Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

La Bible en 1 an - Jour 296

Sommaire

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • 2 Rois 4

      1 Un jour, une femme, dont le mari avait été membre d’un groupe de prophètes, vint trouver Élisée et le supplia de l’aider : « Élisée, lui dit-elle, tu sais que mon mari était un fidèle adorateur du Seigneur. Maintenant, il est mort, et l’homme à qui nous avions emprunté de l’argent va venir chercher mes deux enfants pour en faire ses esclaves. »
      2 Élisée lui dit : « Que pourrais-je faire pour toi ? Dis-moi ce que tu possèdes chez toi. » – « Je ne possède rien du tout, répondit-elle ; il ne me reste qu’un peu d’huile, juste de quoi me parfumer. » –
      3 « Eh bien ! reprit Élisée, va chez tes voisins et emprunte-leur des récipients vides. Surtout, empruntes-en assez.
      4 Puis rentre chez toi avec tes enfants, et ferme bien la porte. Alors tu verseras l’huile dans tous ces récipients et tu les mettras de côté au fur et à mesure qu’ils seront pleins. »
      5 La femme s’en alla donc. Quand elle fut chez elle avec ses enfants, elle ferma la porte ; les enfants se mirent à lui passer les récipients, et elle les remplissait.
      6 A un certain moment, elle dit à l’un des enfants : « Passe-moi encore un récipient vide. » Mais ils étaient tous pleins, et l’enfant lui dit qu’il n’y en avait plus. Alors l’huile s’arrêta de couler.
      7 La femme alla raconter au prophète ce qui venait d’arriver ; celui-ci lui dit : « Va vendre cette huile et rembourse ta dette ; ce qui te restera d’argent vous permettra ensuite de vivre, toi et tes enfants. »
      8 Une autre fois, Élisée était passé par le village de Chounem. Il y avait là une femme riche qui avait insisté pour qu’il vienne prendre un repas chez elle. C’est pourquoi, depuis ce jour, Élisée allait toujours manger chez elle quand il passait dans cette région.
      9 Cette femme dit à son mari : « Je suis sûre que cet homme qui passe toujours chez nous est un saint prophète de Dieu.
      10 Nous devrions construire une petite chambre à l’étage supérieur de la maison et y mettre pour lui un lit, une table, un siège et une lampe. Il pourrait loger là quand il passe chez nous. »
      11 C’est ainsi qu’un jour Élisée vint chez ces gens et monta dans la petite chambre pour y passer la nuit.
      12 Puis il dit à son serviteur Guéhazi d’aller chercher la maîtresse de maison. Lorsque celle-ci se présenta devant la chambre,
      13 Élisée chargea Guéhazi de lui dire : « Tu t’es donné beaucoup de peine pour nous. Que pouvons-nous faire pour toi ? Peut-on intervenir en ta faveur auprès du roi ou du chef de l’armée ? » – « Non ! merci, répondit-elle. Au milieu de mon peuple, je ne manque de rien. »
      14 Élisée dit alors à Guéhazi : « Que faire pour elle ? » – « Eh bien ! répondit Guéhazi, elle n’a pas de fils, et son mari est âgé. » –
      15 « Rappelle-la donc ! » dit Élisée. Lorsqu’elle se présenta sur le pas de la porte,
      16 Élisée lui déclara : « L’an prochain, à la même époque, tu tiendras un fils dans tes bras. » Mais elle s’écria : « C’est impossible ! Toi qui es prophète de Dieu, ne me dis pas un mensonge ! »
      17 Cependant cette femme devint enceinte, et à la même époque, l’année suivante, elle mit au monde un fils, conformément à ce qu’Élisée lui avait annoncé.
      18 L’enfant grandit. Un jour, il alla trouver son père qui travaillait avec les moissonneurs.
      19 Soudain il s’écria : « Papa ! Oh, ma tête ! J’ai mal à la tête ! » Le père dit à un serviteur : « Porte-le vite à sa mère. »
      20 Le serviteur apporta l’enfant à sa mère. Celle-ci le prit sur ses genoux, mais vers midi il mourut.
      21 Alors elle monta dans la chambre d’Élisée, coucha l’enfant sur le lit, puis ferma la porte. Elle se rendit aux champs,
      22 appela son mari et lui dit : « Envoie-moi un serviteur avec une ânesse ; je me rends vite chez le prophète de Dieu et je reviens. »
      23 Son mari lui demanda : « Pourquoi vas-tu chez lui aujourd’hui ? Ce n’est pas la fête de la nouvelle lune, même pas un jour de sabbat. » – « Ne t’inquiète pas ! » répondit-elle.
