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La Bible en 1 an - Jour 237

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    • 1 Samuel 17

      1 Les Philistins réunissent leurs armées pour aller faire la guerre. Ils se rassemblent dans la ville de Soko en Juda et ils installent leur camp à Éfès-Dammim, entre Soko et Azéca.
      2 Saül et l’armée d’Israël se rassemblent et s’installent dans la vallée du Térébinthe. Puis ils se mettent en ordre de combat contre les Philistins.
      3 Les Philistins sont sur une colline, et les Israélites sur une autre. Une vallée les sépare.
      4 Un soldat philistin quitte le rang et il s’avance entre les deux armées. Il cherche quelqu’un qui peut se battre contre lui. Ce soldat est de la ville de Gath. Il s’appelle Goliath. Il mesure à peu près trois mètres.
      5 Sur sa tête, il a mis un casque de bronze. Il a des plaques de bronze autour des jambes. Il porte une cuirasse faite en écailles de bronze. Cette cuirasse pèse 60 kilos. Sur sa poitrine, en travers, il porte une arme de bronze.
      7 Le bois de sa lance est gros comme la barre d’un métier à tisser. La pointe de fer au bout de la lance pèse plus de sept kilos. Celui qui porte son bouclier marche devant lui.
      8 Goliath s’arrête et il crie aux soldats d’Israël : « Vous vous mettez en ordre de combat. Pourquoi donc ? Je suis un Philistin, et vous, vous êtes les esclaves de Saül. Choisissez parmi vous un homme pour lutter contre moi.
      9 S’il arrive à me battre et s’il me tue, les Philistins deviendront vos esclaves. Mais si c’est moi qui arrive à le battre et si je le tue, c’est vous qui deviendrez nos esclaves. »
      10 Et il ajoute encore : « Aujourd’hui, je provoque l’armée d’Israël. Envoyez-moi un homme, et nous allons lutter l’un contre l’autre. »
      11 Quand Saül et toute l’armée d’Israël entendent ce que Goliath dit, ils sont paralysés par la peur.
      12 David est fils de Jessé, du clan d’Éfrata. Il habite à Bethléem, dans le pays de Juda. Jessé a huit fils et, au temps de Saül, il est très âgé.
      13 Ses trois fils aînés, Éliab, Abinadab et Chamma, sont partis faire la guerre avec Saül. David est le plus jeune.
      15 Il a l’habitude d’aller servir Saül quelque temps, puis de revenir garder les moutons de son père, à Bethléem.
      16 Pendant 40 jours, Goliath le Philistin se présente matin et soir devant l’armée d’Israël.
      17 Un jour, Jessé dit à David : « Prends ce sac de grains grillés et ces dix pains, va vite au camp militaire. Tu les donneras à tes frères.
      18 Prends aussi ces dix fromages et donne-les à leur commandant. Va voir si tes frères sont en bonne santé et rapporte-moi quelque chose qui me montrera que tout va bien là-bas.
      19 Tu vas les trouver avec Saül et toute l’armée d’Israël. Ils sont dans la vallée du Térébinthe, en train de faire la guerre aux Philistins. »
      20 Le jour suivant, David se lève tôt le matin. Il laisse ses moutons à un gardien. Il prend les cadeaux et il se met en route, comme son père Jessé l’a dit. Il arrive au camp d’Israël. À ce moment-là, l’armée d’Israël se prépare pour le combat, et les soldats poussent le cri de guerre.
      21 Les Israélites et les Philistins se mettent en ordre de combat.
      22 David laisse ses cadeaux près du gardien des bagages et il court vers les soldats. Quand il trouve ses frères, il leur demande s’ils sont en bonne santé.
      23 Au moment où il parle avec eux, le Philistin de Gath qui s’appelle Goliath s’avance devant son armée. Et comme d’habitude, il se met à provoquer les Israélites. David entend tout ce qu’il dit.
      24 Quand les Israélites voient Goliath, ils ont tous très peur et ils reculent.
      25 Chacun dit : « Vous voyez cet homme-là ! Il vient nous provoquer. C’est pourquoi il s’avance vers nous. Si quelqu’un réussit à le tuer, le roi lui donnera beaucoup de richesses. Il lui donnera sa fille en mariage, et la famille de son père ne paiera plus d’impôts en Israël. »
      26 David demande aux soldats qui sont près de lui : « Qui est ce Philistin non circoncis qui se permet d’insulter l’armée du Dieu vivant ? Qu’est-ce qu’on va donner à celui qui tuera ce Philistin pour effacer l’insulte lancée contre Israël ? »
      27 Les soldats redisent à David tout ce que le roi donnera à cet homme-là.
      28 Mais Éliab, son frère aîné, entend ce que David demande aux soldats. Alors, il se fâche et il dit à David : « Pourquoi est-ce que tu es venu ici ? À qui est-ce que tu as laissé ton petit troupeau dans le désert ? Je te connais bien, petit orgueilleux, ton cœur est mauvais ! C’est pour voir le combat que tu es venu ! »
      29 David lui répond : « Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? J’ai simplement posé une question. »
