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La Bible en 1 an - Jour 311

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Versets relatifs

    • 2 Rois 20

      1 A cette époque le roi Ézékias fut atteint d’une maladie mortelle. Le prophète Ésaïe, fils d’Amots, vint le voir et lui dit : « Voici ce que le Seigneur déclare : C’est le moment pour toi de régler tes affaires, car tu ne survivras pas à ta maladie. »
      2 Alors Ézékias se tourna contre le mur et adressa au Seigneur cette prière :
      3 « Ah ! Seigneur, souviens-toi : je me suis conduit envers toi avec une entière loyauté, j’ai toujours agi de manière à te plaire ! » Puis il ne put retenir ses larmes.
      4 Cependant Ésaïe n’était pas encore arrivé dans la cour intérieure du palais, que le Seigneur lui ordonna
      5 de retourner auprès d’Ézékias, le chef du peuple de Dieu, pour lui dire : « Voici ce que déclare le Seigneur, le Dieu de ton ancêtre David : “J’ai entendu ta prière et j’ai vu tes larmes. Eh bien, je vais te guérir ; dès après-demain, tu pourras de nouveau te rendre au temple du Seigneur.
      6 Je vais même prolonger ta vie de quinze ans ! Je vous arracherai, toi et Jérusalem, aux griffes du roi d’Assyrie. Je protégerai cette ville, parce que je suis Dieu, et par fidélité à David mon serviteur.” »
      7 Ésaïe fit préparer une pâte de figues écrasées ; on la mit sur l’endroit malade, pour que le roi guérisse.
      8 Alors Ézékias demanda au prophète : « Quel signe m’assurera que le Seigneur me guérira, et qu’après-demain je pourrai de nouveau me rendre au temple du Seigneur ? »
      9 Ésaïe lui dit : « Le Seigneur va t’accorder un signe pour t’assurer qu’il réalisera ce qu’il a promis : l’ombre va se déplacer de dix marches sur l’escalier d’Ahaz : préfères-tu qu’elle avance ou qu’elle recule ? » –
      10 « Il serait plus facile que l’ombre avance de dix marches, répondit Ézékias ; je préfère qu’elle recule. »
      11 Alors le prophète Ésaïe pria le Seigneur, et celui-ci fit reculer l’ombre de dix marches sur l’escalier.
      12 A cette époque, le roi de Babylone, Mérodak-Baladan, fils de Baladan, apprit qu’Ézékias avait été malade. Il lui envoya des ambassadeurs, porteurs d’une lettre et d’un cadeau.
      13 Ézékias les accueillit, puis leur fit visiter tout le bâtiment où l’on gardait les objets de valeur, argent, or, parfums et huiles aromatiques. Il leur montra également son dépôt d’armes et tout ce qui se trouvait dans ses réserves. Il ne leur cacha absolument rien, ni dans son palais, ni dans l’ensemble de son royaume.
      14 Après cela, le prophète Ésaïe vint trouver le roi Ézékias et lui demanda : « Que t’ont dit ces gens ? Et d’abord, d’où venaient-ils ? » – « Ils venaient de très loin, de Babylone », répondit Ézékias.
      15 Ésaïe reprit : « Et qu’ont-ils vu dans ton palais ? » – « Tout ce qui s’y trouve, dit Ézékias ; je ne leur ai rien caché de mes trésors. »
      16 Alors Ésaïe dit à Ézékias : « Écoute ce qu’annonce le Seigneur :
      17 “Un jour, tout ce qui se trouve maintenant dans ton palais, tout ce que tes prédécesseurs y ont amassé, tout cela sera emporté à Babylone. Il n’en restera rien ici, déclare le Seigneur.
      18 On emmènera même certains de tes descendants pour en faire des eunuques au service du roi dans le palais de Babylone.” »
      19 Ézékias répondit à Ésaïe : « C’est une bonne chose que tu m’annonces de la part du Seigneur. » Il se disait en effet : « Tant que je serai en vie, nous aurons la paix et la sécurité. »
      20 Le reste de l’histoire d’Ézékias est contenu dans le livre intitulé Actes des rois de Juda ; on y raconte le courage qu’il a montré, et comment il a fait construire un réservoir et creuser un canal pour amener l’eau dans la ville de Jérusalem.
      21 Lorsqu’il mourut, ce fut son fils Manassé qui lui succéda.