      24 Elle sella l’ânesse et dit au serviteur : « Allons-y, conduis l’ânesse ; tu ne m’arrêteras que si je te l’ordonne. »
      25 Elle partit donc en direction du mont Carmel, pour aller trouver Élisée. Lorsque ce dernier la vit de loin, il dit à son serviteur Guéhazi : « Regarde, c’est la femme qui me reçoit à Chounem.
      26 Cours donc jusque vers elle et demande-lui si tout va bien pour elle-même, pour son mari et pour leur enfant. » La femme répondit à Guéhazi que tout allait bien.
      27 Cependant, quand elle arriva près d’Élisée sur la montagne, elle se jeta à ses pieds ; Guéhazi voulut la repousser, mais Élisée lui dit : « Laisse-la tranquille ! Elle est remplie d’une tristesse dont j’ignore la cause, car Dieu ne me l’a pas fait connaître. »
      28 Au même instant, la femme s’écria : « Est-ce moi qui t’avais demandé un fils ? Non ! Je t’avais même dit : “Ne me donne pas un faux espoir.” »
      29 Élisée dit à Guéhazi : « Es-tu prêt à partir ? Prends mon bâton de prophète et va à Chounem. Si tu rencontres quelqu’un en chemin, ne t’arrête pas pour le saluer ; et si quelqu’un veut te saluer, ne perds pas de temps à lui répondre. Là-bas, tu poseras mon bâton sur le visage de l’enfant. »
      30 Mais la mère de l’enfant dit à Élisée : « Par le Seigneur vivant, et par ta propre vie, je ne m’en irai pas sans toi. » Alors Élisée partit avec elle.
      31 Cependant Guéhazi était arrivé avant eux ; il posa le bâton d’Élisée sur le visage de l’enfant, mais rien ne se passa : pas un bruit, pas un mouvement. Il revint donc vers le prophète et lui annonça : « L’enfant ne s’est pas réveillé. »
      32 Lorsque Élisée parvint à la maison, l’enfant mort était toujours étendu sur le lit.
      33 Élisée entra dans la chambre, ferma la porte derrière lui et se mit à prier le Seigneur.
      34 Puis il se plaça sur l’enfant, bouche contre bouche, les yeux en face des yeux, et mains contre mains ; et tandis qu’il était ainsi agenouillé sur lui, le corps de l’enfant se réchauffa.
      35 Élisée se releva et se mit à marcher de long en large dans la pièce, puis il s’agenouilla de nouveau sur lui. Soudain l’enfant éternua sept fois et ouvrit les yeux.
      36 Aussitôt Élisée appela Guéhazi et lui dit : « Va chercher la mère de l’enfant. » Guéhazi descendit la chercher ; lorsqu’elle arriva, Élisée lui dit : « Viens reprendre ton fils. »
      37 Elle s’avança, se jeta aux pieds du prophète et s’inclina jusqu’à terre. Puis elle prit son fils et s’en alla.
      38 Un jour, alors que la famine régnait dans le pays, Élisée était revenu au Guilgal et avait réuni le groupe de prophètes autour de lui. Il ordonna à son serviteur : « Mets la grande marmite sur le feu et prépare-nous une soupe. »
      39 Alors un membre du groupe s’en alla dans les champs pour chercher des herbes ; il trouva une sorte de vigne sauvage, sur laquelle il cueillit des fruits ressemblant à de petites courges ; il en remplit la poche de son vêtement et, à son retour, il les coupa en morceaux et les mit dans la marmite ; personne ne savait ce que c’était.
      40 Mais lorsqu’on servit cette soupe aux hommes, ils la goûtèrent et se mirent aussitôt à crier : « La soupe est empoisonnée, prophète de Dieu ! » En effet, personne ne pouvait la manger.
      41 Alors Élisée ordonna d’apporter de la farine ; il en mit dans la soupe, puis dit à son serviteur : « Sers-en à ces gens et qu’ils mangent ! » Or le contenu de la marmite était devenu tout à fait mangeable.
      42 A cette même époque, un homme arriva de Baal-Chalicha ; il apportait au prophète vingt pains d’orge, faits de farine nouvelle, et un sac de grain qu’il venait de récolter. Élisée dit à son serviteur de partager ces vivres entre tous,
      43 mais le serviteur répondit : « Comment pourrais-je nourrir cent personnes avec cela ? » – « Partage ces vivres entre tous, reprit Élisée, car voici ce que déclare le Seigneur : “Chacun aura assez à manger, et il y aura même des restes.” »
      44 Le serviteur répartit le pain entre ses compagnons ; chacun en mangea et il y eut effectivement des restes, comme le Seigneur l’avait annoncé.

