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La Bible en 1 an - Jour 329

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Versets relatifs

    • 1 Chroniques 21

      1 Un jour, Satan décida de nuire à Israël en poussant David à dénombrer les Israélites.
      2 David dit à Joab et aux autres chefs de l’armée : « Allez recenser les Israélites, du sud au nord du pays, puis venez me faire votre rapport, car je veux connaître le chiffre de la population. »
      3 Joab lui répondit : « Majesté, je souhaite que le Seigneur rende les Israélites cent fois plus nombreux ! Aujourd’hui ils sont déjà tous à ton service. Mais pourquoi donc désires-tu connaître leur nombre et entraîner Israël dans la désobéissance ? »
      4 Cependant l’ordre du roi était catégorique, de sorte que Joab dut l’exécuter. Il partit, parcourut tout Israël, puis regagna Jérusalem.
      5 Il communiqua à David le résultat du recensement : Israël comptait 1 100 000 hommes en état de se battre, et Juda 470 000.
      6 Joab n’avait pas recensé les tribus de Lévi et de Benjamin avec les autres, car l’ordre du roi l’avait profondément choqué.
      7 Cette entreprise déplut à Dieu, qui punit Israël.
      8 David dit à Dieu : « En agissant ainsi, j’ai commis une faute grave. Je reconnais que je me suis conduit comme un insensé ! Pardonne-moi ce péché. »
      9 Le Seigneur adressa la parole au prophète Gad, conseiller de David :
      10 « Va trouver David ! Tu lui diras : “Voici ce que déclare le Seigneur : Je te propose trois châtiments ; je t’infligerai celui que tu choisiras.” »
      11 Gad se rendit chez David et lui dit : « Voici ce que déclare le Seigneur : “Que choisis-tu ?
      12 Trois années de famine ? ou trois mois de défaite, pendant lesquels tu seras harcelé par l’épée de tes ennemis ? ou trois jours pendant lesquels le Seigneur frappera le pays de son épée en envoyant son ange exterminateur répandre la peste dans tout le territoire d’Israël ?” Réfléchis et dis-moi ce que je dois répondre à celui qui m’envoie. »
      13 David répondit : « Je suis dans une grande angoisse... Mais je préfère tomber entre les mains du Seigneur plutôt qu’entre celles des hommes, car le Seigneur sait avoir pitié. »
      14 Le Seigneur envoya donc une épidémie de peste sur Israël ; soixante-dix mille Israélites en moururent.
      15 Le Seigneur conduisit l’ange à Jérusalem, pour y répandre le fléau. Mais lorsqu’il vit l’ange exterminateur accomplir sa tâche, le Seigneur renonça à sévir davantage et lui dit : « Cela suffit ; abaisse ta main ! » A ce moment-là, l’ange du Seigneur se tenait près de l’endroit où le Jébusite Ornan battait son blé.
      16 David leva les yeux et vit l’ange qui se tenait entre ciel et terre, brandissant son épée dégainée en direction de Jérusalem. David et les anciens, qui étaient vêtus d’habits de deuil, se jetèrent le visage contre terre.
      17 David dit à Dieu : « N’est-ce pas moi qui ai ordonné de dénombrer la population ? C’est donc moi qui suis coupable, c’est moi qui ai commis une faute ! Eux, les gens de mon peuple, n’ont rien fait de mal. Seigneur mon Dieu, c’est moi et ma famille qu’il faut punir, sans infliger ce fléau à ton peuple. »
      18 L’ange du Seigneur dit à Gad : « Ordonne à David de monter sur l’aire où Ornan bat son blé, et d’y construire un autel pour le Seigneur. »
      19 David s’y rendit comme Gad le lui avait ordonné de la part du Seigneur.
      20 Ornan était en train de battre son blé. Il se retourna et aperçut l’ange ; ses quatre fils, qui étaient avec lui, allèrent se cacher.
      21 David monta vers Ornan. Dès que celui-ci vit le roi, il quitta l’aire et vint se jeter le visage contre terre devant lui.
      22 David lui dit : « Cède-moi l’emplacement de ton aire. Je veux y construire un autel pour le Seigneur, afin que le fléau qui s’est abattu sur le peuple prenne fin. Cède-le-moi donc, je te le payerai à sa pleine valeur. »
      23 Ornan répondit : « Que le roi prenne ce dont il a besoin et qu’il fasse ce qu’il désire. Voici mes bœufs, je les donne pour le sacrifice, et voici les chariots comme combustible et le blé pour l’offrande végétale. Je donne tout. »
      24 Mais le roi lui dit : « Tu ne me donneras rien ! Je veux acheter cela, te le payer à sa pleine valeur. Je ne vais quand même pas offrir au Seigneur ce qui t’appartient, lui faire des sacrifices qui ne me coûtent rien ! »
      25 David remit à Ornan six cents pièces d’or, pour l’achat de cet emplacement.
      26 Il construisit à cet endroit un autel pour le Seigneur et y plaça des sacrifices complets et des sacrifices de communion. Il pria ensuite le Seigneur, qui lui répondit en envoyant du ciel le feu destiné à brûler les sacrifices sur l’autel.
      27 Alors le Seigneur ordonna à l’ange de remettre l’épée dans son fourreau.
      28 David constata que le Seigneur avait répondu à sa prière, sur l’aire d’Ornan, le Jébusite ; dès lors, il y offrit régulièrement des sacrifices.
      29 A cette époque, le sanctuaire que Moïse avait fabriqué dans le désert se trouvait, avec l’autel des sacrifices, sur le lieu sacré de Gabaon.
      30 Mais David ne pouvait pas s’y rendre pour consulter Dieu, tant il avait été effrayé par l’épée de l’ange du Seigneur.