      Osée 13

      1 Quand Éfraïm parlait, tout le monde avait peur. Il dominait en Israël. Mais il s’est rendu coupable d’adorer le dieu Baal, ce qui lui a été fatal.
      2 Et maintenant voilà ces gens qui s’obstinent dans leur faute : avec leur argent ils se moulent des statuettes, des idoles de leur invention. Ce n’est là qu’œuvres d’artisan, et c’est à leur sujet qu’ils disent : « On doit leur offrir des sacrifices ! » Des hommes adorent des veaux !
      3 C’est pourquoi, comme un nuage matinal, ces gens disparaîtront, rosée vite dissipée, brins de paille envolés loin de l’aire où l’on bat le blé, ou fumée qui s’échappe par l’ouverture du toit.
      4 « Israël, depuis ta sortie d’Égypte, je suis le Seigneur ton Dieu. Un autre Dieu que moi, tu n’en connais pas, et il n’existe pas d’autre sauveur que moi.
      5 C’est moi qui étais ton intime quand tu étais au désert, au pays de la sécheresse.
      6 A peine au pâturage, tu as pu calmer ta faim ; mais une fois rassasié, tu t’es gonflé d’orgueil. C’est pourquoi tu m’as oublié.
      7 Alors je suis devenu comme un lion pour vous tous, comme une panthère embusquée sur le chemin.
      8 Je vous attaque comme une ourse à qui l’on a pris son petit, je vous déchire la poitrine. Comme une lionne je vous dévore, et les bêtes sauvages mettront en pièces vos cadavres.
      9 « Israël, ce qui te perd, c’est que tu es contre moi, contre celui qui t’apporte du secours.
      10 Ton roi, qu’est-il devenu, où est celui qui devait te sauver ? Dans toutes tes villes, où sont ceux qui devaient te diriger ? C’est toi qui m’avais demandé : “Donne-moi un roi et des chefs.”
      11 Je t’ai donc donné des rois, mais par colère contre toi ; et je te les ai repris, tant j’étais indigné.
      12 « Les torts du peuple d’Éfraïm sont bien enregistrés ; les preuves de sa faute ont été mises en lieu sûr.
      13 Pour lui les douleurs surviennent comme lors d’une naissance. Mais c’est un enfant stupide : quand le moment est venu, il refuse de sortir du ventre maternel.
      14 Et moi, le Seigneur, je devrais arracher ces gens aux griffes de la mort, les délivrer du monde des morts ? Mort, où sont tes armes ? Mort, montre ton pouvoir mortel ! Mon œil se ferme à la pitié.
      15 Tandis qu’Éfraïm prospère parmi ses frères, le vent desséchant se lève, il arrive du désert. C’est le Seigneur qui l’envoie. Alors la source tarit, la fontaine est à sec. On emporte le trésor, tout ce qui est précieux.