      Daniel 8

      1 « Durant la troisième année du règne de Baltazar, moi, Daniel, j’eus une nouvelle vision, après celle que j’avais eue précédemment.
      2 Voici ce que je vis alors : Je me voyais à Suse, ville forte de la province d’Élam, au bord de la rivière nommée Oulaï.
      3 Tandis que je regardais, je vis un bélier qui se tenait sur le bord de la rivière. Il avait deux cornes de grande taille ; toutefois celle qui avait poussé en dernier était plus grande que l’autre.
      4 Je vis le bélier donner des coups de cornes en direction de l’ouest, du nord et du sud. Aucune autre bête n’était capable de lui résister, et on ne pouvait arracher personne à son pouvoir. Il agissait comme bon lui semblait et sa puissance ne cessait pas de grandir.
      5 « Pendant que je réfléchissais à tout cela, je vis un bouc arriver de l’occident ; il parcourait toute la terre sans même toucher le sol. Ce bouc avait une corne impressionnante entre les yeux.
      6 Il arriva près du bélier à deux cornes que j’avais vu sur le bord de la rivière, et il se précipita sur lui de toutes ses forces.
      7 Je le vis atteindre le bélier, s’acharner à le frapper et lui briser les deux cornes. Il jeta à terre le bélier, qui était incapable de lui résister, et il le foula aux pieds ; personne ne put l’arracher à son pouvoir.
      8 La force du bouc grandit énormément. Mais lorsqu’il fut au sommet de sa puissance, la grande corne se brisa ; à sa place, quatre autres cornes impressionnantes poussèrent, orientées vers les quatre coins de l’horizon.
      9 « De l’une d’elles, la plus petite, sortit une nouvelle corne, qui étendit sa puissance démesurée vers le sud, l’est et le plus beau des pays.
      10 Elle se dressa également contre les êtres célestes, elle jeta à terre plusieurs d’entre eux, ainsi que plusieurs astres, et elle les foula aux pieds.
      11 Elle s’attaqua même au chef des êtres célestes, supprima le sacrifice qu’on lui offrait chaque jour et profana l’emplacement de son sanctuaire.
      12 Les êtres célestes furent livrés avec perversité en son pouvoir, en même temps que le sacrifice de chaque jour. La corne jeta à terre le culte fidèle. Elle réussit dans tout ce qu’elle entreprit.
      13 « J’entendis alors un ange qui parlait. Un autre ange lui demanda : “Combien de temps dureront les événements annoncés par la vision ? Pendant combien de temps le sacrifice quotidien sera-t-il supprimé, la perversité dévastatrice régnera-t-elle, le sanctuaire et les êtres célestes seront-ils foulés aux pieds ?”
      14 Le premier ange lui répondit : “Il faut que s’écoulent 2 300 soirs et matins. Ensuite le sanctuaire sera consacré de nouveau.” »
      15 « Tandis que moi, Daniel, je contemplais cette vision et que j’essayais d’en comprendre la signification, un être qui ressemblait à un homme vint se placer en face de moi.
      16 Et j’entendis une voix, venant de la rivière Oulaï, lui crier : “Gabriel, explique à cet homme la vision qu’il a eue.”
      17 Gabriel s’approcha de l’endroit où je me tenais. Terrifié, je me jetai le visage contre terre, mais il me dit : “Toi qui n’es qu’un homme, sache pourtant que cette vision concerne la fin des temps.”
      18 Pendant qu’il me parlait, j’avais toujours le visage contre terre et je perdis connaissance. Il me toucha et me remit debout,
      19 puis il me dit : “Je vais te révéler ce qui arrivera au moment, déjà fixé, où la colère de Dieu prendra fin.
      20 Le bélier à deux cornes que tu as vu représente les empires mède et perse.
      21 Le bouc, c’est le royaume grec ; la grande corne placée entre ses yeux représente le premier roi.
      22 Lorsque la corne fut brisée, quatre autres cornes poussèrent à sa place : ce sont quatre royaumes qui prendront la place du précédent, mais qui n’auront pas sa puissance.
      23 Quand ces royaumes toucheront à leur fin et que les pécheurs auront mis le comble à leur péché, un roi arrogant et expert en tromperies surgira.
      24 Sa puissance grandira, sans pourtant que cela vienne de lui-même. Il causera des ravages extraordinaires ; il réussira dans tout ce qu’il entreprendra, allant jusqu’à exterminer des gens puissants et même le peuple qui appartient en propre à Dieu.
      25 Plein d’habileté, il parviendra à tromper les autres. Dans son orgueil, il exterminera beaucoup de gens qui se croient en sécurité, et il se dressera contre le Prince des princes. C’est alors qu’il sera brisé, sans intervention humaine.
      26 Voilà l’explication digne de foi de ce que tu as vu au sujet des soirs et des matins. Mais garde cette vision secrète, car elle concerne une époque encore lointaine.”
      27 A ce moment-là, moi, Daniel, je m’effondrai et je fus ensuite malade pendant quelques jours. Lorsque je fus rétabli, je repris mon service auprès du roi. J’étais encore bouleversé par cette vision, car je ne la comprenais pas. »