      Jonas 4

      1 Jonas prit fort mal la chose et se mit en colère.
      2 Il adressa cette prière au Seigneur : « Ah, Seigneur, voilà bien ce que je craignais lorsque j’étais encore dans mon pays et c’est pourquoi je me suis dépêché de fuir vers Tarsis. Je savais que tu es un Dieu bienveillant et compatissant, patient et d’une immense bonté, toujours prêt à revenir sur tes menaces.
      3 Eh bien, Seigneur, laisse-moi mourir, car je préfère la mort à la vie. » –
      4 « As-tu raison d’être en colère ? » lui demanda le Seigneur.
      5 Jonas sortit de la ville et s’arrêta à l’est de Ninive. Là, il se fit une cabane à l’abri de laquelle il s’assit. Il attendait de voir ce qui allait se passer dans la ville.
      6 Le Seigneur Dieu fit pousser une plante, plus haute que Jonas, pour lui donner de l’ombre et le guérir de sa mauvaise humeur. Jonas en éprouva une grande joie.
      7 Mais le lendemain, au lever du jour, Dieu envoya un ver s’attaquer à la plante et elle sécha.
      8 Puis, quand le soleil parut, Dieu fit souffler de l’est un vent brûlant. Le soleil tapa sur la tête de Jonas qui faillit s’évanouir. Il souhaita la mort en disant : « Je préfère la mort à la vie. »
      9 Dieu lui demanda : « As-tu raison d’être en colère au sujet de cette plante ? » Jonas répondit : « Oui, j’ai de bonnes raisons d’être en colère au point de désirer la mort. »
      10 Alors le Seigneur reprit : « Écoute, cette plante ne t’a donné aucun travail, ce n’est pas toi qui l’as fait pousser. Elle a grandi en une nuit et a disparu la nuit suivante. Pourtant tu en as pitié.
      11 Et tu voudrais que moi, je n’aie pas pitié de Ninive, la grande ville, où il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ignorent ce qui est bon pour eux, ainsi qu’un grand nombre d’animaux ? »

