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La Bible en 1 an - Jour 259

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Versets relatifs

    • 2 Samuel 12

      1

      La parabole de Nathan. David confesse son péché. (2 Samuel 12:1-14)
      La naissance de Salomon. (2 Samuel 12:15-25)
      La sévérité de David envers les Ammonites. (2 Samuel 12:26-31)

      Dieu ne peut pas tolérer que les Siens perdurent à vivre dans le péché. Par cette parabole, Nathan montra à David, la conduite que ce dernier devait tenir, suite à son crime. Quand on adresse des reproches à quelqu'un, il faut être relativement prudent. Nathan resta courtois dans sa démarche. Il annonça clairement à David : « Tu es cet homme » ! Dieu montre bien à quel point Il déteste le péché, même quand il est commis par Son peuple ; quel que soit l'endroit où Il constate l'iniquité, Il ne le laisse pas son auteur impuni. David ne dit pas un mot pour tenter de se disculper ni pour faire la lumière sur son péché : il accepta le verdict du prophète. Quand David s'est écrié : « J'ai péché », Nathan comprit que le roi se repentait vraiment, il lui a assuré que son iniquité était pardonnée par l'Éternel et qu'il ne mourrait pas. Il signifiait par là, qu'il ne mourrait pas pour l'éternité, ni ne serait évincé de la présence divine, comme cela aurait pu être le cas si David avait masqué son péché. Bien que le roi soit châtié par l'Éternel, il reçut la promesse indirecte de ne pas être condamné par le monde. Les péchés de ceux qui professent leur piété et qui témoignent de leur relation avec le Seigneur, sont gravissimes, car ils fournissent aux ennemis de Dieu et de la religion, un motif de reproche et de blasphème contre le ciel.

      Le cas mentionné dans ce passage, illustre clairement que malgré le pardon obtenu par David, l'Éternel corrigera de Sa verge Son serviteur, pour l'iniquité qu'il a commise. Pour un plaisir bien éphémère, suite logique d'une vile convoitise, David dut supporter pendant de nombreuses années, une détresse extrême.

      15 David a maintenant rédigé le cinquante-et-unième Psaume ; bien qu'il soit assuré que son péché est pardonné, il prie avec ferveur, afin d'obtenir la bienveillance divine, en déplorant manifestement ses actes. Il était disposé à en supporter toute la honte, mais ne voulait plus être confronté en permanence à cet affreux souvenir.

      Durant l'épreuve, Dieu nous donne l'entière liberté de formuler des louanges ferventes, relatives à des bénédictions spécifiques préalables, Lui montrant par là, notre confiance en Sa Puissance et Sa Miséricorde, malgré le fait que nous n'ayons aucune promesse de réponse favorable à nos requêtes éventuelles.

      David, lors de la mort de cet enfant, s'est soumis patiemment à la volonté divine ; Dieu compensa cette perte, par le don de plusieurs naissances ultérieures. Le fait de voir sa descendance augmenter, procure la joie au cœur, mais la perte d'un être cher, conduit à la soumission à Dieu. Ce Dernier, dans Sa Grâce, a particulièrement veillé au bon déroulement de la naissance du fils suivant de David, et ordonna qu'on l'appelle Jedidia, « bien-aimé de l'Éternel ». Nos prières pour nos enfants, quand certains d'entre eux sont sur le point de « nous quitter » dans leur prime jeunesse, sont toujours perçues par Dieu avec Miséricorde ; Il sait prendre soin de telle âmes, et quand de nouvelles naissances surviennent au sein de la famille, Il les appelle : « Bien-aimé de l'Éternel » !

      26 Lors de ces faits, la conduite de David, si dure avec les fils d'Ammon, était un signe révélateur que le cœur du roi n'était pas encore remodelé par le repentir.

      Nous serons les hommes les plus compatissants, les plus aimables et les plus enclins à pardonner, quand nous serons sur le point de ressentir notre besoin de l'Amour miséricordieux du Seigneur, et que nous en aurons goûté toute la douceur, en nos âmes !

      Ezéchiel 19

      1

      Parabole déplorant la ruine de Joachaz et de Jehoïakim. (Ezéchiel 19:1-9)
      Autre parabole décrivant la désolation du peuple d’Israël. (Ezéchiel 19:10-14)

      Ézéchiel compare le royaume de Juda à une lionne. Il décrit les rois de Juda sous la forme symbolique de lionceaux ; en effet, ils étaient cruels envers leurs propres sujets, en les oppressant.

      Quand on voit ceux qui ont terrifié et asservi de nombreuses personnes, être à leur tour victimes des mêmes oppressions, on ne peut que reconnaître la logique de la Droiture divine ! Quand ceux qui enseignent la piété mêlent cependant leurs enfants à des impies, ces enfants grandissent habituellement avec les maximes et les mauvaises traditions de ce triste monde.

      Le désir d'accès au pouvoir et à l'autorité révèle l'ambition et l'égoïsme du cœur des hommes ; ceux qui passent leur vie à errer dans de vaines directions, finissent généralement par user de violence pour parvenir à leur but.

