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La Bible en 1 an - Jour 42

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    • Genèse 44

      1 Plus tard Joseph donna cet ordre à son intendant : « Remplis les sacs de ces gens, donne-leur autant de vivres qu’ils peuvent en emporter. Remets aussi l’argent de chacun à l’entrée de son sac.
      2 Dans le sac du plus jeune tu placeras non seulement la somme qu’il voulait payer mais aussi ma coupe d’argent. » L’homme exécuta les ordres de Joseph.
      3 Le lendemain, dès qu’il fit jour, on laissa les fils de Jacob partir avec leurs ânes.
      4 Ils quittèrent la ville, mais ils n’étaient pas encore bien loin quand Joseph dit à son intendant : « Poursuis ces gens, rattrape-les. Tu leur demanderas : “Pourquoi avez-vous rendu le mal pour le bien ?
      5 Pourquoi avez-vous volé la coupe que mon maître utilise pour boire et pratiquer la divination ? C’est mal, ce que vous avez fait là !” »
      6 L’homme rattrapa les frères et leur répéta ces paroles.
      7 Les frères répondirent : « Comment Monsieur l’Intendant peut-il nous accuser ainsi ? Jamais nous n’aurions osé faire une chose pareille !
      8 Nous avions rapporté de Canaan l’argent retrouvé dans nos sacs. Pourquoi aurions-nous donc volé de l’argent ou de l’or dans la maison de ton maître ?
      9 Si l’on trouve cette coupe dans les bagages de l’un d’entre nous, eh bien, qu’on le mette à mort ! Et nous deviendrons nous-mêmes tes esclaves. »
      10 L’homme répondit : « Eh bien, je vous prends au mot. Toutefois le coupable seul deviendra mon esclave ; les autres seront libres. »
      11 Les frères déchargèrent rapidement leurs sacs et ouvrirent chacun le sien.
      12 L’homme fouilla tous les sacs, en commençant par celui de l’aîné et en finissant par celui du plus jeune. On trouva la coupe dans le sac de Benjamin.
      13 Les frères, consternés, déchirèrent leurs vêtements. Chacun rechargea son âne, et ils retournèrent à la ville.
      14 Juda et ses frères arrivèrent chez Joseph ; il était encore là. Ils se jetèrent à terre devant lui.
      15 Joseph leur dit : « Pourquoi avez-vous fait cela ? Ne savez-vous pas qu’un homme tel que moi a le pouvoir de tout deviner ? » –
      16 « Que pourrions-nous dire, Monsieur l’Administrateur ? répondit Juda. Que pourrions-nous dire pour prouver notre innocence ? Dieu nous a démasqués : nous sommes coupables. Nous serons donc tes esclaves, avec celui qui avait la coupe dans son sac. »
      17 Joseph reprit : « Non, il n’est pas question que j’agisse ainsi. Je ne prendrai pour esclave que celui qui avait la coupe. Quant à vous, rentrez tranquillement chez votre père. »
      18 Juda s’avança vers Joseph et dit : « Qu’il me soit permis de dire encore quelques mots à l’adresse de Monsieur l’Administrateur, sans provoquer sa colère, alors même qu’il est l’égal du Pharaon.
      19 La première fois, tu nous as demandé si nous avions encore notre père, ou un autre frère.
      20 Nous avons répondu : “Nous avons encore notre vieux père, ainsi qu’un jeune frère, qui lui est né dans sa vieillesse. Notre père l’aime particulièrement, car c’est le seul enfant qui lui reste de son épouse préférée ; l’autre fils est mort.”
      21 Tu nous as dit : “Amenez-le-moi, je désire le voir.”
      22 Nous t’avons expliqué alors que cet enfant ne pouvait pas quitter son père ; que, s’il le quittait, le père en mourrait.
      23 Mais tu nous as déclaré que tu ne nous recevrais plus si notre jeune frère ne venait pas avec nous.
      24 Nous sommes donc retournés auprès de notre père, ton humble serviteur, et nous lui avons rapporté ce que tu avais dit.
