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La Bible en 1 an - Jour 250

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    • 2 Samuel 1

      1 Un jour, après la mort de Saül, David retourne à Siclag. Il vient de battre les Amalécites. Il reste deux jours dans cette ville.
      2 Le troisième jour, un messager arrive du camp de Saül. Il a déchiré ses vêtements et s’est couvert la tête de poussière en signe de deuil. En arrivant auprès de David, il s’incline jusqu’à terre devant lui.
      3 David lui demande : « D’où viens-tu ? » Il répond : « J’ai fui du camp d’Israël. »
      4 David lui demande : « Qu’est-ce qui s’est passé ? Raconte-moi ! » Le messager répond : « L’armée d’Israël a fui pendant le combat. Beaucoup de soldats ont été tués. Saül et son fils Jonatan sont morts. »
      5 David demande encore au jeune homme : « Comment sais-tu que Saül et son fils Jonatan sont morts ? »
      6 Le jeune homme répond : « J’étais par hasard sur le mont Guilboa. J’ai vu Saül qui était appuyé sur sa lance. Les chars et les cavaliers ennemis le serraient de près.
      7 Il s’est retourné, il m’a vu et m’a appelé. J’ai répondu : “Oui, je t’écoute.”
      8 Il m’a demandé : “Qui es-tu ?” Je lui ai répondu : “Je suis un Amalécite.”
      9 Alors il m’a dit : “Viens me donner la mort. Je suis encore vivant, mais je me sens mal.”
      10 Je me suis donc approché de lui et je l’ai tué. En effet, je savais qu’il ne pourrait plus vivre après sa défaite. Puis j’ai pris la couronne qui était sur sa tête et le bracelet qu’il portait au poignet. Je les ai apportés ici pour toi. »
      11 Alors David déchire ses vêtements. Tous les hommes qui sont avec lui font la même chose.
      12 Ils font les cérémonies de deuil : ils pleurent et jeûnent jusqu’au soir. Tout cela à cause de ceux qui sont morts pendant la bataille : Saül, son fils Jonatan et les Israélites, tous membres du peuple du SEIGNEUR.
      13 Ensuite, David dit au jeune homme : « D’où viens-tu ? » Le messager répond : « Je suis le fils d’un Amalécite installé chez vous. »
      14 David lui dit : « Et tu n’as pas eu peur de tuer le roi que le SEIGNEUR a consacré ! »
      15 Alors David appelle un de ses jeunes soldats et lui donne cet ordre : « Viens, tue-le ! » Le soldat frappe l’Amalécite et le tue.
      16 David dit à l’Amalécite : « Tu es responsable de ta mort. Tu t’es condamné toi-même en disant : “J’ai tué le roi que le SEIGNEUR avait consacré.” »
      17 Ensuite, David chante un chant de deuil pour Saül et pour son fils Jonatan.
      18 Et il donne l’ordre de l’enseigner aux habitants de Juda. C’est le « chant de deuil de l’Arc », qui se trouve dans le « Livre du Juste ».
      19 Israël, tes meilleurs soldats sont morts sur tes collines ! Pourquoi sont-ils morts, tes courageux combattants ?
      20 N’annoncez pas cette nouvelle dans la ville de Gath, ne la faites pas connaître dans les rues d’Ascalon. Sinon, les femmes des Philistins se réjouiront, les filles de ces non-circoncis danseront de joie.
      21 Montagnes de Guilboa, que les gouttes de rosée et la pluie ne descendent plus sur vous ! Qu’on ne trouve plus de champs fertiles sur vos pentes ! Oui, là, les boucliers des combattants ont été couverts de honte. Il a été couvert de honte, le bouclier de Saül, qu’on ne frottera plus jamais d’huile.
      22 Pour faire couler le sang, pour combattre des ennemis puissants, l’arc de Jonatan ne reculait pas, et l’épée de Saül était toujours efficace.
      23 Saül et Jonatan s’aimaient beaucoup pendant leur vie, et la mort ne les a pas séparés. Ils étaient plus rapides que des aigles, plus courageux que des lions !
      24 Femmes d’Israël, pleurez sur Saül ! Il vous mettait des habits magnifiques, il couvrait vos vêtements de bijoux d’or.
      25 Pourquoi sont-ils morts en pleine bataille, ces courageux combattants ? Jonatan est mort sur les collines. Pourquoi ?
      26 Je suis rempli d’une tristesse profonde à cause de toi, mon frère Jonatan, toi, mon meilleur ami. Ton amitié était plus merveilleuse que l’amour des femmes.
      27 Pourquoi sont-ils morts, ces courageux combattants ? Pourquoi sont-ils tombés, ces grands soldats ?

