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La Bible en 1 an - Jour 248

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    • 1 Samuel 29

      1 Les Philistins rassemblent toutes leurs troupes à Afec. Pendant ce temps, les Israélites installent leur camp près de la source d’Izréel.
      2 Les chefs des Philistins défilent en tête des groupes de 100 soldats et des groupes de 1 000. David et ses hommes défilent les derniers, avec le roi Akich.
      3 Les officiers philistins demandent : « Qui sont ces Hébreux ? » Akich leur répond : « Mais c’est David, le serviteur de Saül, le roi d’Israël ! Cela fait un an ou deux qu’il est avec moi. Depuis le jour où il a quitté son maître, je n’ai rien à lui reprocher. »
      4 Les officiers philistins sont en colère contre Akich. Ils lui disent : « Renvoie cet homme. Qu’il retourne dans la ville où tu lui as permis d’habiter ! Il ne doit pas venir combattre avec nous, il pourrait se retourner contre nous pendant la bataille. En effet, pour plaire de nouveau à son maître, il n’a qu’une chose à faire : lui livrer nos soldats.
      5 C’est bien pour ce David que les femmes disaient en chantant et en dansant : “Saül a battu 1 000 ennemis, David en a battu 10 000 !” »
      6 Alors Akich appelle David. Il lui dit : « Par le SEIGNEUR vivant, tu es un homme honnête. Que tu participes aux activités de mon armée, cela me plaît. Je n’ai rien trouvé à te reprocher, depuis le jour où tu es arrivé chez moi jusqu’à aujourd’hui. Mais tu ne plais pas aux autres chefs philistins.
      7 Retourne donc chez toi en paix. Ainsi tu ne déplairas plus aux chefs. »
      8 David dit à Akich : « Qu’est-ce que j’ai donc fait, mon roi ? Qu’est-ce que tu as à me reprocher, depuis le jour où je suis devenu ton serviteur jusqu’à aujourd’hui ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas aller combattre tes ennemis ? »
      9 Akich lui répond : « Tu n’as rien fait, je le sais. Et tu me plais autant qu’un ange de Dieu. Mais les officiers ont refusé que tu viennes combattre avec nous.
      10 Par conséquent, demain matin, tu te lèveras très tôt, avec les hommes qui sont venus avec toi. Vous retournerez à l’endroit où je vous ai permis d’habiter. Ne pense pas de mal de moi, car tu me plais. Vous vous lèverez tôt le matin et vous partirez. »
      11 Le matin suivant, David et ses hommes se lèvent tôt et ils retournent au pays des Philistins. Et les Philistins vont à Izréel.