      1 Timothée 1

      1 De la part de Paul, apôtre de Jésus-Christ par ordre de Dieu notre Sauveur et de Jésus-Christ notre espérance.
      2 A Timothée, mon vrai fils dans la foi : Que Dieu le Père et Jésus-Christ notre Seigneur t’accordent la grâce, le pardon et la paix.
      3 Comme je te l’ai recommandé en partant pour la Macédoine, reste à Éphèse. Il y a là des gens qui enseignent de fausses doctrines et il faut que tu leur ordonnes de cesser.
      4 Dis-leur de renoncer à ces légendes et à ces longues listes d’ancêtres ; elles ne provoquent que des discussions, au lieu de servir le plan salutaire de Dieu, que l’on connaît par la foi.
      5 Cet ordre a pour but de susciter l’amour qui vient d’un cœur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sincère.
      6 Certains se sont détournés de cette ligne de conduite et se sont égarés dans des discussions stupides.
      7 Ils prétendent être des maîtres en ce qui concerne la loi de Dieu, mais ils ne comprennent ni ce qu’ils disent ni les sujets dont ils parlent avec tant d’assurance.
      8 Nous savons que la loi est bonne, si l’on en fait bon usage.
      9 On se rappellera en particulier que la loi n’est pas établie pour ceux qui se conduisent bien, mais pour les malfaiteurs et les rebelles, pour les méchants et les pécheurs, pour les gens qui ne respectent ni Dieu ni ce qui est saint, pour ceux qui tuent père ou mère, pour les assassins,
      10 les gens immoraux, les pédérastes, les marchands d’esclaves, les menteurs et ceux qui prononcent de faux serments, ou pour ceux qui commettent toute autre action contraire au véritable enseignement.
      11 Cet enseignement se trouve dans la Bonne Nouvelle qui m’a été confiée et qui vient du Dieu glorieux, source du bonheur.
      12 Je remercie Jésus-Christ notre Seigneur qui m’a donné la force nécessaire pour ma tâche. Je le remercie de m’avoir estimé digne de confiance en me prenant à son service,
      13 bien que j’aie dit du mal de lui autrefois, que je l’aie persécuté et insulté. Mais Dieu a eu pitié de moi, parce que j’étais privé de la foi et ne savais donc pas ce que je faisais.
      14 Notre Seigneur a répandu avec abondance sa grâce sur moi, il m’a accordé la foi et l’amour qui viennent de la communion avec Jésus-Christ.
      15 Voici une parole certaine, digne d’être accueillie par tous : Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs. Je suis le pire d’entre eux,
      16 mais c’est pour cela que Dieu a eu pitié de moi : il a voulu que Jésus-Christ démontre en moi, le pire des pécheurs, toute sa patience comme exemple pour ceux qui, dans l’avenir, croiront en lui et recevront la vie éternelle.
      17 Au Roi éternel, immortel, invisible et seul Dieu, soient honneur et gloire pour toujours ! Amen.
      18 Timothée, mon enfant, je te confie cette recommandation, conformément aux paroles prophétiques qui ont été prononcées autrefois à ton sujet. Que ces paroles soient ta force dans le bon combat que tu as à livrer ;
      19 garde la foi et une bonne conscience. Quelques-uns ont refusé d’écouter leur conscience et ont causé ainsi le naufrage de leur foi.
      20 Parmi eux se trouvent Hyménée et Alexandre ; je les ai livrés à Satan afin qu’ils apprennent à ne plus faire insulte à Dieu.
    • 2 Rois 4