      30 David tourne le dos à son frère et pose la même question à un autre soldat. Il répète cette question à d’autres soldats. Chacun lui donne la même réponse.
      31 Tout le monde entend parler des questions posées par David. Le roi Saül lui-même apprend cela. Il fait tout de suite venir David.
      32 Celui-ci dit au roi : « Personne ne doit se décourager à cause de ce Philistin. Moi, j’irai me battre contre lui. »
      33 Saül lui répond : « Non, tu ne peux pas aller te battre contre lui. Toi, tu n’es qu’un jeune garçon, et lui, c’est un soldat depuis sa jeunesse. »
      34 Alors David dit : « Quand je garde les moutons de mon père, si un lion ou un autre animal sauvage vient et prend un mouton du troupeau
      35 je cours derrière lui. Je le frappe et j’arrache le mouton de sa gueule. Et s’il vient contre moi, je le saisis à la gorge et je le tue.
      36 Voilà comment je fais pour tuer les lions et les autres animaux sauvages. Je vais faire la même chose à ce Philistin non circoncis qui a insulté l’armée du Dieu vivant.
      37 Le SEIGNEUR me protège des griffes du lion et des autres animaux sauvages. Il va aussi me protéger des attaques de ce Philistin. » Alors Saül dit à David : « Pars donc, et que le SEIGNEUR soit avec toi ! »
      38 Saül donne à David son équipement de guerre. Il lui met son casque de bronze sur la tête et il l’habille de sa cuirasse.
      39 David met encore l’épée de Saül par-dessus la cuirasse. Il essaie d’avancer, mais il n’y arrive pas. En effet, il n’est pas habitué à cet équipement. Alors il dit à Saül : « Avec tout cela, je ne peux pas marcher, je n’ai pas l’habitude. » Et il enlève l’équipement de Saül.
      40 David prend son bâton et il va choisir cinq pierres bien lisses au bord du torrent. Il les met dans son sac de berger. Il prend sa fronde dans sa main et s’avance vers Goliath.
      41 Goliath s’approche petit à petit de David. L’homme qui porte son bouclier marche devant lui.
      42 Goliath regarde David. Quand il le voit, il le juge comme un petit rien-du-tout. En effet, David est encore jeune. Il a le teint clair et un beau visage.
      43 Alors Goliath crie à David : « Tu viens contre moi avec un bâton ! Tu me prends donc pour un chien ! » Et il lance à David des malédictions de la part des dieux philistins.
      44 Il crie encore : « Viens ici ! Je vais donner ton corps à manger aux oiseaux et aux animaux sauvages ! »
      45 David lui dit : « Toi, tu viens contre moi avec une épée, une lance et une autre arme. Et moi, je viens contre toi au nom du SEIGNEUR de l’univers, le Dieu de l’armée d’Israël que tu as insulté !
      46 Aujourd’hui même, le SEIGNEUR va te livrer à moi. Je vais te tuer et te couper la tête ! Aujourd’hui même, je vais donner les corps des soldats philistins aux oiseaux et aux animaux sauvages, qui les mangeront. Alors tout le monde apprendra que les Israélites ont un Dieu.
      47 Et tous les Israélites rassemblés ici le sauront : le SEIGNEUR n’a pas besoin d’épée ni de lance pour donner la victoire. Il est le maître de cette guerre et il va vous livrer en notre pouvoir ! »
      48 Goliath se remet à marcher vers David. Alors David court très vite vers Goliath sur le terrain du combat.
      49 Il prend une pierre dans son sac. Il la lance avec sa fronde, et la pierre va frapper le front de Goliath. Elle s’enfonce dans son front, et Goliath tombe, le visage contre le sol.
      50 Ainsi, avec une fronde et une pierre, David a été plus fort que Goliath le Philistin. Il l’a fait tomber et il l’a tué, sans épée.
      51 David court et s’arrête près de Goliath. Il tire l’épée de Goliath de son étui et il lui coupe la tête. Alors, quand les Philistins voient que leur champion est mort, ils se mettent à fuir.
      52 Les soldats d’Israël et de Juda poussent leur cri de guerre et ils poursuivent les Philistins jusqu’à l’entrée de Gath et d’Écron. Les corps des Philistins couvrent la route de Chaaraïm jusqu’à Gath et Écron.
      53 Puis les Israélites arrêtent de poursuivre les Philistins et ils reviennent piller leur camp.
      54 David prend la tête de Goliath et il l’apporte à Jérusalem. Il met les armes du Philistin dans sa tente.
      55 Saül a vu David partir pour combattre Goliath. À ce moment-là, il a dit à Abner, le chef de son armée : « Abner, ce garçon est le fils de qui ? » Abner a répondu : « Je n’en sais rien du tout, mon roi. »
      56 Saül a dit : « Renseigne-toi pour le savoir. »
      57 C’est pourquoi, quand David revient au camp après avoir tué Goliath, Abner va le chercher et le présente à Saül. Il a encore la tête du Philistin dans ses mains.
      58 Saül lui demande : « Tu es le fils de qui, jeune homme ? » David répond : « Je suis le fils de ton serviteur Jessé, de Bethléem. »