      Hébreux 2

      1 C’est pourquoi nous devons nous attacher d’autant plus fermement à ce que nous avons entendu, afin de ne pas être entraînés à notre perte.
      2 Le message autrefois apporté par les anges a prouvé sa valeur, et quiconque n’en a pas tenu compte ou lui a désobéi a reçu la punition qu’il méritait.
      3 Alors, comment pourrons-nous échapper à la punition si nous négligeons un tel salut ? Le Seigneur lui-même l’a annoncé le premier, puis ceux qui ont entendu le Seigneur nous en ont confirmé la valeur.
      4 En même temps, Dieu a appuyé leur témoignage par des prodiges extraordinaires et toutes sortes de miracles, ainsi que par les dons du Saint-Esprit répartis selon sa volonté.
      5 En effet, ce n’est pas à des anges que Dieu a soumis le monde à venir dont nous parlons.
      6 Au contraire, dans un passage de l’Écriture quelqu’un déclare : « Qu’est-ce que l’homme, ô Dieu, pour que tu penses à lui ? Qu’est-ce que l’être humain, pour que tu t’occupes de lui ?
      7 Tu l’as rendu pour un peu de temps inférieur aux anges, tu l’as couronné de gloire et d’honneur,
      8 tu as tout mis à ses pieds. » Si Dieu a tout mis sous l’autorité de l’homme, cela signifie qu’il n’a rien laissé qui ne lui soit pas soumis. Cependant, nous ne voyons pas que toutes choses soient actuellement sous l’autorité de l’homme.
      9 Mais nous constatons ceci : Jésus a été rendu pour un peu de temps inférieur aux anges, afin que, par la grâce de Dieu, il meure en faveur de tous les humains ; et nous le voyons maintenant couronné de gloire et d’honneur à cause de la mort qu’il a soufferte.
      10 En effet, il convenait que Dieu, qui crée et maintient toutes choses, élève Jésus à la perfection au travers de la souffrance, afin d’amener beaucoup de fils à participer à sa gloire. Car Jésus est celui qui les conduit au salut.
      11 Or, Jésus qui purifie les êtres humains de leurs péchés et ceux qui sont purifiés ont tous le même Père. C’est pourquoi Jésus n’a pas honte de les appeler ses frères.
      12 Il déclare en effet : « O Dieu, je veux parler de toi à mes frères, je veux te glorifier devant toute l’assemblée. »
      13 Il dit aussi : « Je mettrai ma confiance en Dieu. » Et encore : « Me voici avec les enfants que Dieu m’a donnés. »
      14 Puisque ces enfants sont tous des êtres de chair et de sang, Jésus lui-même est devenu comme eux, il a participé à leur nature humaine. C’est ainsi que, par sa mort, il a pu écraser le diable, qui détient la puissance de la mort,
      15 et délivrer ceux que la peur de la mort rendait esclaves durant leur vie entière.
      16 En effet, ce n’est assurément pas aux anges qu’il vient en aide, mais c’est aux descendants d’Abraham.
      17 C’est pourquoi il devait devenir en tout semblable à ses frères, afin d’être leur grand-prêtre plein de bonté et fidèle au service de Dieu, pour assurer le pardon des péchés du peuple.
      18 Et maintenant, il peut secourir ceux qui sont tentés, parce qu’il a passé lui-même par la tentation et la souffrance.
    • 2 Rois 20

      1 En ces jours-là, Ézéchias fut malade à la mort ; et Ésaïe, le prophète, fils d'Amots, vint vers lui, et lui dit : Ainsi dit l'Éternel : Donne des ordres pour ta maison, car tu vas mourir et tu ne vivras pas.
      2 Et Ézéchias tourna sa face contre la muraille, et pria l'Éternel, disant :
      3 Hélas, Éternel ! souviens-toi, je te prie, que j'ai marché devant toi en vérité et avec un coeur parfait, et que j'ai fait ce qui est bon à tes yeux. Et Ézéchias versa beaucoup de larmes.
      4 Et il arriva qu'Ésaïe, étant sorti, et n'étant pas encore arrivé au milieu de la ville, la parole de l'Éternel vint à lui, disant :
      5 Retourne, et dis à Ézéchias, prince de mon peuple : Ainsi dit l'Éternel, Dieu de David, ton père : J'ai entendu ta prière, j'ai vu tes larmes ; voici, je te guérirai ; le troisième jour tu monteras à la maison de l'Éternel ;
      6 et j'ajouterai quinze années à tes jours ; et je te délivrerai, toi et cette ville, de la main du roi d'Assyrie, et je protègerai cette ville à cause de moi, et à cause de David, mon serviteur.
      7 Et Ésaïe dit : Prenez une masse de figues. Et ils la prirent, et la mirent sur l'ulcère ; et Ézéchias se rétablit.
      8 Et Ézéchias dit à Ésaïe : Quel est le signe que l'Éternel me guérira et que le troisième jour je monterai à la maison de l'Éternel ?
      9 Et Ésaïe dit : Ceci en sera le signe pour toi de par l'Éternel, car l'Éternel accomplira la parole qu'il a prononcée : l'ombre avancera-t-elle de dix degrés, ou retournera-t-elle de dix degrés ?
      10 Et Ézéchias dit : C'est peu de chose que l'ombre descende de dix degrés : non, mais que l'ombre retourne de dix degrés en arrière.
      11 Et Ésaïe, le prophète cria à l'Éternel ; et l'Éternel fit retourner l'ombre de dix degrés en arrière sur les degrés par lesquels elle était descendue sur le cadran d'Achaz.
      12 En ce temps-là, Berodac-Baladan, fils de Baladan, roi de Babylone, envoya une lettre et un présent à Ézéchias, car il avait appris qu'Ézéchias avait été malade.
      13 Et Ézéchias écouta les messagers, et leur montra toute la maison où étaient renfermés ses objets précieux, l'argent et l'or, et les aromates et l'huile fine, et tout son arsenal, et tout ce qui se trouvait dans ses trésors ; il n'y eut rien qu'Ézéchias ne leur montrât dans sa maison et dans tous ses domaines.
      14 Et Ésaïe, le prophète, vint vers le roi Ézéchias, et lui dit : Qu'ont dit ces hommes, et d'où sont-ils venus vers toi ? Et Ézéchias dit : Ils sont venus d'un pays éloigné, de Babylone.
      15 Et Ésaïe dit : Qu'ont-ils vu dans ta maison ? Et Ézéchias dit : Ils ont vu tout ce qui est dans ma maison ; il n'y a rien dans mes trésors que je ne leur aie montré.
      16 Et Ésaïe dit à Ézéchias : Écoute la parole de l'Éternel :
      17 Voici, des jours viennent où tout ce qui est dans ta maison, et ce que tes pères ont amassé jusqu'à ce jour, sera porté à Babylone ; il n'en restera rien, dit l'Éternel.
      18 Et on prendra de tes fils, qui sortiront de toi, que tu auras engendrés, et ils seront eunuques dans le palais du roi de Babylone.
      19 Et Ézéchias dit à Ésaïe : La parole de l'Éternel que tu as prononcée est bonne. Et il dit : N'y aura-t-il pas ainsi paix et stabilité pendant mes jours ?
      20 Et le reste des actes d'Ézéchias, et toute sa puissance, et comment il fit l'étang et l'aqueduc, et amena les eaux dans la ville, cela n'est-il pas écrit dans le livre des chroniques des rois de Juda ?
      21 Et Ézéchias s'endormit avec ses pères ; et Manassé, son fils, régna à sa place.