      1 Pierre 2

      1 Rejetez donc toute forme de méchanceté, tout mensonge, ainsi que l’hypocrisie, la jalousie et les médisances.
      2 Comme des enfants nouveau-nés, désirez le lait spirituel et pur, afin qu’en le buvant vous grandissiez et parveniez au salut.
      3 En effet, « vous avez constaté combien le Seigneur est bon. »
      4 Approchez-vous du Seigneur, la pierre vivante rejetée par les hommes, mais choisie et jugée précieuse par Dieu.
      5 Prenez place vous aussi, comme des pierres vivantes, dans la construction du temple spirituel. Vous y formerez un groupe de prêtres consacrés à Dieu, vous lui offrirez des sacrifices spirituels, qui lui seront agréables par Jésus-Christ.
      6 Car voici ce qui est dit dans l’Écriture : « J’ai choisi une précieuse pierre que je vais placer comme pierre d’angle en Sion ; et celui qui lui fait confiance ne sera jamais déçu. »
      7 Cette pierre est d’une grande valeur pour vous les croyants ; mais pour les incroyants « La pierre que les bâtisseurs avaient rejetée est devenue la pierre principale. »
      8 Et ailleurs, il est dit encore : « C’est une pierre qui fait trébucher, un rocher qui fait tomber. » Ces gens ont trébuché parce qu’ils ont refusé d’obéir à la parole de Dieu, et c’est à cela qu’ils étaient destinés.
      9 Mais vous, vous êtes la race choisie, les prêtres du Roi, la nation sainte, le peuple qui appartient à Dieu. Il vous a appelés à passer de l’obscurité à sa merveilleuse lumière, afin que vous proclamiez ses œuvres magnifiques.
      10 Autrefois, vous n’étiez pas le peuple de Dieu, mais maintenant vous êtes son peuple ; autrefois, vous étiez privés de la compassion de Dieu, mais maintenant elle vous a été accordée.
      11 Je vous le demande, mes chers amis, vous qui êtes étrangers et exilés sur la terre : gardez-vous des passions humaines qui font la guerre à votre être.
      12 Ayez une bonne conduite parmi les païens ; ainsi, même s’ils médisent de vous en vous traitant de malfaiteurs, ils seront obligés de reconnaître vos bonnes actions et de louer Dieu le jour où il viendra.
      13 Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité humaine : à l’empereur, qui a le pouvoir suprême,
      14 et aux gouverneurs, envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et féliciter ceux qui font le bien.
      15 En effet, ce que Dieu veut, c’est que vous pratiquiez le bien pour réduire au silence les hommes ignorants et déraisonnables.
      16 Conduisez-vous comme des gens libres ; cependant, n’utilisez pas votre liberté comme un voile pour couvrir le mal, mais agissez en serviteurs de Dieu.
      17 Respectez tous les êtres humains, aimez vos frères en la foi, adorez Dieu, respectez l’empereur.
      18 Serviteurs, soyez soumis à vos maîtres avec un entier respect, non seulement à ceux qui sont bons et bien disposés, mais aussi à ceux qui sont pénibles.
      19 En effet, c’est un bien de supporter, par obéissance à Dieu, les peines que l’on souffre injustement.
      20 Car quel mérite y a-t-il à supporter les coups si vous les recevez pour avoir commis une faute ? Mais si vous avez à souffrir après avoir bien agi et que vous le supportez, c’est un bien aux yeux de Dieu.
      21 C’est à cela qu’il vous a appelés, car le Christ lui-même a souffert pour vous ; il vous a laissé un exemple afin que vous suiviez ses traces.
      22 Il n’a pas commis de péché ; aucun mensonge n’est jamais sorti de sa bouche.
      23 Quand on l’a insulté, il n’a pas répondu par l’insulte ; quand on l’a fait souffrir, il n’a pas formulé de menaces, mais il s’en est remis à Dieu qui juge avec justice.
      24 Dans son propre corps, il a porté nos péchés sur la croix, afin que nous mourions au péché et que nous vivions d’une vie juste. C’est par ses blessures que vous avez été guéris.
      25 Car vous étiez comme des moutons égarés, mais maintenant vous avez été ramenés à celui qui est votre berger et qui veille sur vous.
    • 1 Chroniques 21