      Lamentations 2

      1 Hélas ! Le Seigneur, dans sa colère, a couvert de nuages la ville de Sion ! Du haut du ciel, il a jeté jusqu’à terre ce qui faisait l’honneur d’Israël. Quand sa colère a éclaté contre Sion, il a oublié qu’elle était l’endroit où il pose ses pieds.
      2 Le Seigneur a fait disparaître sans pitié toutes les habitations de Jacob, son peuple. Dans sa fureur, il a détruit les villes bien protégées de Juda. Il a renversé le royaume et ses chefs et les a traités avec mépris.
      3 Dans sa violente colère, il a brisé toute la puissance d’Israël. Quand l’ennemi est arrivé, le SEIGNEUR n’a pas voulu aider son peuple. Mais il a allumé un incendie qui a tout brûlé autour de lui.
      4 Comme un ennemi, il a tendu son arc, la main droite prête à tirer. Comme un adversaire, il a tué tous ceux que nous aimions regarder. Il a répandu sa colère comme un feu sur le temple de Sion.
      5 Le Seigneur a agi comme un ennemi. Il a détruit Israël et tous ses palais. Il a démoli ses murs de protection et il a répandu partout tristesse et malheur dans le peuple de Juda.
      6 Il est entré de force dans son enclos, il a démoli le lieu où il nous rencontrait. À Sion, le SEIGNEUR a fait oublier les jours de fête et de sabbat. Dans sa violente colère, il a traité avec mépris le roi et les prêtres.
      7 Le Seigneur a rejeté son autel, il a abandonné son lieu saint. Les murs de ses palais, il les a livrés aux mains de l’ennemi. Dans son temple, il y avait autant de bruit qu’un jour de fête.
      8 Le SEIGNEUR avait décidé de détruire les murs qui protégeaient la ville de Sion. Il ne s’est pas arrêté de détruire jusqu’à ce que tout disparaisse. Il a frappé les deux murs, et tous deux sont tombés.
      9 Les portes de la ville se sont écroulées, le SEIGNEUR a cassé leurs verrous. Son roi et ses ministres sont prisonniers chez les autres peuples. Plus personne ne donne l’enseignement du SEIGNEUR. Même les prophètes ne reçoivent plus de message de sa part.
      10 Les anciens de la ville de Sion sont assis par terre, ils ne disent rien. Ils ont la tête couverte de poussière, ils portent des habits de deuil. Les jeunes filles de Jérusalem baissent la tête vers la terre.
      11 Mes yeux se fatiguent à pleurer, je suis bouleversé, mon cœur n’en peut plus devant la catastrophe qui touche mon peuple. En effet, les tout petits enfants perdent leurs forces sur les places de la ville.
      12 Ils demandent à leur mère où trouver à manger et à boire. Ils tombent comme des blessés sur les places de la ville et ils meurent dans les bras de leur mère.
      13 Jérusalem, je ne sais plus quoi te dire. Ta situation ne ressemble à aucune autre. Quel exemple te donner pour te consoler, belle ville de Sion ? Ton malheur est immense comme la mer. Qui peut te guérir ?
      14 Tes prophètes n’ont vu pour toi que des choses fausses et sans valeur. Ils n’ont pas dénoncé ta faute, ce qui aurait pu changer ta situation. Ils ont inventé pour toi mensonges et paroles trompeuses.
      15 Tous ceux qui passent près de toi, Jérusalem, applaudissent parce que tu es détruite. Ils poussent des cris d’horreur et secouent la tête : « Est-ce bien la ville qu’on appelait “beauté parfaite” et “joie de toute la terre” ? »
      16 Tous tes ennemis parlent contre toi. Avec mépris, ils montrent leurs dents menaçantes en disant : « Nous l’avons avalée ! Voici enfin le jour que nous attendions. Nous y sommes, nous le voyons ! »
      17 Le SEIGNEUR a fait ce qu’il avait projeté, il a réalisé ce qu’il avait annoncé, ce qu’il avait décidé depuis longtemps : il a détruit sans pitié. Il a réjoui l’ennemi par ton malheur, il a augmenté la puissance de tes adversaires.
      18 Peuple de Sion, crie d’un seul cœur vers le Seigneur. Mur qui protèges la ville, laisse couler tes larmes comme un torrent, jour et nuit. Ne te repose pas, ne t’arrête pas de pleurer.
      19 Lève-toi, crie à toutes les heures de la nuit. Vide ton cœur en présence du Seigneur. Élève tes mains vers lui pour sauver tes jeunes enfants qui meurent de faim à tous les carrefours.
      20 Regarde, SEIGNEUR, et vois : qui as-tu traité de cette façon ? Faut-il vraiment que des femmes mangent leurs enfants, leurs petits tendrement aimés ? Faut-il que des prêtres et des prophètes soient tués dans ton lieu saint ?
      21 Jeunes et vieux sont étendus par terre dans les rues. Mes jeunes filles et mes jeunes gens sont tombés, tués par l’épée. Le jour où ta colère a éclaté, tu les as tués, assassinés sans pitié.
      22 Comme pour un jour de fête, tu as invité mes terribles voisins. Le jour où ta colère a éclaté, SEIGNEUR, personne n’a pu échapper, personne n’est resté en vie. Ceux que j’avais élevés et aimés tendrement, mon ennemi les a détruits.