      10 Jérusalem était autrefois « une vigne » florissante, portant du fruit. Cette vigne est maintenant détruite, bien qu’elle ne soit pas déracinée. Par sa méchanceté, elle excita la colère divine, de sorte que ses « sarments » sont utilisés pour la brûler.

      Béni soit Dieu, ce texte mentionne également la présence d’une « Branche » : Elle est non seulement devenue un Cep vigoureux, mais aussi la « Verge » qui corrige, une « Vigne » véritable et vivante ! Ce sera un sujet de réjouissance pour tout le peuple élu de Dieu, en toutes générations !

      2 Corinthiens 5

      1

      L'espérance et le désir de l'apôtre de jouir de la gloire céleste. (2 Corinthiens 5:1-8)
      Cette espérance l'incitait à être assidu, dans son zèle pour soutenir les Corinthiens. (2 Corinthiens 5:9-15)
      La nécessité de la régénération et de la réconciliation avec Dieu, par le biais de Christ. (2 Corinthiens 5:16-21)

      Le croyant, par la foi, ne dispose pas seulement de l’assurance d'une vie ultérieure, céleste, quand celle d’ici-bas sera terminée, mais il s’appuie sur la solide espérance, par la Grâce, de voir le ciel ; cette vision spirituelle dévoile une « demeure », un endroit de repos, un « lieu caché » pour l’instant.

      Dans la maison de notre Père se trouvent beaucoup de demeures, dont l'Architecte et le Bâtisseur sont Dieu lui-même. Une félicité future est préparée par Dieu à l’intention de ceux qui l’aiment : ces derniers demeureront dans des habitations éternelles, n’ayant aucune ressemblance avec celles d’ici bas, qui ne sont que de pauvres « maisons d'argile », dans lesquelles notre âme demeure ; toutes les habitations de ce monde ne sont bâties que sur des fondations de poussière...

      Le corps de chair est un lourd fardeau, les calamités de la vie représentent une lourde charge. Les croyants gémissent, leur existence étant accablée par le péché et par les nombreuses corruptions qui se manifestent encore en eux.

      La mort nous « dévêtira » de notre « vêtement de chair » : de tous les plaisirs de la vie, comme de nos problèmes ici bas. Les âmes croyantes seront revêtues de « vêtements d'éloge », parées de « robes de droiture et de gloire ». Les grâces présentes et les réconforts de l'Esprit ne sont que les prémices de la Grâce éternelle et de la félicité. La présence de Dieu, ici bas, avec nous, par l’Esprit et Ses ordonnances, n’est comparable en aucune mesure avec ce que nous connaîtrons dans les lieux célestes !

      La foi nous anime ici-bas, dans les lieux célestes, ce sera la vue ! Il est de notre devoir, et de notre intérêt, de marcher par la foi, jusqu'à ce que nous vivions par la vue. Cette vérité montre clairement le bonheur qu’il y a, de se savoir aimés par les âmes des croyants qui se trouvent déjà en compagnie de la glorieuse présence du Seigneur.

      Nous sommes rattachés, intégrés au « corps » du Seigneur. Avec quelle puissance le Seigneur cherche à avoir l'âme des croyants intimement unie à Lui-même : « tu es une des âmes que J'ai aimées et choisies ; une de celles qui me sont données » !

      La mort n’est-elle pas un véritable sujet de crainte, pour celui dont l’existence sera loin de toute présence du Seigneur ?

      9 L'apôtre s’active dans l’exercice de son devoir, il exhorte son entourage à faire de même.

      L'espérance céleste, solidement fondée en la Parole, ne peut que décourager toute tendance à la paresse, voire à tout péché. Soyons tous bien conscients du jugement que nous sommes appelés à subir : « le Tribunal de Christ ». Sachant quelle terrible vengeance le Seigneur exécuterait sur les « ouvriers d'iniquité », l'apôtre et le frère qui l’accompagne dans son ministère, utilisèrent tous les arguments et les persuasions possibles, pour amener les hommes à croire au Seigneur Jésus et à agir en parfaits disciples.

      Le zèle et l’assiduité de ces deux ministres de l’Évangile concouraient à renforcer la gloire de Dieu et le bien de l'église. L'amour que Christ nous témoigne aura plus d'impact sur nous, s'il est dûment considéré à sa juste valeur. Nous serions tous perdus et déchus, morts et ruinés, esclaves du péché, n'ayant aucun pouvoir de nous délivrer, et condamnés à rester misérables à jamais, si Christ n'était pas mort pour nous.

      Ne pensons pas pouvoir nous soustraire à ce Tribunal ; Christ doit être le but de notre vie et de nos actes. Une vie chrétienne normale devrait être entièrement consacrée à Christ.

      Hélas, combien montrent l'inutilité de leur profession de foi et d'amour, en ne vivant que pour eux-mêmes et pour le monde...

      16 L'homme « renouvelé spirituellement » agit en vertu de nouveaux principes, de nouvelles règles, avec de nouvelles finalités, au sein d’une nouvelle compagnie fraternelle.

      Le croyant est né de nouveau ; il n'est pas simplement rempli de droiture, mais un nouveau cœur lui est donné. Il est une créature de Dieu, créée en Jésus-Christ, pour accomplir de bonnes œuvres. Bien que n'étant « qu’homme », il est néanmoins transformé, quant à son caractère et sa conduite !