      25 Lorsqu’il nous a chargés de revenir acheter quelques vivres,
      26 nous lui avons dit : “Nous ne pouvons pas y aller, à moins que notre jeune frère nous accompagne. S’il n’est pas avec nous, l’administrateur du pays ne nous recevra pas.”
      27 Notre père nous a répondu : “Vous le savez bien, mon épouse Rachel ne m’a donné que deux fils.
      28 L’un d’eux a disparu ; je pense qu’il a été dévoré par une bête sauvage, car je ne l’ai jamais revu.
      29 Et vous voulez me prendre aussi l’autre ! Si un malheur lui arrive, âgé comme je suis, je mourrai de tristesse par votre faute.”
      30 Maintenant donc, Monsieur l’Administrateur, comment pourrais-je retourner auprès de mon père sans que l’enfant soit avec nous ? La vie de mon père dépend tellement du sort de cet enfant
      31 qu’il mourra s’il ne le voit pas revenir. Nous serons alors coupables de l’avoir fait mourir de douleur dans sa vieillesse.
      32 De plus, je me suis déclaré responsable de l’enfant devant mon père ; je lui ai dit : “Si je ne te le ramène pas, je serai pour toujours coupable à ton égard.”
      33 Je t’en supplie, permets-moi donc de rester ici comme esclave à ton service, à la place de l’enfant, pour qu’il puisse repartir avec ses autres frères.
      34 Je ne pourrais jamais retourner chez mon père sans être accompagné de l’enfant. Je ne supporterais pas de voir le malheur qui atteindrait mon père. »

      Job 10

      1 Eh bien, puisque la vie me donne la nausée, je ne retiendrai pas mes plaintes plus longtemps ; je ne me tairai pas, tant j’ai le cœur amer.
      2 Je dirai donc à Dieu : ne me condamne pas, fais-moi plutôt savoir ce que tu me reproches.
      3 Cela sert-il ton but de me faire du mal, en méprisant ainsi ton pénible travail et en favorisant les projets des méchants ?
      4 Ne vois-tu rien de plus que ce que voient les hommes ? Ton point de vue n’est-il qu’un point de vue terrestre ?
      5 Ta vie serait-elle aussi brève que la nôtre, se limiterait-elle à aussi peu d’années ?
      6 Pourquoi donc cherches-tu à connaître mes torts, et pourquoi t’efforcer de découvrir ma faute ?
      7 Pourtant, tu le sais bien, je ne suis pas coupable et je n’ai aucune chance de t’échapper.
      8 Tes propres mains m’ont fait, elles m’ont façonné, elles m’ont entouré, et tu veux me détruire !
      9 Tu m’avais modelé comme un objet d’argile, veuille t’en souvenir avant de me réduire à l’état de poussière.
      10 Un jour, tu m’as formé dans le corps de ma mère, comme on verse du lait et qu’on le fait cailler.
      11 Tu m’as alors vêtu de muscles et de peau, tu as fait de moi un tissu d’os et de nerfs.
      12 Puis tu m’as accordé la grâce de la vie, et tu t’es occupé de me la conserver.
      13 Or tu as un secret, que tu veux me cacher. Mais je n’ignore pas le fond de ta pensée :
      14 me prendre sur le fait dès que je suis en faute, et ne pas m’acquitter si je me mets en tort.
      15 Alors tant pis pour moi, si je me rends coupable ! Même innocent, je dois rester la tête basse, et je suis soûl de honte, ivre de ma misère.
      16 Mais dès que je lève la tête, te voilà qui reprends la chasse contre moi, tel un fauve, m’écrasant à nouveau de ta toute-puissance !
      17 Tu lances contre moi un assaut après l’autre, tu laisses ta fureur redoubler envers moi, et tu jettes sur moi des troupes toujours fraîches.
