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La Bible en 1 an - Jour 261

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      2 Samuel 14

      1 Joab, fils de Tserouya, remarqua que le roi était de nouveau disposé favorablement envers Absalom.
      2 Il fit venir de Teqoa une femme habile à laquelle il dit : —Fais semblant d’être en deuil, je te prie, revêts-toi d’habits de deuil, ne te parfume pas d’huile odorante, aie bien l’air d’une femme qui depuis longtemps porte le deuil d’un mort.
      3 Puis tu te présenteras devant le roi et tu lui répéteras ce que je vais te dire. Joab lui indiqua exactement ce qu’elle devait dire au roi.
      4 La femme de Teqoa alla parler au roi ; elle s’inclina face contre terre, pour se prosterner, et s’écria : —Viens à mon secours, ô roi !
      5 —Que veux-tu ? lui demanda le roi. —Hélas ! dit-elle, je suis veuve ; mon mari est mort,
      6 et ta servante avait deux fils. Ils se sont disputés dans les champs, il n’y avait personne pour les séparer, si bien que l’un a frappé l’autre et l’a tué.
      7 Maintenant, toute ma famille a pris parti contre ta servante, et ils m’ont demandé : « Livre celui qui a frappé son frère. Nous le mettrons à mort pour le meurtre de son frère. Ainsi, nous supprimerons du même coup l’héritier ! » De cette manière, ils éteindraient la dernière lueur d’espoir qui me reste, et le nom et la postérité de mon mari disparaîtraient de la terre.
      8 Le roi dit à la femme : —Retourne chez toi ; je donnerai des ordres à ton sujet.
      9 La femme de Teqoa lui répondit : —Mon seigneur le roi ! Que la faute retombe sur moi et sur mon groupe familial et que le roi et son trône soient hors de cause.
      10 Le roi lui dit : —Si quelqu’un te fait des remarques à ce sujet, amène-le vers moi et il te laissera tranquille.
      11 La femme répliqua : —Que sa majesté veuille prendre cet engagement au nom de l’Eternel son Dieu, pour que l’homme chargé de punir la mort de mon fils n’aggrave pas encore le malheur en faisant mourir celui qui me reste. Le roi dit : —Aussi vrai que l’Eternel est vivant, il ne tombera pas à terre un cheveu de la tête de ton fils !
      12 La femme reprit : —Permettras-tu à ta servante de dire encore quelque chose à mon seigneur le roi ? —Parle ! lui dit-il.
      13 Et la femme ajouta : —Pourquoi alors as-tu de telles pensées à l’égard du peuple de Dieu ? Car en prononçant cette sentence tout à l’heure, le roi a reconnu qu’il avait tort de ne pas faire revenir celui qu’il a exilé.
      14 Nous devons tous mourir, notre vie est comme de l’eau répandue sur le sol et qu’on ne peut plus recueillir si Dieu n’en assure l’être. Mais son dessein n’est pas de tenir loin de lui l’exilé.
      15 Maintenant, si je suis venue parler ainsi au roi mon seigneur, c’est parce que l’état du peuple m’a fait peur. Alors ta servante s’est dit : « Je vais parler au roi. Peut-être le roi suivra-t-il le conseil de son humble servante.
      16 Peut-être consentira-t-il à protéger sa servante contre l’homme qui voudrait nous supprimer, moi et mon fils, du peuple que Dieu s’est choisi pour qu’il lui appartienne. »
      17 Oui, je me suis dit que la parole du roi mon seigneur serait une parole d’apaisement, car mon seigneur le roi est comme un *ange de Dieu pour discerner le bien et le mal. Que l’Eternel ton Dieu soit donc avec toi.
      18 Le roi dit alors à la femme : —Je vais te poser à mon tour une question. Promets-moi de me répondre sans rien me cacher. La femme lui dit : —Que le roi mon seigneur parle !
      19 Le roi reprit : —Ne serait-ce pas Joab qui est derrière tout cela ? La femme répondit : —Aussi vrai que tu es vivant, ô roi mon seigneur, on ne peut s’écarter ni à droite ni à gauche de tout ce que dit mon seigneur le roi. C’est bien ton serviteur Joab qui m’a chargée de te parler, c’est lui qui a indiqué à ta servante tout ce qu’elle devait dire.