      Daniel 8

      1 Timothée 1

      1 Paul, apôtre de Jésus-Christ par ordre de Dieu notre Sauveur et de Jésus-Christ notre espérance,
      2 à Timothée, mon vrai fils en la foi : que Dieu le Père et Jésus-Christ notre Seigneur te donnent grâce, bonté et paix.
      3 Lors de mon départ pour la Macédoine, je t’ai encouragé à demeurer encore quelque temps à Éphèse pour avertir certains de ne pas introduire dans leur enseignement des nouveautés qui dévient de la vraie doctrine et sont étrangères à la foi.
      4 Qu’ils ne se mettent pas à étudier des récits forgés de toutes pièces, à s’occuper de mythes et à établir des généalogies interminables. Donner de l’importance à des spéculations aussi futiles, c’est créer de faux problèmes, car de telles recherches suscitent des discussions et provoquent des querelles plutôt qu’elles ne favorisent le dessein de Dieu et ne nous aident dans les tâches qu’il nous confie dans son œuvre. En effet, le plan de salut de Dieu pour nous est fondé sur la foi et se réalise par la foi.
      5 Le but de toute vraie prédication et de tout enseignement chrétien authentique est d’éveiller l’amour, un amour jaillissant d’un cœur pur, d’une conscience droite et d’une foi sans hypocrisie.
      6 Certains ont perdu cela de vue ; en s’écartant de ces principes, ils ont manqué le but, se sont fourvoyés dans un dédale inextricable d’arguments vides et se sont égarés dans de vains bavardages et des discussions inutiles.
      7 Ils se posent en docteurs de la loi et veulent devenir des maîtres célèbres, mais, au fond, ils n’ont aucune réelle connaissance des questions qu’ils abordent : ils ne comprennent ni le vrai sens des termes qu’ils emploient ni la portée exacte des thèmes dont ils se font les champions, à coups d’affirmations si dogmatiques.
      8 (Ils proclament :) « La loi est admirable, elle mène au salut ». Bien entendu qu’elle est excellente… à condition d’être utilisée à bon escient, c’est-à-dire en accord avec son but.
      9 Il faut savoir avant tout qu’elle n’est pas faite pour les honnêtes gens. Le juste, le croyant n’est pas régi par elle. Elle a été instituée pour ceux qui n’en veulent pas : pour les hommes sans foi ni loi, vivant sans règle ni frein, pour les rebelles, les gens qui méprisent Dieu et les pécheurs, pour les gens sans respect ni scrupule à l’égard de ce qui est sacré, qui tueraient père et mère, pour les assassins,
      10 pour les débauchés, les pervers, les homosexuels, les marchands d’esclaves, les menteurs, les gens sans parole et, d’une manière générale, elle est là pour s’opposer à tout comportement contraire au bon ordre et à la doctrine menant au salut.
      11 Ainsi l’enseigne l’Évangile qui m’a été confié et qui révèle la gloire de Dieu dans son éternelle félicité.
      12 Combien je suis reconnaissant à Jésus-Christ, notre Seigneur, de ce qu’il a daigné m’accorder sa confiance et m’a rendu capable d’accomplir cette tâche ! En dépit de mon passé, il m’a appelé à son service et m’a donné les forces nécessaires pour l’accomplir.
      13 Moi qui, autrefois, avais blasphémé (son nom), persécuté (ses disciples), attaqué (son Église), j’ai fait l’expérience de sa miséricorde parce que j’étais sincère, j’agissais par ignorance, n’ayant pas encore la foi.
      14 Alors, la grâce de notre Seigneur a inondé ma vie, elle s’est manifestée à moi avec une surabondance extraordinaire, m’éveillant à cette foi et à cet amour qui naissent de la communion avec Jésus-Christ.
      15 Ah ! comme elle est vraie cette parole, comme elle est importante et digne d’être acceptée sans réserve par tous les hommes : « Le Christ Jésus est venu dans ce monde pour sauver des pécheurs » ! Je suis, pour ma part, le premier d’entre eux, et c’est bien pour cela qu’il a eu pitié de moi.
      16 En offrant ainsi sa miséricorde au plus grand des pécheurs, Jésus-Christ a voulu montrer jusqu’où pouvait aller son pardon. Je devais illustrer toute l’étendue de sa patience et fournir la preuve de l’immensité de sa bonté. Mon exemple était destiné à encourager ceux qui croiraient en lui et à leur montrer quels hommes peuvent accéder à la vie éternelle par la foi.
      17 Gloire et honneur en soit, à travers tous les âges à venir, au Roi des mondes, souverain immortel et invisible du temps et des esprits. Lui seul est Dieu. Amen !
      18 C’est ce message que je te mets à cœur de proclamer, ô Timothée, mon cher enfant. Je t’en confie la charge, conformément aux indications prophétiques dont tu as été l’objet. Ce sont elles qui m’ont dirigé vers toi et qui t’ont montré la voie que tu devais suivre. À toi d’accomplir ces prophéties en t’appuyant sur elles. Que leur souvenir t’encourage à continuer la lutte. Mène le bon combat.
      19 Maintiens fermement ta foi et garde ta conscience intacte. Certains, hélas, se sont affranchis d’elle, n’ayant pas voulu écouter ses avertissements, et leur foi a fait naufrage.
      20 Je pense, par exemple, à Hyménée et Alexandre que j’ai exclus de l’Église dans l’espoir que cette mesure de discipline leur apprendra à ne plus blasphémer.
    • 2 Rois 4