      18 Pourquoi m’as-tu tiré du ventre de ma mère ? J’aurais pu y mourir à l’abri des regards,
      19 et je serais allé tout droit jusqu’à la tombe, comme si je n’avais jamais eu d’existence.
      20 Je n’ai plus maintenant que peu de temps à vivre. Cesse donc tes attaques, laisse-moi enfin jouir tranquillement de ce peu qui me reste.
      21 Bientôt je partirai, sans espoir de retour, au pays recouvert de l’ombre la plus sombre,
      22 au pays où la nuit règne sur le désordre, où l’aurore elle-même est d’un noir absolu.

      Marc 14

      1 On était à deux jours de la fête de la Pâque et des pains sans levain. Les chefs des prêtres et les maîtres de la loi cherchaient un moyen d’arrêter Jésus en cachette et de le mettre à mort.
      2 Ils se disaient en effet : « Nous ne pouvons pas faire cela pendant la fête, sinon le peuple risquerait de se soulever. »
      3 Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux ; pendant qu’il était à table, une femme entra avec un flacon d’albâtre plein d’un parfum très cher, fait de nard pur. Elle brisa le flacon et versa le parfum sur la tête de Jésus.
      4 Certains de ceux qui étaient là furent indignés et se dirent entre eux : « A quoi bon avoir ainsi gaspillé ce parfum ?
      5 On aurait pu le vendre plus de trois cents pièces d’argent pour les donner aux pauvres ! » Et ils critiquaient sévèrement cette femme.
      6 Mais Jésus dit : « Laissez-la tranquille. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Ce qu’elle a accompli pour moi est beau.
      7 Car vous aurez toujours des pauvres avec vous, et toutes les fois que vous le voudrez, vous pourrez leur faire du bien ; mais moi, vous ne m’aurez pas toujours avec vous.
      8 Elle a fait ce qu’elle a pu : elle a d’avance mis du parfum sur mon corps afin de le préparer pour le tombeau.
      9 Je vous le déclare, c’est la vérité : partout où l’on annoncera la Bonne Nouvelle, dans le monde entier, on racontera ce que cette femme a fait et l’on se souviendra d’elle. »
      10 Alors Judas Iscariote, un des douze disciples, alla proposer aux chefs des prêtres de leur livrer Jésus.
      11 Ils furent très contents de l’entendre et lui promirent de l’argent. Et Judas se mit à chercher une occasion favorable pour leur livrer Jésus.
      12 Le premier jour de la fête des pains sans levain, le jour où l’on sacrifiait les agneaux pour le repas de la Pâque, les disciples de Jésus lui demandèrent : « Où veux-tu que nous allions te préparer le repas de la Pâque ? »
      13 Alors Jésus envoya deux de ses disciples en avant, avec l’ordre suivant : « Allez à la ville, vous y rencontrerez un homme qui porte une cruche d’eau. Suivez-le,
      14 et là où il entrera, dites au propriétaire de la maison : “Le Maître demande : Où est la pièce qui m’est réservée, celle où je prendrai le repas de la Pâque avec mes disciples ?”
      15 Et il vous montrera, en haut de la maison, une grande chambre déjà prête, avec tout ce qui est nécessaire. C’est là que vous nous préparerez le repas. »
      16 Les disciples partirent et allèrent à la ville ; ils trouvèrent tout comme Jésus le leur avait dit, et ils préparèrent le repas de la Pâque.
