      36 Guerre à ses devins, qu’ils disent n’importe quoi ! Guerre à ses soldats, qu’ils soient découragés !
      37 Guerre à ses chevaux et à ses chars, aux étrangers qui combattent pour elle, qu’ils deviennent comme de faibles femmes ! Guerre à ses trésors, qu’ils soient pillés !
      38 Guerre à ses cours d’eau, qu’ils deviennent secs ! En effet, c’est un pays de faux dieux. Ils se vantent de leurs statues horribles.
      39 C’est pourquoi les chats sauvages habiteront à Babylone avec les hyènes, les autruches s’y installeront. Personne n’y habitera plus jamais, cette ville restera vide pour toujours.
      40 Le SEIGNEUR déclare : ce sera la même catastrophe qu’à Sodome, Gomorrhe et dans les villes voisines. Il n’y aura plus aucun habitant, plus aucun être humain à Babylone.
      41 Un peuple arrive du nord, une grande nation. Des rois nombreux se mettent en route depuis le bout du monde.
      42 Leurs soldats tiennent des arcs et des armes pointues. Ils sont cruels et sans pitié. Le bruit qu’ils font ressemble au grondement de la mer. Ils sont montés sur des chevaux. Ils sont rangés dans un ordre parfait pour te faire la guerre, ville de Babylone !
      43 En apprenant cette nouvelle, le roi de Babylone est découragé, l’angoisse lui serre la gorge, et il souffre comme une femme au moment d’accoucher.
      44 Le SEIGNEUR dit : Je serai comme un lion qui sort des buissons le long du Jourdain vers une oasis. Je ferai partir tout le monde en un instant. Ensuite, j’établirai à Babylone le chef que je choisirai. En effet, qui est comme moi ? Qui peut me demander des comptes ? Quel chef peut me résister ? »
      45 Écoutez donc ce que le SEIGNEUR a décidé contre Babylone, quels projets il a formés contre les habitants du pays. Ils seront traînés de force comme des bêtes, même les plus petits, c’est sûr. Leur enclos sera détruit à cause d’eux, c’est certain.
      46 Quand on annonce : « Babylone est prise ! », la terre tremble, on entend de grands cris dans tous les pays.

