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La Bible en 1 an - Jour 240

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    • 1 Samuel 20

      1 David s’enfuit de Nayoth, qui est près de la ville de Rama. Il vient trouver Jonatan, le fils de Saül. Il lui demande : « Qu’est-ce que j’ai fait ? Quel est mon crime ? Qu’est-ce que j’ai fait de mal contre ton père ? Il veut me tuer. »
      2 Jonatan lui répond : « Sûrement pas ! Tu ne vas pas mourir. Chaque fois que mon père veut faire quelque chose, il me prévient d’abord. Et cette fois-ci, il ne m’a rien dit. Ce n’est donc pas possible ! »
      3 David lui dit encore : « Pourtant, c’est la vérité, je le jure ! Seulement, ton père sait très bien que je suis ton ami. Il s’est peut-être dit : “Si Jonatan apprend cela, il va être trop triste.” Mais je le jure par le SEIGNEUR vivant et par ta vie, je suis à deux pas de la mort. »
      4 Alors Jonatan demande à David : « Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Qu’est-ce que tu veux ? »
      5 David répond : « C’est demain la fête de la nouvelle lune. Au repas, je dois normalement m’asseoir près du roi. Mais si tu me donnes l’autorisation de partir, je vais me cacher dans les champs pendant deux jours, jusqu’au soir du deuxième jour.
      6 Si ton père remarque mon absence, tu lui diras : “David m’a demandé la permission d’aller rapidement chez lui à Bethléem. Il voulait participer au sacrifice annuel avec toute sa famille.”
      7 S’il dit : “C’est bien”, je ne risque rien. Mais s’il se met en colère, tu auras la preuve qu’il a vraiment décidé de me tuer.
      8 Montre ta bonté envers moi, puisque tu as fait un pacte d’amitié avec moi devant le SEIGNEUR. Au contraire, si je suis coupable de quelque chose, tue-moi toi-même. Pourquoi m’amener devant ton père ? »
      9 Jonatan dit : « Sûrement pas ! Si j’apprends que mon père a décidé de te faire du mal, je te le dirai, je le jure ! »
      10 David lui demande : « Et si ton père te donne une réponse inquiétante, qui va me prévenir ? »
      11 Jonatan dit à David : « Viens, allons dehors. » Et ils vont tous les deux dans les champs.
      12 Jonatan dit encore à David : « Par le SEIGNEUR, Dieu d’Israël, je te promets que demain ou après-demain, je poserai des questions à mon père sur ses intentions. Si tout va bien pour toi, je n’enverrai personne pour te le dire.
      13 Mais si mon père veut vraiment te tuer, que le SEIGNEUR me punisse très sévèrement si je n’envoie personne pour te prévenir ! Je te laisserai partir et tu pourras t’en aller sans souci. Je prie le SEIGNEUR d’être avec toi, comme il a été avec mon père.
      14 Plus tard, si je suis encore vivant, occupe-toi de moi avec la bonté du SEIGNEUR. Alors je ne mourrai pas.
      15 Et si je meurs, continue à montrer de la bonté à ma famille, même quand le SEIGNEUR détruira tous tes ennemis un à un, sur cette terre ! »
      16 Alors Jonatan fait un accord d’amitié avec David et avec sa famille. Il dit : « Que le SEIGNEUR se venge des ennemis de David ! »
      17 Jonatan demande aussi à David de faire un serment au nom de son amour pour lui. En effet, Jonatan aime David de tout son cœur.
      18 Jonatan lui dit encore : « Demain, à la fête de la nouvelle lune, les gens verront que tu n’es pas là, car ta place sera vide.
      19 Après-demain, tu iras jusqu’à l’endroit où tu t’es caché la dernière fois. Tu te cacheras derrière le tas de pierres qui se trouve là-bas.
      20 Et moi, je vais lancer trois flèches dans cette direction, comme si je visais quelque chose.