      20 Si ton serviteur Joab a agi ainsi, c’est pour donner à cette affaire une autre tournure. Mais mon seigneur possède la sagesse d’un ange de Dieu pour connaître tout ce qui se passe dans le pays.
      21 Le roi alla donc parler à Joab et lui dit : —J’ai décidé d’agir comme tu me l’as suggéré : Va chercher le jeune homme Absalom et ramène-le ici !
      22 Joab s’inclina face contre terre pour se prosterner et dit au roi : —Dieu te bénisse, Majesté. Maintenant, je sais que tu es bien disposé à mon égard, ô roi, mon seigneur, puisque le roi accepte de faire ce que son serviteur lui a suggéré.
      23 Joab se releva et partit pour Guechour d’où il ramena Absalom à Jérusalem.
      24 Le roi ordonna qu’il se retire dans sa maison et ne paraisse pas en sa présence. Absalom se confina donc chez lui et il ne parut pas en présence du roi.
      25 Dans tout Israël il n’y avait personne qui fût autant admiré pour sa beauté qu’Absalom ; de la plante du pied au sommet de la tête, il était sans défaut.
      26 Chaque année, il se rasait la tête, car sa chevelure devenait trop pesante. Lorsqu’on lui coupait les cheveux, on les pesait : il y en avait près de deux kilos et demi selon les poids officiels du roi.
      27 Absalom eut trois fils et une fille nommée Tamar qui devint une très belle femme.
      28 Absalom resta deux ans à Jérusalem sans paraître en présence du roi.
      29 Après ce temps, il fit appeler Joab pour lui demander de parler au roi ; mais Joab refusa de venir chez lui. Absalom revint à la charge une seconde fois, mais Joab refusa de nouveau.
      30 Alors Absalom dit à ses serviteurs : —Vous voyez le champ de Joab à côté du mien, il y a de l’orge ; allez y mettre le feu ! Les serviteurs d’Absalom exécutèrent ses ordres.
      31 Alors, Joab se rendit chez Absalom et lui demanda pourquoi ses serviteurs avaient mis le feu à son champ.
      32 Absalom lui répondit : —Je t’avais demandé de venir et tu as refusé. Je voulais t’envoyer chez le roi pour lui demander : « Pourquoi m’as-tu fait revenir de Guechour ? J’aurais mieux fait d’y rester. » Maintenant, je voudrais être reçu par le roi ; et si je suis coupable, eh bien, qu’il me fasse mourir !
      33 Joab se rendit chez le roi et lui rapporta les paroles de son fils. Alors le roi fit appeler Absalom. Celui-ci se rendit auprès de lui et se prosterna la face contre terre devant lui et le roi l’embrassa.

      Ezéchiel 21

      1 L’Eternel m’adressa la parole en ces termes :
      2 —Fils d’homme, tourne-toi vers le sud, profère tes menaces contre les pays du midi et adresse ta prophétie contre la forêt du *Néguev.
      3 Dis à la forêt du Néguev : « Ecoute donc la parole de l’Eternel. Voici ce que déclare le Seigneur, l’Eternel : Moi, je vais allumer un feu chez toi, ce feu dévorera chez toi tout arbre vert, tout arbre sec. Et cette flamme ardente ne s’éteindra pas avant que tout le monde ne soit brûlé par elle, du midi jusqu’au nord.
      4 Et tout le monde verra que c’est bien moi, l’Eternel, qui l’ai allumée : elle ne s’éteindra pas. »
      5 Alors je m’écriai : —Ah ! Seigneur Eternel, ils disent à mon sujet : « Il ne fait que débiter des paraboles ! »
      6 Alors l’Eternel m’adressa la parole en ces termes :
      7 —Fils d’homme, tourne-toi en direction de Jérusalem, profère tes menaces contre les sanctuaires et va prophétiser contre le pays d’Israël.