      1 Samuel 30

      1 Le troisième jour, David et ses hommes arrivent à Siclag. Or, les Amalécites ont lancé une attaque au sud de Juda et contre Siclag. Ils ont détruit la ville et l’ont brûlée.
      2 Ils ont fait prisonniers les femmes et les autres habitants, petits et grands, mais ils n’ont tué personne. Ils les ont pris et ils sont partis avec eux.
      3 Quand David et ses hommes arrivent à Siclag, ils trouvent la ville brûlée. Leurs femmes, leurs fils et leurs filles ont été emmenés.
      4 David et ses hommes se mettent à pleurer à haute voix. Ils continuent à pleurer tant qu’ils en ont la force.
      5 Même les deux femmes de David, Ahinoam, d’Izréel, et Abigaïl, veuve de Nabal, de Karmel, sont prisonnières.
      6 David se trouve dans une situation très difficile. En effet, ses hommes parlent de le tuer à coups de pierres : chacun est triste et lui en veut en pensant à ses fils et à ses filles. Pourtant, David reprend courage, grâce au SEIGNEUR son Dieu.
      7 Il dit au prêtre Abiatar, fils d’Ahimélek : « S’il te plaît, apporte-moi les objets sacrés pour consulter le SEIGNEUR. » Abiatar les apporte.
      8 David demande au SEIGNEUR : « Si je poursuis cette bande de pillards, est-ce que je pourrai les rattraper ? » Le SEIGNEUR répond : « Poursuis-les, tu les rattraperas et tu délivreras les prisonniers. »
      9 David et ses 600 hommes partent. Ils arrivent au torrent du Bessor.
      10 À cet endroit, 200 hommes, trop fatigués pour traverser le torrent, s’arrêtent. David continue la route avec 400 hommes.
      11 Dans la campagne, les soldats rencontrent un jeune Égyptien et ils l’amènent à David. Ils lui donnent du pain à manger et de l’eau à boire.
      12 Ils lui donnent encore un gâteau de figues et deux grappes de raisin sec. Après qu’il a mangé, il retrouve des forces. En effet, il n’avait rien mangé ni bu depuis trois jours et trois nuits.
      13 David lui demande : « Tu appartiens à qui ? D’où viens-tu ? » Il répond : « Je suis un Égyptien, esclave d’un Amalécite. Mon maître m’a abandonné il y a trois jours parce que j’étais malade.
      14 C’est nous qui avons lancé des attaques contre le sud du pays des Crétois, des gens de Juda et des Calébites. Et nous avons brûlé la ville de Siclag. »
      15 David lui demande : « Est-ce que tu veux bien me conduire auprès de cette bande de pillards ? » Le jeune Égyptien répond : « Oui, mais à une condition : jure-moi devant Dieu que tu ne me tueras pas, ou que tu ne me livreras pas à mon maître. Alors je te conduirai auprès d’eux. »
      16 L’Égyptien conduit David auprès des Amalécites. Ils sont partout dans la région. Ils sont en train de manger, de boire, de faire la fête avec les immenses richesses qu’ils ont prises au pays des Philistins et au pays de Juda.
      17 David les combat depuis le lever du soleil jusqu’au soir du jour suivant. Personne ne s’échappe, sauf 400 jeunes gens qui réussissent à fuir sur leurs chameaux.
      18 David sauve tout ce que les Amalécites ont pris. Il libère en particulier ses deux femmes.
      19 Personne ne manque : leurs fils et leurs filles, petits et grands, sont tous là, ainsi que les richesses. David retrouve tout ce que les Amalécites ont emporté.
      20 Il prend aussi leurs moutons, leurs chèvres et leurs bœufs. Ceux qui conduisent ces troupeaux disent : « Voilà ce que David a pris ! »
      21 David retourne auprès des 200 hommes qui étaient trop fatigués pour le suivre. Il les a laissés près du torrent du Bessor. Ils viennent à la rencontre de David et de ses hommes. David s’avance avec sa troupe et les salue.
      22 À ce moment-là, tous les gens mauvais, et ceux qui ne valent rien parmi les hommes de David se mettent à dire : « Ils ne sont pas venus avec nous. Donc, ils ne recevront rien des richesses que nous avons reprises. Nous leur rendrons seulement leurs femmes et leurs enfants. Ils n’ont qu’à les prendre et à partir ! »
      23 Mais David leur dit : « Mes frères, ne faites pas cela avec ce que le SEIGNEUR nous a donné. Il nous a protégés, il nous a même livré la bande de pillards qui ont attaqué Siclag.
      24 Personne ne peut être d’accord avec vous dans cette affaire. En effet, “chacun doit recevoir sa part des richesses prises à l’ennemi : celui qui va au combat comme celui qui garde les bagages. Ensemble, ils partageront”. »
      25 Ce jour-là, David en fait une règle qui doit être appliquée en Israël. Elle est encore valable aujourd’hui.
      26 Quand David revient à Siclag, il envoie une partie des richesses prises aux Amalécites aux anciens de Juda qui sont ses amis. Il leur fait dire : « Voici un cadeau pour vous. C’est une partie des richesses prises aux ennemis du SEIGNEUR. »
      27 Il en envoie aussi aux anciens de Béthel, de Ramoth dans le Néguev, de Yattir,
      28 aux anciens d’Aroër, de Sifmoth, d’Echtemoa,
      29 aux anciens de Rakal, des villes des Yeramélites et des Quénites,
      30 aux anciens de Horma, de Bor-Achan, d’Atak,
      31 aux anciens d’Hébron et de tous les endroits où David est passé avec ses soldats.