      21 Ensuite, je vais envoyer mon jeune serviteur pour les prendre. Si je lui dis : “Regarde, les flèches ne sont pas très loin de toi, prends-les vite !”, cela veut dire que tout va bien pour toi, et que tu peux revenir. Il n’y aura pas de danger, je le jure par le SEIGNEUR vivant.
      22 Mais si je lui dis : “Les flèches sont encore plus loin !”, alors va-t’en. En effet, le SEIGNEUR veut que tu partes.
      23 Le SEIGNEUR nous aidera à rester toujours fidèles au pacte d’amitié que nous avons fait, toi et moi. »
      24 Alors David va se cacher dans les champs. Le soir de la nouvelle lune, le roi Saül prend place à table pour le repas.
      25 Comme d’habitude, il s’assoit sur le siège qui lui est réservé, contre le mur. Le général Abner s’assoit à côté de lui, et Jonatan en face de lui. Mais la place de David reste vide.
      26 Ce jour-là, Saül ne dit rien. Il pense : « David n’est pas là. C’est un hasard. Peut-être qu’il n’est pas pur. »
      27 Mais le jour suivant, deuxième jour de la fête, la place de David est encore vide. Et Saül demande à son fils Jonatan : « Hier et aujourd’hui, David n’est pas venu au repas. Pourquoi donc ? »
      28 Jonatan répond : « David m’a demandé la permission d’aller à Bethléem.
      29 Il m’a dit : “Laisse-moi partir, nous avons un sacrifice de famille là-bas, et mon frère me demande de venir prendre part à ce sacrifice. Si je suis ton ami, permets-moi d’aller voir ma famille.” Voilà pourquoi David n’est pas venu au repas de fête chez toi. »
      30 Saül se met en colère contre Jonatan et il lui dit : « Fils de chienne ! Je le sais, tu as pris pour ami ce fils de Jessé. C’est ta honte et celle de ta mère !
      31 Mais écoute bien ceci : tant que David est vivant, tu ne seras pas en sécurité. Tu ne pourras pas être roi. C’est pourquoi fais-le arrêter, et qu’il vienne ici, car il mérite la mort ! »
      32 Jonatan lui demande : « Pourquoi est-ce qu’il doit mourir ? Qu’est-ce qu’il a fait de mal ? »
      33 Saül lève sa lance contre Jonatan pour le frapper. Alors, Jonatan comprend que son père est vraiment décidé à tuer David.
      34 Le deuxième jour de la fête, Jonatan refuse de manger et il quitte la table, très en colère. En effet, il est triste, parce que son père a gravement insulté David.
      35 Le matin du jour suivant, Jonatan sort dans les champs et il se rend à l’endroit fixé avec David. Un jeune serviteur l’accompagne.
      36 Jonatan lui dit : « Cours en avant ! Tu ramasseras les flèches que je vais tirer. » Le serviteur court en avant, et Jonatan tire une flèche de façon à le dépasser.
      37 Quand le serviteur arrive là où la flèche est plantée, Jonatan lui crie : « Est-ce que la flèche n’est pas encore plus loin ?
      38 Allons, dépêche-toi, ne t’arrête pas ! » Le serviteur ramasse la flèche et il revient vers Jonatan.
      39 Le serviteur ne sait pas ce qui se passe. Seuls Jonatan et David comprennent.
      40 Jonatan remet son arc et ses flèches à son serviteur et il lui dit de les rapporter en ville.
      41 Alors, le serviteur part, et David sort de sa cachette derrière le tas de pierres. Il s’incline trois fois jusqu’à terre devant Jonatan. David et Jonatan s’embrassent et ils pleurent beaucoup tous les deux.
      42 Ensuite, Jonatan dit à David : « Va en paix ! Et souviens-toi du pacte d’amitié que nous avons fait au nom du SEIGNEUR. Nous avons dit : “Que le SEIGNEUR nous permette de rester toujours fidèles à ce pacte, toi et moi, et nos enfants après nous !” »