      Osée 13

      1 Quand Éphraïm parlait, c'était une terreur ; il s'éleva en Israël : mais il se rendit coupable par Baal, et mourut.
      2 Et maintenant ils continuent de pécher et se sont fait avec leur argent des images de fonte, des idoles selon leurs pensées, toutes un travail d'artisans, desquelles ils disent : Que les hommes qui sacrifient baisent les veaux !
      3 C'est pourquoi ils seront comme la nuée du matin et comme la rosée qui s'en va de bonne heure, comme la balle chassée par le tourbillon hors de l'aire, et comme la fumée qui sort par le treillis.
      4 Et moi, je suis l'Éternel, ton Dieu, dès le pays d'Égypte ; et tu n'as pas connu d'autre Dieu que moi, et il n'y a pas de sauveur hors moi.
      5 Moi, je t'ai connu dans le désert, dans une terre aride.
      6 Selon qu'étaient leurs pâturages, ils furent rassasiés ; ils furent rassasiés, et leur coeur s'éleva ; c'est pourquoi ils m'ont oublié.
      7 Et je leur serai comme un lion ; comme un léopard, je les guetterai sur le chemin.
      8 Je les attaquerai comme une ourse privée de ses petits ; je déchirerai l'enveloppe de leur coeur, et je les dévorerai là, comme une lionne ; les bêtes des champs les dépèceront.
      9 C'est ta destruction, Israël, que tu aies été contre moi, contre ton secours.
      10 Où donc est ton roi ? pour qu'il te sauve dans toutes tes villes. Où sont tes juges, dont tu as dit : Donne-moi un roi et des princes ?...
      11 Je t'ai donné un roi dans ma colère, et je l'ai ôté dans ma fureur.
      12 L'iniquité d'Éphraïm est liée ensemble ; son péché est tenu en réserve.
      13 Les douleurs de celle qui enfante viendront sur lui. C'est un fils qui n'est pas sensé, car au temps de la sortie des enfants, il ne se tint pas là.
      14 Je les délivrerai de la main du shéol, je les rachèterai de la mort. O mort, où sont tes pestes ? O shéol, où est ta destruction ? Le repentir est caché à mes yeux.
      15 Car il a porté du fruit parmi ses frères : un vent d'orient viendra, le vent de l'Éternel qui monte du désert, et il desséchera ses sources et fera tarir ses fontaines. Il pillera le trésor de tous les objets d'agrément.
      16 Samarie portera son iniquité, car elle s'est révoltée contre son Dieu ; ils tomberont par l'épée, leurs petits enfants seront écrasés, et on fendra le ventre à leurs femmes enceintes.

