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La Bible en 1 an - Jour 266

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    • 2 Samuel 19

      1 Alors le roi David fut accablé. Il se rendit dans la pièce située au-dessus de la porte de la ville pour pleurer. Et tout en marchant, il criait : « Oh, mon fils Absalom, mon fils, mon fils, oh, mon Absalom ! Pourquoi ne suis-je pas mort à ta place ? Oh, Absalom, mon fils, mon fils ! »
      2 On annonça à Joab que le roi pleurait et se lamentait au sujet d’Absalom.
      3 Et ce jour-là, les soldats, au lieu de célébrer la victoire, furent accablés de tristesse. En effet, ils avaient appris, eux aussi, combien le roi était éprouvé par la mort de son fils.
      4 Ils rentrèrent en ville furtivement, comme des soldats honteux d’avoir abandonné une bataille.
      5 Quant au roi, le visage voilé, il continuait de crier : « Oh, mon fils Absalom, oh, Absalom, mon fils, mon fils ! »
      6 Alors Joab vint trouver le roi et lui dit : « En agissant ainsi aujourd’hui, tu couvres de honte tes soldats, qui t’ont sauvé la vie, ainsi qu’à tes fils, tes filles et toutes tes épouses.
      7 En effet, ton affection va à ceux qui te détestent et ta haine à ceux qui t’aiment. Tu montres que les chefs de ton armée et tous ceux qui te servent fidèlement ne comptent pas pour toi. Oui, je vois : Si aujourd’hui nous étions tous morts, mais qu’Absalom soit encore en vie, tu trouverais cela très bien.
      8 Allons, ressaisis-toi maintenant et va dire à tes soldats quelques mots d’encouragement. Si tu n’y vas pas, je te jure au nom du Seigneur qu’aucun d’eux ne restera un jour de plus à ton service. Ce serait là pour toi un malheur plus grand que tous ceux qui t’ont atteint depuis ta jeunesse. »
      9 Alors le roi alla s’installer près de la porte de la ville. On l’annonça aux soldats, qui vinrent tous se rassembler auprès de lui. Les soldats d’Absalom s’étaient enfuis, et chacun d’eux était rentré chez lui.
      10 Dans toutes les tribus israélites, on se mit à discuter âprement ; on disait : « Le roi David nous avait délivrés de nos ennemis, en particulier des Philistins, et il a dû fuir le pays à cause d’Absalom.
      11 Mais cet Absalom, que nous nous étions donné comme roi, est mort à la guerre. Alors qu’attendons-nous pour faire revenir le roi David ? »
      12 De son côté, David envoya ce message aux prêtres Sadoc et Abiatar : « Adressez-vous aux anciens de Juda et demandez-leur : “Pourquoi seriez-vous les derniers à entreprendre de ramener le roi chez lui, alors qu’il est lui-même au courant des intentions des autres Israélites ?
      13 Vous êtes les frères du roi, ses plus proches parents. Ne soyez donc pas les derniers à le faire revenir.”
      14 Puis vous irez dire de ma part à Amassa : “N’es-tu pas de ma parenté ? Que Dieu m’inflige donc la plus terrible des punitions si je ne te donne pas pour toujours la place de Joab à la tête de mon armée !” »
      15 Les paroles de David convainquirent les gens de Juda. D’un commun accord, ils firent dire au roi : « Reviens ici, avec tous tes serviteurs ! »
      16 Alors le roi prit le chemin du retour et descendit jusqu’au bord du Jourdain. Les gens de Juda étaient venus au Guilgal, à la rencontre du roi, pour l’aider à traverser le fleuve.
      17 Chiméi, fils de Guéra, le Benjaminite de Bahourim, s’était hâté de descendre avec eux pour se présenter devant le roi David.
      18 Il était accompagné de mille Benjaminites, ainsi que de Siba, le serviteur de la famille de Saül, avec ses quinze fils et ses vingt serviteurs. Ceux-ci devaient accourir au Jourdain à la rencontre du roi,
      19 au moment où le radeau transportant la famille royale traverserait la rivière, et ils devaient exécuter les ordres que le roi pourrait donner. Lorsque le roi eut traversé la rivière, Chiméi se jeta à terre devant lui
      20 et lui dit : « Que le roi ne me tienne pas pour coupable ! Qu’il oublie la faute que j’ai commise, le jour où il quittait Jérusalem ; qu’il ne m’en garde pas rancune.