      Lamentations 5

      1 SEIGNEUR, n’oublie pas ce qui nous est arrivé. Regarde et vois comme on nous insulte.
      2 Le pays que tu nous as donné est passé à des étrangers, nos maisons sont entre les mains d’inconnus.
      3 Nos pères ne sont plus là, nous voilà orphelins. Nos mères sont comme des veuves.
      4 Notre eau, nous ne pouvons la boire qu’en l’achetant, notre bois, nous ne pouvons l’avoir qu’en le payant.
      5 Ceux qui nous font souffrir ne nous lâchent pas. Nous sommes épuisés, il n’y a pas de repos pour nous.
      6 Nous tendons la main vers l’Égypte et l’Assyrie pour avoir assez à manger.
      7 Nos parents ont péché. Ils ne sont plus là, et c’est nous qui portons le poids de leurs fautes.
      8 Des esclaves sont nos maîtres, et il n’y a personne pour nous arracher à leur pouvoir.
      9 À cause des bandits du désert nous risquons notre vie pour avoir de la nourriture.
      10 À cause de la faim, notre peau est brûlante de fièvre, comme si nous étions dans un four.
      11 Nos ennemis ont fait violence aux femmes dans Sion, et aux jeunes filles dans les villes de Juda.
      12 Ils ont eux-mêmes pendu des ministres, ils n’ont montré aucun respect pour les anciens.
      13 Des jeunes gens portent la pierre qui sert à écraser le grain, des garçons perdent l’équilibre en transportant du bois.
      14 Les vieillards ne vont plus à la porte de la ville, et les jeunes gens ont cessé de chanter.
      15 La joie a disparu de notre cœur, nos danses joyeuses se sont changées en deuil.
      16 Nous avons perdu notre honneur. Nous avons péché, quel malheur pour nous !
      17 Notre cœur est malade, et nous ne voyons plus clair.
      18 En effet, la montagne de Sion est devenue un désert où les renards se promènent.
      19 Mais toi, SEIGNEUR, tu es roi pour toujours, ton pouvoir royal dure de génération en génération.
      20 Est-ce possible que tu nous oublies pour toujours, que tu nous abandonnes pour toute la vie ?
      21 Fais-nous revenir vers toi, SEIGNEUR, et nous reviendrons vraiment. Renouvelle notre vie, rends-la semblable à celle d’autrefois.
      22 Est-ce que tu nous as vraiment rejetés pour toujours ? Est-ce que ta colère dépasse tout ?

      1 Corinthiens 2

      1 Moi-même, frères et sœurs chrétiens, je suis venu chez vous pour vous annoncer le projet caché de Dieu. Mais je ne l’ai pas fait avec des paroles compliquées ni avec des connaissances extraordinaires.
      2 En effet, au milieu de vous, je n’ai rien voulu savoir, sinon Jésus-Christ, et Jésus-Christ cloué sur une croix.
      3 Moi-même, devant vous, j’ai été faible, j’avais peur, je tremblais.
      4 Ma parole et mon enseignement n’avaient rien à voir avec les discours convaincants de la sagesse humaine. Mais c’est la puissance de l’Esprit Saint qui apparaissait clairement dans ce que je disais.
      5 Ainsi votre foi ne peut pas s’appuyer sur la sagesse humaine, mais sur la puissance de Dieu.
      6 Pourtant, c’est bien une sagesse que nous enseignons aux chrétiens adultes dans la foi. Mais cette sagesse n’est pas la sagesse de ce monde. Ce n’est pas la sagesse des puissances mauvaises de ce monde, qui seront détruites.
      7 Nous, nous enseignons la sagesse mystérieuse de Dieu qui était restée cachée. Mais avant que le monde existe, Dieu avait préparé cette sagesse pour nous donner de la gloire.
      8 Aucune puissance mauvaise de ce monde n’a connu cette sagesse. Si ces puissances l’avaient connue, elles n’auraient pas fait clouer sur une croix le Seigneur plein de gloire.
      9 En effet, les Livres Saints disent : « Il y a des choses que les yeux ne voient pas. Les oreilles ne les entendent pas, les êtres humains n’y ont jamais pensé. Eh bien, ces choses-là, Dieu les a préparées en faveur de ceux qui ont de l’amour pour lui. »
      10 Et c’est à nous que Dieu les a fait connaître par l’Esprit Saint. En effet, l’Esprit Saint connaît tout, même les secrets les plus profonds de Dieu.
      11 Les secrets d’une personne humaine, qui les connaît ? Personne, sauf l’esprit humain qui est en elle. De même les secrets de Dieu, qui les connaît ? Personne, sauf l’Esprit de Dieu.
      12 Nous, nous n’avons pas reçu l’esprit du monde, nous avons reçu l’Esprit qui vient de Dieu. Alors nous pouvons reconnaître les dons que Dieu nous a faits.
      13 Nous ne parlons pas de ces dons avec les mots que la sagesse humaine enseigne, nous en parlons avec les mots que l’Esprit de Dieu nous enseigne. Ainsi nous expliquons les choses de l’Esprit de Dieu avec les mots qui viennent de cet Esprit.
      14 Celui qui pense seulement de manière humaine n’accepte pas ce qui vient de l’Esprit de Dieu. Pour lui, c’est une folie, et il ne peut pas comprendre cela. Oui, c’est seulement l’Esprit Saint qui permet de bien juger ces choses.
      15 Et celui qui a l’Esprit Saint peut juger de tout, mais lui, personne ne peut le juger.
      16 Les Livres Saints disent : « Qui connaît la pensée du Seigneur ? Qui peut lui donner des conseils ? » Eh bien, nous, nous avons la pensée du Christ.
    • 1 Samuel 20

