Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne

La Bible en 1 an - Jour 46

Sommaire

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • versets sélectionnés
  • Vidéos et messages relatifs
  • Commentaires bibliques
  • Hébreu / Grec
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Favoris
  • Partager

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Générer un verset illustré
Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Versets relatifs

    • Genèse 48

      1 Après ces événements, on avertit Joseph que son père était malade. Il partit avec ses deux fils, Manassé et Éfraïm.
      2 Lorsqu’on annonça à Jacob que son fils Joseph venait lui rendre visite, il fit un effort et s’assit sur son lit.
      3 Il dit à Joseph : « Le Dieu tout-puissant m’est apparu à Louz, au pays de Canaan et il m’a béni.
      4 Il m’a dit : “Je te donnerai de nombreux enfants pour faire de toi l’ancêtre d’un ensemble de peuples. J’accorderai ce pays à tes descendants en propriété définitive.” »
      5 Jacob ajouta : « Tes deux fils, nés en Égypte avant que je vienne t’y rejoindre, je les considère comme mes fils. Éfraïm et Manassé sont miens, comme Ruben et Siméon.
      6 Mais les fils qui te naîtront après eux resteront les tiens. C’est dans le territoire de leurs frères aînés qu’ils recevront leur part d’héritage.
      7 Lorsque je revenais de Mésopotamie, peu avant d’arriver à Éfrata, au pays de Canaan, ta mère Rachel est morte près de moi en cours de route. Je l’ai enterrée là, au bord de la route. » – Éfrata s’appelle maintenant Bethléem. –
      8 A ce moment-là, Jacob aperçut les fils de Joseph et demanda : « Qui est-ce ? » –
      9 « Ce sont les fils que Dieu m’a donnés ici, en Égypte », répondit Joseph. Son père reprit : « Amène-les près de moi pour que je les bénisse. »
      10 Jacob était si vieux que sa vue avait beaucoup baissé : il ne voyait plus grand-chose. Joseph fit approcher ses fils. Jacob les serra contre lui et les embrassa.
      11 Puis il dit à Joseph : « Je n’espérais plus revoir ton visage et voilà que Dieu me permet de voir même tes enfants. »
      12 Alors Joseph retira ses fils qui étaient sur les genoux de son père et il s’inclina jusqu’à terre.
      13 Ensuite il prit ses deux fils par la main : Éfraïm, qu’il tenait à sa droite, se trouva à gauche de Jacob et Manassé, qu’il tenait à sa gauche, se trouva à droite de Jacob. Il les fit de nouveau approcher de leur grand-père.
      14 Mais Jacob croisa ses mains : il posa sa main droite sur la tête d’Éfraïm, bien qu’il fût le plus jeune, et sa main gauche sur la tête de Manassé, qui était l’aîné.
      15 Et voici la bénédiction qu’il donna à Joseph : « Je prie le Dieu devant qui mon grand-père Abraham et mon père Isaac ont toujours vécu, le Dieu qui a pris soin de moi depuis toujours,
      16 l’ange qui m’a délivré de tout mal : je lui demande de bénir ces garçons. Que grâce à eux, mon nom survive, comme ceux de mon grand-père Abraham et de mon père Isaac ! Qu’ils aient de très nombreux descendants partout dans le pays ! »
      17 Joseph fut choqué de voir son père poser la main droite sur la tête d’Éfraïm ; il lui saisit la main pour la déplacer de la tête d’Éfraïm sur celle de Manassé,
      18 en disant : « Non, mon père, tu te trompes. C’est celui-ci l’aîné. Mets donc ta main droite sur sa tête. »
      19 Mais son père refusa et lui dit : « Je sais, mon fils, je sais. Les descendants de Manassé aussi deviendront un grand peuple. Pourtant son frère cadet sera plus grand que lui et ses descendants formeront une multitude de nations. »
      20 Ce jour-là, il leur donna sa bénédiction en ces termes : « Les Israélites se serviront de vos noms pour prononcer des bénédictions. Ils diront : “Que Dieu te traite avec la bonté qu’il a montrée à Éfraïm et Manassé !” » Ainsi, Jacob plaça Éfraïm avant Manassé.
      21 Il dit ensuite à Joseph : « Je vais bientôt mourir, mais Dieu sera avec vous et il vous ramènera dans le pays de vos ancêtres.
      22 Quant à moi, je t’attribue une part plus importante qu’à tes frères, je te donne la région de Sichem que j’ai conquise sur les Amorites grâce à mon épée et à mon arc. »

