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La Bible en 1 an - Jour 252

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Versets relatifs

    • 2 Samuel 3

      1 La guerre entre les gens de Saül et ceux de David dure longtemps. David devient de plus en plus fort. Au contraire, les gens de Saül perdent peu à peu leur pouvoir.
      2 Voici les fils de David qui sont nés à Hébron : Amnon, l’aîné. Sa mère, c’est Ahinoam, d’Izréel.
      3 Le deuxième s’appelle Kilab. Sa mère, c’est Abigaïl, de Karmel, la veuve de Nabal. Le troisième s’appelle Absalom. Sa mère, c’est Maaka, fille de Talmaï, roi de Guéchour.
      4 Le quatrième s’appelle Adonia. Sa mère, c’est Haguite. Le cinquième s’appelle Chefatia. Sa mère, c’est Abital.
      5 Le sixième s’appelle Itréam. Sa mère, c’est Égla, femme de David. Voilà les fils de David qui sont nés à Hébron.
      6 Pendant la guerre entre les gens de Saül et les gens de David, Abner devient de plus en plus puissant parmi les gens de Saül.
      7 Saül avait eu des femmes de deuxième rang. L’une d’entre elles s’appelait Rispa, sa mère était Aya. Un jour, Ichebaal demande à Abner : « Pourquoi est-ce que tu as couché avec une femme de mon père ? »
      8 En entendant ces paroles, Abner se met dans une violente colère et il répond : « Est-ce que je suis un chien qui appartient aux gens de Juda ? Jusqu’à maintenant, j’ai été fidèle à la famille de ton père Saül, à ses frères et à ses amis. Je ne t’ai pas livré entre les mains de David. Et toi, aujourd’hui, tu me reproches une faute avec cette femme !
      9 Que Dieu me punisse très sévèrement si je ne réalise pas pour David ce que le SEIGNEUR lui a promis !
      10 En effet, il a juré d’enlever le pouvoir royal à la famille de Saül. Il étendra l’autorité du roi David sur le territoire d’Israël et sur celui de Juda, depuis Dan, au nord, jusqu’à Berchéba, au sud. »
      11 Ichebaal ne peut répondre un seul mot à Abner, parce qu’il a peur de lui.
      12 Ensuite, Abner envoie des messagers à David. Ils vont lui dire de sa part : « À qui appartiendra le pays ? Passe un accord avec moi, et je t’aiderai à rassembler tous les Israélites autour de toi. »
      13 David lui fait donner cette réponse : « C’est bien ! Je passerai un accord avec toi. Mais quand tu viendras te présenter devant moi, envoie-moi d’abord ma femme Mikal, la fille de Saül. Alors seulement, tu pourras te présenter devant moi. »
      14 Ensuite, David envoie des messagers à Ichebaal, fils de Saül, pour lui dire : « Rends-moi ma femme Mikal. Je l’ai obtenue en échange de 100 prépuces de Philistins. »
      15 Ichebaal fait donc venir Mikal, qui vivait avec son mari Paltiel, fils de Laïch.
      16 Paltiel l’accompagne. Il marche derrière elle jusqu’à Bahourim en pleurant. Alors Abner lui commande de rentrer chez lui, et Paltiel s’en va.
      17 Abner rencontre les anciens d’Israël pour discuter avec eux. Il leur dit : « Depuis longtemps, vous voulez avoir David comme roi.
      18 Eh bien, c’est le moment de faire quelque chose ! En effet, le SEIGNEUR a dit à son sujet : “Je sauverai Israël, mon peuple, du pouvoir des Philistins et de tous ses autres ennemis. Et je le ferai par l’intermédiaire de mon serviteur David.” »
      19 Abner parle aussi avec les Benjaminites. Ensuite, il part pour Hébron. Il va présenter à David lui-même le projet approuvé par les Benjaminites et les autres Israélites.