      Ezéchiel 8

      1 C’était la sixième année après la déportation. Le sixième mois, le 5 du mois, j’étais assis chez moi, et des anciens de Juda étaient assis devant moi. C’est là que la puissance du Seigneur DIEU m’a saisi tout à coup.
      2 Voici ce que je vois : Quelqu’un est là. Il a une forme qui ressemble à un homme. Au-dessous de ce qui a l’air d’être sa taille, son corps est comme du feu. Au-dessus, il y a une sorte de lumière, brillante comme de l’or rougi au feu.
      3 Il tend quelque chose comme une main et me saisit par les cheveux. Alors, dans cette vision qui vient de Dieu, l’esprit me soulève entre ciel et terre et m’emmène à Jérusalem. Je me retrouve à l’intérieur de la porte nord de la ville, là où on a placé une statue qui est une insulte à Dieu.
      4 Or la gloire du Dieu d’Israël m’apparaît à cet endroit, comme elle m’est déjà apparue dans la vallée.
      5 Dieu me dit : « Toi, l’homme, regarde vers le nord. » Je regarde dans cette direction. À la porte du nord, il y a un autel. La statue qui est une insulte à Dieu se trouve près de l’entrée qui conduit à l’autel.
      6 Il ajoute : « Toi, l’homme, est-ce que tu vois ce qu’ils font ? Ici, les gens d’Israël commettent des actions horribles pour m’éloigner de mon lieu saint. Tu vas voir encore d’autres choses aussi horribles. »
      7 Il me transporte à l’entrée de la cour du temple. Je vois qu’il y a un trou dans le mur.
      8 Dieu me dit : « Toi, l’homme, fais un trou dans le mur. » Je fais un trou, et il y a alors un passage.
      9 Il me dit : « Entre et regarde. Les gens font ici des choses horribles et dégoûtantes. »
      10 J’entre et voici ce que je vois : autour de moi, les murs sont couverts de dessins qui représentent des serpents et des bêtes dégoûtantes. Tous les faux dieux des Israélites sont dessinés sur les murs.
      11 Soixante-dix anciens du peuple d’Israël sont debout devant les faux dieux. Parmi eux, il y a Yazania, fils de Chafan. Chacun tient un brûle-parfum à la main, et la fumée d’encens monte vers le ciel.
      12 Dieu me dit : « Toi, l’homme, est-ce que tu as vu ce que les anciens du peuple d’Israël font en se cachant, chacun à sa place devant son faux dieu. Ils disent : “Le SEIGNEUR ne peut pas nous voir, il a quitté le pays.” »
      13 Dieu ajoute : « Tu vas voir qu’ils commettent encore d’autres actions aussi horribles. »
      14 Il me transporte vers la porte nord du temple. Des femmes sont assises à cet endroit et elles pleurent sur la mort de Tammouz.
      15 Il me demande : « Toi, l’homme, est-ce que tu as bien vu ? Tu vas voir des choses encore plus horribles que celles-ci. »
      16 Il me transporte vers la cour intérieure du temple. À l’entrée du lieu saint, entre la cour et l’autel, il y a à peu près 25 hommes. Ils tournent le dos au lieu saint et ils se mettent à genoux, le front contre le sol, dans la direction de l’est, pour adorer le soleil.
      17 Dieu me demande : « Toi, l’homme, est-ce que tu vois ? Eh bien, ces gens de Juda ne se contentent pas des actions horribles qu’ils commettent ici. Ils remplissent en plus le pays de violence, ils font tout pour me mettre en colère. Et maintenant, ils approchent une petite branche de leur nez.
      18 C’est pourquoi à mon tour, j’agirai avec une violente colère. Je n’aurai pas un regard indulgent pour eux, je serai sans pitié. Ils pourront m’appeler à grands cris, je ne les écouterai pas. »