      Romains 11

      1 Alors je demande : Est-ce que Dieu a rejeté son peuple ? Sûrement pas ! La preuve, moi, je suis israélite, de la famille d’Abraham, de la tribu de Benjamin.
      2 Dieu n’a pas rejeté son peuple, qu’il a choisi d’avance. Dans les Livres Saints, Élie se plaint à Dieu du peuple d’Israël. Vous connaissez sûrement ses paroles.
      3 Voici ce qu’il dit : « Seigneur, ils ont tué tes prophètes, ils ont détruit tes autels. Moi seul, je suis resté et ils veulent me tuer. »
      4 Quelle est la réponse de Dieu ? La voici : « J’ai gardé pour moi 7 000 hommes, ceux qui n’ont pas plié les genoux devant le dieu Baal. »
      5 Aujourd’hui, c’est la même chose. Il reste un petit nombre de gens que Dieu a choisis par amour.
      6 Mais si Dieu les a choisis par amour, ce n’est pas à cause de ce qu’ils ont fait, sinon, l’amour de Dieu ne serait pas un amour gratuit.
      7 Qu’est-ce que cela veut dire ? Ce que le peuple d’Israël cherche, il ne l’a pas trouvé, mais ceux que Dieu a choisis, eux, ils ont trouvé ce qu’ils cherchaient. Les autres n’ont pas voulu comprendre.
      8 En effet, les Livres Saints disent : « Jusqu’à maintenant, Dieu a endormi leur intelligence, il a empêché leurs yeux de voir et leurs oreilles d’entendre. »
      9 Le roi David dit aussi : « Que leurs repas deviennent pour eux un piège, un trou où ils tombent ! Qu’ils soient punis,
      10 qu’ils deviennent aveugles, qu’ils ne voient plus rien du tout ! Et fais-leur courber le dos sans arrêt ! »
      11 Je demande donc : Est-ce que les Juifs sont tombés dans le piège pour toujours ? Sûrement pas ! Mais à cause de leur désobéissance, les autres peuples ont pu être sauvés. Ainsi, le peuple d’Israël est devenu jaloux.
      12 Sa désobéissance a apporté de grands bienfaits au monde, et son échec en tant que peuple a apporté de grands bienfaits à ceux qui ne sont pas juifs. Alors, quand les Juifs participeront totalement au salut, les bienfaits seront encore plus grands.
      13 Maintenant, vous qui n’êtes pas juifs, c’est à vous que je parle. Je suis l’apôtre de ceux qui ne sont pas juifs. Ce service est pour moi un honneur,
      14 et je le rends en espérant augmenter la jalousie de mes frères et sœurs juifs pour en sauver quelques-uns.
      15 En effet, quand Dieu les a mis de côté, il a réconcilié le monde avec lui. Alors, quand il les accueillera de nouveau, que va-t-il se passer ? Ceux qui étaient morts reviendront à la vie.
      16 Si la première part du pain est pour Dieu, le pain entier est pour lui aussi. Et si les racines d’un arbre sont à Dieu, les branches sont à lui aussi.
      17 Le peuple d’Israël est comme un arbre bien cultivé, auquel on a coupé quelques branches. Toi, tu es comme la branche d’un arbre sauvage, et on t’a greffé parmi les branches qui restaient sur l’arbre cultivé. Maintenant, tu peux profiter avec ces branches de la bonne sève de ses racines.
      18 Mais ne va pas te vanter devant les branches ! Tu veux pourtant te vanter ? Mais ce n’est pas toi qui portes les racines, ce sont les racines qui te portent !
      19 Tu vas dire : on a coupé des branches pour que moi, je sois greffé.
      20 C’est vrai. On les a coupées parce qu’elles n’avaient pas la foi, et toi, tu restes attaché à l’arbre parce que tu as la foi. Ne te vante pas, mais tu dois plutôt avoir peur.
      21 En effet, si Dieu a coupé des branches, même à l’arbre cultivé, Dieu peut te faire la même chose.
      22 Alors, regarde : Dieu est bon et il est sévère. Il est sévère pour ceux qui sont tombés, il est bon pour toi, si tu vis de sa bonté. Sinon, tu seras coupé, toi aussi, comme une branche.
      23 Mais si un jour, les Juifs acceptent de croire, Dieu est assez puissant pour les greffer de nouveau.
      24 En effet, toi, tu étais la branche d’un arbre sauvage. On t’a coupé et on t’a greffé sur un arbre cultivé, pour toi, ce n’était pas naturel. Les Juifs, eux, étaient les branches de l’arbre cultivé. Alors, Dieu les greffera bien plus facilement sur cet arbre où ils avaient poussé.
      25 Frères et sœurs chrétiens, voici le mystère que je veux vous faire connaître. Ainsi, vous ne croirez pas que vous êtes des sages. Une partie du peuple d’Israël refuse de comprendre, et cela durera jusqu’à ce que les autres peuples reviennent vers Dieu.
      26 À ce moment-là, tout le peuple d’Israël sera sauvé, comme les Livres Saints le disent : « Le libérateur viendra de Jérusalem. Il enlèvera les fautes de la tribu de Jacob.
      27 Voici l’alliance que j’établirai avec eux quand j’enlèverai leurs péchés. »
      28 Ils ont refusé la Bonne Nouvelle, ils sont donc devenus ennemis de Dieu, et cela à votre avantage. Pourtant, Dieu les avait choisis pour être son peuple. Il les aime à cause de leurs ancêtres.
      29 En effet, Dieu ne reprend jamais ce qu’il a donné, il ne rejette jamais ceux qu’il a appelés.
      30 Autrefois, vous n’avez pas obéi à Dieu, mais maintenant, Dieu a eu pitié de vous, parce que les Juifs n’ont pas obéi.
      31 Pour eux, c’est la même chose. Maintenant, ils n’ont pas obéi à Dieu, pour que Dieu ait pitié de vous. Alors maintenant, eux aussi pourront recevoir la pitié de Dieu.
      32 Dieu a permis que tous les êtres humains refusent d’obéir, pour montrer à tous sa pitié.
      33 Dieu est vraiment grand ! Sa sagesse et ses pensées sont vraiment très profondes, personne ne peut connaître ses décisions, personne ne peut comprendre ses projets. Les Livres Saints disent :
      34 « Qui connaît la pensée du Seigneur ? Qui peut lui donner des conseils ? »
      35 « Qui lui a donné quelque chose le premier, pour que Dieu lui donne à son tour ? »
      36 Oui, tout vient de lui, tout existe par lui et pour lui. À Dieu la gloire pour toujours ! Amen !
    • 1 Samuel 13