      Ezéchiel 10

      1 Je regarde : sur le toit qui est au-dessus de la tête des chérubins, une pierre précieuse comme le saphir apparaît. Elle ressemble à un siège de roi.
      2 Dieu dit à l’homme habillé de lin : « Va entre les roues qui sont sous les chérubins. Prends à pleines mains des charbons brûlants entre les chérubins, et va les répandre sur la ville. » Je vois l’homme aller entre les roues.
      3 À ce moment-là, les chérubins sont dans la partie droite du temple, et un nuage de fumée remplit la cour intérieure.
      4 La gloire du SEIGNEUR qui est au-dessus des chérubins se dirige vers l’entrée du temple. Alors le nuage vient remplir le temple et la gloire du SEIGNEUR remplit la cour de sa lumière.
      5 On entend le bruit des ailes des chérubins jusque dans la cour extérieure. Ce bruit ressemble au tonnerre, la voix du Dieu tout-puissant.
      6 L’homme habillé de lin est allé se placer près d’une roue. Il est venu là quand Dieu lui a donné l’ordre de prendre du feu entre les roues, au milieu des chérubins.
      7 L’un des chérubins tend la main vers le feu qui est près de lui. Il prend des charbons brûlants et il les met dans la main de l’homme vêtu de lin. Celui-ci les prend et sort.
      8 Quelque chose comme une main humaine apparaît sous les ailes des chérubins.
      9 Je vois aussi quatre roues à côté des chérubins, une roue à côté de chacun. Ces roues brillent comme une pierre précieuse.
      10 Toutes les quatre se ressemblent, et on dirait que chaque roue est au milieu de l’autre.
      11 Elles peuvent avancer dans les quatre directions sans tourner sur elles-mêmes. Elles se dirigent dans la direction indiquée par la tête des chérubins sans tourner sur elles-mêmes.
      12 Le corps, le dos, les mains et les ailes des chérubins, ainsi que leurs quatre roues, sont couvertes de points brillants tout autour.
      13 J’entends une voix appeler ces roues « tornade ».
      14 Chaque chérubin a quatre visages : le premier est le visage d’un chérubin, le deuxième est le visage d’un homme, le troisième est celui d’un lion, le quatrième est celui d’un aigle.
      15 Les chérubins s’élèvent dans l’air. Ils sont semblables aux êtres vivants que j’ai vus sur le fleuve Kébar.
      16 Quand ils avancent, les roues avancent avec eux. Quand les chérubins étendent leurs ailes pour s’élever de terre, les roues restent à côté d’eux.
      17 Quand ils s’arrêtent, elles s’arrêtent. Quand ils s’élèvent dans l’air, elles s’élèvent avec eux. En effet, la volonté des êtres vivants fait marcher les roues.
      18 La gloire du SEIGNEUR quitte l’entrée du temple et elle s’arrête au-dessus des chérubins.
      19 Les chérubins étendent leurs ailes pour partir. Je les vois s’élever de terre en même temps que les roues du char du SEIGNEUR. Ils s’arrêtent à l’est du temple, à l’entrée de la porte. La gloire du Dieu d’Israël brille au-dessus d’eux.
      20 Près du fleuve Kébar, j’avais vu les mêmes êtres vivants au-dessous du Dieu d’Israël. Je comprends que ce sont des chérubins.
      21 Chacun a quatre visages, quatre ailes et des sortes de mains humaines sous leurs ailes.
      22 Leurs visages sont semblables aux visages que j’ai vus près du fleuve Kébar. Chacun avance droit devant soi.