      20 Abner arrive auprès de David, à Hébron, avec 20 hommes. David leur offre un grand repas.
      21 Abner dit à David : « Mon roi, je veux aller rassembler tous les Israélites autour de toi. Ils passeront un accord avec toi, et tu pourras être roi sur tout le pays, comme tu le désires. » David laisse partir Abner, et celui-ci part en paix.
      22 Peu de temps après, Joab arrive avec les gardes de David. Ils reviennent d’un combat et rapportent beaucoup de richesses de guerre. Abner n’est plus avec David à Hébron, parce que le roi l’a laissé repartir en paix.
      23 Dès que Joab arrive avec tous ses soldats, il apprend ce qui s’est passé : Abner, fils de Ner, est venu trouver le roi. Celui-ci l’a laissé partir en paix.
      24 Joab va chez le roi et lui dit : « Qu’est-ce que tu as fait là ? Abner vient chez toi et tu le laisses partir librement ?
      25 Pourtant tu connais Abner, fils de Ner ! S’il est venu, c’est pour te tromper, pour savoir ce que tu fais et où tu vas. »
      26 Joab quitte le roi et il envoie des messagers derrière Abner. Ils le font revenir de la citerne de Sira, et David ne le sait pas.
      27 Après qu’Abner est revenu à Hébron, Joab l’entraîne à l’écart, à l’intérieur de la porte de la ville, comme pour lui parler en secret. Et là, il le frappe au ventre. Joab le tue pour venger la mort de son frère Assaël.
      28 Quand David apprend la nouvelle, il dit : « Le SEIGNEUR le sait, moi et mon royaume, nous ne serons jamais coupables de la mort d’Abner, fils de Ner !
      29 Que Joab et toute sa famille en supportent les conséquences ! Que dans cette famille, il y ait toujours des gens atteints d’écoulements impurs ou des lépreux ! Que les hommes fassent un travail de femmes, qu’ils meurent de façon violente ou qu’ils souffrent de la faim ! »
      30 Ainsi Joab et son frère Abichaï ont tué Abner, parce que celui-ci avait tué leur frère Assaël pendant le combat de Gabaon.
      31 David dit à Joab et à tous ceux qui sont avec lui : « Déchirez vos vêtements, mettez des habits de deuil, faites les cérémonies pour la mort d’Abner ! » Et le roi David lui-même marche derrière le corps du mort.
      32 On enterre Abner à Hébron. Sur sa tombe, le roi pleure à grands cris, et toute la foule pleure avec lui.
      33 Ensuite, le roi chante ce chant de deuil : « Est-ce qu’Abner devait mourir comme meurt un homme stupide ?
      34 Toi, Abner, tu n’avais pas les mains attachées ni les pieds liés par des chaînes. Pourtant tu es tombé, comme on tombe sous les coups des assassins. » Tous ceux qui sont là continuent à pleurer sur Abner.
      35 Puis ils s’approchent de David. Ils lui offrent à manger pendant qu’il fait encore jour. Mais David fait ce serment : « Que Dieu me punisse très sévèrement si je mange un morceau de pain ou autre chose avant le coucher du soleil ! »
      36 Tout le peuple apprend cela et il approuve le roi. D’ailleurs le peuple approuve toujours ce qu’il fait.
      37 Ainsi tous les habitants de Juda et tous ceux d’Israël comprennent ceci : ce n’est pas le roi qui a commandé de tuer Abner, fils de Ner.
      38 David dit encore à ses ministres : « Aujourd’hui, un chef, un grand chef d’Israël est mort. Est-ce que vous le savez ?
      39 Moi, j’ai été consacré comme roi. Pourtant, j’ai encore peu de force, et ces hommes-là, les fils de Serouia, sont plus violents que moi. Que le SEIGNEUR rende lui-même aux gens mauvais le mal qu’ils ont commis ! »