      1 Et Satan se leva contre Israël, et incita David à dénombrer Israël.
      2 Et David dit à Joab et aux chefs du peuple : Allez, faites le dénombrement d'Israël depuis Beër-Shéba jusqu'à Dan ; et rapportez-le-moi, afin que j'en sache le nombre.
      3 Et Joab dit : Que l'Éternel ajoute à son peuple cent fois autant qu'il y en a ! O roi, mon seigneur, ne sont-ils pas tous serviteurs de mon seigneur ? Pourquoi mon seigneur cherche-t-il cela ? Pourquoi la coulpe en viendrait-elle sur Israël ?
      4 Mais la parole du roi prévalut sur Joab ; et Joab sortit, et alla par tout Israël, et revint à Jérusalem.
      5 Et Joab donna à David le chiffre du recensement du peuple ; et il y avait, de tout Israël, onze cent mille hommes tirant l'épée, et, de Juda, quatre cent soixante-dix mille hommes tirant l'épée ;
      6 mais Lévi et Benjamin, il ne les dénombra pas au milieu d'eux ; car la parole du roi était une abomination pour Joab.
      7 Et cette chose fut mauvaise aux yeux de Dieu ; et il frappa Israël.
      8 Et David dit à Dieu : J'ai grandement péché en ce que j'ai fait cette chose ; et maintenant, fais passer, je te prie, l'iniquité de ton serviteur, car j'ai agi très-follement.
      9 Et l'Éternel parla à Gad, le voyant de David, disant :
      10 Va, et parle à David, en disant : Ainsi dit l'Éternel : Je te propose trois choses ; choisis-en une, et je te la ferai.
      11 Et Gad vint vers David, et lui dit : Ainsi dit l'Éternel : Prends pour toi,
      12 ou trois ans de famine, ou d'être pourchassé trois mois devant tes adversaires et d'être atteint par l'épée de tes ennemis, ou pendant trois jours l'épée de l'Éternel et la peste dans le pays, et l'ange de l'Éternel détruisant dans tous les confins d'Israël. Et maintenant, vois quelle parole je rapporterai à celui qui m'a envoyé.
      13 Et David dit à Gad : Je suis dans une grande détresse. Que je tombe, je te prie, dans les mains de l'Éternel, car ses compassions sont très-grandes ; et que je ne tombe point dans la main des hommes.
      14 Et l'Éternel envoya la peste en Israël ; et il tomba d'Israël soixante-dix mille hommes.
      15 Et Dieu envoya un ange à Jérusalem pour la détruire ; et comme il détruisait, l'Éternel le vit et se repentit de ce mal, et dit à l'ange qui détruisait : Assez ! Retire maintenant ta main. Or l'ange de l'Éternel se tenait près de l'aire d'Ornan, le Jébusien.
      16 Et David leva ses yeux, et vit l'ange de l'Éternel se tenant entre la terre et les cieux, ayant en sa main son épée nue étendue sur Jérusalem. Et David et les anciens, couverts de sacs, tombèrent sur leurs faces.
      17 Et David dit à Dieu : N'est-ce pas moi qui ai commandé de dénombrer le peuple ? C'est moi qui ai péché et qui ai mal agi ; mais ces brebis qu'ont-elles fait ? Éternel, mon Dieu, je te prie, que ta main soit sur moi et sur la maison de mon père, mais qu'elle ne soit pas sur ton peuple pour le frapper.
      18 Et l'ange de l'Éternel commanda à Gad de dire à David, que David montât pour dresser un autel à l'Éternel dans l'aire d'Ornan, le Jébusien.
      19 Et David monta, selon la parole de Gad, qu'il avait dite au nom de l'Éternel.
      20 Ornan se retourna et vit l'ange ; et ses quatre fils se cachèrent avec lui : et Ornan foulait du froment.
      21 Et David dit à Ornan ; et Ornan regarda, et vit David, et sortit de l'aire, et se prosterna devant David, le visage contre terre.
      22 Et David dit à Ornan : Donne-moi la place de l'aire, et j'y bâtirai un autel à l'Éternel ; donne-la-moi pour son plein prix en argent, afin que la plaie soit arrêtée de dessus le peuple.
      23 Et Ornan dit à David : Prends-la pour toi, et que le roi, mon seigneur, fasse ce qui est bon à ses yeux. Vois, je donne les boeufs pour l'holocauste, et les traîneaux à fouler pour le bois, et le froment pour le gâteau : je donne tout.
      24 Et le roi David dit à Ornan : Non, car certainement je l'achèterai pour son plein prix en argent ; car je ne prendrai pas pour l'Éternel ce qui est à toi, pour offrir un holocauste qui ne coûte rien.
      25 Et David donna à Ornan pour la place, en sicles d'or, le poids de six cents sicles.
      26 Et David bâtit là un autel à l'Éternel, et offrit des holocaustes et des sacrifices de prospérités, et invoqua l'Éternel ; et il lui répondit par le feu des cieux sur l'autel de l'holocauste.
      27 Et l'Éternel parla à l'ange, et il remit son épée dans son fourreau.
      28 En ce temps-là, David, voyant que l'Éternel lui avait répondu dans l'aire d'Ornan, le Jébusien, y sacrifia.
      29 Et le tabernacle de l'Éternel, que Moïse avait fait dans le désert, et l'autel de l'holocauste, étaient en ce temps-là sur le haut lieu de Gabaon ;
      30 et David ne put point aller devant cet autel pour rechercher Dieu, car il était épouvanté à cause de l'épée de l'ange de l'Éternel.