      Hébreux 2

      1 C'est pourquoi nous devons porter une plus grande attention aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne nous écartions.
      2 Car si la parole prononcée par les anges a été ferme, et si toute transgression et désobéissance a reçu une juste rétribution,
      3 comment échapperons-nous, si nous négligeons un si grand salut, qui, ayant commencé par être annoncé par le Seigneur, nous a été confirmé par ceux qui l'avaient entendu,
      4 Dieu rendant témoignage avec eux par des signes et des prodiges, et par divers miracles et distributions de l'Esprit Saint, selon sa propre volonté ?
      5 Car ce n'est point aux anges qu'il a assujetti le monde habité à venir dont nous parlons ;
      6 mais quelqu'un a rendu ce témoignage quelque part, disant : "Qu'est-ce que l'homme que tu te souviennes de lui, ou le fils de l'homme que tu le visites ?
      7 Tu l'as fait un peu moindre que les anges ; tu l'as couronné de gloire et d'honneur, et l'as établi sur les oeuvres de tes mains ;
      8 tu as assujetti toutes choses sous ses pieds" ; car en lui assujettissant toutes choses, il n'a rien laissé qui ne lui soit assujetti ; mais maintenant nous ne voyons pas encore que toutes choses lui soient assujetties ;
      9 mais nous voyons Jésus, qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort, couronné de gloire et d'honneur, en sorte que, par la grâce de Dieu, il goûtât la mort pour tout.
      10 Car il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, que, amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef de leur salut par des souffrances.
      11 Car, et celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous d'un ; c'est pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères,
      12 disant : "J'annoncerai ton nom à mes frères ; au milieu de l'assemblée je chanterai tes louanges".
      13 Et encore : "Moi, je me confierai en lui". Et encore : "Me voici, moi, et les enfants que Dieu m'a donnés".
      14 Puis donc que les enfants ont eu part au sang et à la chair, lui aussi semblablement y a participé, afin que, par la mort, il rendît impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable ;
      15 et qu'il délivrât tous ceux qui, par la crainte de la mort, étaient, pendant toute leur vie, assujettis à la servitude.
      16 Car, certes, il ne prend pas les anges, mais il prend la semence d'Abraham.
      17 C'est pourquoi il dut, en toutes choses, être rendu semblable à ses frères, afin qu'il fût un miséricordieux et fidèle souverain sacrificateur dans les choses qui concernent Dieu, pour faire propitiation pour les péchés du peuple.
      18 Car, en ce qu'il a souffert lui-même, étant tenté, il est à même de secourir ceux qui sont tentés.
    • 2 Rois 20

      1

      La maladie d'Ézéchias, son rétablissement, en réponse à la prière. (2 Rois 20:1-11)
      Ézéchias montre ses trésors aux ambassadeurs de Babylone, Sa mort. (2 Rois 20:12-21)

      Ézéchias était malade à la mort, l'année même où le roi d'Assyrie assiégeait Jérusalem. Ésaïe avertit solennellement le roi, pour que ce dernier s'apprête à faire face à l'issue fatale.

      La prière est l'un des meilleurs moyens pour s'apprêter à affronter la mort : en nous adressant au Seigneur, nous pouvons en effet puiser en Lui Sa force et Sa miséricorde, afin de nous permettre de passer sereinement ce cap difficile.

      Ézéchias pleura vraiment, affecté par la douleur : certains estimèrent alors que le roi priait pour sa guérison, en vue d'échapper à la mort ; la nature humaine redoute en effet la séparation de l'âme et du corps. Il y avait toutefois un fait particulier dans la situation d'Ézéchias : il était maintenant parvenu au milieu de son règne. Sa prière, relatée en Esa 38:1-22, mérite notre attention. Les larmes du roi sont un véritable enseignement : rien n'était pire pour lui que cette crainte de la mort, véritable hantise et supplice. La piété d'Ézéchias le soulagea du désagrément de sa maladie.

      « Éternel, souviens-Toi maintenant »... Le roi ne s'adressa pas à Dieu, pour qu'Il se souvienne de certains faits passés ici-bas, ou pour réclamer une quelconque récompense plus ou moins due.