      Ezéchiel 12

      1 Le SEIGNEUR m’a adressé sa parole. Il m’a dit :
      2 « Toi, l’homme, tu vis au milieu d’une bande de révoltés. Ils ont des yeux pour voir, mais ils ne voient pas. Ils ont des oreilles pour entendre, mais ils n’entendent pas. Oui, c’est une bande de révoltés.
      3 Eh bien, toi, l’homme, rassemble les affaires nécessaires à un déporté, pendant la journée, sous les yeux de tous. Quitte ta maison comme un déporté qui part pour un autre lieu. Fais cela sous les yeux de tous. Alors ils comprendront peut-être qu’ils sont une bande de révoltés.
      4 Tu sortiras tes affaires de chez toi pendant la journée et sous les yeux de tous. Et le soir, tu partiras sous leurs yeux comme quelqu’un qui va être déporté.
      5 Toujours sous leurs yeux, tu feras un trou dans le mur et tu sortiras par là.
      6 Sous leurs yeux, tu chargeras tes affaires sur ton épaule, et tu les emporteras pendant la nuit. Tu couvriras ton visage et tu ne pourras pas voir où tu vas. De cette façon, je fais de toi celui qui prévient les Israélites. »
      7 J’ai agi comme le SEIGNEUR me l’avait commandé. En plein jour, j’ai sorti mon bagage, un bagage de déporté. Le soir, j’ai fait un trou dans le mur avec mes mains. Les gens m’ont vu partir dans la nuit, avec mon sac sur l’épaule.
      8 Le matin suivant, le SEIGNEUR m’a adressé sa parole. Il m’a dit :
      9 « Toi, l’homme, écoute ! Cette bande de révoltés, le peuple d’Israël, va sans doute te demander : “Qu’est-ce que tu fais là ?”
      10 Réponds-leur : “Voici les paroles du Seigneur DIEU : C’est un avertissement pour celui qui gouverne à Jérusalem et pour tous les Israélites qui habitent là.”
      11 Dis-leur : Je vous préviens de ce qui va arriver. Ce que j’ai fait, voilà ce qu’on vous fera. Vous serez déportés, vous partirez en exil.
      12 Celui qui vous dirige mettra ses affaires sur son épaule dans la nuit, et il quittera la ville. On fera un trou dans le mur, et il sortira par là. Il couvrira son visage et il ne verra pas où il va.
      13 Moi, le SEIGNEUR, je vais lui tendre un piège et je le ferai prisonnier. Je l’emmènerai dans le pays des Babyloniens, mais il ne pourra pas voir ce pays. C’est là-bas qu’il mourra.
      14 Je ferai partir de tous côtés tous ceux qui entourent votre chef, ses gardes et ses soldats. Puis je les poursuivrai avec mon épée.
      15 Quand je les ferai partir parmi les autres peuples et dans des pays étrangers, ils sauront que le SEIGNEUR, c’est moi.
      16 Mais je laisserai quelques hommes échapper à la guerre, à la famine et à la peste. Alors ceux-là raconteront aux habitants des pays où ils iront toutes les actions horribles qu’ils ont faites. Et ces habitants sauront que le SEIGNEUR, c’est moi. »
      17 Le SEIGNEUR m’a encore adressé sa parole :
      18 « Toi, l’homme, mange ton pain en tremblant, bois ton eau dans la peur et l’inquiétude.
      19 Puis tu diras aux gens du pays : “Voici les paroles du Seigneur DIEU : les habitants de Jérusalem qui sont restés dans le pays d’Israël mangeront leur pain dans l’inquiétude, ils boiront leur eau en tremblant de peur. En effet, leur pays va être détruit. Il ne restera plus rien, parce que ceux qui l’habitent l’ont rempli de violence.
      20 Les villes n’auront plus d’habitants, et le pays deviendra un désert. Alors vous saurez que le SEIGNEUR, c’est moi.” »
      21 Le SEIGNEUR m’a adressé sa parole :
      22 « Toi, l’homme, écoute ! Vous répétez ce proverbe au sujet d’Israël : “Le temps passe et aucune vision ne se réalise.” Pourquoi donc ?
      23 Eh bien, dis aux Israélites que moi, le Seigneur DIEU, je supprimerai l’habitude de dire ce proverbe. Personne ne le répétera plus en Israël. Dis-leur au contraire : “Voici le moment où toutes les visions vont se réaliser.”
      24 Il n’y aura plus de visions fausses ni de paroles trompeuses pour les Israélites.
      25 En effet, c’est moi le SEIGNEUR qui parle. Et ce que j’annonce va se réaliser bientôt. Oui, c’est pendant votre vie, bande de révoltés, que je réaliserai ce que j’ai dit. » Voilà ce que le Seigneur DIEU déclare.
      26 Le SEIGNEUR m’a encore adressé sa parole :
      27 « Toi, l’homme, écoute ! Les Israélites disent : “Les visions d’Ézékiel se réaliseront dans très longtemps. Ce prophète parle pour beaucoup plus tard.”
      28 Eh bien, dis-leur ceci de ma part : “Moi, le Seigneur DIEU, je réaliserai bientôt tout ce que j’ai annoncé.” » Voilà ce que le Seigneur DIEU déclare.