      1 Corinthiens 10

      1 Frères et sœurs chrétiens, je veux vous rappeler ce qui est arrivé à nos ancêtres. Ils ont tous été protégés par le nuage, ils ont tous traversé la mer Rouge.
      2 Ils ont tous été baptisés dans le nuage et dans la mer, en étant unis à Moïse.
      3 Ils ont tous mangé la même nourriture spirituelle
      4 et ils ont bu la même boisson spirituelle. En effet, ils ont bu à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher, c’était le Christ.
      5 Pourtant, parmi eux, presque personne n’a plu à Dieu, c’est pourquoi ils sont morts dans le désert.
      6 Ces choses-là sont arrivées pour nous servir d’exemples. Alors nous n’aurons pas envie de faire le mal comme nos ancêtres.
      7 N’adorez pas les faux dieux, comme certains parmi eux l’ont fait. Les Livres Saints racontent cela : « Le peuple s’est assis pour manger et pour boire. Ensuite, les gens se sont mis debout pour s’amuser. »
      8 N’ayons pas une vie immorale en agissant comme certains d’entre eux l’ont fait, et 23 000 sont morts en un seul jour.
      9 Ne provoquons pas le Seigneur, comme certains parmi eux l’ont fait, et des serpents les ont fait mourir.
      10 Enfin, ne nous plaignons pas, comme certains parmi eux l’ont fait, et l’ange de la mort les a détruits.
      11 Ces choses-là sont arrivées à nos ancêtres pour nous servir d’exemples. On les a écrites pour nous avertir, nous qui sommes bientôt arrivés à la fin des temps.
      12 C’est pourquoi celui qui se croit solide doit faire attention à ne pas tomber.
      13 Toutes les tentations que vous avez rencontrées étaient normales pour des hommes et des femmes. Dieu est fidèle, et il ne permettra pas que vous soyez tentés au-dessus de vos forces. Quand vous serez tentés, Dieu vous donnera la force de le supporter et le moyen d’en sortir.
      14 C’est pourquoi, mes amis très chers, n’allez pas aux cérémonies en l’honneur des faux dieux !
      15 Je vous parle comme à des personnes sages. Jugez vous-mêmes ce que je dis.
      16 Nous remercions Dieu pour la coupe de bénédiction. Quand nous la buvons, est-ce que nous n’entrons pas en communion avec le sang du Christ ? Quand nous mangeons le pain que nous partageons, est-ce que nous n’entrons pas en communion avec le corps du Christ ?
      17 Il y a un seul pain. Alors, tous ensemble, nous sommes un seul corps, parce que nous mangeons tous un seul pain.
      18 Voyez les Israélites : ceux qui mangent des animaux offerts en sacrifice sur l’autel sont en communion avec Dieu.
      19 Qu’est-ce que je veux dire ? Que la viande offerte aux faux dieux vaut quelque chose ? Ou bien que les faux dieux valent quelque chose ?
      20 Non ! Mais je veux dire que ces sacrifices sont offerts aux esprits mauvais, et non à Dieu. Et je ne veux pas que vous soyez en communion avec les esprits mauvais.
      21 Vous ne pouvez pas boire à la fois à la coupe du Seigneur et à la coupe des esprits mauvais. Vous ne pouvez pas prendre part à la fois au repas du Seigneur et aux repas des esprits mauvais.
      22 Ou bien, est-ce que nous voulons rendre le Seigneur jaloux ? Est-ce que nous sommes plus forts que lui ?
      23 Certains disent : « Tout est permis. » Oui, mais tout n’est pas bon. « Tout est permis », c’est vrai, mais tout ne construit pas la communauté.
      24 Personne ne doit chercher son intérêt à soi, mais plutôt celui des autres.
      25 Tout ce qu’on vend au marché, mangez-en sans poser de question, avec une conscience tranquille.
      26 En effet, tout appartient au Seigneur : la terre et tout ce qu’elle contient.
      27 Par exemple, quelqu’un qui n’est pas chrétien vous invite, et vous acceptez son invitation. Alors mangez la nourriture qu’on vous offre, avec une conscience tranquille.
      28 Mais on vous dira peut-être : « C’est de la viande offerte en sacrifice aux faux dieux. » Alors, n’en mangez pas, à cause de celui qui vous a dit cela, et pour des raisons de conscience.
      29 Je parle de sa conscience à lui et non de la vôtre. Mais est-ce que la conscience de quelqu’un d’autre va juger ce que je fais librement ? Pourquoi donc ?
      30 Quand je mange en remerciant Dieu, je dis merci pour la nourriture. Alors, on ne peut pas dire du mal de moi, à cause de cette nourriture.
      31 Donc, quand vous mangez, quand vous buvez, ou quand vous faites autre chose, agissez en tout pour la gloire de Dieu.
      32 Ne faites tomber personne dans le péché par votre façon d’agir : ni les Juifs, ni ceux qui ne sont pas juifs, ni l’Église de Dieu.
      33 Faites comme moi ! J’essaie de plaire à tous dans toutes mes actions. Je ne cherche pas mon intérêt, je cherche l’intérêt de tous pour qu’ils soient sauvés.
    • 1 Samuel 29