      Seule la droiture de Christ est capable de nous placer au bénéfice de la Miséricorde et de la Grâce. Ézéchias ne pria pas pour que Dieu l'épargne ; il demanda simplement : « Éternel, souviens-toi de moi », ce qui, en fait, sous-entendait, « quelle que soit l'issue de ma maladie, ne m'abandonne pas » ! Dieu entend toujours les prières d'un cœur contrit : Il accorde alors la santé, la délivrance dans l'épreuve, une longue vie, tout ce qui peut contribuer au bonheur des Siens.

      Ézéchias reçut un cataplasme de figues, en traitement de son ulcère ; si l'on considère la gravité et la soudaineté de la maladie du roi, on ne peut s'empêcher de penser que l'efficacité de son traitement fut vraiment miraculeuse !

      Il est de notre devoir, pour contrecarrer la maladie qui peut parfois nous atteindre, d'employer les moyens simples, naturels, plutôt que d'autres, d'origine « douteuse » : si nous ne faisons pas confiance à Dieu, en fait nous Le tentons.

      Pour affermir la foi d'Ézéchias, l'ombre du soleil recula, et la lumière brilla plus longtemps que d'ordinaire, d'une façon miraculeuse. Ce prodige merveilleux révèle bien que la Puissance divine, se manifeste aussi bien dans le ciel que sur terre ; cela montre également que Dieu est attentif à la prière, et nous révèle le soin qu'Il prodigue à Ses enfants !

      12 Le roi de Babylone était à cette époque, et pour quelque temps, indépendant et hors de la soumission du royaume assyrien. Ézéchias montra aux envoyés de ce roi, ses trésors et son armure, ainsi que d'autres preuves de sa richesse et de sa puissance. Tout ceci n'était que l'effet ostentatoire de sa fierté, traduisant son éloignement de Dieu et son manque de confiance en Lui. Il semble également avoir manqué l'occasion de témoigner aux Chaldéens, de tous les miracles divins accomplis en sa faveur, et de préciser à ces ambassadeurs, l'absurdité et le mal qui résultent de l'idolâtrie.

      N'y a-t-il rien de plus commun, que de montrer à nos amis notre maison, avec tout ce que nous possédons ? Mais si nous le faisons avec fierté, pour éblouir nos visiteurs, sans donner d'éloge à Dieu, comme l'a fait le roi Ézéchias, cela devient un péché. Nous pouvons nous attendre à subir tôt ou tard une certaine honte, pour chacun des objets que nous aurons « choyés » à l'excès.

      Ésaïe, qui fut souvent le conseiller spirituel d'Ézéchias, adressa une mise en garde à ce dernier. Béni soit le Saint-Esprit, Jean 16:7,8 ! Les serviteurs de Dieu doivent être toujours disposés à aider ceux qui s'égarent spirituellement.

      Ézéchias discerna dans les propos d'Ésaïe et dans le sursis que l'Éternel lui accordait, la Justice et la bonté divines. Malgré tout, les perspectives futures de sa famille et de la nation d'Israël durent l'attrister douloureusement. Ézéchias fut en effet humilié, après avoir fièrement étalé ses richesses.

      Bénis sont les hommes qui meurent en Christ ! Ils pourront se reposer de tous leurs travaux, et leurs œuvres les suivront.

      Osée 13

      1

      Les mépris des faveurs divines conduisent au châtiment. (\\# Os 13:1-8\\)
      La promesse de la miséricorde divine. (\\# Os 13:9-16\\)

      Tant qu'Éphraïm a eu une sainte crainte divine, et a adoré son Dieu avec le respect qui Lui est dû, il était alors en pleine prospérité. Quand le peuple a ensuite abandonné cette voie pour suivre celle de l'idolâtrie, il sombra. Les hommes embrassaient les veaux qu'ils avaient fabriqués, à titre d'adoration, d'affection et d'obéissance à ces idoles ; mais le Seigneur ne partage pas Sa gloire et, de ce fait, tous ceux qui adorent les images seront confondus.

      On ne peut s'attendre à aucun réconfort sérieux, hormis celui qui vient de Dieu. Dieu a non seulement pris soin des Israélites dans le désert, Il leur a aussi donné le bon pays de Canaan ; la prospérité à l'échelon mondial rend l'homme orgueilleux et lui fait oublier son Dieu. Le Seigneur, en conséquence, fait tomber sur son peuple une juste vengeance, telle une bête féroce sévissant dans une forêt. Une abondante bénédiction nécessite de la part de celui qui la reçoit, une grande rigueur.