      Job 14

      1 L’homme n’est rien d’autre que l’enfant de la femme. Sa vie demeure brève et remplie de tourments.
      2 Comme la fleur, il s’épanouit, et puis se fane ; comme l’ombre qui fuit sans pouvoir s’arrêter.
      3 Et c’est cela, mon Dieu, que ton regard épie ! Et c’est moi que tu traînes ainsi en justice !
      4 Mais qui peut donc tirer quelque chose de pur de ce qui est impur ? Pas un seul être au monde !
      5 Car la durée de vie est limitée pour l’homme ; c’est toi qui as fixé le nombre de ses mois, il ne peut dépasser la ligne que tu traces.
      6 Cesse de le guetter et laisse-le tranquille, pour qu’il termine en paix sa journée d’ouvrier.
      7 Or il reste toujours de l’espoir pour un arbre : si on le coupe, il peut se mettre à repousser, il ne manquera pas de produire un bourgeon.
      8 Même si sa racine vieillit dans la terre, et si sa souche paraît morte dans le sol,
      9 l’odeur de l’eau suffit pour qu’il reprenne vie et pousse des rameaux comme s’il était jeune.
      10 Quand l’homme meurt, par contre, il est privé de force. Que devient-il, une fois qu’il a expiré ?
      11 Un jour peut-être, les fleuves seront taris, et la mer n’aura plus la moindre goutte d’eau.
      12 Mais l’homme qui est mort ne se lèvera pas ; pas de réveil pour lui, tant que dure le ciel, il ne sortira plus de son dernier sommeil.
      13 Ah ! si tu me cachais dans le monde des morts, m’y abritant jusqu’à la fin de ta colère ! Si tu me fixais un délai, après lequel tu voudrais de nouveau te souvenir de moi !
      14 – Mais l’homme qui est mort, peut-il reprendre vie ? – Je saurais patienter, le temps de mon service, jusqu’au moment où l’on viendrait me relever.
      15 Alors, je répondrais quand tu m’appellerais, quand tu voudrais me voir, moi que tu as créé !
      16 Tandis que maintenant tu comptes tous mes pas, tu cesserais de surveiller mes manquements,
      17 dans un sac bien fermé tu cacherais mes fautes, tu couvrirais mes torts d’une couche de plâtre.
      18 Cependant les montagnes tombent en morceaux, et les rochers finissent par changer de place.
      19 Les eaux arrivent à user même les pierres, et l’averse emporte la poussière du sol. Toi aussi tu ruines l’espérance de l’homme.
      20 Tu le jettes par terre, il s’en va pour toujours ; la mort le défigure, et tu le chasses loin.
      21 Si on couvre ses fils d’honneurs, il n’en sait rien ; si on les humilie, il ne s’en rend pas compte.
      22 Il est seul à souffrir de sa propre douleur, il est seul à gémir de son propre malheur.