      1

      Les Philistins formulent des objections contre David. (1 Samuel 29:1-5)
      David est congédié par Akisch. (1 Samuel 29:6-11)

      David attendait, l'espoir au cœur, que l'Éternel l'aide à sortir de cette situation difficile. Il semblait néanmoins réticent pour accompagner Akisch.

      Il est difficile de « frôler » le péché, sans toutefois chuter.

      Dieu incita les princes des Philistins, à s'opposer à l'engagement de David dans la bataille. L'aversion de ces princes, vis-à-vis de ce dernier lui fut finalement bénéfique : aucun de ses amis n'aurait pu résoudre honnêtement ce problème !

      6 David n'avait jamais rencontré de plus grande délivrance, en se voyant libéré d'une telle situation délicate. Les enfants de Dieu devraient toujours se comporter ainsi, en ayant toujours, dans la mesure du possible, une parole adéquate, pour chaque affaire traitée : ceux qui pratiquent le bien, sauront exprimer facilement de tels propos !

      1 Samuel 30

      1

      La ville de Tsiklag prise par les Amalécites. (1 Samuel 30:1-6)
      David rattrape les Amalécites. (1 Samuel 30:7-15)
      Il retrouve ce qui avait été pris en butin. (1 Samuel 30:16-20)
      David distribue le butin retrouvé. (1 Samuel 30:21-31)

      Quand nous nous rendons à l'étranger, dans le cadre de notre travail, nous pouvons résolument espérer que Dieu saura prendre soin de nos familles, durant notre absence. Si, quand nous rentrons de voyage, nous retrouvons notre demeure en paix, sans problème apparent, à l'inverse du cas de David dans ce texte, nous pouvons alors adresser notre louange au Seigneur !

      Les hommes de David murmurèrent contre lui. Une foi fervente doit s'attendre à être contrée sévèrement. Nous pouvons remarquer à quel point David fut ainsi éprouvé, juste avant d'accéder au trône.

      Quand les affaires de l'église et du peuple de Dieu sont au plus bas, elles ne tardent pas à reprendre alors vigueur.

      David puisa son courage en l'Éternel, son Dieu. Ses hommes étaient vraiment inquiets sur leur sort, le peuple avait de l'amertume dans l'âme : tous ces mécontentements contribuaient à l'affliction et à la misère de ceux qui entouraient David. Mais la situation de ce dernier était plus enviable, bien qu'il ait plus de raisons que les autres de se plaindre. Bien que le peuple soit tenté de céder le pas à la vengeance, David reprit courage; tandis que tous étaient accablés, ce dernier plaça sa confiance en Dieu, la paix au cœur.