      Jonas 4

      1 Jonas trouva cela très mauvais, et il fut irrité.
      2 Et il pria l'Éternel, et dit : Éternel, je te prie, n'était-ce pas là ma parole, quand j'étais encore dans mon pays ? C'est pourquoi j'ai d'abord voulu m'enfuir à Tarsis, car je savais que tu es un Dieu qui fais grâce et qui es miséricordieux, lent à la colère et grand en bonté et qui te repens du mal dont tu as menacé ;
      3 et maintenant, Éternel, je t'en prie, prends-moi ma vie, car mieux me vaut la mort que la vie.
      4 Et l'Éternel dit : Fais-tu bien de t'irriter ?
      5 Et Jonas sortit de la ville, et s'assit à l'orient de la ville ; et il se fit là une cabane, et s'assit dessous à l'ombre, jusqu'à ce qu'il vît ce qui arriverait à la ville.
      6 Et l'Éternel Dieu prépara un kikajon et le fit monter au-dessus de Jonas, pour faire ombre sur sa tête, pour le délivrer de sa misère, et Jonas se réjouit d'une grande joie à cause du kikajon.
      7 Et Dieu prépara un ver le lendemain, au lever de l'aurore, et il rongea le kikajon, et il sécha.
      8 Et il arriva que, quand le soleil se leva, Dieu prépara un doux vent d'orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, et il défaillait, et il demanda la mort pour son âme, et dit : Mieux me vaut la mort que la vie.
      9 Et Dieu dit à Jonas : Fais-tu bien de t'irriter à cause du kikajon ? Et il dit : Je fais bien de m'irriter jusqu'à la mort.
      10 Et l'Éternel dit : Tu as pitié du kikajon pour lequel tu n'as pas travaillé, et que tu n'as pas fait croître ; qui, né en une nuit, a péri en une nuit ;
      11 et moi, je n'aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ne savent pas distinguer entre leur droite et leur gauche, et aussi beaucoup de bétail !

      1 Pierre 2

      1 Rejetant donc toute malice et toute fraude, et l'hypocrisie et l'envie, et toutes médisances,
      2 désirez ardemment, comme des enfants nouveau-nés, le pur lait intellectuel, afin que vous croissiez par lui à salut,
      3 si toutefois vous avez goûté que le Seigneur est bon ;
      4 duquel vous approchant comme d'une pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse auprès de Dieu,
      5 vous-mêmes aussi, comme des pierres vivantes, êtes édifiés une maison spirituelle, un sainte sacrificature, pour offrir des sacrifices spirituels, agréables à Dieu par Jésus Christ.
      6 Parce qu'on trouve dans l'écriture :" Voici, je pose en Sion une maîtresse pierre de coin, élue, précieuse ; et celui qui croit en elle ne sera point confus ".
      7 C'est donc pour vous qui croyez, qu'elle a ce prix ; mais pour les désobéissants," la pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, celle-là est devenue la maîtresse pierre du coin ",
      8 " et une pierre d'achoppement et un rocher de chute ", lesquels heurtent contre la parole, étant désobéissants, à quoi aussi ils ont été destinés.
      9 Mais vous, vous êtes une race élue, une sacrificature royale, une nation sainte, un peuple acquis, pour que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière ;
      10 vous qui autrefois n'étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de Dieu ; vous qui n'aviez pas obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde.
      11 Bien-aimés, je vous exhorte, comme forains et étrangers, à vous abstenir des convoitises charnelles, lesquelles font la guerre à l'âme,
      12 ayant une conduite honnête parmi les nations, afin que, quant aux choses dans lesquelles ils médisent de vous comme de gens qui font le mal, ils glorifient Dieu au jour de la visitation, à cause de vos bonnes oeuvres qu'ils observent.
      13 Soyez donc soumis à tout ordre humain pour l'amour du Seigneur, soit au roi comme étant au-dessus de tous,
      14 soit aux gouverneurs comme à ceux qui sont envoyés de sa part pour punir ceux qui font le mal et pour louer ceux qui font le bien ;
      15 car c'est ici la volonté de Dieu, qu'en faisant le bien vous fermiez la bouche à l'ignorance des hommes dépourvus de sens, comme libres,
      16 et non comme ayant la liberté pour voile de la méchanceté, mais comme esclaves de Dieu.
      17 Honorez tous les hommes ; aimez tous les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi.
      18 Vous, domestiques, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et doux, mais aussi à ceux qui sont fâcheux ;
      19 car c'est une chose digne de louange, si quelqu'un, par conscience envers Dieu, supporte des afflictions, souffrant injustement.
      20 Car quelle gloire y a-t-il, si, souffletés pour avoir mal fait, vous l'endurez ? mais si, en faisant le bien, vous souffrez, et que vous l'enduriez, cela est digne de louange devant Dieu,
      21 car c'est à cela que vous avez été appelés ; car aussi Christ a souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces,
      22 " lui qui n'a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n'a pas été trouvé de fraude " ;
      23 qui, lorsqu'on l'outrageait, ne rendait pas d'outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement ;
      24 qui lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu'étant morts aux péchés, nous vivions à la justice ;" par la meurtrissure duquel vous avez été guéris " ;
      25 car vous étiez errants comme des brebis, mais maintenant vous êtes retournés au berger et au surveillant de vos âmes.
    • 1 Chroniques 21

      1

      David dénombre le peuple.