      9 Israël s'est autodétruit, par sa rébellion ; Il ne pouvait se sauver lui-même et l'aide qu'il pouvait recevoir ne pouvait provenir que du Seigneur. Cela s'applique aussi au cas de sa rédemption spirituelle, où tous sont tombés dans un état de perdition, après avoir commis délibérément le péché.

      Dieu manifeste souvent son déplaisir lorsque nous nous obstinons à pécher. Le fait que Dieu donne ou retire toutes choses, dans Son amour, est un sujet de joie pour tous les saints. Par contre, c'est une véritable souffrance pour le méchant, de voir ce même Dieu, dans Sa colère, accorder ou ôter ; le pécheur n'en tire vraiment aucun réconfort.

      À moins que les pécheurs ne se repentent et croient à l'évangile, l'angoisse risque de les saisir rapidement. La prophétie de la ruine d'Israël, en tant que nation, montre aussi qu'il y a toujours une miséricorde et une puissance divine disponibles, prêtes à sauver ceux qui le désirent. Cela est aussi une image de la rançon offerte pour le salut d'Israël, par la mort, la mise au tombeau et la résurrection de Christ. Celui-ci a, en effet, détruit la mort et la tombe. Le Seigneur ne se repent jamais de Ses intentions et de Ses promesses. Israël, à cette époque, aurait dû être attristé par ses péchés. À part les œuvres fructueuses qui naissent de l'action du Saint Esprit, toute autre action, aussi positive qu'elle puisse être, sera aussi vaine que les richesses incertaines du monde. La colère de Dieu va dessécher toutes branches, tous rameaux, pour les réduire à néant. Un malheur, plus terrible que n'importe quelle guerre cruelle, tombera sur ceux qui se sont rebellés contre Dieu. Que le Seigneur nous protège d'une telle misère et aussi du péché.

      Hébreux 2

      1

      Le devoir d'accepter fermement Christ et Son Évangile. (Hébreux 2:1-4)
      Ses souffrances ne sont pas une objection à Sa prééminence. (Hébreux 2:5-9)
      La raison de Ses souffrances, et leur finalité. (\\# 10-13\\)
      Que Christ prenne la nature de l'homme, et non pas celle des anges, était essentiel à Son office, en tant que Sacrificateur. (\\# 14-18\\)

      Le chapitre précédent ayant prouvé que Christ est supérieur aux anges, ce texte applique donc cette doctrine.

      Notre esprit et notre mémoire ressemblent à un « récipient » qui fuit, ne retenant pas correctement son contenu, sauf si l’on prend maintes précautions. Ce phénomène provient de la corruption de notre nature, des tentations, des attraits du monde et de ses plaisirs. Pécher contre l'Évangile, revient à négliger le grand salut qui nous est offert ; c'est mépriser la Grâce salvatrice de Dieu, en Christ, la Lumière ; ne pas ressentir le besoin d’être sauvé équivaut à ne pas honorer Jésus.

      Les jugements du Seigneur, sous la dispensation de l'Évangile sont principalement spirituels, et de ce fait, ils doivent être vraiment redoutés. On trouve dans ce texte une sollicitation de la conscience des pécheurs. Même nos négligences mineures n'échapperont pas aux reproches du ciel ; elles obscurcissent souvent l’âme par des ténèbres spirituelles, en risquant de conduire cette dernière à la ruine.

      La mise en place de l'Évangile a été poursuivie et confirmée par ceux qui ont connu Christ, par les évangélistes et les apôtres, qui ont été les témoins de ce que Jésus-Christ a commencé à la fois d'enseigner et d’accomplir ; ces hommes, par les dons du Saint-Esprit, furent qualifiés pour la tâche à laquelle ils étaient appelés. Tout ce plan fut établi selon la Volonté de Dieu. Ce Dernier désirait en effet qu’en recevant l'Évangile, nous ayons des bases solides pour notre foi, et un ferme fondement pour notre espérance.

      Que notre âme admette cette vérité nécessaire, et s'appuie sur les Saintes Écritures, transcrites par ceux qui ont entendu les paroles de notre merveilleux Seigneur, étant inspirés par Son Esprit ; nous serons alors bénis, nous aurons « la bonne part », celle qui ne peut nous être ôtée !