      1 Corinthiens 14

      1 Cherchez avant tout à aimer les autres. Désirez les dons de l’Esprit Saint, surtout le don de parler au nom de Dieu.
      2 Si quelqu’un parle en langues inconnues, il ne parle pas aux gens, mais à Dieu. Personne ne le comprend. Avec l’aide de l’Esprit Saint, il dit des choses mystérieuses.
      3 Mais si quelqu’un parle au nom de Dieu, il parle aux gens : il construit la communauté, il encourage et il console.
      4 Celui qui parle en langues inconnues ne construit que lui-même. Au contraire, celui qui parle au nom de Dieu construit la communauté tout entière.
      5 Je souhaite que vous parliez tous en langues inconnues, mais j’aime encore mieux que vous parliez au nom de Dieu. Parler au nom de Dieu, cela vaut mieux que de parler en langues inconnues, sauf si quelqu’un traduit pour construire la communauté.
      6 Frères et sœurs chrétiens, prenons un exemple : je viens vous voir et je vous parle en langues inconnues. Si mes paroles ne vous apportent rien, ni message clair, ni connaissance, ni parole de la part de Dieu, ni enseignement, est-ce que je vous rends service ?
      7 C’est la même chose pour les instruments de musique, comme la flûte ou la cithare. Si leurs sons ne sont pas différents, comment distinguer la musique que chacune joue ?
      8 Et si la trompette ne sonne pas clairement, qui va se préparer pour le combat ?
      9 Pour vous, c’est pareil ! Si vous parlez avec des mots qu’on ne comprend pas, comment savoir ce que vous dites ? Vos paroles sont du vent !
      10 Il y a beaucoup de langues différentes sur la terre, et toutes veulent dire quelque chose.
      11 Si je ne connais pas la langue de la personne qui me parle, je suis pour elle un étranger, et elle est une étrangère pour moi.
      12 Pour vous, c’est pareil ! Puisque vous désirez les dons de l’Esprit Saint, cherchez-les toujours davantage, mais pour construire la communauté rassemblée.
      13 C’est pourquoi celui qui parle en langues inconnues doit prier pour avoir le don de les traduire.
      14 Si je prie en langues inconnues, mon cœur est en prière, mais mon intelligence ne travaille pas.
      15 Alors que faire ? Je prierai avec mon cœur, mais je prierai aussi avec mon intelligence. Je chanterai avec mon cœur, mais je chanterai aussi avec mon intelligence.
      16 Si tu remercies Dieu seulement avec ton cœur, le croyant qui n’y connaît rien ne sait pas ce que tu dis. Alors, comment pourra-t-il répondre « Amen » à ta prière de remerciement ?
      17 Cette prière est sans doute très belle, mais elle n’aide pas les autres à faire des progrès.
      18 Grâce à Dieu, je parle en langues inconnues plus que vous tous.
      19 Mais dans l’assemblée des chrétiens, j’aime mieux dire cinq paroles claires que 10 000 mots inconnus. De cette façon, j’apprends aussi quelque chose aux autres.
      20 Frères et sœurs, quand vous réfléchissez, ne soyez pas des enfants. Pour faire le mal, oui, soyez des bébés, mais pour réfléchir, soyez des adultes.
      21 Dans les Livres Saints, le Seigneur dit : « Je parlerai au peuple d’Israël par des gens qui parlent une langue étrangère, par la bouche d’étrangers. Et pourtant, ils ne m’écouteront pas. »
      22 Donc, quand quelqu’un parle en langues inconnues, c’est un signe pour ceux qui ne croient pas, mais cela ne sert à rien pour ceux qui croient. Quand on parle au nom de Dieu, c’est un signe pour ceux qui croient, mais cela ne sert à rien pour ceux qui ne croient pas.
      23 Par exemple, toute l’Église est rassemblée, et tous parlent en langues inconnues. Des croyants qui n’y connaissent rien ou des incroyants arrivent. Ils vont penser que vous êtes fous !
      24 Au contraire, tous parlent au nom de Dieu. L’incroyant ou le croyant qui n’y connaît rien arrive. Alors, tout ce qu’il entend le fait réfléchir, et il se sent jugé par tous.
      25 Les choses cachées au fond de son cœur deviennent claires, et il tombe à genoux, le visage sur le sol. Il adore Dieu et il dit : « Oui, Dieu est vraiment parmi vous ! »
      26 Alors, frères et sœurs chrétiens, qu’est-ce qu’il faut faire ? Quand vous êtes réunis, chacun peut chanter ou enseigner, faire connaître une chose cachée, ou bien traduire ce qu’on vient de dire. Mais tout cela doit servir à construire la communauté.
      27 Si des gens veulent parler en langues inconnues, deux personnes peuvent le faire, trois au plus, mais l’une après l’autre, et il faut traduire.
      28 S’il n’y a personne pour traduire, ils doivent se taire, chacun parlera seulement à lui-même et à Dieu.
      29 Deux ou trois peuvent parler au nom de Dieu. Les autres doivent examiner ce qu’ils disent.
      30 Mais si Dieu donne un message à quelqu’un d’autre, celui qui est en train de parler doit se taire.
      31 Oui, vous pouvez tous parler au nom de Dieu, mais l’un après l’autre. Alors tous recevront l’enseignement et seront encouragés.
      32 Ceux qui parlent au nom de Dieu restent maîtres du don que Dieu leur fait.
      33 En effet, Dieu n’est pas pour le désordre, mais pour la paix. Comme cela se fait dans toutes les Églises chrétiennes,
      34 les femmes doivent se taire dans les assemblées. Elles n’ont pas l’autorisation de prendre la parole, elles doivent rester tranquilles et écouter, comme la loi le dit.
      35 Si elles veulent une explication, elles doivent interroger leur mari à la maison. Pour une femme, parler dans une assemblée, cela ne se fait pas.
      36 Ou bien, vous pensez peut-être que la parole de Dieu est venue de chez vous ? Est-ce que vous êtes les seuls à l’avoir reçue ?
      37 Si quelqu’un croit parler au nom de Dieu ou de l’Esprit Saint, il doit reconnaître une chose : ce que je vous écris est un commandement du Seigneur.
      38 Mais s’il ne reconnaît pas cela, Dieu ne le connaît pas non plus.
      39 Alors, frères et sœurs, vous devez désirer parler au nom de Dieu. N’empêchez pas les autres de parler en langues inconnues,
      40 mais tout doit se passer avec calme et dans l’ordre.
    • 2 Samuel 3