      1

      David s'entretient avec Jonathan. (1 Samuel 20:1-10)
      L'alliance entre Jonathan et David. (1 Samuel 20:11-23)
      Saül, « manque » David, il cherche à tuer Jonathan. (1 Samuel 20:24-34)
      Jonathan quitte David. (1 Samuel 20:35-42)

      Les épreuves que traversa David, le préparèrent à affronter sa situation future. Le Seigneur procède ainsi avec ceux qu'Il destine à la gloire : Il ne les place pas immédiatement à la place qu'Il a prévue pour eux, mais Il leur fait franchir diverses tribulations, afin qu'ils soient capables d'assumer pleinement leur futur rôle.

      Que ceux que le Seigneur a prédestinés dans Sa grâce, ne contestent pas Ses plans, ni ne mettent en doute Sa bienveillance ; qu'ils regardent plutôt vers l'avant, ayant en eux, la joyeuse espérance de posséder la couronne qui leur est préparée dans les cieux ! Parfois nous pouvons constater que nous ne sommes qu'à un pas de l'au-delà ; en fait, il peut en être ainsi à chaque instant de notre vie et nous devrions nous préparer à cet événement. Mais bien que des dangers paraissent souvent nous menacer, nous ne pouvons pas mourir tant que les projets divins nous concernant, ne soient accomplis ; si nous sommes croyants, Dieu nous protège, tant que nous n'avons pas accompli notre service auprès de ceux qui nous entourent, selon Ses desseins.

      Jonathan offrit généreusement ses services à David. Voilà une véritable amitié !

      De même Christ témoigne de Son Amour pour nous : « demandez et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite » ; nous devons manifester notre amour pour Lui en gardant Ses commandements !

      11 Jonathan promet loyalement qu'il fera connaître à David, les intentions de son père au sujet de ce dernier.

      Il est bon pour nous-mêmes et les nôtres, de manifester un intérêt envers ceux que Dieu favorise, ainsi que d'en faire nos amis. Une véritable amitié repose sur des bases solides : elle est capable alors de tempérer l'ambition, le narcissisme, et la jalousie envers les autres. Mais qui peut vraiment comprendre l'Amour de Jésus, Celui qui s'est donné en sacrifice pour les pécheurs rebelles et souillés ! Combien devrions-nous, en retour, manifester avec force, notre amour pour lui, pour Son œuvre, pour Sa cause, envers Son peuple !

      24 Aucun autre que David, ne pouvait être plus patient, dans l'attente de la prise des futures fonctions que l'Éternel lui avait annoncées ; il s'était retiré de la présence du roi, poussé par l'instinct de conservation.

      Lorsqu'on traverse de grandes épreuves, on a parfois tendance à ne plus se soucier des ordonnances divines. Il n'est jamais bon, sauf en cas d'absolue nécessité, de négliger toute opportunité de les respecter.

      En cherchant à mettre David en sécurité, Jonathan a bien agi, avec sagesse, mais malgré cela, il fut désapprouvé par Saül. Il est bon de soutenir le peuple de Dieu : malgré le fait que l'on ne puisse y discerner en apparence aucun avantage, il en va de notre intérêt.