      Tout cela signifie qu'il y a, en Christ, plus qu'une simple réforme d’attitude extérieure. L'homme, qui auparavant ne discernait aucun attrait vis-à-vis du Sauveur, l'aime désormais par dessus tout !

      Un cœur non régénéré est rempli d'inimitié contre Dieu, ce qui offense ce Dernier. Il peut y avoir cependant une réconciliation : notre Dieu, Celui que nous avons offensé, nous a réconciliés avec Lui-même, par Jésus-Christ. Les Saintes Écritures ont été écrites sous l’inspiration divine ; elles contiennent tout ce qui concerne cette réconciliation, montrant la paix qui a été obtenue à la croix, avec tout le bénéfice que nous pouvons en retirer.

      Bien que Dieu n’ait rien à perdre, ni à gagner, Il implore les pécheurs de se séparer de leur inimitié, et d'accepter le salut offert en Jésus-Christ. Ce Dernier n'a pas connu l’iniquité. Il a par contre, été fait péché pour nous : pas en tant que pécheur, mais en tant qu’offrande, par Son sacrifice.

      La finalité de tout ce qui précède réside en ceci : que nous puissions être rendus droits vis-à-vis de Dieu, que nous puissions être justifiés librement par la Grâce divine, par le biais de la Rédemption qui est en Jésus-Christ.

      Sommes-nous vraiment capables de tout perdre, de peiner, ou de souffrir pour Dieu, Celui qui a donné son Fils bien-aimé, en Sacrifice pour nos péchés, afin que la Justice divine puisse être rendue ?

    • 2 Samuel 12

      1 Yahweh sent Nathan to David. He came to him, and said to him, "There were two men in one city; the one rich, and the other poor.
      2 The rich man had very many flocks and herds,
      3 but the poor man had nothing, except one little ewe lamb, which he had bought and raised. It grew up together with him, and with his children. It ate of his own food, drank of his own cup, and lay in his bosom, and was to him like a daughter.
      4 A traveler came to the rich man, and he spared to take of his own flock and of his own herd, to dress for the wayfaring man who had come to him, but took the poor man's lamb, and dressed it for the man who had come to him."
      5 David's anger was greatly kindled against the man, and he said to Nathan, "As Yahweh lives, the man who has done this is worthy to die!
      6 He shall restore the lamb fourfold, because he did this thing, and because he had no pity!"
      7 Nathan said to David, "You are the man. This is what Yahweh, the God of Israel, says: 'I anointed you king over Israel, and I delivered you out of the hand of Saul.
      8 I gave you your master's house, and your master's wives into your bosom, and gave you the house of Israel and of Judah; and if that would have been too little, I would have added to you many more such things.
      9 Why have you despised the word of Yahweh, to do that which is evil in his sight? You have struck Uriah the Hittite with the sword, and have taken his wife to be your wife, and have slain him with the sword of the children of Ammon.
      10 Now therefore the sword will never depart from your house, because you have despised me, and have taken the wife of Uriah the Hittite to be your wife.'
      11 "This is what Yahweh says: 'Behold, I will raise up evil against you out of your own house; and I will take your wives before your eyes, and give them to your neighbor, and he will lie with your wives in the sight of this sun.
      12 For you did it secretly, but I will do this thing before all Israel, and before the sun.'"
      13 David said to Nathan, "I have sinned against Yahweh." Nathan said to David, "Yahweh also has put away your sin. You will not die.
      14 However, because by this deed you have given great occasion to Yahweh's enemies to blaspheme, the child also who is born to you shall surely die."
      15 Nathan departed to his house. Yahweh struck the child that Uriah's wife bore to David, and it was very sick.
      16 David therefore begged God for the child; and David fasted, and went in, and lay all night on the earth.
      17 The elders of his house arose beside him, to raise him up from the earth: but he would not, neither did he eat bread with them.
      18 It happened on the seventh day, that the child died. The servants of David feared to tell him that the child was dead; for they said, "Behold, while the child was yet alive, we spoke to him, and he didn't listen to our voice. How will he then harm himself, if we tell him that the child is dead?"
      19 But when David saw that his servants were whispering together, David perceived that the child was dead; and David said to his servants, "Is the child dead?" They said, "He is dead."
      20 Then David arose from the earth, and washed, and anointed himself, and changed his clothing; and he came into the house of Yahweh, and worshiped: then he came to his own house; and when he required, they set bread before him, and he ate.
      21 Then his servants said to him, "What is this that you have done? You fasted and wept for the child while he was alive; but when the child was dead, you rose up and ate bread."
      22 He said, "While the child was yet alive, I fasted and wept; for I said, 'Who knows whether Yahweh will not be gracious to me, that the child may live?'
      23 But now he is dead, why should I fast? Can I bring him back again? I shall go to him, but he will not return to me."
      24 David comforted Bathsheba his wife, and went in to her, and lay with her. She bore a son, and he called his name Solomon. Yahweh loved him;
      25 and he sent by the hand of Nathan the prophet; and he named him Jedidiah, for Yahweh's sake.
      26 Now Joab fought against Rabbah of the children of Ammon, and took the royal city.
      27 Joab sent messengers to David, and said, "I have fought against Rabbah. Yes, I have taken the city of waters.
      28 Now therefore gather the rest of the people together, and encamp against the city, and take it; lest I take the city, and it be called after my name."
      29 David gathered all the people together, and went to Rabbah, and fought against it, and took it.
      30 He took the crown of their king from off his head; and its weight was a talent of gold, and in it were precious stones; and it was set on David's head. He brought out the spoil of the city, exceeding much.
      31 He brought out the people who were therein, and put them under saws, and under iron picks, and under axes of iron, and made them pass through the brick kiln: and he did so to all the cities of the children of Ammon. David and all the people returned to Jerusalem.