      21 Je sais bien que j’ai commis une faute, mais aujourd’hui, le roi peut le constater, je suis descendu à sa rencontre avant tous les autres Israélites du Nord. »
      22 Abichaï, dont la mère s’appelait Serouia, intervint et dit au roi : « Est-ce un motif suffisant pour ne pas mettre à mort Chiméi, alors qu’il a maudit le roi choisi par le Seigneur ? »
      23 Mais David dit à Abichaï et à son frère Joab : « De quoi vous mêlez-vous, fils de Serouia ? Pourquoi en cet instant vous opposez-vous à mes intentions ? Je ne veux pas qu’on mette à mort quelqu’un d’Israël, en ce jour où j’acquiers la certitude d’être vraiment le roi de ce peuple ! »
      24 Et le roi déclara à Chiméi : « Tu ne seras pas mis à mort, je te le jure. »
      25 Mefibaal, le petit-fils de Saül, était aussi venu à la rencontre du roi. Entre le jour où le roi était parti et celui où il revenait sain et sauf à Jérusalem, Mefibaal n’avait ni taillé sa moustache, ni lavé ses pieds ou ses vêtements.
      26 Lorsqu’il se trouva devant le roi, celui-ci lui demanda : « Mefibaal, pourquoi n’es-tu pas parti avec moi ? » –
      27 « Majesté, répondit-il, c’est que mon serviteur m’a trompé ! Je m’étais pourtant dit : “Puisque je marche difficilement, je vais faire seller mon ânesse, la monter et accompagner ainsi le roi.”
      28 Et mon serviteur est allé te raconter des mensonges à mon sujet. Cependant, toi, tu es comme un ange de Dieu, tu peux faire ce qui te plaît.
      29 Il n’y avait, dans toute la famille de mon grand-père Saül, que des gens dignes de mort à tes yeux ; malgré cela, tu m’as accueilli parmi ceux qui mangent à ta table. Je n’ai donc aucun droit de te demander une autre faveur. » –
      30 « Bon, dit le roi, assez parlé de cela ! Je décide que Siba et toi, vous vous partagerez les terres de Saül. » –
      31 « Siba peut même tout prendre pour lui, déclara Mefibaal. L’essentiel, c’est que le roi puisse rentrer sain et sauf chez lui. »
      32 Barzillaï, de Roguelim, en Galaad, était également descendu au Jourdain ; il l’avait passé avec le roi, avant de prendre congé de lui sur la rive.
      33 C’était un vieillard de quatre-vingts ans ; étant très riche, il avait pu ravitailler le roi lorsque ce dernier se trouvait à Mahanaïm.
      34 Le roi lui dit : « Barzillaï, viens avec moi à Jérusalem, et j’y assurerai ton entretien. » –
      35 « Majesté, répondit-il, combien de temps me reste-t-il à vivre ? Trop peu pour que je monte avec toi à Jérusalem !
      36 J’ai actuellement quatre-vingts ans et je ne suis plus en état de distinguer ce qui est bon de ce qui est mauvais ; je ne peux plus apprécier le goût de ce que je mange et bois, ni les voix des chanteurs et chanteuses. Pourquoi donc serais-je une charge pour toi ?
      37 C’est tout juste si je peux traverser le Jourdain avec toi. D’ailleurs je ne mérite pas une telle récompense !
      38 Laisse-moi donc retourner dans ma ville ; j’y mourrai près du tombeau de mon père et de ma mère. Mais voici mon fils Kimham : c’est lui qui ira avec toi, et tu le traiteras comme tu le jugeras bon. » –
      39 « D’accord, dit le roi, Kimham m’accompagnera, et je le traiterai comme tu le désires. Tout ce que tu solliciteras de moi, je te l’accorderai. »
      40 Toute la foule passa le Jourdain, que le roi avait traversé auparavant. David embrassa Barzillaï et le bénit, puis celui-ci s’en retourna chez lui.
      41 Le roi se rendit au Guilgal, accompagné de Kimham. Tous les Judéens et la moitié des Israélites du Nord accompagnèrent le roi.