      Luc 1

      39 Dans les jours qui suivirent, Marie se mit en route et se rendit en hâte dans une localité de la région montagneuse de Judée.
      40 Elle entra dans la maison de Zacharie et salua Élisabeth.
      41 Au moment où celle-ci entendit la salutation de Marie, l’enfant remua en elle. Élisabeth fut remplie du Saint-Esprit
      42 et s’écria d’une voix forte : « Dieu t’a bénie plus que toutes les femmes et sa bénédiction repose sur l’enfant que tu auras !
      43 Qui suis-je pour que la mère de mon Seigneur vienne chez moi ?
      44 Car, vois-tu, au moment où j’ai entendu ta salutation, l’enfant a remué de joie en moi.
      45 Tu es heureuse : tu as cru que le Seigneur accomplira ce qu’il t’a annoncé ! »
      46 Marie dit alors : « De tout mon être je veux dire la grandeur du Seigneur,
      47 mon cœur est plein de joie à cause de Dieu, mon Sauveur ;
      48 car il a bien voulu abaisser son regard sur moi, son humble servante. Oui, dès maintenant et en tous les temps, les humains me diront bienheureuse,
      49 car Dieu le Tout-Puissant a fait pour moi des choses magnifiques. Il est le Dieu saint,
      50 il est plein de bonté en tout temps pour ceux qui le respectent.
      51 Il a montré son pouvoir en déployant sa force : il a mis en déroute les hommes au cœur orgueilleux,
      52 il a renversé les rois de leurs trônes et il a placé les humbles au premier rang.
      53 Il a comblé de biens ceux qui avaient faim, et il a renvoyé les riches les mains vides.
      54 Il est venu en aide au peuple d’Israël, son serviteur : il n’a pas oublié de manifester sa bonté
      55 envers Abraham et ses descendants, pour toujours, comme il l’avait promis à nos ancêtres. »
      56 Marie resta avec Élisabeth pendant environ trois mois, puis elle retourna chez elle.
      57 Le moment arriva où Élisabeth devait accoucher et elle mit au monde un fils.
      58 Ses voisins et les membres de sa parenté apprirent que le Seigneur lui avait donné cette grande preuve de sa bonté et ils s’en réjouissaient avec elle.
      59 Le huitième jour après la naissance, ils vinrent pour circoncire l’enfant ; ils voulaient lui donner le nom de son père, Zacharie.
      60 Mais sa mère déclara : « Non, il s’appellera Jean. »
      61 Ils lui dirent : « Mais, personne dans ta famille ne porte ce nom ! »
      62 Alors, ils demandèrent par gestes au père comment il voulait qu’on nomme son enfant.
      63 Zacharie se fit apporter une tablette à écrire et il y inscrivit ces mots : « Jean est bien son nom. » Ils s’en étonnèrent tous.
      64 Aussitôt, Zacharie put de nouveau parler : il se mit à louer Dieu à haute voix.
      65 Alors, tous les voisins éprouvèrent de la crainte, et dans toute la région montagneuse de Judée l’on se racontait ces événements.
      66 Tous ceux qui en entendaient parler se mettaient à y réfléchir et se demandaient : « Que deviendra donc ce petit enfant ? » La puissance du Seigneur était en effet réellement avec lui.
      67 Zacharie, le père du petit enfant, fut rempli du Saint-Esprit ; il se mit à prophétiser en ces termes :
      68 « Loué soit le Seigneur, le Dieu du peuple d’Israël, parce qu’il est intervenu en faveur de son peuple et l’a délivré.
      69 Il a fait apparaître un puissant Sauveur, pour nous, parmi les descendants du roi David, son serviteur.
      70 C’est ce qu’il avait annoncé depuis longtemps par ses saints prophètes :
      71 il avait promis qu’il nous délivrerait de nos ennemis et du pouvoir de tous ceux qui nous veulent du mal.
      72 Il a manifesté sa bonté envers nos ancêtres et n’a pas oublié sa sainte alliance.
      73 En effet, Dieu avait fait serment à Abraham, notre ancêtre,
      74 de nous libérer du pouvoir des ennemis et de nous permettre ainsi de le servir sans peur,
      75 pour que nous soyons saints et justes devant lui tous les jours de notre vie.
      76 Et toi, mon enfant, tu seras prophète du Dieu très-haut, car tu marcheras devant le Seigneur pour préparer son chemin
      77 et pour faire savoir à son peuple qu’il vient le sauver en pardonnant ses péchés.
      78 Notre Dieu est plein de tendresse et de bonté : il fera briller sur nous une lumière d’en haut, semblable à celle du soleil levant,
      79 pour éclairer ceux qui se trouvent dans la nuit et dans l’ombre de la mort, pour diriger nos pas sur le chemin de la paix. »
      80 L’enfant grandissait et se développait spirituellement. Il demeura dans des lieux déserts jusqu’au jour où il se présenta publiquement devant le peuple d’Israël.
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.