      Romains 15

      1 Nous qui sommes forts, nous devons porter la faiblesse de ceux qui n’ont pas cette force, nous ne devons pas chercher ce qui nous plaît.
      2 Chacun de nous doit chercher à plaire aux autres pour le bien, pour construire la communauté.
      3 Le Christ, lui, n’a pas cherché ce qui lui plaisait. Au contraire, les Livres Saints disent : « Les insultes de ceux qui t’insultent sont tombées sur moi. »
      4 En effet, tous les Livres Saints écrits autrefois ont été écrits pour nous instruire. Ils doivent nous donner patience et courage, pour que nous possédions l’espérance.
      5 La patience et le courage viennent de Dieu. Que Dieu vous rende donc capables d’être bien d’accord entre vous, en suivant l’exemple du Christ Jésus !
      6 Alors, d’un même cœur et d’une même bouche, vous pourrez rendre gloire à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ.
      7 Accueillez-vous les uns les autres, comme le Christ vous a accueillis pour la gloire de Dieu.
      8 Je vous le dis, Dieu est fidèle. C’est pourquoi le Christ est devenu le serviteur des Juifs, pour accomplir les promesses faites par Dieu aux ancêtres.
      9 Et les non-Juifs rendent gloire à Dieu à cause de sa bonté. En effet, les Livres Saints disent : « Pour cela, je te fêterai parmi tous les peuples et je chanterai en l’honneur de ton nom. »
      10 Les Livres Saints disent encore : « Peuples, réjouissez-vous avec le peuple que Dieu a choisi. »
      11 « Pays du monde entier, chantez la louange du Seigneur ! Tous les peuples, chantez la grandeur de Dieu ! »
      12 Ésaïe dit aussi : « Un homme de la famille de Jessé va venir. Il se lèvera pour gouverner les autres peuples, et ces peuples mettront leur espoir en lui. »
      13 Que Dieu, qui donne l’espérance, vous remplisse de paix et de joie à cause de votre foi ! Alors vous serez pleins d’espérance par la puissance de l’Esprit Saint.
      14 Frères et sœurs, personnellement j’en suis sûr, vous êtes vous-mêmes pleins de bonne volonté. Vous savez tout ce qu’il faut connaître et vous êtes capables de vous donner des conseils les uns aux autres.
      15 Pourtant, quelquefois dans cette lettre, je n’ai pas hésité à vous rappeler ce que vous avez déjà appris. Je l’ai fait parce que Dieu, dans sa bonté,
      16 a fait de moi le serviteur du Christ Jésus pour ceux qui ne sont pas juifs. Il m’a mis à part pour annoncer sa Bonne Nouvelle. Alors, ceux qui ne sont pas juifs pourront devenir une offrande agréable à Dieu, et c’est l’Esprit Saint qui rend cette offrande digne d’être pour Dieu.
      17 C’est pourquoi, uni au Christ Jésus, je peux être fier du travail que j’ai fait pour Dieu.
      18 En effet, si j’ose parler de quelque chose, c’est seulement de ce que le Christ a fait par moi. Par moi, il a amené ceux qui ne sont pas juifs à obéir à Dieu. Il a fait cela par des paroles et par des actes,
      19 par des signes puissants et extraordinaires, avec la force de l’Esprit de Dieu. Et depuis Jérusalem jusqu’à la région d’Illyrie, j’ai annoncé pleinement la Bonne Nouvelle du Christ.
      20 Mais j’ai voulu annoncer la Bonne Nouvelle seulement dans les régions qui ne connaissaient pas encore le Christ. J’ai fait cela pour ne pas construire sur des fondations préparées par quelqu’un d’autre.
      21 J’ai suivi ce que les Livres Saints disent : « Ceux à qui on ne l’a pas annoncé vont le voir, ceux qui n’ont rien entendu à son sujet vont comprendre. »
      22 Et c’est ce qui m’a toujours empêché d’aller chez vous.
      23 Mais maintenant, j’ai terminé mon travail dans ces régions. Comme j’ai très envie d’aller chez vous depuis plusieurs années,
      24 je le ferai quand j’irai en Espagne. Oui, j’espère vous voir en allant là-bas, et je compte sur votre aide pour y aller, en tout cas, je resterai avec vous pendant quelque temps.
      25 Mais maintenant, je vais à Jérusalem, pour rendre service aux membres du peuple de Dieu qui sont dans cette ville.
      26 En effet, les chrétiens de Macédoine et d’Akaïe ont décidé de donner de l’argent pour les chrétiens de Jérusalem qui sont pauvres.
      27 Ils ont décidé de les aider, mais en réalité, c’est une dette qu’ils avaient envers eux. Les chrétiens de Macédoine et d’Akaïe ne sont pas d’origine juive, pourtant, ils ont reçu les richesses spirituelles des Juifs de Jérusalem devenus chrétiens. Alors, à leur tour, ils doivent partager leurs richesses matérielles avec eux.
      28 Quand j’aurai réglé cette affaire, quand j’aurai remis l’argent à la communauté de Jérusalem, j’irai en Espagne en passant chez vous.
      29 Et je le sais, quand j’irai chez vous, je viendrai avec toute la bénédiction du Christ.
      30 Frères et sœurs, luttez avec moi quand vous priez Dieu pour moi. Je vous le demande par notre Seigneur Jésus-Christ et par l’amour que l’Esprit Saint nous donne.
      31 Priez pour que je ne tombe pas entre les mains des gens de Judée qui ne croient pas au Christ. Priez pour que les chrétiens acceptent de bon cœur l’aide que j’apporte à Jérusalem.
      32 Alors je pourrai venir chez vous dans la joie, et si Dieu le veut, je pourrai me reposer un peu avec vous.
      33 Que le Dieu de paix soit avec vous tous ! Amen !
    • 1 Samuel 17