      L'attitude de Saül était scandaleuse. Quels dégâts peut engendrer la colère dans le cœur des hommes, au point de les rendre semblables à de véritables bêtes sauvages !

      35 La séparation de ces deux amis fidèles leur était cruelle, mais le cas de David était le plus déplorable, car ce dernier perdait tous ses avantages, même ceux liés à sa fréquentation du tabernacle de Dieu.

      À l'inverse des hommes dépourvus d'espérance, les chrétiens n'ont pas la même attitude, face à l'épreuve : étant « un » avec Christ, ils sont dans l'unité les uns les autres, et se réuniront bientôt en Sa présence, sans en être plus jamais séparés ; lors de cette rencontre, toutes larmes seront essuyées de leurs yeux !

      Lamentations 5

      1

      La nation Juive implore la faveur divine.

      Quelqu’un est-il dans l’affliction ? Qu’il prie et qu’il présente son problème à Dieu !

      C’est précisément ce que fit le peuple de Dieu, ici dans ce texte ; il ne se plaignait pas, par crainte des calamités à venir, mais à cause des maux pénibles qu’il endurait journellement. Si nous sommes repentants et patients, en endurant la souffrance due aux péchés qu’ont pu commettre nos ancêtres, nous avons l’assurance que Celui qui permet tout châtiment, saura nous accorder Sa Miséricorde.

      Les enfants d’Israël reconnaissaient avoir péché devant Dieu ! Toutes nos afflictions sont dues à notre propre iniquité et à notre folie. Bien que nos péchés et le juste mécontentement du Seigneur qui en résulte, soient à l’origine de nos souffrances, nous pouvons espérer bénéficier de Son pardon et de Sa Grâce miséricordieuse et sanctifiante, ainsi que de Sa merveilleuse Providence.

      Les péchés de toute la vie d'un homme seront punis avec la sévérité qu’il mérite, à moins qu'il ne se confie en Celui qui a porté, par les blessures de Son corps, nos iniquités sur le « bois de la croix ».

      17 Les enfants d’Israël étaient vraiment préoccupés, en constatant les ruines du temple ; cela les affectait plus que les autres calamités subies. Mais quels que puissent être les changements ici-bas, Dieu reste toujours le même, Il est sage, saint, juste et bon, éternellement ; en Lui, il n'y a aucun changement ni ombre de variation, (Jacques 1:17)*.

      Les Israélites priaient Dieu avec ferveur, afin qu’Il leur accorde sa Miséricorde et Sa Grâce : « fais-nous revenir à Toi, ô Éternel ! ». Dieu ne délaisse jamais une âme avant que celle-ci ne L’abandonne d’abord ; si les enfants d’Israël se tournaient vraiment vers l’Éternel, comme ils auraient dû le faire depuis longtemps, il ne fait aucun doute qu'Il leur accorderait rapidement Sa Miséricorde.

      Si Dieu, dans Sa grâce, revivifie notre cœur, Il nous donne alors le renouveau, dans notre vie ici-bas. Les épreuves peuvent nous affaiblir et assombrir nos perspectives, mais la voie d’accès à la Miséricorde divine reste toujours accessible.

      Dans toutes nos tribulations, sachons placer une entière confiance en la Miséricorde divine ; confessons nos péchés, et « ouvrons » notre cœur devant le Seigneur. Veillons à ne pas céder à la lassitude et au découragement, car en fin de compte, nous avons l’assurance que tout aura une fin heureuse, si nous plaçons notre confiance et notre amour, en Jésus. Sa Justice actuelle ne serait-elle pas la même qu'aux jours de Jérémie ?

      Que le sort de « Sion » puisse être l’objet de nos prières, afin que sa sécurité et son bien-être prévalent sur les joies malsaines de ce monde.

      Oh Seigneur, épargne Ton peuple, ne lui fais pas subir ce qu’il mérite, par ses fautes, ne laisse pas les païens le persécuter !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      1 Corinthiens 2

      1

      La prédication de l'apôtre est claire : Christ crucifié. (1 Corinthiens 2:1-5)
      La sagesse de la doctrine de cette prédication. (1 Corinthiens 2:6-9)
      Cette doctrine ne peut être révélée que par le Saint-Esprit. (1 Corinthiens 2:10-16)

      Christ, dans Sa personne, Ses fonctions, et Ses souffrances, est l’entité et le « centre » de l'Évangile ; Jésus doit être en effet le grand sujet de prédication d'un serviteur de Dieu, sans toutefois exclure les autres parties de la Vérité et de la Volonté divines.