      Ezéchiel 19

      1 Moreover, take up a lamentation for the princes of Israel,
      2 and say, What was your mother? A lioness: she couched among lions, in the midst of the young lions she nourished her cubs.
      3 She brought up one of her cubs: he became a young lion, and he learned to catch the prey; he devoured men.
      4 The nations also heard of him; he was taken in their pit; and they brought him with hooks to the land of Egypt.
      5 Now when she saw that she had waited, and her hope was lost, then she took another of her cubs, and made him a young lion.
      6 He went up and down among the lions; he became a young lion, and he learned to catch the prey; he devoured men.
      7 He knew their palaces, and laid waste their cities; and the land was desolate, and its fullness, because of the noise of his roaring.
      8 Then the nations set against him on every side from the provinces; and they spread their net over him; he was taken in their pit.
      9 They put him in a cage with hooks, and brought him to the king of Babylon; they brought him into strongholds, that his voice should no more be heard on the mountains of Israel.
      10 Your mother was like a vine, in your blood, planted by the waters: it was fruitful and full of branches by reason of many waters.
      11 It had strong rods for the scepters of those who bore rule, and their stature was exalted among the thick boughs, and they were seen in their height with the multitude of their branches.
      12 But it was plucked up in fury, it was cast down to the ground, and the east wind dried up its fruit: its strong rods were broken off and withered; the fire consumed them.
      13 Now it is planted in the wilderness, in a dry and thirsty land.
      14 Fire is gone out of the rods of its branches, it has devoured its fruit, so that there is in it no strong rod to be a scepter to rule. This is a lamentation, and shall be for a lamentation.

      2 Corinthiens 5

      1 For we know that if the earthly house of our tent is dissolved, we have a building from God, a house not made with hands, eternal, in the heavens.
      2 For most certainly in this we groan, longing to be clothed with our habitation which is from heaven;
      3 if so be that being clothed we will not be found naked.
      4 For indeed we who are in this tent do groan, being burdened; not that we desire to be unclothed, but that we desire to be clothed, that what is mortal may be swallowed up by life.
      5 Now he who made us for this very thing is God, who also gave to us the down payment of the Spirit.
      6 Therefore we are always confident and know that while we are at home in the body, we are absent from the Lord;
      7 for we walk by faith, not by sight.
      8 We are courageous, I say, and are willing rather to be absent from the body, and to be at home with the Lord.
      9 Therefore also we make it our aim, whether at home or absent, to be well pleasing to him.
      10 For we must all be revealed before the judgment seat of Christ; that each one may receive the things in the body, according to what he has done, whether good or bad.
      11 Knowing therefore the fear of the Lord, we persuade men, but we are revealed to God; and I hope that we are revealed also in your consciences.
      12 For we are not commending ourselves to you again, but speak as giving you occasion of boasting on our behalf, that you may have something to answer those who boast in appearance, and not in heart.
      13 For if we are beside ourselves, it is for God. Or if we are of sober mind, it is for you.
      14 For the love of Christ constrains us; because we judge thus, that one died for all, therefore all died.
      15 He died for all, that those who live should no longer live to themselves, but to him who for their sakes died and rose again.
      16 Therefore we know no one after the flesh from now on. Even though we have known Christ after the flesh, yet now we know him so no more.
      17 Therefore if anyone is in Christ, he is a new creation. The old things have passed away. Behold, all things have become new.
      18 But all things are of God, who reconciled us to himself through Jesus Christ, and gave to us the ministry of reconciliation;
      19 namely, that God was in Christ reconciling the world to himself, not reckoning to them their trespasses, and having committed to us the word of reconciliation.
      20 We are therefore ambassadors on behalf of Christ, as though God were entreating by us: we beg you on behalf of Christ, be reconciled to God.
      21 For him who knew no sin he made to be sin on our behalf; so that in him we might become the righteousness of God.
    • 2 Samuel 12