      1 Corinthiens 12

      1 Frères et sœurs chrétiens, au sujet des dons de l’Esprit Saint, je ne veux pas que vous restiez ignorants.
      2 Autrefois, vous ne connaissiez pas encore Dieu. Vous le savez, vous étiez entraînés vers les faux dieux qui ne parlent pas, vous ne pouviez pas leur résister.
      3 C’est pourquoi je veux vous faire savoir une chose : si quelqu’un parle avec l’aide de l’Esprit de Dieu, il ne peut pas dire : « Que Jésus soit maudit ! » Et sans l’aide de l’Esprit Saint, personne ne peut dire : « Jésus est le Seigneur. »
      4 Oui, il y a des dons différents, mais c’est le même Esprit qui les donne.
      5 Il y a des façons de servir différentes, mais on sert le même Seigneur.
      6 Il y a des activités différentes, mais c’est le même Dieu qui les produit toutes en tous.
      7 Chacun reçoit le don de montrer la puissance de l’Esprit Saint, et cela pour le bien de tous.
      8 L’un reçoit de l’Esprit le don de parler avec sagesse, l’autre reçoit du même Esprit le don de faire connaître Dieu.
      9 Un autre reçoit de ce même Esprit le don d’une foi très solide, un autre reçoit de cet unique Esprit le don de guérir les malades.
      10 Un autre peut faire des actions extraordinaires, un autre peut parler au nom de Dieu, un autre sait faire la différence entre ce qui vient de l’Esprit Saint et ce qui ne vient pas de lui. Un autre peut parler en des langues inconnues, un autre peut les traduire.
      11 Mais tout cela, c’est le seul et même Esprit Saint qui le rend possible. Il distribue ses dons à chacun comme il veut.
      12 Utilisons une comparaison. Le corps forme un tout, et pourtant, il a plusieurs parties. Malgré leur nombre, toutes les parties du corps ne forment qu’un seul corps. Pour le Christ, c’est la même chose.
      13 Tous, Juifs et non-Juifs, esclaves et personnes libres, nous avons reçu le baptême dans un seul Esprit Saint, pour former un seul corps. Nous avons tous bu à la source de cet unique Esprit.
      14 En effet, le corps n’a pas qu’une seule partie, il en a plusieurs.
      15 Le pied peut dire : « Moi, je ne suis pas une main, donc, je ne fais pas partie du corps. » Pourtant, il fait quand même partie du corps.
      16 L’oreille peut dire : « Je ne suis pas un œil, donc, je ne fais pas partie du corps. » Pourtant, elle fait quand même partie du corps.
      17 Si dans le corps, il n’y avait que les yeux, comment pourrait-on entendre ? S’il n’y avait que les oreilles, comment pourrait-on sentir les odeurs ?
      18 Mais Dieu a placé chaque partie dans le corps, comme il l’a voulu.
      19 Si l’ensemble se compose d’une seule partie, il n’y a pas de corps.
      20 Il y a donc plusieurs parties, mais un seul corps.
      21 L’œil ne peut pas dire à la main : « Je n’ai pas besoin de toi ! » Et la tête ne peut pas dire aux pieds : « Je n’ai pas besoin de vous ! »
      22 Au contraire, même les parties du corps qui semblent les plus faibles sont nécessaires.
      23 Et les parties que nous jugeons les moins respectables, nous les respectons davantage. Celles qu’on ne doit pas voir, nous nous en occupons avec plus de soin.
      24 Les parties de notre corps qu’on peut voir n’ont pas besoin de tous ces soins. Mais Dieu a fait le corps en donnant plus d’honneur aux parties les moins respectables.
      25 Alors il n’y a pas de division dans le corps. Au contraire, toutes ses parties prennent soin les unes des autres.
      26 Si une partie du corps souffre, toutes les autres parties souffrent avec elle. Si une partie est à l’honneur, toutes les autres partagent sa joie.
      27 Vous, vous êtes le corps du Christ, et chacun de vous est une partie de ce corps.
      28 Dans l’Église, Dieu a placé au premier rang : les apôtres, au deuxième rang : les prophètes, au troisième rang : ceux qui enseignent. Ensuite, il y a ceux qui font des actions extraordinaires, puis ceux qui ont le don de guérir. Il y a ceux qui aident les autres et ceux qui dirigent. Enfin, il y a ceux qui ont le don de parler en langues inconnues.
      29 Tous ne sont pas apôtres, tous ne sont pas prophètes. Tous n’enseignent pas, tous ne font pas des actions extraordinaires.
      30 Tous n’ont pas le don de guérir, tous ne parlent pas en langues inconnues, et tous ne les traduisent pas.
      31 Cherchez donc à avoir les dons les plus grands ! Mais maintenant, je vais vous montrer un chemin meilleur que les autres.
    • 2 Samuel 1