      - Dans ce livre, aucune mention n'est faite, du péché de David relatif à Urie, ni des problèmes consécutifs que le roi rencontra : l'Auteur des Chroniques a jugé qu'il n'était pas nécessaire de le rappeler. Mais la faute de David, consistant à dénombrer le peuple, est bien, quant à elle, mentionnée : dans l'évocation de l'expiation faite pour ce péché, il y avait une notification du lieu, sur lequel le temple devrait être construit. L'ordre donné à David, de construire un autel, fut une véritable bénédiction, témoignant de sa réconciliation avec l'Éternel. Dieu approuva les offrandes de David sur cet autel.

      Christ a été fait « péché » et « malédiction » pour nous ; il plut à Dieu de Le meurtrir, afin qu'au travers de Son Fils, Jésus, Il puisse être non pas un Dieu dévorant mais, mais un Dieu de réconciliation. Il est bon de méditer les ordonnances divines, en particulier celles en lesquelles nous avons expérimenté la présence du Père, ayant constaté qu'Il est avec nous, « la Vérité ».

      Dieu, dans Sa Grâce, m'a cherché ; je dois donc en retour, m'efforcer de Le rencontrer !

      Jonas 4

      1

      Jonas se plaint de la compassion divine, à l'égard de Ninive ; il se fait reprendre. (\\# Jon 4:1-4\\)
      Le ricin desséché lui enseigne qu'il avait tort. (\\# Jon 4:5-11\\)

      Jonas médite sur tout ce qui représente un sujet de foi et de louange pour les saints : le fait de montrer de la compassion envers les Ninivites était-il une « faiblesse » de la nature divine ? C’était en fait une manifestation de la bonté de cette dernière.

      C'est par la Grâce miséricordieuse, Celle qui pardonne, que nous pouvons « échapper » à l'enfer. Jonas désire alors mourir : c'était une folle pensée, celle de la passion charnelle, et d'une forte corruption spirituelle. On peut discerner dans les réactions de Jonas, les conséquences d'un esprit orgueilleux, dépourvu de charité, par le fait qu'il ne désirait pas le bien des habitants de Ninive, étant venu uniquement pour leur déclarer et annoncer leur destruction imminente. En fait le prophète ne s'était pas vraiment repenti de ses propres péchés. Dans cet état d'esprit, il oublia le bien qu’il devait annoncer, ainsi que la Gloire de la Grâce divine.

      Nous devrions souvent nous demander : « est-il correct de parler ainsi, ou d'agir de la sorte ? Puis-je justifier ma conduite ? Est-ce que je pratique le bien, en étant en colère, face à la compassion divine envers les pécheurs repentis » ? Tel était en quelque sorte, le péché de Jonas.

      Pratiquons-nous le bien, en étant en colère contre ce qui révèle la Gloire de Dieu et l'avancement de Son Royaume ? Que la conversion des pécheurs, qui procure de la joie dans les cieux, puisse faire de même en notre cœur, et qu’elle ne soit jamais une occasion de tristesse !

      5 Jonas sortit de la ville de Ninive, tout en restant néanmoins à proximité, comme s’il aspirait à voir sa destruction.

      Ceux qui ont un esprit agité et troublé, tombent souvent dans des situations problématiques, trouvant toujours quelque sujet de se plaindre.

      Remarquez à quel point Dieu est compatissant avec Son peuple lorsqu’il est affligé, même si ce dernier reste obtus et pervers.

      Un fait, aussi simple soit-il, se produisant néanmoins régulièrement, peut être une bénédiction de valeur : un simple « ricin spirituel », naissant fortuitement, peut parfois nous être plus utile qu'un « cèdre colossal » !

      Les créatures les plus modestes peuvent être virulentes, comme bénéfiques, selon le bon plaisir de l’Éternel. Certaines personnes, douées d’une grande force spirituelle, peuvent, lorsqu’elles sont confrontées à des broutilles, être anéanties, ou au contraire encore plus affermies.

      Remarquez les biens matériels dont nous pouvons jouir, et que nous souhaitons sans cesse améliorer : ils ne sont en fait que des choses périssables. Dans ce texte, un petit ver dans une racine détruisit entièrement un ricin : nos « ricins spirituels », nos bénédictions, flétrissent parfois, sans que nous en connaissions la cause. Notre confort matériel nous est peut-être toujours accordé, mais il est devenu amer : le coté pratique est toujours présent, mais le plaisir qui pourrait en découler a disparu...