      1

      Le défi de Goliath. (1 Samuel 17:1-11)
      David arrive au campement de Saül. (1 Samuel 17:12-30)
      David projette de combattre Goliath, (1 Samuel 17:31-39)
      il s'avance à sa rencontre. (1 Samuel 17:40-47)
      David tue Goliath. (1 Samuel 17:48-58)

      Les hommes dépendent tellement de Dieu, en tout ce qui les concerne, que lorsque ce Dernier cesse de les aider, même les plus vaillants et les plus déterminés se trouvent désemparés : cela se vérifie quotidiennement !
      12 Jessé manifestait une certaine réticence à envoyer son fils David, au camp de guerre de Saül, étant donné la situation militaire critique ; mais le Dieu de Sagesse dirige toutes choses, en vue d'accomplir Ses desseins.

      D'habitude, lorsque la tiédeur générale est à son comble, chaque initiative zélée, faite avec engagement pour servir la cause divine, sera vite blâmée : on prétextera l'inutilité d'une telle démarche, qui ne peut que souligner l'orgueil et l'ambition de son auteur ; Éliab eut ce genre de réaction, ainsi que les dirigeants militaires du peuple d'Israël.

      C'était pour David, une épreuve d'humilité, de patience et de constance. Sa démarche était légitime et pleine de bon sens, il n'a pas cherché à engager de polémique sur le sujet : la réponse qu'il adressa à son frère était calme et mesurée, afin d'atténuer la colère de ce dernier. Cette détermination à vaincre Goliath était plus honorable que le mépris manifesté par ce dernier !

      Ceux qui entreprennent de grandes tâches pour la cause commune, ne doivent pas s'étonner de voir à quel point ils sont « contrés » par ceux de qui ils attendaient aide et appui. Ils doivent, dans de telles circonstances, persévérer et continuer humblement leur travail, face aux menaces des contestataires, mais aussi devant les affronts et les doutes de leurs amis.