      17 Quand le soir fut venu, Jésus arriva avec les douze disciples.
      18 Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit : « Je vous le déclare, c’est la vérité : l’un de vous, qui mange avec moi, me trahira. »
      19 Les disciples devinrent tout tristes, et ils se mirent à lui demander l’un après l’autre : « Ce n’est pas moi, n’est-ce pas ? »
      20 Jésus leur répondit : « C’est l’un d’entre vous, les douze, quelqu’un qui trempe avec moi son pain dans le plat.
      21 Certes, le Fils de l’homme va mourir comme les Écritures l’annoncent à son sujet ; mais quel malheur pour celui qui trahit le Fils de l’homme ! Il aurait mieux valu pour cet homme-là ne pas naître ! »
      22 Pendant le repas, Jésus prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et le donna à ses disciples ; il leur dit : « Prenez ceci, c’est mon corps. »
      23 Il prit ensuite une coupe de vin et, après avoir remercié Dieu, il la leur donna, et ils en burent tous.
      24 Jésus leur dit : « Ceci est mon sang, le sang qui garantit l’alliance de Dieu et qui est versé pour une multitude de gens.
      25 Je vous le déclare, c’est la vérité : je ne boirai plus jamais de vin jusqu’au jour où je boirai le vin nouveau dans le Royaume de Dieu. »
      26 Ils chantèrent ensuite les psaumes de la fête, puis ils s’en allèrent au mont des Oliviers.
      27 Jésus dit à ses disciples : « Vous allez tous m’abandonner, car on lit dans les Écritures : “Je tuerai le berger, et les moutons partiront de tous côtés”.
      28 Mais, ajouta Jésus, quand je serai de nouveau vivant, j’irai vous attendre en Galilée. »
      29 Pierre lui dit : « Même si tous les autres t’abandonnent, moi je ne t’abandonnerai pas. »
      30 Alors Jésus lui répondit : « Je te le déclare, c’est la vérité : aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, toi, tu auras prétendu trois fois ne pas me connaître. »
      31 Mais Pierre répliqua encore plus fort : « Je ne prétendrai jamais que je ne te connais pas, même si je dois mourir avec toi. » Et tous les autres disciples disaient la même chose.
      32 Ils arrivèrent ensuite à un endroit appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples : « Asseyez-vous ici, pendant que je vais prier. »
      33 Puis il emmena avec lui Pierre, Jacques et Jean. Il commença à ressentir de la frayeur et de l’angoisse,
      34 et il leur dit : « Mon cœur est plein d’une tristesse mortelle ; restez ici et demeurez éveillés. »
      35 Il alla un peu plus loin, se jeta à terre et pria pour que, si c’était possible, il n’ait pas à passer par cette heure de souffrance.
      36 Il disait : « Abba, ô mon Père, tout t’est possible ; éloigne de moi cette coupe de douleur. Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. »
      37 Il revint ensuite vers les trois disciples et les trouva endormis. Il dit à Pierre : « Simon, tu dors ? Tu n’as pas été capable de rester éveillé même une heure ?
      38 Restez éveillés et priez, pour ne pas tomber dans la tentation. L’être humain est plein de bonne volonté, mais il est faible. »
      39 Il s’éloigna de nouveau et pria en répétant les mêmes paroles.
      40 Puis il revint auprès de ses disciples et les trouva endormis ; ils ne pouvaient pas garder les yeux ouverts. Et ils ne savaient pas que lui dire.
      41 Quand il revint la troisième fois, il leur dit : « Vous dormez encore et vous vous reposez ? C’est fini ! L’heure est arrivée. Maintenant, le Fils de l’homme va être livré entre les mains des pécheurs.
      42 Levez-vous, allons-y ! Voyez, l’homme qui me livre à eux est ici ! »
      43 Jésus parlait encore quand arriva Judas, l’un des douze disciples. Il y avait avec lui une foule de gens armés d’épées et de bâtons. Ils étaient envoyés par les chefs des prêtres, les maîtres de la loi et les anciens.