      1 Or la veuve d'un des fils des prophètes cria à Élisée, en disant : Ton serviteur mon mari est mort ; et tu sais que ton serviteur craignait l'Éternel ; et son créancier est venu pour prendre mes deux enfants pour esclaves.
      2 Et Élisée lui dit : Que ferai-je pour toi ? Déclare-moi ce que tu as à la maison. Et elle dit : Ta servante n'a rien dans toute la maison qu'une fiole d'huile.
      3 Alors il lui dit : Va, et emprunte dehors à tous tes voisins des vases, des vases vides, et n'en demande pas un petit nombre.
      4 Puis rentre et ferme la porte sur toi et sur tes enfants, et verse dans tous ces vases, faisant ôter ceux qui seront pleins.
      5 Elle s'en alla donc d'avec lui ; puis elle ferma la porte sur elle et sur ses enfants ; ils lui apportaient les vases, et elle versait.
      6 Et, lorsque les vases furent pleins, elle dit à son fils : Apporte-moi encore un vase ; et il répondit : Il n'y a plus de vase. Et l'huile s'arrêta.
      7 Alors elle vint le rapporter à l'homme de Dieu, qui lui dit : Va, vends l'huile, et paie ta dette ; et, toi et tes fils, vous vivrez du reste.
      8 Et il arriva un jour qu'Élisée passa à Sunem ; et il y avait là une femme riche, qui le retint à manger le pain chez elle. Et, toutes les fois qu'il passait, il entrait là pour y manger le pain.
      9 Et elle dit à son mari : Voici, je reconnais que cet homme qui passe toujours chez nous, est un saint homme de Dieu.
      10 Faisons, je te prie, une petite chambre haute, et mettons-lui là un lit, une table, un siège et un chandelier ; quand il viendra chez nous, il s'y retirera.
      11 Étant donc un jour venu là, il se retira dans cette chambre haute, et y reposa.
      12 Et il dit à Guéhazi, son serviteur : Appelle cette Sunamite. Guéhazi l'appela, et elle se présenta devant lui.
      13 Alors il dit à Guéhazi : Dis-lui, je te prie : Voici, tu as pris pour nous tous ces soins ; que pourrait-on faire pour toi ? As-tu à parler au roi, ou au chef de l'armée ? Elle répondit : J'habite au milieu de mon peuple. Il dit donc : Que faire pour elle ?
      14 Et Guéhazi répondit : Mais, elle n'a pas de fils, et son mari est vieux.
      15 Alors il dit : Appelle-la ! Et il l'appela, et elle se présenta à la porte.
      16 Et il lui dit : L'année qui vient, en cette même saison, tu embrasseras un fils. Et elle répondit : Non, mon seigneur, homme de Dieu, ne mens point à ta servante !
      17 Or cette femme conçut, et enfanta un fils un an après, dans la même saison, comme Élisée le lui avait dit.
      18 Et l'enfant étant devenu grand, il arriva qu'il sortit un jour pour aller vers son père, auprès des moissonneurs.
      19 Et il dit à son père : Ma tête, ma tête ! Et le père dit au serviteur : Porte-le à sa mère.
      20 Il le porta donc et l'amena à sa mère ; et il demeura sur les genoux de sa mère jusqu'à midi, puis il mourut.
      21 Alors elle monta, et le coucha sur le lit de l'homme de Dieu ; et, ayant fermé la porte sur lui, elle sortit.
      22 Ensuite elle appela son mari, et dit : Envoie-moi, je te prie, un des serviteurs et une des ânesses ; et je m'en irai jusqu'à l'homme de Dieu ; puis je reviendrai.
      23 Et il dit : Pourquoi vas-tu vers lui aujourd'hui ? Ce n'est point la nouvelle lune, ni le sabbat. Elle répondit : Tout va bien !
      24 Elle fit donc seller l'ânesse, et dit à son serviteur : Mène bon train ; ne ralentis pas la course, que je ne te le dise.
      25 Ainsi elle s'en alla, et vint vers l'homme de Dieu, à la montagne de Carmel. Et, sitôt que l'homme de Dieu l'eut vue paraître, il dit à Guéhazi, son serviteur : Voilà cette Sunamite !
      26 Va, cours au-devant d'elle, et dis-lui : Tout va-t-il bien pour toi, pour ton mari, pour l'enfant ? Et elle dit : Bien.
      27 Puis elle vint vers l'homme de Dieu sur la montagne, et embrassa ses pieds. Et Guéhazi s'approcha pour la repousser ; mais l'homme de Dieu lui dit : Laisse-la, car son âme est dans l'amertume ; et l'Éternel me l'a caché, et ne me l'a point déclaré.
      28 Alors elle dit : Avais-je demandé un fils à mon seigneur ? Ne te dis-je pas : Ne fais point que je sois trompée ?
      29 Et il dit à Guéhazi : Ceins tes reins ; prends mon bâton en ta main, et t'en va. Si tu rencontres quelqu'un, ne le salue point ; et si quelqu'un te salue, ne lui réponds pas ; ensuite tu mettras mon bâton sur le visage de l'enfant.
      30 Mais la mère de l'enfant dit : L'Éternel est vivant et ton âme est vivante ! je ne te laisserai point. Et il se leva, et la suivit.
      31 Or Guéhazi, les ayant devancés, mit le bâton sur le visage de l'enfant ; mais il n'y eut ni voix ni signe d'attention ; et il revint au-devant d'Élisée, et lui fit ce rapport, en disant : L'enfant ne s'est pas réveillé.
      32 Élisée entra donc dans la maison ; et voici, l'enfant était mort et couché sur son lit.
      33 Et, étant entré, il ferma la porte sur eux deux, et pria l'Éternel.
      34 Puis il monta, et se coucha sur l'enfant, et mit sa bouche sur la bouche de l'enfant, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains, et s'étendit sur lui ; et la chair de l'enfant fut réchauffée.
      35 Puis il se retirait, et allait par la maison, tantôt ici, tantôt là, et remontait et s'étendait encore sur lui ; enfin l'enfant éternua sept fois, et ouvrit les yeux.
      36 Alors Élisée appela Guéhazi, et lui dit : Appelle cette Sunamite. Et il l'appela ; et elle vint vers lui, et il lui dit : Prends ton fils.
      37 Elle vint donc, et se jeta à ses pieds, et se prosterna en terre ; puis elle prit son fils, et sortit.
      38 Et Élisée revint à Guilgal. Or il y avait une famine au pays ; et les fils des prophètes étaient assis devant lui. Et il dit à son serviteur : Mets le grand pot, et cuis du potage pour les fils des prophètes.
      39 Mais quelqu'un sortit aux champs pour cueillir des herbes ; et il trouva de la vigne sauvage, et cueillit des coloquintes sauvages, plein sa robe ; puis étant venu, il les mit par pièces dans le pot où était le potage ; car on ne savait ce que c'était.
      40 Et on en versa à ces gens pour manger ; mais sitôt qu'ils eurent mangé de ce potage, ils s'écrièrent : Homme de Dieu, la mort est dans ce pot ! Et ils n'en purent manger.
      41 Alors il dit : Eh bien, apportez de la farine. Et il la jeta dans le pot ; puis il dit : Verse à ces gens, et qu'ils mangent. Et il n'y avait plus rien de mauvais dans le pot.
      42 Alors vint un homme de Baal-Shalisha, qui apportait à l'homme de Dieu du pain des prémices, vingt pains d'orge, et du blé de primeur dans sa besace. Et Élisée dit : Donnes-en à ces gens, et qu'ils mangent.
      43 Et son serviteur dit : Comment en donnerais-je à cent hommes ? Mais Élisée répondit : Donne-le à ces gens et qu'ils mangent. Car ainsi a dit l'Éternel : On en mangera, et on en aura de reste.
      44 Ainsi il le mit devant eux, et ils mangèrent, et ils en laissèrent de reste, selon la parole de l'Éternel.