      31 Le jeune berger, qui le matin encore, gardait ses moutons, manifestait davantage de courage que tous les puissants hommes de l'armée d'Israël ! Dieu adresse souvent d'importantes déclarations à Israël, par l'intermédiaire d'hommes qu'Il a choisis ; Il accomplit ainsi des choses prodigieuses en faveur de Son peuple, avec des moyens qui paraissent être une véritable folie aux yeux du monde.

      David, ayant préalablement répondu avec humilité, aux propos accusateurs de son frère, s'arma de foi, face à la crainte qu'il éprouvait devant Saül. Quand David gardait ses moutons, il fit preuve d'une bonne compétence à ce sujet. Cela nous rappelle Christ, le bon Berger, qui non seulement a traversé des périodes pénibles, mais qui a aussi laissé Sa vie pour Ses brebis. Cette conduite parfaite de notre Sauveur, devrait nous encourager à faire confiance à Dieu, tout en veillant à rester dans le chemin, parfois périlleux, du devoir. Celui qui nous a délivrés jusqu'à présent, continuera à le faire encore !

      Pour combattre le Philistin, David avait intérêt à quitter tout ce qui pouvait l'encombrer : il n'éprouva aucune envie à garder l'armure que Saül lui faisait porter. Ce refus venait de l'Éternel : il devait apparaître clairement que la victoire sur Goliath était faite par la foi, montrant ainsi que Dieu accomplit Ses œuvres avec les instruments les plus faibles et les plus méprisés, aux yeux du monde. Pour accomplir une tâche, on ne doit pas se soucier, au premier abord, de la qualité des moyens utilisables, mais de leur adéquation. L'armure de Saül étant vraisemblablement parée d'éléments les plus nobles, dotée d'une solidité à toute épreuve ; quelle pouvait donc être la motivation de David, pour ne pas l'utiliser ? C'était la foi en Dieu, en la prière et en la droiture : toute « l'armure » de Dieu et la communion en Christ. Tels sont les moyens efficaces dont disposent tous les serviteurs de Dieu, quelles que soient leurs tâches !

      40 La fausse sécurité dans laquelle se réfugient les insensés de ce monde, ainsi que leurs prétentions, sont à l'origine de leur anéantissement. Rien n'est mieux que l'humilité, la foi, et la piété, qui se dégagent des paroles de David. Il manifesta son assurance d'être le futur vainqueur de ce combat : par ces paroles, malgré son apparence vulnérable, il annonça que seul l'Éternel lui attribuerait la victoire sur Goliath.
      48 Remarquez à quel point la vie ne tient « qu'à un fil », même quand un homme paraît être sûr de lui ! Avec quelle rapidité, quelle facilité et par quel moyen tellement modeste, le géant passa dans l'au-delà ! Que l'homme vigoureux ne se glorifie pas de sa force, ni celui qui est en armes, de son armure ! Dieu résiste aux orgueilleux et méprise ceux qui osent Le défier, Lui et Son peuple. Personne n'a réussi à endurcir son cœur, tout en prospérant ! Ce passage démontre que ceux qui s'efforcent d'œuvrer pour la gloire de Dieu, et pour Sa cause, pourront compter sur Lui, de manière infaillible !

      Un autre conflit existe, concernant ceux qui suivent l'Agneau ; un ennemi, beaucoup plus grand que Goliath, défie en permanence les « armées du peuple d'Israël », les élus. Mais nous devons résister au diable, il fuira loin de nous ! Allons de l'avant à la bataille, avec la foi qui animait David : les puissances des ténèbres ne pourront alors nous faire face. Il se trouve hélas encore beaucoup de chrétiens, qui ont le cœur entaché par le mal et l'incrédulité !

      Lamentations 2

      1

      Lamentation sur la misère de Jérusalem.

      Une triste présentation de l’église, de Jacob et d’Israël, nous est ici donnée ; ce texte semble surtout notifier les calamités que l’Éternel envoie, par Sa main puissante. Dieu n'est pas cependant l’ennemi de Son peuple, quand Il manifeste Sa colère en le corrigeant. En fait, aucune porte, aucune sécurité ne sauraient tenir ferme, quand Dieu ôte Sa protection.

      Il est juste de voir Dieu exercer Ses jugements envers ceux qui se sont corrompus dans le péché ; il est aussi normal que ceux qui n’ont pas respecté les sabbats et les ordonnances divines, ne puissent être bénis en retour.

      À quoi pourrait servir la Bible, si elle n'apporte aucune amélioration de conduite chez ceux qui la lisent ? Ceux qui méprisent les serviteurs de Dieu, ne pourront que perdre les bénéfices de leur fonction.

      Il est parfois nécessaire, malgré la douleur que cela peut occasionner, de bien montrer à ceux que Dieu a affligés, que leurs péchés sont bien à l’origine de leurs malheurs.