      1

      La famille de David s'accroît en puissance. (2 Samuel 3:1-6)
      Abner se révolte contre David. (2 Samuel 3:7-21)
      Joab tue Abner, David le pleure. (2 Samuel 3:22-39)

      La longueur de cette guerre mit à l'épreuve la foi et la patience de David, tout en favorisant enfin le développement de sa famille. Dans le cœur des croyants, la lutte entre la grâce et la corruption peut être en quelque sorte comparée à une guerre : il y a en effet un affrontement quasi permanent entre la chair, pleine de convoitise, et l'esprit ; mais par l'action de la sanctification, la corruption, telle la maison de Saül citée dans ce texte, s'affaiblit inexorablement, alors que la grâce, quant à elle, « la maison de David », se développe de plus en plus !
      7 Par orgueil, beaucoup de personnes, tel Abner, n'éprouvent aucun scrupule à commettre des crimes ignobles, ignorant totalement les éventuels reproches, ou soupçons de culpabilité. Bien que les hommes continuent à pratiquer le péché, apparemment sans que cela ne semble les inquiéter, ils sont souvent conscients qu'en fait, ils luttent contre Dieu.

      Disposant de nombreux moyens pour atteindre leurs propres objectifs, ils n'hésitent pas, en quête de quelque avantage, à trahir ceux qui leur témoignent leur confiance. Le Seigneur accomplit cependant ses desseins, même par le biais de ceux qui sont animés de vengeance, d'ambition, ou de convoitise ; mais ces derniers n'ayant hélas aucune intention de louer Dieu, seront finalement éradiqués par le ciel, avec mépris. Nous voyons dans ce texte, que David, lorsqu'il reçut Abner, était animé d'une réelle générosité envers Mical, tout en étant respectueux de la mémoire de Saül, se rappelant probablement qu'un jour, par affection, elle avait réussi à faire épargner sa vie, tout en étant séparée de lui, par l'autorité paternelle.

      Que personne ne cherche à se mêler de ce qui ne le concerne pas. Si un désaccord a pu séparer un mari de son épouse, alors que tous deux espèrent en la bénédiction divine, laissez-les se réconcilier, et vivre ensemble leur amour conjugal.