      Daniel 8

      1 La troisième année du règne du roi Belshatsar, moi, Daniel, j'eus une vision, outre celle que j'avais eue auparavant.
      2 J'eus une vision, et il arriva, comme je regardais, que j'étais à Suse, la capitale, dans la province d'Élam, et dans ma vision, je me trouvais près du fleuve Ulaï.
      3 Je levai les yeux, je regardai, et voici, un bélier se tenait devant le fleuve ; et il avait deux cornes, et ces deux cornes étaient hautes, mais l'une était plus haute que l'autre, et la plus haute s'éleva la dernière.
      4 Et je vis le bélier qui frappait de ses cornes vers l'occident, vers le nord et vers le midi ; et aucune bête ne pouvait subsister devant lui, et il n'y avait personne qui délivrât de sa puissance ; mais il faisait tout ce qu'il voulait, et il devint grand.
      5 Et comme je regardais attentivement, voici, un bouc venait de l'occident, parcourant toute la terre sans toucher le sol ; ce bouc avait une corne considérable entre les yeux.
      6 Il vint jusqu'au bélier qui avait les deux cornes, et que j'avais vu se tenant devant le fleuve ; et il courut contre lui dans la fureur de sa force.
      7 Et je le vis atteindre le bélier ; et, s'irritant contre lui, il le heurta et brisa ses deux cornes ; et le bélier n'avait pas la force de lui résister ; il le jeta à terre et le foula aux pieds, et il n'y eut personne qui délivrât le bélier de sa puissance.
      8 Et le bouc grandit extrêmement ; mais quand il fut puissant, sa grande corne se brisa, et à sa place, il en surgit quatre considérables, vers les quatre vents des cieux.
      9 Et de l'une d'elles surgit une petite corne qui s'agrandit beaucoup vers le midi, et vers l'orient, et vers le pays de gloire.
      10 Et elle grandit jusqu'à l'armée des cieux, et elle fit tomber à terre une partie de l'armée des étoiles, et les foula aux pieds.
      11 Elle s'éleva même jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice continuel et abattit la demeure de son sanctuaire.
      12 Et l'armée fut livrée avec le sacrifice continuel, à cause du péché, et la corne jeta la vérité par terre, et elle agit et prospéra.
      13 Et j'entendis parler un saint, et un autre saint dit à celui qui parlait : Jusqu'à quand durera la vision du sacrifice continuel et du péché qui cause la désolation, qui livre le sanctuaire et l'armée pour être foulés aux pieds ?
      14 Et il me dit : Jusqu'à deux mille trois cents soirs et matins ; puis le sanctuaire sera purifié.
      15 Pendant que moi, Daniel, je regardais la vision et que je cherchais à la comprendre, voici, quelqu'un qui avait l'apparence d'un homme se tint devant moi.
      16 Et j'entendis la voix d'un homme au milieu du fleuve Ulaï ; il cria et dit : Gabriel, explique-lui la vision.
      17 Et il vint près du lieu où je me tenais, et, à sa venue, je fus épouvanté et je tombai sur ma face, et il me dit : Comprends, fils de l'homme, car la vision est pour le temps de la fin.
      18 Et comme il me parlait, je m'assoupis la face contre terre ; mais il me toucha et me fit tenir debout à la place où j'étais.
      19 Et il dit : Voici, je vais t'apprendre ce qui arrivera au dernier temps de la colère, car il y a un temps marqué pour la fin.
      20 Le bélier que tu as vu, qui avait deux cornes, ce sont les rois des Mèdes et des Perses ;
      21 Et le bouc velu, c'est le roi de Javan ; et la grande corne entre ses yeux, c'est le premier roi.
      22 Et cette corne s'étant brisée, les quatre cornes qui se sont élevées à sa place sont quatre rois qui s'élèveront de cette nation, mais ils n'auront pas sa force.
      23 Et à la fin de leur règne, quand les pécheurs auront comblé la mesure, il s'élèvera un roi au visage audacieux et entendu dans l'artifice.
      24 Sa puissance s'accroîtra, mais non pas par sa propre force. Il fera des ravages extraordinaires ; il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints.
      25 Et par son habileté, il fera réussir la fraude dans sa main. Il s'enorgueillira dans son coeur, et à l'improviste il fera périr beaucoup de gens ; il s'élèvera contre le Prince des princes ; mais il sera brisé sans le secours d'aucune main.
      26 La vision des soirs et des matins, qui a été dite, est véritable. Mais toi, scelle la vision, car elle se rapporte à un temps éloigné.
      27 Et moi, Daniel, je tombai en défaillance et fus malade pendant quelques jours ; puis je me levai et fis les affaires du roi. J'étais étonné de la vision, mais personne ne la comprit.