      Ceux qui ont Dieu pour Seigneur, peuvent attendre tout encouragement de Lui, lors des moments les plus difficiles !

      7 Si dans tous les imprévus rencontrés dans notre existence, comme d'ailleurs celui décrit dans ce texte, nous sommes persuadés qu'ils sont envoyés par Dieu, dans sa grande Justice, nous pouvons alors Le remercier, sachant qu'Il continuera à nous diriger dans nos étapes, comme il le fit avec David. Ce dernier, ayant beaucoup d'égards pour ses hommes, ne voulait nullement les pousser au-delà de leurs forces.

      Il en est de même pour Christ, « Le fils de David », qui connaît bien les capacités de ceux qui Le suivent, lorsqu'ils traversent des conflits spirituels ; mais quand nous sommes faibles, Jésus, dans Son amour, nous donne de la force, 2Corinthiens 12:9,10.

      Par le biais d'un pauvre Égyptien mourant, David commença à retrouver tous ses biens perdus : la Providence divine fit de ce pauvre serviteur, l'instrument qui déclencha la destruction des Amalécites. Dieu entend toujours les cris des opprimés. Ceux qui n'éprouvent aucune compassion envers les personnes en détresse, ne méritent pas de porter véritablement le nom « d'enfants de Dieu ». Nous ne devrions occasionner aucun dommage aux autres, ni manquer une opportunité de faire le bien ; parfois, les personnes les plus faibles, peuvent être à la fois capables de manifester leur bonté, mais aussi de provoquer des dégâts dans leur entourage.

      16 Les pécheurs sont au bord de la ruine quand ils s'écrient : « paix et sûreté », persuadés d'être loin des mauvais jours. Rien ne peut davantage nous nuire, au point de vue spirituel, que le plaisir des sens et l'indulgence. Manger, boire et danser ont été des occupations agréables et plaisantes, qui ont cependant rassemblé beaucoup d'âmes au séjour des morts !

      Le butin volé à David fut récupéré et rapporté au camp ; rien, ne fut perdu et certaines richesses supplémentaires furent même ajoutées !

      21 Dieu nous accorde Ses dons, pour que nous les utilisions au service du bien. En distribuant le butin à tous ses hommes, David se rendait ainsi équitable et bon.

      Ceux qui se plaisent à opprimer leurs frères, sans prendre soin d'eux, lorsqu'ils sont dans le besoin, sont de véritables « fils de Bélial ».

      David était bon et généreux envers tous ses amis. Ceux qui considèrent que leur abondance de biens provient du Seigneur, sauront partager ces derniers avec bonté et libéralité.

      Ezéchiel 8

      1

      Les idolâtries commises par les dirigeants Juifs. (Ezéchiel 8:1-6)
      Les superstitions auxquelles les Juifs étaient soumis, les incitant à rechercher ce que faisaient les Égyptiens. (Ezéchiel 8:7-12)
      Les Phéniciens. (Ezéchiel 8:13,14)
      Les Perses. (Ezéchiel 8:15,16)
      L’horreur de leur péché. (Ezéchiel 8:17,18)

      La main du Seigneur « saisit » Ézéchiel et, par une vision, le transporta en esprit à Jérusalem : dans la cour intérieure du temple, on préparait un endroit pour vénérer une idole. Toute la scène fut présentée au prophète sous la forme de cette vision.

      S'il plait à Dieu de révéler à un homme (comme Ézéchiel), une représentation aussi nette et distincte de Sa Gloire et de Sa Majesté, ainsi que toutes les abominations commises dans Jérusalem, on est alors en droit de supposer que la Justice et la Rétribution divines infligées à la nation d’Israël, seront à la mesure de cette révélation.

      7 Un endroit secret, fut pour ainsi dire « dévoilé » aux yeux du prophète : il aperçut des créatures peintes sur les murs, et un certain nombre d'anciens d'Israël les adorant.