      8 Dis au pays d’Israël : « Voici ce que dit l’Eternel : Je vais m’en prendre à toi, je tirerai de son fourreau mon épée et j’extirperai les justes du milieu de toi, ainsi que les *méchants.
      9 C’est pour exterminer les justes ainsi que les méchants que je dégainerai l’épée de son fourreau, pour frapper tout le monde, du midi jusqu’au nord.
      10 Alors tout le monde saura que c’est moi, l’Eternel, qui ai dégainé mon épée de son fourreau, et elle n’y rentrera plus. »
      11 Et toi, fils d’homme, va pousser des gémissements. Le cœur brisé, oui, pousse sous leurs yeux d’amers gémissements.
      12 Et s’ils viennent te dire : « Pourquoi donc gémis-tu ? » voici : tu répondras : « C’est à cause d’une nouvelle qui va venir : tous les cœurs vont perdre courage, tous les bras faibliront, tous les esprits se troubleront, tous les genoux flageoleront. Oui, elle vient cette nouvelle, elle va se réaliser, c’est là ce que déclare le Seigneur, l’Eternel. »
      13 L’Eternel m’adressa la parole en ces termes :
      14 « Fils d’homme, prophétise. Dis : “Ainsi parle l’Eternel : L’épée, l’épée est aiguisée, elle est polie.
      15 Si elle est aiguisée, c’est en vue d’un massacre et elle est bien polie pour lancer des éclairs. Peut-on se réjouir du sceptre de mon fils ? L’épée méprise un tel morceau de bois !
      16 L’Eternel donne l’épée à polir, il la donne à brandir, l’épée est aiguisée, elle est fourbie et l’on peut la remettre aux mains du destructeur.
      17 Fils d’homme, crie et hurle, car c’est contre mon peuple que l’épée est tirée, et contre tous les princes d’Israël qui sont voués au glaive, avec mon peuple. Alors frappe-toi la poitrine
      18 car c’est l’épreuve. Et qu’arrivera-t-il si le sceptre du roi que cette épée méprise venait à disparaître ? C’est là ce que déclare le Seigneur, l’Eternel.”
      19 « Fils d’homme, prophétise et frappe des deux mains, car l’épée frappera à deux reprises, et même à trois. C’est une épée qui tue, un glaive meurtrier, auteur d’un grand massacre, et qui encercle ses victimes.
      20 Pour que le cœur leur manque et que beaucoup défaillent, j’ai mis en poste aux portes de toutes les villes, l’épée pour le carnage. Oui, elle est faite pour lancer des éclairs, et elle est aiguisée pour le massacre.
      21 Du tranchant, frappe à droite et frappe à gauche, frappe de tous côtés.
      22 « Et moi aussi, je vais frapper une main contre l’autre et donner libre cours à mon indignation. Moi, l’Eternel, je vous le dis. »
      23 L’Eternel m’adressa la parole et me dit :
      24 —Toi, fils d’homme, trace deux chemins que pourra emprunter l’épée du roi de Babylone, deux chemins partant d’un même pays. A l’entrée de chaque chemin, tu placeras un panneau indiquant la direction d’une ville.
      25 Tu traceras un chemin pour l’épée jusqu’à Rabba, la ville des Ammonites, et l’autre jusqu’à Jérusalem, la ville fortifiée, en Juda,
      26 car le roi de Babylone se tient au carrefour d’où partent les deux chemins pour interroger le sort : il tire au sort avec des flèches, il consulte les idoles domestiques, il examine le foie d’animaux.
      27 Dans sa main droite, le sort est tombé sur Jérusalem : Dresse les béliers, lance le cri de guerre pour appeler au carnage, place des béliers contre les portes, élève des terrasses de siège, construis des terrassements !
      28 Les habitants de Jérusalem ne voient en cela que de faux présages, puisqu’on s’est engagé envers eux par des serments. Mais le roi de Babylone leur rappellera leur crime, de sorte qu’ils seront pris.