      1 L'Éternel envoya Nathan vers David. Et Nathan vint à lui, et lui dit : Il y avait dans une ville deux hommes, l'un riche et l'autre pauvre.
      2 Le riche avait des brebis et des boeufs en très grand nombre.
      3 Le pauvre n'avait rien du tout qu'une petite brebis, qu'il avait achetée ; il la nourrissait, et elle grandissait chez lui avec ses enfants ; elle mangeait de son pain, buvait dans sa coupe, dormait sur son sein, et il la regardait comme sa fille.
      4 Un voyageur arriva chez l'homme riche. Et le riche n'a pas voulu toucher à ses brebis ou à ses boeufs, pour préparer un repas au voyageur qui était venu chez lui ; il a pris la brebis du pauvre, et l'a apprêtée pour l'homme qui était venu chez lui.
      5 La colère de David s'enflamma violemment contre cet homme, et il dit à Nathan : L'Éternel est vivant ! L'homme qui a fait cela mérite la mort.
      6 Et il rendra quatre brebis, pour avoir commis cette action et pour avoir été sans pitié.
      7 Et Nathan dit à David : Tu es cet homme-là ! Ainsi parle l'Éternel, le Dieu d'Israël : Je t'ai oint pour roi sur Israël, et je t'ai délivré de la main de Saül ;
      8 je t'ai mis en possession de la maison de ton maître, j'ai placé dans ton sein les femmes de ton maître, et je t'ai donné la maison d'Israël et de Juda. Et si cela eût été peu, j'y aurais encore ajouté.
      9 Pourquoi donc as-tu méprisé la parole de l'Éternel, en faisant ce qui est mal à ses yeux ? Tu as frappé de l'épée Urie, le Héthien ; tu as pris sa femme pour en faire ta femme, et lui, tu l'as tué par l'épée des fils d'Ammon.
      10 Maintenant, l'épée ne s'éloignera jamais de ta maison, parce que tu m'as méprisé, et parce que tu as pris la femme d'Urie, le Héthien, pour en faire ta femme.
      11 Ainsi parle l'Éternel : Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil.
      12 Car tu as agi en secret ; et moi, je ferai cela en présence de tout Israël et à la face du soleil.
      13 David dit à Nathan : J'ai péché contre l'Éternel ! Et Nathan dit à David : L'Éternel pardonne ton péché, tu ne mourras point.
      14 Mais, parce que tu as fait blasphémer les ennemis de l'Éternel, en commettant cette action, le fils qui t'est né mourra.
      15 Et Nathan s'en alla dans sa maison. L'Éternel frappa l'enfant que la femme d'Urie avait enfanté à David, et il fut dangereusement malade.
      16 David pria Dieu pour l'enfant, et jeûna ; et quand il rentra, il passa la nuit couché par terre.
      17 Les anciens de sa maison insistèrent auprès de lui pour le faire lever de terre ; mais il ne voulut point, et il ne mangea rien avec eux.
      18 Le septième jour, l'enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l'enfant était mort. Car ils disaient : Voici, lorsque l'enfant vivait encore, nous lui avons parlé, et il ne nous a pas écoutés ; comment oserons-nous lui dire : L'enfant est mort ? Il s'affligera bien davantage.
      19 David aperçut que ses serviteurs parlaient tout bas entre eux, et il comprit que l'enfant était mort. Il dit à ses serviteurs : L'enfant est-il mort ? Et ils répondirent : Il est mort.
      20 Alors David se leva de terre. Il se lava, s'oignit, et changea de vêtements ; puis il alla dans la maison de l'Éternel, et se prosterna. De retour chez lui, il demanda qu'on lui servît à manger, et il mangea.
      21 Ses serviteurs lui dirent : Que signifie ce que tu fais ? Tandis que l'enfant vivait, tu jeûnais et tu pleurais ; et maintenant que l'enfant est mort, tu te lèves et tu manges !
      22 Il répondit : Lorsque l'enfant vivait encore, je jeûnais et je pleurais, car je disais : Qui sait si l'Éternel n'aura pas pitié de moi et si l'enfant ne vivra pas ?
      23 Maintenant qu'il est mort, pourquoi jeûnerais-je ? Puis-je le faire revenir ? J'irai vers lui, mais il ne reviendra pas vers moi.
      24 David consola Bath Schéba, sa femme, et il alla auprès d'elle et coucha avec elle. Elle enfanta un fils qu'il appela Salomon, et qui fut aimé de l'Éternel.
      25 Il le remit entre les mains de Nathan le prophète, et Nathan lui donna le nom de Jedidja, à cause de l'Éternel.
      26 Joab, qui assiégeait Rabba des fils d'Ammon, s'empara de la ville royale,
      27 et envoya des messagers à David pour lui dire : J'ai attaqué Rabba, et je me suis déjà emparé de la ville des eaux ;
      28 rassemble maintenant le reste du peuple, campe contre la ville, et prends-la, de peur que je ne la prenne moi-même et que la gloire ne m'en soit attribuée.
      29 David rassembla tout le peuple, et marcha sur Rabba ; il l'attaqua, et s'en rendit maître.
      30 Il enleva la couronne de dessus la tête de son roi : elle pesait un talent d'or et était garnie de pierres précieuses. On la mit sur la tête de David, qui emporta de la ville un très grand butin.
      31 Il fit sortir les habitants, et il les plaça sous des scies, des herses de fer et des haches de fer, et les fit passer par des fours à briques ; il traita de même toutes les villes des fils d'Ammon. David retourna à Jérusalem avec tout le peuple.