      10 Ce texte nous indique les causes des lamentations de Jérémie. Une multitude de personnes périrent par la famine. L’horreur était telle, que même de petits enfants furent massacrés par leur mère, pour être mangés, \\#De 28:53\\. Des multitudes tombèrent par l'épée. Tous furent trompés par les faux prophètes. Ceux des alentours en arrivaient à se moquer de Jérusalem !

      C'est un grand péché, de plaisanter des misères des autres, cela ne peut qu’aggraver leur affliction.

      Les ennemis de Jérusalem triomphèrent contre elle. Ceux qui s’opposent à l'église n’éprouvent aucun scrupule à la frapper, pour la conduire à la ruine ; mais, finalement, leurs efforts seront vains.

      Des appels à la lamentation sont ici lancés ; l’auteur est à la recherche de réconfort. La prière est un véritable baume, pouvant soulager toutes les douleurs, même les plus vives ; elle est également un remède à chaque maladie, même la plus grave. Prier, consiste à soumettre notre « problème » au Seigneur, et à se débarrasser de nos fardeaux, à Ses pieds. C’est alors qu’Il agira !

      Craignons Dieu en toute humilité, approchons-nous de Lui, et sachons nous conformer à Ses préceptes, de peur que nous tombions, au cas contraire !

      Romains 15

      1

      Directives pour bien se comporter envers le faible. (Romains 15:1-7)
      Tous doivent se recevoir comme des frères. (Romains 15:8-13)
      Les écrits et la prédication de l'apôtre. (Romains 15:14-21)
      Ses projets de voyage. (Romains 15:22-29)
      Il réclame les prières des frères. (Romains 15:30-33)

      La liberté chrétienne a été instaurée par le Seigneur, non pour notre plaisir, mais pour la Gloire de Dieu, et le bien de tous.

      Nous devons contenter notre prochain, pour le bien de son âme, en évitant de servir ses mauvais desseins éventuels, sans le suivre dans un chemin douteux ; si nous cherchons à plaire aux hommes, en suivant leurs mauvaises voies, nous ne sommes pas de bons serviteurs de Christ. La vie entière de ce Dernier était un reniement de soi, une vie consacrée aux autres. Le chrétien le plus mature est celui qui se conforme le plus à Christ. Étant données Sa pureté sans tache et Sa sainteté, rien n’était plus terrible pour Lui, que d'être « fait péché et malédiction » pour nous, de se voir abandonné par Dieu, à la croix ; Il a été le Juste pour les injustes. Jésus a porté la culpabilité et la malédiction du péché ; nous pouvons difficilement ressentir la portée d’une telle souffrance. À la croix, le Seigneur a porté l’orgueil et les péchés des méchants, alors que nous ne sommes appelés qu’à porter les défaillances des faibles.

      Pourquoi ne resterions-nous pas humbles, enclins au reniement de nous-mêmes, prêts à nous considérer l'un l'autre, nous qui partageons la même fraternité ? Les Écritures ont été rédigées pour notre enseignement et notre bien, autant que pour ceux qui ont d'abord besoin de connaître le salut.

      Les plus instruits sont ceux qui connaissent le mieux les Écritures. Le réconfort qui jaillit de la Parole de Dieu est des plus sûr, des plus doux, il représente le plus ferme appui de l'espérance spirituelle. L'Esprit, le Consolateur, est le gage de notre héritage. Notre état d'esprit doit être conforme aux préceptes de Christ, à Son modèle et Son exemple. Christ le don de Dieu : Il représente un don précieux, que nous devons rechercher avec ferveur !

      Notre Maître Divin invite Ses disciples à Le suivre, Il les encourage, témoignant de Son humilité et de Sa douceur d'esprit. Une même conduite doit animer Ses serviteurs, vis-à-vis du fort, comme du faible.

      Le but suprême de tous nos actes doit être la Gloire de Dieu ; rien ne peut mieux y concourir que l'amour fraternel et la bonté de ceux qui professent la piété. Ceux qui s'accordent en Christ doivent manifester leur fraternité mutuelle !

      8 Christ a accompli toutes les prophéties et les promesses concernant les Juifs, si bien que les païens (les gentils) convertis n’ont aucune excuse quand ils méprisent ces derniers. Les païens, ayant constitué l'église, sont des frères, devant à la fois, pratiquer la patience et endurer la tribulation. Ils doivent louer Dieu.

      En appelant toutes les nations à louer le Seigneur, ce texte nous montre que toutes Le reconnaitront. Nous ne rechercherons jamais Christ tant que nous n'aurons pas confiance en Lui. Le déroulement complet du plan de la Rédemption est nécessaire, pour nous réconcilier, d’une part, les uns avec les autres, mais surtout, avec notre Dieu, plein de Grâce, pour qu'une espérance durable, dans la vie éternelle, par le biais de la sanctification et du réconfort du Saint-Esprit, puisse être atteinte. Nous ne pourrons jamais parvenir à un tel but par nos propres forces : là où abonde cette espérance, l'Esprit béni doit en recevoir toute la gloire.