      42 Les gens du Nord s’approchèrent de lui et lui demandèrent : « Pourquoi nos frères, les Judéens, t’ont-ils accaparé pour te faire traverser le Jourdain, avec ta famille, alors que tous tes soldats t’accompagnaient ? »
      43 Les Judéens leur répliquèrent : « C’est parce que nous sommes plus proches parents du roi que vous ! Pourquoi vous fâcher à ce sujet ? Avons-nous vécu aux dépens du roi ? ou avons-nous reçu des cadeaux de lui ? »

      Ezéchiel 26

      1 La onzième année après la déportation, le premier jour du mois, le Seigneur me dit :
      2 « Je m’adresse à toi, l’homme, parce que les habitants de Tyr se moquent de Jérusalem en disant : “Ah ! Ah ! Elle est anéantie, la ville par où tout le monde passait ! A notre tour de nous enrichir, elle est en ruine !”
      3 Eh bien, je le déclare, moi, le Seigneur Dieu, je vais intervenir contre toi, ville de Tyr. Je te ferai attaquer par des peuples nombreux, ils déferleront sur toi comme les vagues de la mer.
      4 Ils détruiront tes remparts et démoliront tes tours. Je balaierai tous les débris et ne laisserai que le rocher dénudé.
      5 Il ne restera au milieu de la mer qu’un emplacement où les pêcheurs mettront leurs filets à sécher. Oui, c’est moi, le Seigneur Dieu, qui parle, et c’est ce que j’affirme. Des peuples étrangers viendront piller la ville
      6 et décimeront les localités voisines sur la côte. Alors on sera convaincu que je suis le Seigneur.
      7 « Oui, je le déclare, moi, le Seigneur Dieu : Contre toi, ville de Tyr, je vais faire venir du nord le plus puissant des rois, le roi Nabucodonosor de Babylone. Il viendra t’attaquer avec des chevaux, des chars, des cavaliers et une armée innombrable.
      8 Il décimera les localités voisines, sur la côte. Ensuite les soldats ennemis creuseront des tranchées et élèveront des remblais contre toi, ils t’opposeront un mur de boucliers.
      9 Ils martèleront tes murailles avec leurs machines de guerre, ils démoliront tes tours à coups de pioches.
      10 Tu seras couverte de la poussière soulevée par leurs nombreux chevaux, tes murs trembleront sous le vacarme de leurs cavaliers et le roulement de leurs chars. En effet, ils entreront par tes portes tout comme on s’engouffre dans une ville par une brèche.
      11 Ils fouleront toutes tes rues du sabot de leurs chevaux, ils passeront tes habitants par l’épée et ils jetteront à terre tes colonnes imposantes.
      12 Ils voleront tes richesses et pilleront tes stocks de marchandises. Ils démoliront tes murs et raseront tes demeures luxueuses ; ils en prendront les pierres, le bois et les gravats et les jetteront au fond de la mer.
      13 Je mettrai fin à tes chants, on n’entendra plus le son de tes harpes.
      14 Je ne laisserai subsister de toi qu’un rocher dénudé, où les pêcheurs mettront leurs filets à sécher, et la ville ne sera jamais rebâtie. Oui, c’est moi, le Seigneur Dieu, qui parle, et c’est ce que j’affirme.
      15 « Voici ce que je déclare, moi, le Seigneur Dieu, à la ville de Tyr : Les habitants des rivages lointains se mettront à trembler lorsque tu seras détruite et qu’on entendra gémir les blessés dans le massacre qui aura lieu chez toi.
      16 Les princes qui règnent sur les peuples de la côte descendront de leurs trônes, ils se dépouilleront de leurs manteaux et de leurs vêtements brodés. Revêtus d’épouvante et assis par terre, ils ne cesseront pas de trembler, tellement ils seront terrifiés par ton destin.
      17 Ils chanteront sur toi cette complainte : “Elle est détruite, la ville célèbre, elle a disparu des mers ! Ses habitants étendaient leur puissance sur les mers, où ils étaient redoutés de tous.
      18 Maintenant les peuples de la côte tremblent à cause de son anéantissement, ceux des rivages lointains sont terrifiés par sa disparition.”
      19 « Oui, je le déclare, moi, le Seigneur Dieu, je te rendrai pareille aux villes en ruine, où plus personne n’habite. Je ferai monter du fond de la mer des masses d’eau qui te recouvriront.
      20 Je t’enverrai rejoindre dans les profondeurs les morts de tous les âges. Tu resteras dans le monde souterrain, semblable aux ruines antiques, en compagnie des morts qui t’ont précédée. Tu ne pourras plus en remonter et tu n’auras plus de place sur la terre des vivants.