      44 Judas, celui qui leur livrait Jésus, avait indiqué à cette foule le signe qu’il utiliserait : « L’homme que j’embrasserai, c’est lui. Saisissez-le et emmenez-le sous bonne garde. »
      45 Dès que Judas arriva, il s’approcha de Jésus et lui dit : « Maître ! » Puis il l’embrassa.
      46 Les autres mirent alors la main sur Jésus et l’arrêtèrent.
      47 Mais un de ceux qui étaient là tira son épée, frappa le serviteur du grand-prêtre et lui coupa l’oreille.
      48 Jésus leur dit : « Deviez-vous venir armés d’épées et de bâtons pour me prendre, comme si j’étais un brigand ?
      49 Tous les jours j’étais avec vous et j’enseignais dans le temple, et vous ne m’avez pas arrêté. Mais cela arrive pour que les Écritures se réalisent. »
      50 Alors tous les disciples l’abandonnèrent et s’enfuirent.
      51 Un jeune homme suivait Jésus, vêtu d’un simple drap. On essaya de le saisir,
      52 mais il abandonna le drap et s’enfuit tout nu.
      53 Ils emmenèrent Jésus chez le grand-prêtre, où s’assemblèrent tous les chefs des prêtres, les anciens et les maîtres de la loi.
      54 Pierre suivit Jésus de loin, et il entra dans la cour de la maison du grand-prêtre. Là, il s’assit avec les gardes et il se chauffait près du feu.
      55 Les chefs des prêtres et tout le Conseil supérieur cherchaient une accusation contre Jésus pour le condamner à mort, mais ils n’en trouvaient pas.
      56 Beaucoup de gens, en effet, portaient de fausses accusations contre Jésus, mais ils se contredisaient entre eux.
      57 Quelques-uns se levèrent alors et portèrent cette fausse accusation contre lui :
      58 « Nous l’avons entendu dire : “Je détruirai ce temple construit par les hommes, et en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas une œuvre humaine.” »
      59 Mais même sur ce point-là ils se contredisaient.
      60 Le grand-prêtre se leva alors dans l’assemblée et interrogea Jésus : « Ne réponds-tu rien à ce que ces gens disent contre toi ? »
      61 Mais Jésus se taisait, il ne répondait rien. Le grand-prêtre l’interrogea de nouveau : « Es-tu le Messie, le Fils du Dieu auquel vont nos louanges ? »
      62 Jésus répondit : « Oui, je le suis, et vous verrez tous le Fils de l’homme siégeant à la droite du Dieu puissant ; vous le verrez aussi venir parmi les nuages du ciel. »
      63 Alors le grand-prêtre déchira ses vêtements et dit : « Nous n’avons plus besoin de témoins !
      64 Vous avez entendu cette insulte faite à Dieu. Qu’en pensez-vous ? » Tous déclarèrent qu’il était coupable et qu’il méritait la mort.
      65 Quelques-uns d’entre eux se mirent à cracher sur Jésus, ils lui couvrirent le visage, le frappèrent à coups de poing et lui dirent : « Devine qui t’a fait cela ! » Et les gardes prirent Jésus et lui donnèrent des gifles.
      66 Pierre se trouvait encore en bas dans la cour, quand arriva une des servantes du grand-prêtre.
      67 Elle vit Pierre qui se chauffait, le regarda bien et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus, cet homme de Nazareth. »
      68 Mais il le nia en déclarant : « Je ne sais pas ce que tu veux dire, je ne comprends pas. » Puis il s’en alla hors de la cour, dans l’entrée. [Alors un coq chanta. ]
      69 Mais la servante le vit et répéta devant ceux qui étaient là : « Cet homme est l’un d’eux ! »
      70 Et Pierre le nia de nouveau. Peu après, ceux qui étaient là dirent encore à Pierre : « Certainement, tu es l’un d’eux, parce que, toi aussi, tu es de Galilée. »
      71 Alors Pierre s’écria : « Que Dieu me punisse si je mens ! Je le jure, je ne connais pas l’homme dont vous parlez. »
      72 A ce moment même, un coq chanta pour la seconde fois, et Pierre se rappela ce que Jésus lui avait dit : « Avant que le coq chante deux fois, tu auras prétendu trois fois ne pas me connaître. » Alors, il se mit à pleurer.
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