      Dieu envoya un vent chaud, pour que Jonas ressente l’envie de se protéger, à l’ombre du ricin.

      Il est classique de voir ceux qui aiment se plaindre continuellement, trouver toujours un motif pour ce faire. Quand les épreuves nous font perdre nos diverses relations, ce que nous possédons ou nos différents plaisirs, nous ne devons pas éprouver de colère à l’encontre de Dieu.

      Quand notre « ricin personnel » (notre plaisir ici-bas) n'est plus, Dieu est toujours présent à nos côtés : ce fait devrait étouffer notre mécontentement. Le péché et la mort sont atroces, néanmoins Jonas, dans son ardeur, les traita à la légère. Une âme a bien plus de valeur que le monde entier : assurément la nôtre vaut beaucoup plus que beaucoup de ricins !

      Nous devrions manifester beaucoup plus d'intérêt pour les âmes, (la nôtre comme celle des autres), que pour les richesses et les plaisirs de ce monde. Il est vraiment encourageant de pouvoir espérer trouver de la compassion auprès du Seigneur, toujours prêt à nous en faire bénéficier !

      Ceux qui contestent toutes choses, devront comprendre tôt ou tard, que malgré leur volonté de vouloir garder pour eux seuls, et pour ceux qui marchent dans l’obéissance à la Parole, le bénéfice de la Grâce divine, il existe un Seigneur qui est au dessus de tout, et qui est riche en Miséricorde, pour tous ceux qui L'invoquent !

      Sommes-nous étonnés devant la Patience du Seigneur envers Ses serviteurs les plus pervers ? Examinons notre propre cœur et les voies que nous empruntons. N'oublions pas notre ingratitude et notre obstination : étonnons-nous de la Patience divine à notre égard !

      1 Pierre 2

      1

      Recommandation au chrétien, né de nouveau : avoir une conduite conforme à sa vocation. (1 Pierre 2:1-10)
      Nécessité d’une bonne conduite parmi les Païens. (1 Pierre 2:11,12)
      Exhortations à l’obéissance envers les autorités civiles. (1 Pierre 2:13-17)
      Les serviteurs doivent obéir à leurs maîtres ; tous doivent être patients, selon l'exemple du Sauveur, Celui qui a souffert pour tous. (1 Pierre 2:18-25)

      La médisance révèle la méchanceté et l’hypocrisie qui règnent dans le cœur ; elle nous empêche de tirer un réel profit de la Parole de Dieu.

      Un enfant de Dieu a besoin d'une nourriture spirituelle qui lui soit adaptée. Les enfants désirent du lait, et font tous les efforts possibles pour en obtenir ; il doit en être de même pour les désirs d'un chrétien : être nourri par la Parole de Dieu.

      Notre Seigneur Jésus-Christ est très miséricordieux envers nous, pécheurs misérables ; Il offre toute plénitude en Sa Grâce. Même le meilleur des serviteurs de Dieu, ici-bas, n'a qu'un avant-goût des consolations de Dieu. Dans ce texte, Christ est appelé « la Pierre maîtresse », pour enseigner à Ses serviteurs qu'Il est leur protection et leur sécurité, le fondement sur lequel ils reposent.

      Christ est précieux, par l'excellence de Sa nature, la dignité de Sa fonction, et la gloire de Ses œuvres. Tous les véritables croyants sont de « saints sacerdoces », consacrés à Dieu, devant secourir leur prochain, et dotés de dons provenant du ciel et de la Grâce.

      Les sacrifices les plus spirituels, les meilleures prières et louanges, ne peuvent être acceptés par Dieu qu’au travers de Jésus-Christ. Ce Dernier est la « Pierre angulaire », qui unit la totalité des croyants dans un « temple éternel » ; cette Pierre porte le poids de la structure entière de l’édifice spirituel. Elle a été choisie, pour devenir un fondement éternel. Elle est plus précieuse que toute autre valeur. Être bâti « en Christ » signifie croire en lui ; mais hélas, beaucoup se trompent eux-mêmes, en ne réalisant pas la grandeur de Ses qualités divines, ni la nécessité qu'il y a de bénéficier du salut qu’Il nous offre.

      Même si la structure du monde se désagrégeait, l'homme qui repose sur ce « fondement spirituel » peut rester sans crainte, il ne sera jamais confus. Une âme pieuse se dirige invariablement vers Christ ; elle ne trouvera jamais de raison pour quitter le Seigneur.