      Rien ne peut préserver les hommes de leur convoitise, ni de leur idolâtrie, quand ils sont laissés livrés à eux-mêmes, à leur cœur trompeur ; ceux qui sont vite lassés par le service du Seigneur, n’éprouvent que bien peu de scrupules à se livrer à leurs superstitions. Quand les hypocrites se « cachent » derrière une profession très dynamique, il y a toujours une certaine faille dans leur comportement, quelque chose qui les trahit devant ceux qui les observent attentivement.

      Il y a beaucoup de méchanceté dissimulée, ici-bas. Tous les pécheurs estiment être hors de portée de la vue divine : ils sont en fait fin prêts pour la ruine ; ils arrivent même à rejeter la honte de leurs péchés sur le Seigneur !

      13 Le rite annuel d’imploration de l’idole Tammuz était une des pratiques infâmes, pratiquées par les enfants d’Israël ; d’autre part, les adorateurs du soleil décrits dans ce texte, sont vraisemblablement des sacrificateurs.

      L’Éternel fait appel au prophète au sujet de ces crimes odieux : « et voici, ils approchent le rameau de leur nez », ce qui dénote une certaine coutume observée par ces idolâtres, en l'honneur des dieux qu'ils servaient.

      Plus nous étudions la nature humaine et notre propre cœur, plus nous y découvrons d’abominations. Plus le croyant s’examinera longuement, plus il s'humiliera devant Dieu : il constatera alors ses nombreux péchés, et cherchera à les « laver », par le biais de Christ !

      1 Corinthiens 10

      1

      Les grands privilèges, et le terrible renversement de situation des Israélites dans le désert. (1 Corinthiens 10:1-5)
      Mise en garde contre toute idolâtrie, et autres pratiques coupables. (1 Corinthiens 10:6-14)
      La pratique de l'idolâtrie ne peut pas persister chez celui qui est « en » Christ. (1 Corinthiens 10:15-22)
      Tout ce que nous faisons doit l’être à la gloire de Dieu, sans atteinte à la conscience de notre prochain. (1 Corinthiens 10:23-33)

      Afin de dissuader les Corinthiens de céder à l’idolâtrie, et de les écarter de toute conduite coupable, l'apôtre cite l'exemple de la nation juive, au temps de Moïse. Les Juifs ont traversé miraculeusement la Mer Rouge, alors que les Égyptiens qui les poursuivaient, furent noyés. Il s’agissait en fait, d’une allégorie du baptême.

      La manne, par laquelle ils furent nourris, était une image de Christ crucifié, le Pain descendu du ciel : celui qui en mange vivra à jamais !

      Christ est le Roc sur lequel l'église chrétienne est bâtie ; de toutes les sources d’eau qui en jaillissent, les croyant se désaltèrent et sont rafraîchis. C’est encore une image des bénédictions spirituelles du Saint-Esprit, accordées aux enfants de Dieu, par l’intermédiaire de Christ !

      Qu’aucun enfant de Dieu n’abuse des grands privilèges spirituels et de la Vérité dont il dispose ; cela pourrait nuire à sa félicité céleste.

      6 Les désirs charnels naissent par la tolérance au péché, et doivent en conséquence, être contrôlés dès leur apparition.

      Si nous voulons fuir les fléaux qui se sont abattus sur les enfants d’Israël, soyons vigilants à ne pas céder aux péchés dans lesquels ils sont tombés. Craignons en effet les effets pervers de l’iniquité : ceux qui tentent Christ seront laissés sous le pouvoir du « serpent ancien », Satan.

      Les murmures contre les ordonnances et les commandements de Dieu Le provoquent grandement. Rien dans Sa Parole n'est écrit en vain ; il est sage, et c’est même notre devoir, d'en rechercher avec application tout l’enseignement. Beaucoup d’enfants d’Israël tombèrent, il peut en être de même pour nous... La « sécurité » du chrétien, vis-à-vis du péché consiste à rester vigilant sur ce point. Dieu n'a pas promis de nous préserver de toute chute, si nous ne veillons pas à nous-mêmes.