      1

      L'invasion des Philistins. (1 Samuel 13:1-7)
      L'holocauste de Saül, il est réprimandé par Samuel. (1 Samuel 13:8-14)
      La politique des Philistins. (1 Samuel 13:15-23)

      Saül régna un an, sans que rien de bien particulier ne se produise ; mais la deuxième année de son règne, les événements mentionnés dans ce chapitre eurent lieu. Pendant une année le roi d'Israël donna aux Philistins le temps de se préparer pour la guerre, dans le but d'affaiblir et de désarmer les Hébreux.

      Quand des hommes s'enflent d'orgueil, ils commettent souvent des actes de folie. Les principaux avantages que peut acquérir « l'ennemi », sur l'église, découlent de la mauvaise conduite de certains de ses membres.

      Quand Saül se décida enfin à sonner l'alerte, le peuple, mécontent de la gestion du royaume, ou terrifié par la puissance de l'ennemi, déserta rapidement.

      8 Saül ne se soumit pas à l'ordre expressément donné par Samuel, voir 1Samuel 10:8, donnant les prescriptions à suivre, dans les cas d'extrême gravité. Bien qu'il ne soit ni prêtre ni prophète, Saül offrit lui-même l'holocauste, sans la présence de Samuel. Ayant conscience de sa désobéissance, il tenta de justifier son acte, sans donner le moindre signe de repentir. Il aurait dû au moins, par prudence, reconnaître sa désobéissance, ce qui aurait été une preuve de dévotion. Les hommes dépourvus de toute piété, font souvent de grands efforts pour simuler une conduite « pseudo religieuse ». Samuel accusa Saül, démontrant à ce dernier, qu'il courait à sa perte.

      Ceux qui désobéissent aux commandements de Dieu, compromettent leur destinée. Le péché n'est que folie, et les plus grands pécheurs font preuve d'une stupidité remarquable. Notre disposition pour obéir ou désobéir à Dieu, se révèlera souvent dans notre comportement vis-à-vis des évènements mineurs. Les enfants d'Israël ne firent aucune objection contre l'acte de Saül : sa faute, au sujet de l'holocauste semblait bénigne ; mais Dieu vit que le roi avait commis ce péché en toute incrédulité : il a méprisé la Providence et la Justice divines, étouffant ainsi tout appel de sa conscience.

      Oh, merveilleux Sauveur, donne-nous de ne pas ressembler à Saül, en t'apportant de piteuses offrandes, sans regarder à Ton Sacrifice, précieux et parfait ! Tu es le Seul, Seigneur, à pouvoir nous procurer la paix, par le sang de la croix !

      15 Remarquez de quelle grande stratégie les Philistins firent preuve, et de quelle puissance ils disposaient ! Ils ont non seulement empêché le peuple d'Israël de se fabriquer des armes de guerre, mais ils l'ont en plus obligé à dépendre de ses ennemis, même pour avoir de simples outils agricoles. Quelle imprudence, de la part de Saül, de ne pas avoir fait le nécessaire, au début de son règne, pour prévenir cette situation !

      Rechercher une trêve avec ceux qui nous oppressent, est une preuve de bon sens. Les péchés qui nous semblent les plus anodins, ont souvent des conséquences fâcheuses. Une nation coupable et vulnérable, est finalement seule responsable de cet état ; il en est de même pour ceux qui ne sont pas protégés par « l'armure divine » : leur situation est catastrophique !

      Jérémie 50

      1

      La ruine de Babylone. (Jérémie 50:1-3,8-16,21-32,35-46;)
      La rédemption du peuple de Dieu. (Jérémie 50:4-7,17-20,33,34)

      Le roi de Babylone faisait preuve de bienveillance envers Jérémie ; malgré tout, le prophète devait l’avertir que son royaume allait connaître la ruine.