      Tous les véritables chrétiens sont une « génération choisie ; » ils forment une famille spirituelle, un peuple distinct, séparé du monde : ils sont unis par le même esprit, les mêmes principes, et tiennent une conduite différente des impies ; jamais ils n'auraient pu être ainsi s'ils n'avaient pas été « choisis en Christ », sanctifiés par Son Esprit. Ils étaient auparavant dans un terrible état de ténèbres spirituelles, mais ils sont désormais appelés hors de cet abîme, dans la joie et l’abondance, afin qu'ils puissent clamer les louanges du Seigneur, en témoignant de la Vérité, par leur bonne conduite.

      Les enfants de Dieu ont de grandes obligations envers Celui qui a fait d'eux Son peuple, en leur prouvant Sa Miséricorde ! Ne pas bénéficier de cette Dernière est un véritable malheur, même si l’on disposait de tous les plaisirs du monde.

      Rien n'amène autant à la repentance qu’une reconnaissance sincère de la Miséricorde et de l'Amour de Dieu. Ne cherchons pas à abuser, ni affronter la Grâce de Dieu, si nous n’avons pas l'espoir d'être sauvés par Christ ; que tous ceux qui veulent être trouvés parmi ceux qui obtiennent Sa Miséricorde, marchent d’une manière digne de Son peuple !

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      13 Une conduite chrétienne doit être synonyme d’honnêteté ; ceci ne peut prendre effet, sans une considération prudente de tous nos devoirs civiques ici-bas : l'apôtre traite clairement ce sujet dans ce texte.

      Bien considérer ces devoirs est conforme à la Volonté divine ; la sainte conduite du chrétien consiste par conséquent, à faire taire les calomnies des gens ignorants et des insensés. Les chrétiens doivent s'efforcer, dans tout leur entourage, de tenir une conduite pleine de droiture et de ne pas faire de leur liberté, un prétexte de négligence de leur devoir ; ils doivent se souvenir qu'en fait, ils sont « serviteurs de Dieu ».

      18 À l’époque de la rédaction de cette lettre, les serviteurs, étaient généralement des esclaves, sous l’autorité souvent cruelle de maîtres païens ; l'apôtre Pierre, exhorte cependant ces serviteurs, à être soumis à leurs maîtres, placés au dessus d’eux par la Providence, dans le soucis de ne pas déshonorer, ni d'offenser Dieu.

      Ces serviteurs devaient rester soumis, non seulement envers les maîtres qui manifestaient une autorité raisonnable, mais également envers ceux qui étaient durs et sévères, se fâchant injustement.

      La sévérité coupable d'un maître, vis-à-vis de son serviteur, ne justifie pas un mauvais comportement de la part de ce dernier ; un serviteur est destiné à accomplir son devoir, même si le maître est « pointilleux » et pervers. De leur côté, les maîtres doivent être bons et doux envers leurs domestiques et leurs subordonnés.

      Quelle gloire, ou quelle distinction y a-t-il, pour ceux qui professent être chrétiens, d'être patients quand ils sont corrigés pour leurs fautes ? Mais lorsqu'ils se sont bien conduits, tout en ayant été maltraités par des maîtres païens orgueilleux et emportés, ayant tout supporté, sans plaintes, ni pensées de vengeance, tout en persévérant dans leur devoir, ceci sera accepté favorablement par Dieu, dans Sa Grâce.

      La mort de Christ a été considérée par Dieu, non seulement comme un exemple de patience et de souffrance, mais par elle, Il a porté nos péchés ; Il en a subi le châtiment, et a de cette façon, satisfait la Justice divine. Par cet acte, Christ a « effacé » nos fautes. Les « fruits » des souffrances de Christ sont la mort au péché, et une nouvelle vie, dans la sainteté et la justice ; ces deux derniers éléments témoignent de la puissance de la mort et la résurrection de Christ, pour notre justification ; Christ a été meurtri et crucifié pour nos péchés ; par les marques des coups de fouet, lors de Son arrestation, les maladies de notre âme ont été guéries !

      L’homme, dans son péché et sa misère, avance délibérément vers l'égarement ; il erre, loin du pâturage, du Berger, et du troupeau, s'exposant à des dangers sans nombre. La conversion lui permet de retrouver le bon chemin et de bénéficier de la Grâce divine. Le pécheur repenti retourne ainsi à vers le bon Berger, vers Christ. Les impies, avant leur conversion, sont égarés en permanence ; leur vie est une constante erreur.

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