      22 Des jugements célestes sont préparés pour les hommes, tels Abner, qui n'hésitent pas à mépriser les autres ; Joab agit avec méchanceté. Le meurtre d'Abner affecta profondément David, qui exprima manifestement son aversion à ce sujet. La culpabilité du sang versé apporte souvent la malédiction sur les familles responsables : si les hommes ne se vengent pas, Dieu finit toujours par le faire. Il est vraiment triste de mourir volontairement, tels ceux qui, de n'importe quelle manière, mettent fin à leurs jours, sans se soucier de leur devenir dans l'au-delà.

      David n'était pas avide de puissance : il en disposait déjà suffisamment et avait beaucoup de responsabilités. Qu'avait-il besoin d'être entravé dans l'exercice de sa royauté, en cherchant à tuer Abner ? David se devait d'accomplir son devoir, en faisant confiance à Dieu et Sa Providence. La politique en vigueur en ce temps, permit d'épargner Joab.

      Christ, le « Fils de David », peut parfois mettre du temps à manifester Sa colère, mais Il ne manque jamais de punir les pécheurs impénitents. Lui qui maintenant, règne sur le « trône de David », possède un royaume autrement plus noble. Son peuple est à même de contempler Ses œuvres merveilleuses !

      Ezéchiel 12

      1

      La captivité des enfants d’Israël est imminente. (Ezéchiel 12:1-16)
      Image de l’abattement des Juifs. (Ezéchiel 12:17-20)
      Réponses aux attaques des moqueurs. (Ezéchiel 12:21-28)

      Par cette description de préparation au départ, et de cette brèche faite le soir, dans la muraille de Jérusalem, le tout, pour échapper à l'ennemi, le prophète montrait ainsi la conduite et le destin qu’allait connaître Sédécias.

      Quand Dieu nous a délivrés, nous devons Le glorifier et édifier les autres, par notre témoignage de repentance de nos péchés. Quand ceux qui sont atteints par les afflictions, arrivent à cet état de repentir, ils doivent alors témoigner que Dieu est LE Seigneur ; ils peuvent alors aider leur prochain à Le connaître !

      17 Le prophète doit manger et boire dans la crainte et l’inquiétude, afin d’exprimer la condition de ceux qui restaient à Jérusalem pendant le siège.

      Quand les serviteurs de Dieu parlent de la ruine qui menace de s’abattre sur des pécheurs, ils doivent s’exprimer devant ces derniers en tant que personnes qui connaissent parfaitement la terreur que le Seigneur est capable d’infliger.

      Les afflictions ont des « avantages » : bien qu’elles soient pénibles à supporter, elles nous permettent d’améliorer notre connaissance de Dieu !

      21 Face à la patience divine, qui aurait dû mener les Juifs au repentir, ces derniers se sont endurcis dans le péché. Le proverbe, cité dans ce texte, ne pouvait même pas leur servir d’excuse, pour le mal qu’ils commettaient.

      Un pas considérable et irréversible sépare une personne sauvée, de la terrible éternité qui « attend » les pécheurs : nous devons par conséquent agir pour éviter cette issue fatale. Nul ne peut de lui-même se mettre à l’abri d’une telle fin, à moins qu'il ne recherche la Paix avec le Seigneur !

      1 Corinthiens 14

      1

      Le don de prophétie préféré à celui des langues. (1 Corinthiens 14:1-5)
      L'inutilité de parler dans des langues incomprises. (1 Corinthiens 14:6-14)
      Exhortations à adorer ce qui ne peut qu’être compris. (1 Corinthiens 14:15-25)
      Les désordres provenant d'une vantardise au sujet des dons reçus. (1 Corinthiens 14:26-33)
      Désordres provenant des femmes qui enseignent dans l'église. (1 Corinthiens 14:34-40)

      Ce texte distingue les divers dons de prophétie, expliquer l'Écriture, et parler en langues. Ce dernier don attire plus l'attention que la claire interprétation de l'Écriture ; il gratifie davantage la fierté, mais il remplit moins les desseins de la charité chrétienne ; de plus, il n’édifie pas l’âme. Ce qui ne peut être compris, ne peut en effet être édifiant...

      Aucun avantage ne peut être tiré du plus excellent discours, s'il est donné dans une langue que les auditeurs ne peuvent ni parler ni comprendre.