      Ezéchiel 19

      1 Et toi, prononce une complainte sur les princes d'Israël,
      2 et dis : Ta mère, qu'était-ce ? Une lionne. Elle était couchée parmi les lions ; C'est au milieu des lionceaux Qu'elle a élevé ses petits.
      3 Elle éleva l'un de ses petits, Qui devint un jeune lion, Et qui apprit à déchirer sa proie ; Il dévora des hommes.
      4 Les nations entendirent parler de lui, Et il fut pris dans leur fosse ; Elles mirent une boucle à ses narines et l'emmenèrent Dans le pays d'Égypte.
      5 Quand la lionne vit qu'elle attendait en vain, Qu'elle était trompée dans son espérance, Elle prit un autre de ses petits, Et en fit un jeune lion.
      6 Il marcha parmi les lions, Il devint un jeune lion, Et il apprit à déchirer sa proie ; Il dévora des hommes.
      7 Il força leurs palais, Et détruisit leurs villes ; Le pays, tout ce qui s'y trouvait, fut ravagé, Au bruit de ses rugissements.
      8 Contre lui se rangèrent les nations D'alentour, des provinces ; Elles tendirent sur lui leur rets, Et il fut pris dans leur fosse.
      9 Elles mirent une boucle à ses narines, le placèrent dans une cage, Et l'emmenèrent auprès du roi de Babylone ; Puis elles le conduisirent dans une forteresse, Afin qu'on n'entende plus sa voix sur les montagnes d'Israël.
      10 Ta mère était, comme toi, semblable à une vigne, Plantée près des eaux. Elle était féconde et chargée de branches, A cause de l'abondance des eaux.
      11 Elle avait de vigoureux rameaux pour des sceptres de souverains ; Par son élévation elle dominait les branches touffues ; Elle attirait les regards par sa hauteur, Et par la multitude de ses rameaux.
      12 Mais elle a été arrachée avec fureur et jetée par terre ; Le vent d'orient a desséché son fruit ; Ses rameaux vigoureux ont été rompus et desséchés ; Le feu les a dévorés.
      13 Et maintenant elle est plantée dans le désert, Dans une terre sèche et aride.
      14 Le feu est sorti de ses branches, Et a dévoré son fruit ; Elle n'a plus de rameau vigoureux Pour un sceptre de souverain. C'est là une complainte, et cela servira de complainte.

      2 Corinthiens 5

      1 Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l'ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n'a pas été faite de main d'homme.
      2 Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste,
      3 si du moins nous sommes trouvés vêtus et non pas nus.
      4 Car tandis que nous sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dépouiller, mais nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie.
      5 Et celui qui nous a formés pour cela, c'est Dieu, qui nous a donné les arrhes de l'Esprit.
      6 Nous sommes donc toujours pleins de confiance, et nous savons qu'en demeurant dans ce corps nous demeurons loin du Seigneur-
      7 car nous marchons par la foi et non par la vue,
      8 nous sommes pleins de confiance, et nous aimons mieux quitter ce corps et demeurer auprès du Seigneur.
      9 C'est pour cela aussi que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous demeurions dans ce corps, soit que nous le quittions.
      10 Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son corps.
      11 Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à convaincre les hommes ; Dieu nous connaît, et j'espère que dans vos consciences vous nous connaissez aussi.
      12 Nous ne nous recommandons pas de nouveau nous-mêmes auprès de vous ; mais nous vous donnons occasion de vous glorifier à notre sujet, afin que vous puissiez répondre à ceux qui tirent gloire de ce qui est dans les apparences et non dans le coeur.
      13 En effet, si je suis hors de sens, c'est pour Dieu ; si je suis de bon sens, c'est pour vous.
      14 Car l'amour de Christ nous presse, parce que nous estimons que, si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts ;
      15 et qu'il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux.
      16 Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair ; et si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière.
      17 Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.
      18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.
      19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.
      20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !
      21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu.
    • 2 Samuel 12