      1

      Le livre de 2Samuel décrit le règne du Roi David. Il relate les victoires de ce dernier, la croissance de la prospérité d'Israël, et l'affermissement de la piété du peuple. En plus de ces divers événements, nous trouvons aussi le cliché des graves péchés que commit David, avec les funestes conséquences que cela engendra pour sa famille et pour son règne.

      De nombreux enseignements y sont également donnés, dont beaucoup sont des mises en garde pour notre édification. L'histoire du Roi David est citée dans l'Écriture avec beaucoup de fidélité, faisant ainsi ressortir, malgré toutes les critiques faites sur sa personne, ses vertus et ses excellentes qualités : ce fut un grand homme, plein de bonté.

      * Les nouvelles sur la mort de Saül sont rapportées à David. (2 Samuel 1:1-10) L'Amalécite est mis à mort. (2 Samuel 1:11-16) Les lamentations de David, au sujet de la mort de Saül et de Jonathan. (2 Samuel 1:17-27)

      2 Samuel 1:1-10 Le fait marquant qui permit à David d'accéder au trône, arriva au moment où le futur roi était douloureusement affligé.

      Ceux qui « déposent » leurs soucis devant le Seigneur, en accomplissant Sa volonté, connaîtront alors une véritable quiétude. Ce texte prouve que David ne désirait pas la mort de Saül, et qu'il n'était pas du tout impatient d'accéder au trône.

      11 David était sincère, lorsqu'il pleurait la mort de Saül ; devant de la défaite infligée à Israël, tous les compagnons du futur roi se sont humiliés devant Dieu. L'homme qui apporta ces tristes nouvelles, en tant que meurtrier du roi Saül, fut mis à mort par David. Ce dernier n'agit pas injustement, l'Amalécite ayant avoué son crime. Si ses dires s'avéraient exacts, il méritait de mourir pour « trahison » ; s'il avait menti à David, tôt ou tard son péché se serait retourné contre lui. Par cet acte, le futur roi montrait qu'il était avant tout, un ardent défenseur de la justice publique, sans souci pour son propre intérêt.
      17 Jashar, ce qui signifie « l'arc », était probablement le titre de cette complainte triste et funèbre. David n'a pas souligné les qualités qui faisaient défaut à Saül ; il ne dit rien non plus sur sa piété ni sa bonté. Jonathan était un fils dévoué, Saül un père affectueux, tous deux s'aimaient mutuellement. David a bien fait de rappeler que son amour pour Jonathan, était vraiment fort. Parallèlement, de l'Amour entre Christ et les Siens, jaillit la fraternité entre ces derniers.

      Les épreuves des enfants de Dieu et les triomphes de leurs ennemis, affligeront toujours les véritables croyants, malgré les avantages éventuels qu'ils puissent en tirer.