      29 C’est pourquoi, voici ce que déclare le Seigneur, l’Eternel : « Puisque vous m’avez rappelé le souvenir de vos fautes et que vous avez montré à nu vos péchés et manifesté vos crimes dans toutes vos actions, parce que vous avez ainsi attiré l’attention sur vous, vous serez pris.
      30 Quant à toi, prince d’Israël infidèle et méchant, l’heure va sonner pour la fin de tes crimes.
      31 Voici ce que dit le Seigneur, l’Eternel : Qu’on lui ôte le turban ! Qu’on lui enlève la couronne ! Ce qui est ne sera plus. Ce qui est abaissé sera exalté et ce qui est élevé sera abaissé.
      32 Des ruines, des ruines ! J’en ferai des ruines comme jamais il n’y en a eu, et ce, jusqu’à ce que vienne celui à qui appartient le gouvernement et à qui je le remettrai. »

      2 Corinthiens 7

      1 Mes amis, puisque nous possédons ce qui nous a été promis en ces termes, *purifions-nous de tout ce qui corrompt le corps et l’esprit, pour mener ainsi une vie pleinement sainte en révérant Dieu.
      2 Faites-nous une place dans votre cœur ! Nous n’avons causé de tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons exploité personne.
      3 En parlant ainsi, je n’entends nullement vous condamner. Je vous l’ai déjà dit : nous vous portons dans notre cœur à la vie et à la mort.
      4 Grande est mon assurance quand je parle de vous, grande est ma fierté à votre sujet. J’ai été pleinement réconforté, je déborde de joie dans toutes nos détresses.
      5 En effet, à notre arrivée en *Macédoine, nous n’avons pas eu un instant de repos, nous avons connu toutes sortes de détresses : conflits au-dehors, craintes au-dedans.
      6 Mais Dieu, qui réconforte ceux qui sont abattus, nous a réconfortés par l’arrivée de *Tite.
      7 Ce n’est pas seulement sa venue qui nous a réconfortés, mais aussi le réconfort qu’il avait reçu de vous. Il nous a fait part de votre ardent désir de me revoir, de votre profonde tristesse, de votre dévouement à mon égard. Et tout cela n’a fait qu’augmenter ma joie.
      8 C’est pourquoi, si je vous ai causé de la peine par ma précédente lettre, je ne le regrette pas. Certes, je l’ai d’abord regretté en voyant combien elle vous a attristés sur le moment.
      9 Mais maintenant je me réjouis, non pas de votre tristesse, mais de ce que cette tristesse vous ait amenés à changer d’attitude. Car la tristesse que vous avez éprouvée était bonne aux yeux de Dieu, si bien qu’en fait nous ne vous avons causé aucun tort.
      10 En effet, la tristesse qui est bonne aux yeux de Dieu produit un changement d’attitude qui conduit au salut et qu’on ne regrette pas. La tristesse du monde, elle, produit la mort.
      11 Cette tristesse qui est bonne aux yeux de Dieu, voyez quel empressement elle a produit en vous : quelles excuses vous avez présentées, quelle indignation vous avez manifestée, et quelle crainte, quel ardent désir de me revoir, quel zèle, quelle détermination à punir le mal ! Par toute votre attitude, vous avez prouvé que vous étiez innocents en cette affaire.
      12 Bref, si je vous ai écrit, ce n’était pas à cause de celui qui a commis l’offense ni à cause de celui qui l’a subie, mais c’était pour que votre empressement pour nous soit manifesté devant Dieu parmi vous.
      13 C’est pourquoi votre réaction nous a réconfortés. A ce réconfort s’est ajoutée une joie bien plus vive encore en voyant combien Tite était heureux à cause de la manière dont vous avez apaisé ses craintes.
      14 Ainsi, si je lui ai parlé de vous avec quelque fierté, je n’ai pas eu à en rougir, car l’éloge que je lui ai fait de vous s’est révélé conforme à la vérité, exactement comme tout ce que nous avons pu vous dire.
      15 Aussi redouble-t-il d’affection pour vous quand il se rappelle votre obéissance à vous tous, et avec quels égards et quel respect vous l’avez accueilli.
      16 Je suis heureux de pouvoir compter sur vous en toutes choses.
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