      Si nos amis sont des ennemis de Dieu, nous ne pourrons même pas tenter de leur parler de paix. La destruction de Babylone allait être complète et inéluctable. Cette prophétie était en quelque sorte, un encouragement pour les Juifs : ils allaient premièrement revenir vers leur Dieu, puis retourner dans leur pays ; cette promesse de leur conversion et de leur retour, affirmait en fait la véracité des autres promesses divines. Les larmes des enfants d’Israël ne coulaient pas au sujet de la douleur qu’ils éprouvaient dans leur captivité, mais à cause de la peine ressentie au constat de leur piètre spiritualité. Ils allaient maintenant rechercher l’Éternel, leur Dieu, et abandonner complètement leurs idoles. Ils pouvaient désormais songer à leur retour dans leur propre terre !

      Ce peut être une image du retour des pauvres âmes égarées, vers Dieu. On trouve, chez les convertis authentiques, de sincères désirs d'atteindre le but spirituel du salut et de la sanctification, par un souci constant de maintenir le « cap » dans cette direction !

      Cette destinée des Chaldéens était vraiment déplorable. Les péchés que peuvent malgré tout commettre les chrétiens, n'excuseront jamais ceux qui se réjouissent d’exterminer ces derniers.

      8 La désolation qui allait sévir dans Babylone est ici décrite par toute une série d'expressions. La colère de l’Éternel était à l’origine de cette destruction. Babylone allait être complètement détruite : « car elle a péché contre l’Éternel ». Le péché parvient à faire des hommes une véritable « cible », pour les flèches des jugements divins.

      La miséricorde divine promise envers Israël, le peuple de Dieu, verra non seulement son plein accomplissement, mais sera également la conséquence de la destruction de Babylone. Ces « brebis perdues », seront recueillies dans le désert, pour être placées dans de verts pâturages !

      Tous ceux qui reviennent vers Dieu, et qui se consacrent de nouveau à leur devoir, trouveront toute satisfaction en leur âme. La délivrance de l'épreuve est vraiment un réconfort, en particulier quand elle est le fruit de la rémission du péché !

      21 Les forces environnantes sont rassemblées, et autorisées par l’Éternel, à détruire Babylone. Ceux qui obéissent aux ordres divins, et qui les exécutent, échappent ainsi aux menaces célestes.

      L’orgueil du cœur des hommes les prédispose à s’opposer à Dieu, et les apprête rapidement à connaître la ruine. L’arrogance de Babylone fut à l’origine de sa perte ; son orgueil l’opposait au Saint d'Israël ; qui pourrait préserver de l’anéantissement ceux que Dieu a décidé de détruire ?

      33 Qu’il est réconfortant pour Israël, de voir que malgré sa propre détresse et sa faiblesse, son Rédempteur reste inébranlable !

      Cette pensée peut s’appliquer aux croyants, lorsqu’ils se plaignent de la domination du péché, de la corruption du monde, de leurs propres faiblesses et de leurs multiples infirmités. Leur Rédempteur est tout à fait capable de sonder le cœur des Siens, afin que le péché ne les domine outre pas entièrement. Il leur accordera alors le repos, dans lequel demeurent les enfants de Dieu !

      Ce texte nous rappelle également le péché de Babylone, et son châtiment prévu : il s’agit de l’idolâtrie et de la persécution. Même si l’Éternel était sur le point de sauver Son peuple de l’esclavage, suite à ses péchés, Il ne pouvait en fait tolérer une telle méchanceté chez ses ennemis réels, les Babyloniens ; suite à son iniquité, Babylone fut anéantie par les jugements divins.

      Au vu des terribles sanctions prononcées contre la ville prospère de Babylone, et des miséricordes promises aux affligés d'Israël, nous apprenons qu’il vaut mieux choisir de souffrir, avec l'affliction du peuple de Dieu, plutôt que de jouir des plaisirs éphémères du péché.