      Ezéchiel 10

      1

      Vision relative aux charbons ardents répandus sur la ville. (Ezéchiel 10:1-7)
      La gloire divine émanant du temple. (Ezéchiel 10:8-22)

      Le feu situé entre les roues, sous les chérubins, chapitre Ezéchiel 1:13, semble révéler la colère divine prête à sévir sur Jérusalem. Ce feu divin, qui traduit le Jugement contre le peuple, est symbole de Justice et de Sainteté ; au temps marqué, la terre, et toutes ses œuvres, seront brûlées.
      8 Ézéchiel voit ici la manifestation de la Providence divine dans le gouvernement et les affaires de ce monde.

      Quand Dieu, dans Son courroux, abandonne un peuple à son triste sort, les anges dans les cieux et toute action de la Providence, s’écartent de ce peuple.

      L'Esprit de vie, l'Esprit de Dieu, touche le cœur de toute créature, dans le ciel comme sur terre, afin de l’inciter à atteindre les desseins divins à son égard. Dieu punit graduellement le peuple qui Le provoque ; mais si celui-ci est prêt à se repentir, dans la prière, le Seigneur est toujours prêt à retourner vers lui et lui pardonner !

      Que ce texte puisse inciter sérieusement les pécheurs à rechercher le Seigneur tandis qu'Il peut être trouvé ; qu’ils L’appellent pendant qu’Il est encore proche ; puissions-nous rester vigilants et marcher humblement avec notre Dieu !

      1 Corinthiens 12

      1

      La variété et l'usage des dons spirituels. (1 Corinthiens 12:1-11)
      Dans le corps humain, chaque membre a sa place et son usage. (1 Corinthiens 12:12-26)
      Ceci s’applique à l'Église. (1 Corinthiens 12:27-30)
      Ce qu’il y a de plus excellent que les dons spirituels. (1 Corinthiens 12:31)

      Les dons spirituels sont des pouvoirs extraordinaires accordés aux chrétiens dès les premiers temps de l’église, pour convaincre les non-croyants et répandre l'Évangile.

      Les dons et les grâces sont de nature tout à fait différente. Les deux ont été octroyés librement par Dieu. La Grâce est accordée pour le salut de celui qui la possède. Les dons servent au bienfait et au salut des autres ; il peut y avoir abondance de dons, avec une dispensation modeste de la grâce.

      Les dons extraordinaires du Saint-Esprit ont été octroyés dans certaines assemblées, comme celle des Corinthiens, dépourvus alors d’une réelle piété et d’amour fraternel authentique. Tels des païens, ils n'avaient pas vraiment été influencés par l'Esprit de Christ...

      Personne ne peut appeler Christ « Seigneur », et prétendre Lui appartenir, sans posséder la foi que peut accorder le Saint-Esprit. Nul ne peut croire en son cœur que Jésus est le Christ, si ce n'est par le Saint-Esprit.

      Il y a divers dons dans l’assemblée, diverses fonctions à remplir, provenant d'un même Dieu, d'un même Seigneur, d'un même Esprit : le Père, le Fils, et le Saint-Esprit, à l'origine de toutes bénédictions spirituelles. Personne ne peut disposer de ces dons à titre personnel. Plus un chrétien mettra ses dons à la disposition des autres, plus il tirera de ces derniers un bénéficie spirituel.

      Les dons mentionnés dans ce texte sont en parfaite harmonie avec la doctrine chrétienne, comme par exemple, la connaissance de certains mystères de la Parole, ou une véritable aptitude à donner d’excellents conseils. On trouve également dans ce texte, le don de guérison, celui d'accomplir des miracles, d'expliquer l'Écriture, par un don particulier de l'Esprit, la capacité de parler et d’interpréter des langues...