      21 Tout le monde sera épouvanté par ton sort, car tu seras complètement détruite. On recherchera tes vestiges, mais personne ne te trouvera plus jamais, je l’affirme, moi, le Seigneur Dieu. »

      2 Corinthiens 12

      1 Il faut donc que je me vante, bien que cela ne soit pas bon. Mais je vais parler maintenant des visions et révélations que le Seigneur m’a accordées.
      2 Je connais un chrétien qui, il y a quatorze ans, fut enlevé jusqu’au plus haut des cieux. (Je ne sais pas s’il fut réellement enlevé ou s’il eut une vision, Dieu seul le sait.)
      3 Oui, je sais que cet homme fut enlevé jusqu’au paradis (encore une fois, je ne sais pas s’il fut réellement enlevé ou s’il eut une vision, Dieu seul le sait), et là il entendit des paroles inexprimables et qu’il n’est permis à aucun être humain de répéter.
      5 Je me vanterai au sujet de cet homme – mais, quant à moi, je ne me vanterai que de ma faiblesse –.
      6 Si je voulais me vanter, je ne serais pas fou, car je dirais la vérité. Mais j’évite de me vanter, car je ne désire pas qu’on ait de moi une opinion qui dépasserait ce qu’on me voit faire ou m’entend dire.
      7 Cependant, afin que je ne sois pas enflé d’orgueil pour avoir reçu des révélations si extraordinaires, une dure souffrance m’a été infligée dans mon corps, comme un messager de Satan destiné à me frapper et à m’empêcher d’être enflé d’orgueil.
      8 Trois fois j’ai prié le Seigneur de me délivrer de cette souffrance.
      9 Il m’a répondu : « Ma grâce te suffit. Ma puissance se manifeste précisément quand tu es faible. » Je préfère donc bien plutôt me vanter de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ étende sa protection sur moi.
      10 C’est pourquoi je me réjouis des faiblesses, des insultes, des détresses, des persécutions et des angoisses que j’endure pour le Christ ; car lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort.
      11 Je parle comme si j’étais devenu fou, mais vous m’y avez obligé. C’est vous qui auriez dû prendre ma défense. Car même si je ne suis rien, je ne suis nullement inférieur à vos super- apôtres.
      12 Les actes qui prouvent que je suis apôtre ont été réalisés parmi vous avec une patience parfaite : ils ont consisté en toutes sortes de miracles et de prodiges.
      13 En quoi avez-vous été moins bien traités que les autres Églises, sinon en ce que je ne vous ai pas été à charge ? Pardonnez-moi cette injustice !
      14 Me voici prêt à me rendre chez vous pour la troisième fois, et je ne vous serai pas à charge. C’est vous que je recherche et non votre argent. En effet, ce n’est pas aux enfants à amasser de l’argent pour leurs parents, mais aux parents pour leurs enfants.
      15 Quant à moi, je serai heureux de dépenser tout ce que j’ai et de me dépenser moi-même pour vous. M’aimerez-vous moins si je vous aime à un tel point ?
      16 Vous admettrez donc que je n’ai pas été un fardeau pour vous. Mais on prétendra que, faux comme je suis, je vous ai pris au piège par ruse.
      17 Est-ce que je vous ai exploités par l’un de ceux que je vous ai envoyés ?
      18 J’ai prié Tite d’aller chez vous et j’ai envoyé avec lui le frère que vous savez. Tite vous a-t-il exploités ? N’avons-nous pas agi lui et moi avec les mêmes intentions, en suivant le même chemin ?
      19 Peut-être pensez-vous depuis un bon moment que nous cherchons à nous justifier devant vous ? Eh bien non ! Nous parlons en communion avec le Christ, devant Dieu, et nous vous disons tout cela, chers amis, pour vous faire progresser dans la foi.
      20 Je crains qu’à mon arrivée chez vous je ne vous trouve pas tels que je voudrais et que vous ne me trouviez pas tel que vous voudriez. Je crains qu’il n’y ait des querelles et de la jalousie, de la colère et des rivalités, des insultes et des médisances, de l’orgueil et du désordre.
      21 Je crains qu’à ma prochaine visite mon Dieu ne m’humilie devant vous, et que je n’aie à pleurer sur beaucoup qui continuent à pécher comme autrefois et ne se sont pas détournés de l’impureté, de l’immoralité et du vice qu’ils ont pratiqués.
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