      Romains 11

      1

      Le rejet des Juifs n'est pas universel. (Romains 11:1-10)
      Dieu a répondu à leur incrédulité en faisant des païens des « participants » aux privilèges de l'évangile. (Romains 11:11-21)
      Les païens sont mis en garde contre l’orgueil et l'incrédulité. Les Juifs seront appelés en tant que nation ; ils seront à nouveau participants de « l'alliance divine ». (Romains 11:22-32)
      Adoration solennelle de la sagesse, de la bonté, et de la justice de Dieu. (Romains 11:33-36)

      Il demeurait un « reste », choisi parmi les Juifs croyants : ces âmes disposaient de la Justice et de la vie par la foi, en Jésus-Christ.

      Ces Juifs ont été gardés par l’Éternel, conformément à leur « élection », par la Grâce : en conséquence, ils ne pouvaient donc être élus par les œuvres, quelles qu’elles soient !

      Toute bonne disposition qui peut émaner d’une créature déchue ne lui est pas propre, elle n’est que la manifestation de la Grâce de Dieu. Le salut du premier jusqu'au dernier élu, ne provient, que de cette Grâce : la dette « payée » par Christ.

      Les éléments mentionnés dans ce texte, (la Grâce et les œuvres) sont si contradictoires, qu'ils ne peuvent pas être « amalgamés ». Dieu se glorifie en octroyant Sa Grâce : Elle change les cœurs et les esprits rebelles. Combien les âmes réceptrices doivent-elles alors s'en émerveiller, et apporter leurs louanges au Seigneur !

      La nation juive était dans un « profond  sommeil », sans perception réelle du danger qu’elle encourait, imprudemment ; les Juifs n’éprouvaient pas le besoin d’avoir un Sauveur, ils ne se doutaient même pas qu’ils étaient à la limite d'une ruine éternelle.

      David, ayant par l'Esprit, dans le Psaume 69, annoncé les souffrances de Christ, crucifié par Son propre peuple, les Juifs, prédit ensuite les terribles jugements divins à l’égard de cette nation.

      Ceci nous apprend à comprendre plus facilement les autres prières que David exprima à l’encontre de ses ennemis ; il s’agit de prophéties inhérentes aux jugements de Dieu, sans être toutefois l’expression manifeste de Sa propre colère. Les malédictions divines dureront un certain temps : nous aurons les yeux obscurcis (verset \\#11:10\\*), tant que nous resterons tentés par ce que nous propose le monde...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      11 En quelque lieu que ce soit, l'évangile est la plus grande richesse que l’on puisse trouver : en conséquence, le juste rejet des Juifs incrédules fut pour un grand nombre de païens l’occasion d'être réconciliés avec Dieu, et d'avoir la paix en Lui ; l’accueil futur des Juifs, au sein de l'église, sera tel qu'il ressemblera à une véritable « résurrection commune », faisant passer ces âmes, de l’état de pécheresses, à une vie de justice !

      Abraham était pour ainsi dire, l’origine, « la racine » de l'église. Les Juifs, par descendance, continuèrent à être les branches de cet « arbre spirituel », jusqu'à ce qu’en tant que nation, ils aient rejeté le Messie ; après cela, leur entité avec Abraham et leur relation avec Dieu leur furent ôtées. Les païens furent alors « greffés » à leur place, à cet arbre d’origine, étant ainsi admis dans l'église. Des multitudes « héritèrent » de la foi d'Abraham, de sa sainteté et de sa béatitude spirituelle.

      Par nature, nous disposons d’un état « sauvage », étranger. La conversion ressemble à une greffe de branches sauvages, sur un bon olivier ; l'olivier sauvage est souvent greffé à un autre, qui lui, porte du fruit ; quand ce dernier commence à décroître, il retrouve alors de la vigueur, pour ensuite, fleurir et porter de nouveaux fruits.

      Les païens, par la Grâce divine, ont été « greffés » pour partager les avantages de cette Grâce. Ils doivent donc se méfier de leur confiance en eux-mêmes, de toute fierté ou ambition personnelle au sujet de leur salut, de peur que n'ayant qu'une foi « morte », et un témoignage sans vie, ils ne soient « écartés » de Dieu, perdant ainsi tous leurs privilèges.

      Si nous sommes debout, c'est par la foi ; nous sommes coupables, par nature, incapables de quoi que ce soit : sachons rester humbles, vigilants, ne nous dupons pas nous-mêmes, résistons à la tentation. Nous ne devons pas être simplement justifiés par la foi, mais nous devons être gardés jusqu'à la fin dans cet état de justification, toujours par la foi. Nous ne sommes pas seuls dans cette « ferme conviction » : cette dernière œuvre conjointement avec l’amour que nous éprouvons envers Dieu, et envers les hommes !