      Si nous avons une certaine connaissance de la Vérité, ou la moindre possibilité de La faire connaître, nous devons en donner toute la gloire à Dieu. Plus les dons sont importants, plus son détenteur est exposé à certaines tentations, plus il doit posséder la Grâce, nécessaire à son humilité et à sa spiritualité ; cette personne pourra être confrontée à de nombreuses expériences douloureuses, voire humiliantes.

      Nous n'avons aucune raison de nous glorifier des dons qui nous sont octroyés, ni de mépriser ceux qui n'en ont pas.

      12 Christ et Son église forment un « corps » ; Lui en est la Tête, elle en constitue les membres. Par le baptême, institution divine, les chrétiens deviennent membres de ce corps : ils témoignent ainsi de leur « nouvelle naissance » ; il s’agit du baptême de la régénération, Tite 3:5.

      Mais c'est uniquement par le renouvellement du Saint-Esprit, que nous devenons membres du corps de Christ. Par la communion avec Christ, lors du repas du Seigneur, nous sommes fortifiés : non par la consommation du vin, mais en « buvant » d’un même Esprit.

      Chaque membre possède ses caractéristiques, sa place, son rôle. Même le moindre des membres fait partie du corps. Il doit y avoir une distinction entre chaque membre. Ceux du corps de Christ possèdent des capacités particulières avec des responsabilités différentes. Nous devons accomplir les devoirs afférents à notre propre place, sans murmurer ni nous quereller avec les autres.

      Tous les membres du corps sont indispensables pour la vie communautaire : aucun d’entre eux n’est inutile. Comme dans le corps humain, les membres de l’assemblée doivent être unis fermement, par les liens les plus solides de l'amour ; tous doivent rechercher le bien de l'ensemble du corps de Christ.

      Tous les chrétiens sont dépendants les uns des autres ; chacun est en droit d'attendre et de recevoir l'aide du reste du corps de Christ. Soyons donc vraiment unis dans la piété commune qui nous anime !

      27 Le mépris, la haine, l'envie, et les luttes ne devraient pas exister chez les chrétiens : on serait alors tenté de croire que les membres « d'un même corps » ne se sentiraient pas concernés par leurs homologues, qui ne cherchent qu’à se quereller mutuellement.

      L'orgueil et tout esprit belliqueux, relatifs aux dons spirituels sont ainsi condamnés par l’apôtre. Ce texte notifie par ordre d’importance, les fonctions et les dons dispensés par le Saint-Esprit : on trouve, d’abord les apôtres (ou serviteurs de Dieu), puis ceux qui savaient interpréter l'Écriture ; ensuite, on trouve ceux qui travaillaient sur la Parole ou la doctrine, ceux qui avaient le pouvoir de guérir les maladies, ceux qui aidaient les personnes souffrantes et les faibles, ceux qui géraient les offrandes de l'église et ceux qui étaient capables de parler diverses langues. Le dernier don de cette liste, est le pouvoir de parler en langues ; qu’il est vain de mettre en exergue ce don, simplement pour se faire plaisir ou se mettre en valeur !

      Nous voyons dans ce texte, que l’attribution des dons est spécifique, 1 Corinthiens 12:29,30. Sans cette distinction, on aurait en fait, une église composée de membres identiques : tout le corps de Christ ne serait alors « qu’une oreille, ou qu’un œil » !

      L'Esprit distribue à chacun selon Sa Volonté. Soyons satisfaits par le don qui nous a été octroyé, même si ce dernier est plus modeste que celui des autres. D’autre part, nous ne devons pas mépriser les autres membres, si notre don est plus grand que le leur...

      Quelle bénédiction de rencontrer une église, avec tous ses membres qui exercent leur devoir ! Au lieu de convoiter les plus hauts postes, ou les dons les plus « brillants », laissons à Dieu le soin d’utiliser Ses serviteurs, et ceux en qui Il œuvre, par Sa Providence.

      Souvenons-nous que ceux qui recherchent les postes les plus importants de l’assemblée ne seront pas spécialement approuvés par le Maître ; seuls le seront, les plus fidèles, les plus appliqués à la tâche qui leur a été assignée.

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