      Paul a prêché tout ce qui concerne Dieu. Peu de personnes ont une réelle notion des craintes qui animent les fidèles serviteurs de Dieu, profondément convaincus de leur propre faiblesse. Ils connaissent leurs limites, ce qui parfois, les remplit de crainte...

      Quand Christ crucifié est clairement prêché, le succès de cette prédication repose entièrement sur la Puissance divine qui accompagne la Parole ; les hommes sont ainsi amenés à croire, jusqu'à ce qu’ils acceptent le salut de leur âme !

      6 Ceux qui reçoivent la doctrine de Christ, en tant que message divin, ayant été éclairés par le Saint-Esprit, ne voient pas seulement en cette doctrine l'histoire du Sauveur crucifié, mais discernent aussi les desseins profonds et admirables de la sagesse divine qui l’anime. Cette doctrine annonce le « mystère manifesté aux saints », Colossiens 1:26, mystère autrefois caché aux païens ; il était auparavant uniquement révélé de manière relativement lointaine, par les prophéties, mais il est désormais annoncé ouvertement par l'Esprit divin. Jésus-Christ est le « Seigneur de gloire » ; aucune autre personne ne peut porter un tel titre. Beaucoup d’actes répréhensibles ne seraient pas commis si les hommes connaissaient véritablement la Sagesse divine, dans l’œuvre merveilleuse de la rédemption.

      Dieu de grands desseins pour ceux qui l'aiment et qui s'attendent à Lui, desseins que les hommes sont incapables de découvrir par eux-mêmes, que nul enseignement de ce monde ne peut leur révéler.

      Sachons découvrir dans l'Écriture, ce que le Seigneur a préparé pour nous, selon ce qu’Il Lui a plu de nous révéler !

      10 Dieu, par Son Esprit, nous a montré la véritable Sagesse. Nous avons dans 2Pierre 1:21, une preuve de l'autorité divine des saintes Écritures. Par cette preuve, sachons bien respecter la Divinité du Saint-Esprit, nous persuadant qu’Il connaît toutes choses, même les plus impénétrables, concernant la Personne divine.

      Personne ne peut connaître Dieu, de lui-même, si ce n'est par le Saint-Esprit, qui est « un » avec le Père et le Fils, et qui fait connaître les mystères divins à l’église. Il ne peut y avoir de témoignage plus clair, à la fois de la véritable divinité du Seigneur et de la personne distincte du Saint-Esprit.

      Les apôtres n'étaient pas guidés par les principes de ce monde. Ils disposaient de la révélation spirituelle accordée par l'Esprit de Dieu. Ces vérités, enseignées par le Saint-Esprit, ont été déclarées clairement et simplement, étant radicalement différentes de l'éloquence ou des paroles séduisantes de ceux qui se prétendent sages. Celui qui rejette Dieu, ne peut recevoir ce que peut communiquer l'Esprit Saint.

      L’orgueil, le raisonnement charnel, comme les sentiments les plus vils, sont opposés à toute spiritualité. L'âme sanctifiée discerne les véritables beautés de la sainteté, tout en gardant le bon sens et le discernement opposés aux pièges du monde. L'homme charnel est étranger aux principes, aux joies et aux agissements de la vie divine. Seul l'homme spirituel peut bénéficier de ce que Dieu accorde, selon Sa Volonté.

      Ceux qui ont par eux-mêmes, une connaissance de l'Esprit de Dieu sont vraiment peu nombreux ! Les apôtres ont été rendus capables, par l’Esprit, de faire connaître les pensées du Seigneur. Dans les Saintes Écritures, la pensée de Christ et celle de Dieu, en Son fils, nous sont pleinement révélées. De quel grand privilège disposent les chrétiens, dans la révélation de la pensée de Christ, par Son Esprit ! Ils expérimentent dans leur cœur, Son pouvoir de sanctification, et produisent de bons « fruits » durant toute leur vie !

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