      « De toute joie et de toute paix dans la foi » verset Romains 15:13* : ces éléments doivent bannir tous nos doutes et nos craintes, grâce à l'action puissante du Saint-Esprit !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      14 L'apôtre était persuadé que les chrétiens romains étaient animés d'un esprit de tendresse et d'affection mutuelle, remplis de connaissances.

      Il leur avait écrit pour leur rappeler leurs devoirs, avec les dangers encourus, car Dieu l'avait nommé ministre de Christ, pour les païens (les gentils). Paul prêcha devant eux ; leur sanctification était un véritable « sacrifice » pour Dieu ; elle n’était pas le fruit du travail de l’apôtre, mais l'œuvre du Saint-Esprit : ce qui est profane ne peut jamais convenir au Dieu saint.

      La conversion des âmes appartient à Dieu ; Paul glorifie cet acte spirituel, en excluant toute œuvre de la chair. Bien qu’il fût un grand prédicateur, il n'a pas pu rendre une âme plus obéissante, que ne l’a rendue l’œuvre de l'Esprit Saint. L’apôtre a cherché principalement le bien de ceux qui étaient « dans les ténèbres ». Quel que soit le bien que nous pouvons faire, c'est en réalité Christ qui l’accomplit, par notre intermédiaire !

      22 L'apôtre recherchait davantage le service de Christ, que la satisfaction de sa propre volonté, de sorte qu’il ne voulait pas abandonner son ministère de création d'églises, avant de se rendre à Rome.

      Dans notre ministère spirituel, notre devoir consiste à accomplir le plus important : rechercher le salut des âmes. Ne cherchons pas à critiquer nos amis, lorsqu’ils préfèrent se consacrer d’abord aux tâches importantes du Seigneur, plutôt qu’aux visites ou aux échanges de beaux discours, qui nous paraissent très agréables. Le rôle de tous les chrétiens est d’être assidus à toute bonne œuvre, en particulier à celle, bénie, qui consiste à rechercher la conversion des âmes.

      La communauté chrétienne est une « représentation du ciel » ici-bas, un gage de notre rassemblement au grand jour, sous le regard du Seigneur. Cette représentation n’est cependant que partielle, en comparaison avec notre communion intime avec Christ ; cette dernière est une grande satisfaction de l'âme !

      L'apôtre se rendait à Jérusalem, en tant que messager de la charité. Dieu aime ceux qui donnent dans la joie. Tout ce qui se partage entre chrétiens, doit être la preuve et la manifestation de leur union en Jésus-Christ.

      Les païens (les gentils) reçurent des Juifs, l'Évangile du salut ; ils leurs étaient donc redevables et devaient leur fournir ce dont ils avaient besoin matériellement. Les attentes de Paul, quant au ministère de ces nouveaux chrétiens, étaient d’ordre général, mais au sujet de ce qu'il attendait de Dieu, il en parle avec plus de précisions, Lui accordant toute sa confiance.

      Attendons-nous à recevoir parfois, peu de l'homme, mais toujours tout en Dieu. Qu’il est bon et avantageux de disposer de l'Évangile, avec la plénitude de ses bénédictions ! Quels effets merveilleux et heureux Il produit, quand Il est assisté par la puissance de l'Esprit !

      30 Nous devons apprendre à considérer l’action des prières efficaces et ferventes des justes. Cependant, combien devons-nous rester prudents à ce sujet : gardons tout notre intérêt pour l'amour et les prières du peuple de Dieu !

      Si nous avons expérimenté l'amour de l'Esprit, nous ne devons pas négliger ce type de ministère envers les autres. Ceux qui veulent « gagner » dans la prière, doivent aussi lutter. Ceux qui réclament les prières des autres, en leur faveur, ne doivent pas négliger de prier pour eux-mêmes, comme pour leur prochain.

      Bien que Christ connaisse parfaitement notre état d’âme et nos besoins, Il désire que nous les Lui exprimions ouvertement. Dieu étant recherché pour atteindre l’hostilité de nos ennemis, Il doit l'être aussi pour maintenir et faire croître nos partages avec nos frères spirituels. Toute notre joie dépend de la Volonté divine.

      Soyons fervents dans nos prières pour les autres, afin que par notre Seigneur Jésus-Christ, et par l'amour du Saint-Esprit, de grandes bénédictions puissent être octroyées à nos frères, ainsi qu’à leur ministère.

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