      Chaque talent ou don a une valeur proportionnelle à son utilité. Une prédication fervente et spirituelle, doit être soumise à une bonne compréhension, sinon les hommes mettront en disgrâce les vérités qui sont censées être annoncées.

      6 Même un apôtre ne peut pas édifier l’assemblée, s'il ne parle pas de façon à être compris par ses auditeurs. Il est complètement vain de prononcer des paroles qui n’ont aucune signification pour ceux qui les reçoivent. On ne peut donner d’avis critique à un discours, si ce dernier n'est pas compris : il n’y a alors aucune communication utile entre l’orateur et les auditeurs.

      Dans les assemblées chrétiennes, les services religieux doivent se dérouler de telle manière, que tous puissent y participer spirituellement, pour en tirer profit. On doit employer un langage clair et facilement compréhensible, lors d’un culte ou autre réunions de ce genre.

      Chaque véritable disciple de Christ recherchera prioritairement le bien des autres, avant le sien.

      15 Il ne peut pas y avoir d’adhésion spirituelle aux prières en public, si elles sont exprimées dans une langue étrangère.

      Un véritable serviteur de Dieu cherchera davantage à édifier spirituellement les âmes, plutôt que d’obtenir une grande renommée. Cette attitude prouvera qu'il est véritablement au service de Christ.

      Les enfants sont rapidement attirés par la nouveauté ; il ne faut pas agir comme eux. Les chrétiens, sur certains points, doivent être semblables à des enfants, sans toutefois user de tromperie ni malice ; ils ne doivent pas être maladroits dans l’enseignement de la Parole, mais observer un esprit de droiture.

      Quand une assemblée est soumise par ceux qui enseignent, à adorer dans une langue étrangère, on a la preuve qu'elle est abandonnée de Dieu. Une telle église ne pourra jamais tirer bénéfice de cet enseignement. C'était cependant l’attitude de certains prédicateurs qui donnaient leurs directives dans une langue inconnue. Cette démarche ne rendrait-elle pas le christianisme ridicule, aux yeux d’un païen, qui entendrait les dirigeants prier ou prêcher dans une langue que nul ne pourrait comprendre ?

      Si celui qui enseigne et interprète clairement l'Écriture, prêchant les grandes vérités et les règles de l'Évangile dans une langue tout à fait compréhensible, un païen, ou une personne non instruite spirituellement, sera alors capable de se convertir au christianisme : sa conscience sera peut être touchée, les secrets de son cœur pourront lui être révélés, ce qui ne pourra que l’amener à confesser sa culpabilité, et admettre que Dieu était présent dans l'assemblée !

      La vérité de l'Écriture, clairement et dûment enseignée, possède un pouvoir merveilleux : éveiller la conscience et toucher le cœur de l’homme !

      26 Toute exhortation, prédication ou autre pratique similaire dans l’assemblée doit être effectuée dans une seule optique : l'édification.

      Au sujet de celui qui parle une langue inconnue dans une assemblée : si un autre membre présent, peut l’interpréter, ces deux dons miraculeux peuvent être exercés simultanément ; de cette façon, l'église est édifiée et la foi des auditeurs est en même temps affermie.

      En ce qui concerne le don de prophétie : deux ou trois seulement doivent parler au cours d'une réunion, l'un après l'autre, avec un temps de réflexion entre chaque message.

      L'homme qui est inspiré par l'Esprit de Dieu partagera ses révélations avec ordre et décence. Dieu n'enseigne jamais aux hommes à négliger leurs devoirs, ou à agir d'une manière inconsidérée quant à leur âge ou leur fonction.

      34 Lorsque l'apôtre exhorte les femmes chrétiennes à s'informer sur des sujets religieux, auprès de leur mari à la maison, il montre que les familles croyantes doivent se réunir, afin de développer leur connaissance spirituelle.

      L'Esprit de Christ ne peut jamais se contredire lui-même ; si les révélations spirituelles que peuvent avoir les femmes, sont contraires à celles de l'apôtre, c’est qu’elles ne proviennent pas du même Esprit.

      La poursuite de la paix, de la vérité, et de l'ordre dans l'église, consiste à rechercher ce qui est bon pour cette dernière : savoir supporter ce qui n'est pas nuisible à son bien-être, en observant un bon comportement, de l'ordre et de la décence, lors des rassemblements.

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