      22 De tous les jugements, ceux qui sont d’origine spirituelle sont les plus douloureux à subir : c'est de ceux-ci que l'apôtre parle ici. La restauration du peuple juif est, dans le cours vraisemblable des évènements, bien plus probable que « l'appel des païens » à devenir les enfants d'Abraham ; bien que d'autres (les nations) possèdent maintenant les privilèges spirituels d’Israël, cela n'empêchera pas ce dernier d’être admis de nouveau auprès de l’Éternel !

      En repoussant l'évangile, et par leur refus indigné à le prêcher aux païens, les Juifs sont devenus « ennemis » de Dieu ; ils doivent cependant être encore favorisés par égard envers leurs pères, vivant précédemment dans la piété. Néanmoins, pour le présent, Israël, par sa haine à l’encontre des païens, est encore opposé à l'évangile ; mais quand le « temps imparti par Dieu » sera venu, ce qui ne saurait tarder, Son Amour initial envers les pères du peuple juif sera bien présent !

      La Grâce véritable ne cherche pas à confiner la faveur de Dieu. Ceux qui bénéficient de Sa Miséricorde, doivent s'efforcer de La partager, afin que d'autres en bénéficient aussi. Il ne s’agit pas de restaurer les Juifs dans leur précédent sacerdoce, avec les sacrificateurs, le temple, et leurs diverses cérémonies : tout cela est désormais terminé ; mais ils doivent être « conduits » à croire en Christ, le véritable Messie, Celui qu'ils ont crucifié, pour devenir membres du « troupeau des rachetés », avec les païens, Jésus étant le Grand Berger !

      Les captivités d'Israël, sa dispersion, et son « rejet » de l'église, sont d’excellents pôles d’enseignements pour les croyants, en vue de leur éviter la pratique du mal ; la vigilance continuelle du Seigneur envers Israël, Sa Miséricorde finale à son égard et la restauration bénie* des Juifs, témoignent bien de la Patience et l'Amour de Dieu !

      * Remarque du traducteur : l’auteur, à la date de rédaction de ce commentaire, (dix-septième siècle) ne savait pas que l’état d’Israël allait naître en mai 1948 !

      33 L'apôtre Paul connaissait aussi bien que quiconque, les mystères du « royaume de Dieu » : il confesse cependant être lui-même relativement dépassé par la grandeur divine ; sous forme allégorique, désespérant de trouver le « fond » de tels mystères, il s'assied humblement « au bord », pour en admirer la profondeur...

      Ceux qui sont vraiment conscients de leurs limites, face à cette Majesté divine, sont les plus aptes à mesurer leur propre faiblesse. La Sagesse divine est non seulement insondable, mais elle est aussi pourvue de diverses richesses : on y rencontre avec abondance, tout ce qui est précieux, qui a de la valeur.

      Les pensées du Seigneur sont parfaites : elles ne disposent pas uniquement de profondeur et de hauteur, mais aussi de largeur et de longueur, Eph 3:18.

      Il y a une distance considérable et une grande disproportion entre Dieu et l'homme, entre le Créateur et la créature, nous fermant ainsi pour toujours la connaissance de Ses voies. Quel homme apprendra à Dieu, comment gouverner le monde ?

      L'apôtre admire la souveraineté des délibérations divines. Tout ce qui est dans le ciel et sur la terre, en particulier, ce qui concerne notre salut, et ce qui nous procure la paix, a été créé par Dieu, par Sa Providence ; en final, toutes choses reviendront à Lui. Tout vient de Dieu : Il est la « Source » et la « Fontaine d’eau vive » de tout ce qui existe, au travers de Christ. Ceci concerne toutes les relations entre Dieu et Ses créatures ; si tout est de Lui, et à travers Lui, tout doit être à Lui, et pour Lui.

      Dans tout ce qui est fait, la Gloire de Dieu doit en être la finalité : adorons Le, en particulier quand nous mentionnons Sa Providence et Ses œuvres. Dans le ciel, les saints ne se querellent jamais... Ils louent le Seigneur en permanence !

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