      1 Timothée 1

      1 Paul, apôtre de Jésus-Christ, par le commandement de Dieu, notre Sauveur, et du Seigneur Jésus-Christ, notre espérance,
      2 A Timothée, mon vrai fils en la foi. Grâce, miséricorde, paix de la part de Dieu notre Père, et de Jésus-Christ notre Seigneur.
      3 Comme je t'exhortai, lorsque je partis pour la Macédoine, à demeurer à Éphèse, pour recommander à certaines personnes de ne pas enseigner une doctrine étrangère,
      4 Et de ne pas s'attacher à des fables et à des généalogies sans fin, qui engendrent des disputes, plutôt que l'édification en Dieu, par la foi, je t'y exhorte encore.
      5 Le but du commandement, c'est la charité, qui procède d'un coeur pur, et d'une bonne conscience, et d'une foi sincère.
      6 Quelques-uns s'en étant détournés, se sont égarés dans de vains discours ;
      7 Prétendant être docteurs de la loi, quoiqu'ils n'entendent ni ce qu'ils disent, ni ce qu'ils donnent comme certain.
      8 Or, nous savons que la loi est bonne pour celui qui en fait un usage légitime,
      9 Et qui sait que la loi a été établie, non pas pour le juste, mais pour les méchants et les rebelles, pour les impies et les pécheurs, pour les gens sans religion et les profanes, pour les meurtriers de père et de mère, et les homicides,
      10 Pour les fornicateurs, les abominables, les voleurs d'hommes, les menteurs, les parjures, et tout ce qui est contraire à la saine doctrine,
      11 Conformément au glorieux Évangile du Dieu bienheureux, dont la dispensation m'a été confiée.
      12 Et je rends grâces à celui qui m'a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu'il m'a jugé fidèle, en m'établissant dans le ministère,
      13 Moi qui étais auparavant un blasphémateur, un persécuteur, un homme violent ; mais j'ai obtenu miséricorde, parce que j'agissais par ignorance, étant dans l'incrédulité.
      14 Et la grâce de notre Seigneur a surabondé en moi, avec la foi et la charité qui est en Jésus-Christ.
      15 Cette parole est certaine et digne de toute confiance ; c'est que Jésus-Christ est venu au monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier.
      16 Mais c'est pour cela que j'ai obtenu miséricorde, afin que Jésus-Christ fît voir, en moi le premier, une parfaite clémence, pour servir d'exemple à ceux qui croiront en lui, pour la vie éternelle.
      17 Au roi des siècles, immortel, invisible, à Dieu, seul sage, soient honneur et gloire aux siècles des siècles ! Amen.
      18 Mon fils Timothée, ce que je te recommande, c'est que, conformément aux prophéties qui ont été faites précédemment sur toi, tu combattes suivant elles le bon combat,
      19 En gardant la foi et une bonne conscience ; quelques-uns ayant perdu celle-ci, ont fait naufrage quant à la foi ;
      20 De ce nombre sont Hyménée et Alexandre, que j'ai livrés à Satan, afin qu'ils apprennent à ne point blasphémer.
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.