      1 le Seigneur envoya donc le prophète Natan auprès de David. Natan entra chez le roi et lui dit : « Dans une ville, il y avait deux hommes, l’un riche et l’autre pauvre.
      2 Le riche avait de grands troupeaux de bœufs et de moutons.
      3 Le pauvre ne possédait qu’une seule petite brebis qu’il avait achetée. Il la nourrissait, et elle grandissait chez lui, en même temps que ses enfants. Elle mangeait la même nourriture et buvait le même lait que lui, elle dormait tout près de lui. Elle était comme sa fille.
      4 Un jour, un visiteur arriva chez le riche. Celui-ci évita de prendre une bête de ses troupeaux pour le repas ; au contraire, il prit la brebis du pauvre et l’apprêta pour son visiteur. »
      5 David fut vivement indigné par cette attitude du riche ; il dit à Natan : « Aussi vrai que le Seigneur est vivant, l’homme qui a fait cela mérite la mort !
      6 Puisqu’il a agi ainsi, sans aucune pitié, il remplacera la brebis volée par quatre autres brebis. » –
      7 « L’homme qui a fait cela, c’est toi ! répliqua Natan. Et voici ce que déclare le Seigneur, le Dieu d’Israël : “Je t’ai consacré roi d’Israël. Je t’ai sauvé des attaques de Saül.
      8 J’ai livré en ton pouvoir la famille de ton maître Saül. J’ai mis dans tes bras les femmes de ton maître. J’ai placé sous ton autorité les peuples d’Israël et de Juda. N’est-ce pas assez ? Je pourrais encore en faire bien plus pour toi.
      9 Alors pourquoi m’as-tu méprisé en faisant ce qui me déplaît ? Tu as assassiné Urie le Hittite, oui, tu as tout organisé pour qu’il soit tué par les Ammonites, puis tu as pris sa femme et tu l’as épousée.
      10 Eh bien, dès maintenant, la violence ne cessera jamais de régner dans ta famille, puisque tu t’es moqué de moi en prenant et en épousant la femme d’Urie.
      11 Écoute bien ce que je te déclare : Je vais faire venir le malheur sur toi, du milieu de ta propre famille. Sous tes yeux je prendrai tes femmes et je les donnerai à l’un de tes proches, qui couchera avec elles au grand jour.
      12 Car ce que tu as fait en cachette, je le ferai arriver en plein jour, à la vue de tout ton peuple.” »
      13 David répondit à Natan : « Je suis coupable envers le Seigneur, je le reconnais. » – « Puisqu’il en est ainsi, dit Natan, le Seigneur te pardonne ; tu ne mourras pas.
      14 Seulement, dans cette affaire, tu as gravement offensé le Seigneur. C’est pourquoi ton enfant qui vient de naître mourra. »
      15 Puis Natan retourna chez lui. Le Seigneur frappa d’une maladie l’enfant que Batchéba, la veuve d’Urie, avait donné à David.
      16 David supplia Dieu en faveur de l’enfant ; il se mit à jeûner, et, quand il rentrait chez lui, il passait la nuit couché à même le sol.
      17 Les plus respectés de ses serviteurs vinrent auprès de lui et l’invitèrent à se relever, mais il ne le voulut pas et refusa même de manger quoi que ce soit avec eux.
      18 Au bout d’une semaine, l’enfant mourut. Les serviteurs redoutaient d’annoncer cette nouvelle à David, car ils se disaient : « Tant que l’enfant était en vie, le roi ne voulait pas tenir compte de ce que nous lui disions. Comment lui annoncer maintenant que l’enfant est mort ? Il pourrait commettre un acte désespéré ! »
      19 David, les voyant chuchoter entre eux, comprit ce qui était arrivé. Il leur demanda : « Est-ce que mon fils est mort ? » – « Oui, il est mort », répondirent-ils.
      20 Alors David se releva de terre, se baigna, se parfuma et changea de vêtements ; puis il se rendit au sanctuaire pour y adorer le Seigneur. A son retour chez lui, il ordonna qu’on lui serve un repas et il mangea.
      21 Ses serviteurs l’interrogèrent : « Majesté, que signifie cette façon d’agir ? Lorsque ton fils était encore vivant, tu jeûnais et tu pleurais, et maintenant qu’il est mort, tu te relèves et tu te remets à manger ! » –
      22 « Mais oui, répondit David, tant que mon fils était vivant, j’ai jeûné et pleuré, me disant : “Qui sait ? Le Seigneur se montrera peut-être indulgent à mon égard, et permettra que l’enfant survive.”
      23 Maintenant qu’il est mort, pourquoi jeûnerais-je ? Jamais je ne pourrai le faire revenir à la vie ! C’est moi qui irai le rejoindre, et non lui qui reviendra vers moi. »
      24 David alla consoler sa femme Batchéba et passa la nuit avec elle. Elle mit au monde un fils, qu’il appela Salomon. Le Seigneur l’aima
      25 et le fit savoir à David par l’intermédiaire du prophète Natan. A cause de cet amour, Natan donna à l’enfant le nom de Yedidia, ce qui signifie “aimé du Seigneur”.
      26 Pendant ce temps, le général Joab avait attaqué Rabba, la capitale des Ammonites, et s’était emparé du quartier où résidait le roi.
      27 Il envoya des messagers dire à David : « J’ai attaqué Rabba. Je me suis même emparé du quartier où se trouve la réserve d’eau.
      28 Maintenant donc, mobilise le reste de l’armée, et viens assiéger la ville pour la prendre toi-même. Je ne voudrais pas m’en emparer et que tout l’honneur m’en revienne. »
      29 David mobilisa le reste de l’armée, vint attaquer Rabba et s’en empara.
      30 Il prit la couronne qui se trouvait sur la tête de la statue du dieu ammonite Milkom. Cette couronne d’or pesait plus de trente kilos, et portait une pierre précieuse, qui fut placée sur la couronne royale de David. En outre, on emporta de la ville un très abondant butin.
      31 David déporta les habitants et les affecta à des travaux forcés, en tant que scieurs et tailleurs de pierres, bûcherons, ou mouleurs de briques. Il fit de même pour toutes les autres villes des Ammonites. Ensuite il rentra à Jérusalem avec toute son armée.