      5 Ni l'état présent de l'église, ni même sa position, lors de sa complète restauration ne seront laissés au gouvernement des anges, lorsque le « prince de ce monde » aura été jeté dans les ténèbres et que les puissances de la terre auront laissé place au Royaume de Christ : ce Dernier prendra possession de Son grand pouvoir, et Il règnera, Lui seul.

      Comment Dieu a-t-il pu éprouver autant de Miséricorde à l’égard des hommes, en leur donnant Christ ici-bas ? C'est par Sa Grâce, par l'humiliation de Christ, Celui qui a souffert de la mort à la croix, Celui-ci a reçu une autorité illimitée, sur tout ! L’Écriture a ainsi été accomplie, en Lui. Par ce fait, Dieu a accompli pour nous des œuvres merveilleuses, à la fois dans la création et par Sa Providence, malgré nos agissements les plus vils...

      10 Quoi que soit ce que l'orgueilleux, le charnel, et l'incrédule puissent imaginer ou objecter, l'esprit spirituel discerne une gloire particulière dans la croix de Christ ; cet esprit est satisfait de ce que ce Dernier a subi à la croix, Lui, qui, par Ses souffrances, a affiché Sa propre perfection, en amenant de nombreux « fils » à contempler spirituellement Sa gloire, pour être à la perfection, l'Auteur de leur salut.

      Le chemin de Christ, vers la couronne, passait par la croix, pour le salut de Son peuple. Christ sanctifie ; Il a payé le prix, et Il a envoyé l'Esprit qui sanctifie.

      Les véritables croyants sont sanctifiés, dotés de principes et de saints pouvoirs, ils sont mis à part pour de nobles et saints ministères. Christ et les croyants sont les fils du Père céleste : Dieu. Les enfants de Dieu sont amenés à partager une relation avec Christ. Les paroles de ce texte, qui déclarent « frères » les enfants de Dieu, expriment aussi la haute supériorité de Christ sur la nature humaine. Cette pensée est démontré dans trois textes de l'Écriture : Psaume 22:22; 18:2;Esaïe 8:18.

      14 Il existe des anges déchus, qui restent sans espérance, ni aide. Christ n'a jamais été désigné pour être le Sauveur de tels êtres, donc n'a pas revêtu leur nature ; cette dernière ne peut pas servir de sacrifice d'expiation pour le péché de l'homme.

      Un prix a été payé à la croix, suffisant et convenant pour tous : Christ a en effet revêtu notre propre nature. Ceci révèle l'amour merveilleux de Dieu, car lorsque Christ a su qu'Il devait souffrir ici-bas à la croix, Il s’est soumis délibérément à la volonté du Père car cette expiation traçait un chemin pour la délivrance de Son peuple, qui par la foi, allait être délivré de l'esclavage de Satan, et être pardonné de ses péchés.

      Que ceux qui redoutent la mort, et luttent pour surmonter leurs terreurs, ne tentent pas davantage de les vaincre ni de les étouffer ; que la détresse qu’ils peuvent éprouver ne les rende pas insouciants ni méchants. Qu'ils n'attendent pas de l'aide du monde, mais qu'ils cherchent le pardon, la Paix, la Grâce, et une espérance vivante du ciel, par la foi en Celui qui est mort et ressuscité, de façon à ne pas succomber aux craintes de la mort.

      Christ, en se souvenant de Ses propres souffrances et de Ses tentations, reste attentif aux épreuves de son peuple, qu'Il est prêt à aider. Il est à même de secourir ceux qui sont tentés, et qui Le cherchent. Il est devenu homme, et a été tenté, afin d’être apte à secourir Son peuple, étant Lui-même passé à travers les mêmes tentations, sans toutefois donner prise au péché.

      Que l'affligé et celui qui est tenté ne se découragent pas, ni ne laissent de prise à Satan ; les diverses tentations ne peuvent les empêcher de venir au Seigneur, par la prière. Nulle âme n'a jamais péri sous la tentation, surtout lorsqu'elle a crié au Seigneur avec foi, dans l'attente d'une délivrance.

      Lorsque nous sommes surpris par la tentation, il est sage de vouloir arrêter sa progression...

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