      Un réconfort suit cette recommandation de prudence : d'autres personnes portent les mêmes fardeaux que nous et subissent les mêmes tentations ; si elles arrivent à tout supporter victorieusement, nous le pouvons aussi : Dieu est infiniment sage et fidèle, Il adaptera nos fardeaux à notre force ! Il sait ce que nous sommes capables de supporter et nous donnera le moyen de fuir le péché ; Il nous délivrera de l'épreuve, soit directement, soit au moins de ses effets néfastes.

      La Parole de Dieu nous encourage pleinement à fuir le péché et à être fidèles au Seigneur. Nous ne tomberons pas dans le piège de la tentation, si nous sommes fermement ancrés à Lui. Que le monde nous manifeste ses « sourires », ou sa désapprobation, il reste en fait un ennemi ; les enfants de Dieu seront fortifiés pour le vaincre, malgré tous ses appâts redoutables.

      Quand la crainte du Seigneur réside en notre cœur, nous sommes en sécurité !

      15 Le fait de participer au « repas du Seigneur », la Sainte Cène, ne montre-t-il pas notre profession de foi, Christ crucifié, associée à notre gratitude et à notre adoration pour le salut qu'Il nous a accordé ? Les chrétiens, par cette ordonnance de la Cène et par la foi qui y est professée, sont unis, tels des grains de blé constituant du pain ; ils forment les membres du corps spirituel, sachant qu'ils sont tous unis à Christ, en communion avec Lui et avec les frères.

      Cela se confirme dans la similitude de l'adoration et des coutumes juives, lors du sacrifice (Le 7:15-18*). L'apôtre Paul fait ici un parallèle entre la Cène et les festins idolâtres : manger de la nourriture destinée à un sacrifice païen, revenait pratiquement à adorer l'idole à qui ce sacrifice était dédié, en étant pour ainsi dire, en « communion » avec elle ; celui qui participe à la Sainte Cène, partage de ce fait, le « sacrifice chrétien », alors que ceux qui mangeaient les sacrifices juifs, étaient participants de ce qui était offert sur l’autel.

      Tous ces actes idolâtres niaient le christianisme : la communion avec Christ, et celle pratiquée avec les démons ne peuvent avoir lieu en même temps. Si les chrétiens s'aventurent dans certains lieux, se joignant aux sacrifices, à la luxure de la chair, aux convoitises et à tout l’orgueil qui dirige ce monde, ils provoquent Dieu...

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      23 Dans certains cas, les chrétiens pouvaient manger ce qui avait été offert à des idoles, sans commettre de péché. Par exemple, lorsque la viande, à l’origine, dédiée à un sacrificateur, était vendue au marché, en tant que nourriture ordinaire. Aujourd’hui, le chrétien, dans le choix de sa nourriture, ne doit pas considérer ce qui est autorisé ou non par certaines religions, mais respecter toute opportunité, en vue d’édifier les autres : le christianisme n'interdit en aucune manière, les marques d’amitié ou de courtoisie envers quelqu'un, même si ce dernier est différent de nous, quant à ses pratiques religieuses. Par contre, le même chrétien ne doit pas, sous le même motif, participer activement aux différentes fêtes religieuses idolâtres.

      Selon l'apôtre Paul, les chrétiens doivent veiller à ne pas user de ce genre de liberté pour blesser certaines personnes, ou aller à l’encontre de leurs intérêts.

      En ce qui concerne notre nourriture, notre boisson, et même tous nos actes, recherchons premièrement la Gloire de Dieu, en accomplissant ce qui Lui plaît et en L'honorant. C’est le but de notre piété : cela doit nous conduire à respecter toutes les ordonnances divines.

      Un esprit saint, paisible, et bienveillant, désarmera les plus grands ennemis !

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