      Ezéchiel 19

      1 Le Seigneur me dit de chanter cette complainte sur les princes qui règnent en Israël :
      2 « Votre mère était une lionne remarquable dans la race des lions ! Étendue parmi les jeunes lions, elle nourrissait ses petits.
      3 Elle dressa spécialement l’un d’eux. Devenu un jeune lion, il apprit à déchirer une proie et il dévora des hommes.
      4 Des étrangers en entendirent parler. Ils le firent tomber dans une fosse et l’emmenèrent avec des crochets au pays d’Égypte.
      5 La lionne constata qu’elle attendait en vain et qu’il n’y avait plus d’espoir. Elle choisit alors un autre de ses petits, elle en fit un lionceau vigoureux
      6 élevé en compagnie des lions. Devenu un jeune lion, lui aussi apprit à déchirer une proie et il dévora des hommes.
      7 Il démolit leurs citadelles, détruisit leurs villes. Les habitants du pays étaient épouvantés en l’entendant rugir.
      8 Des étrangers venant de partout se postèrent contre lui. Ils le prirent au piège, le firent tomber dans une fosse.
      9 Au moyen de crochets, ils l’entraînèrent dans une cage et l’emmenèrent au roi de Babylone. On le mit en prison pour ne plus l’entendre rugir sur les montagnes d’Israël. »
      10 « Votre mère ressemblait à une vigne plantée au bord de l’eau. Elle était chargée de fruits et de feuilles, grâce à toute l’eau qu’elle recevait.
      11 Elle eut des branches vigoureuses qui devinrent des bâtons de commandement. Elle s’éleva au-dessus des arbres. On admirait sa haute taille et le nombre de ses rameaux.
      12 Mais elle a été arrachée avec colère et jetée au sol. Le vent d’est a desséché ses fruits, qui sont tombés. Ses branches magnifiques ont séché puis elles ont été brûlées.
      13 Maintenant la vigne est plantée dans le désert, dans un pays aride et sans eau.
      14 Un feu a jailli de son tronc, il a détruit ses rameaux et ses fruits. Elle n’a plus de branche vigoureuse qui puisse devenir un bâton de chef. » Ce poème doit être chanté comme une complainte.

      2 Corinthiens 5

      1 Nous savons, en effet, que si la tente dans laquelle nous vivons – c’est-à-dire notre corps terrestre – est détruite, Dieu nous réserve une habitation dans les cieux, une demeure non faite par les hommes, qui durera toujours.
      2 Et nous gémissons maintenant, car notre désir est grand d’être recouverts de notre habitation céleste ;
      3 en effet, nous serons vêtus et non pas nus.
      4 Oui, aussi longtemps que nous vivons dans cette tente terrestre, nous gémissons comme sous un fardeau. Ce n’est pas que nous voudrions être débarrassés de notre corps terrestre, mais nous souhaitons être revêtus du corps céleste, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie.
      5 C’est Dieu lui-même qui nous a destinés à cela, et il nous a accordé son Esprit comme garantie des biens qu’il nous réserve.
      6 Nous sommes donc toujours pleins de courage. Nous savons que tant que nous demeurons dans ce corps, nous sommes loin de la demeure du Seigneur
      7 – nous marchons en effet par la foi et non par la vue –.
      8 Nous sommes pleins de courage et nous préférerions quitter ce corps pour aller demeurer auprès du Seigneur.
      9 Mais nous désirons avant tout lui plaire, que nous demeurions dans ce corps ou que nous le quittions.
      10 Car nous devons tous comparaître devant le Christ pour être jugés par lui ; alors chacun recevra ce qui lui revient, selon ce qu’il aura fait en bien ou en mal durant sa vie terrestre.
      11 Nous savons ce que signifie respecter le Seigneur et nous cherchons donc à convaincre les hommes. Dieu nous connaît parfaitement et j’espère que, au fond de vous-mêmes, vous me connaissez aussi.
      12 Nous ne voulons pas de nouveau nous recommander nous-mêmes auprès de vous, mais nous désirons vous donner l’occasion d’être fiers de nous ; ainsi, vous aurez de quoi répondre à ceux qui se vantent de détails extérieurs et non de ce qui est dans le cœur.
      13 S’il est vrai que nous sommes insensés, c’est pour Dieu que nous le sommes ; mais si nous sommes dans notre bon sens, c’est pour vous.
      14 En effet, l’amour du Christ nous domine, nous qui avons la certitude qu’un seul est mort pour tous et, donc, que tous ont part à sa mort.
      15 Il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et revenu à la vie pour eux.
      16 Voilà pourquoi nous ne considérons plus personne d’une manière purement humaine. Même si, autrefois, nous avons considéré le Christ d’une manière humaine, maintenant nous ne le considérons plus ainsi.
      17 Dès que quelqu’un est uni au Christ, il est un être nouveau : ce qui est ancien a disparu, ce qui est nouveau est là.
      18 Tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par le Christ et qui nous a confié la tâche d’amener d’autres hommes à la réconciliation avec lui.
      19 Car, par le Christ, Dieu agissait pour réconcilier tous les humains avec lui, sans tenir compte de leurs fautes. Et il nous a chargés d’annoncer cette œuvre de réconciliation.
      20 Nous sommes donc des ambassadeurs envoyés par le Christ, et c’est comme si Dieu lui-même vous adressait un appel par nous : nous vous en supplions, au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu.
      21 Le Christ était sans péché, mais Dieu l’a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous ayons part à l’œuvre salutaire de Dieu.
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