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La Bible en 1 an - Jour 90

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    • Lévitique 2

      1 « Si quelqu’un veut apporter au Seigneur une offrande végétale, il doit prendre de la farine sur laquelle il verse de l’huile et dépose de l’encens ;
      2 il l’apporte aux prêtres, fils d’Aaron. On y prélève une poignée de farine mêlée d’huile, et tout l’encens. L’un des prêtres brûle sur l’autel cette partie de l’offrande appelée “mémorial”. Le Seigneur apprécie la fumée odorante de ce qui est ainsi consumé.
      3 Le reste de l’offrande revient à Aaron et à ses fils : c’est une part strictement réservée au Seigneur, parce qu’elle provient d’un présent qui lui a été offert.
      4 « S’il s’agit d’une offrande cuite au four, on ne peut apporter que des gâteaux à l’huile sans levain ou des galettes sans levain arrosées d’huile.
      5 S’il s’agit d’une offrande cuite sur la plaque, elle doit consister en farine pétrie avec de l’huile, mais sans levain ;
      6 on la rompt en morceaux sur lesquels on verse encore de l’huile. C’est une offrande végétale.
      7 S’il s’agit d’une offrande cuite dans la poêle, elle doit être composée de farine et d’huile.
      8 On amène l’offrande ainsi préparée pour le Seigneur, et on la remet au prêtre, qui l’apporte à l’autel.
      9 Il en prélève la part appelée “mémorial” et la brûle sur l’autel. Le Seigneur apprécie la fumée odorante de ce qui est ainsi consumé.
      10 Le reste de l’offrande revient à Aaron et à ses fils : c’est une part strictement réservée au Seigneur, parce qu’elle provient d’un présent qui lui a été offert.
      11 « Aucune offrande destinée au Seigneur ne doit contenir de levain. On n’utilisera jamais de levain ou de miel dans la préparation d’une offrande qui sera consumée pour le Seigneur.
      12 On peut lui en offrir lorsqu’on lui apporte les premiers produits de la nature, mais on ne doit pas en brûler sur l’autel dans une offrande à la fumée odorante.
      13 « On doit déposer du sel sur chaque offrande végétale. Jamais on ne négligera d’en mettre, car le sel symbolise l’alliance conclue par Dieu avec vous. C’est pourquoi une offrande de sel sera jointe à tout sacrifice.
      14 « Lorsque vous apporterez au Seigneur une offrande des premiers produits de vos terres, vous commencerez par griller des épis au feu, puis vous en écraserez les grains. Au moment de l’apporter,
      15 vous verserez de l’huile et déposerez de l’encens dessus. Ce sera une offrande végétale.
      16 Le prêtre en brûlera la part appelée “mémorial”, à savoir une partie du grain et de l’huile, avec tout l’encens. Ce qui est ainsi consumé, c’est ce qui appartient au Seigneur. »

      Lévitique 3

      1 « Si quelqu’un offre en sacrifice de communion une tête de gros bétail, il doit amener au sanctuaire un taureau ou une vache sans défaut ;
      2 il pose la main sur la tête de l’animal et l’égorge à l’entrée de la tente de la rencontre. Les prêtres, fils d’Aaron, aspergent de son sang les côtés de l’autel.
      3 On présente au Seigneur les morceaux suivants, qui lui sont réservés : toute la graisse qui recouvre les entrailles,
      4 les deux rognons avec la graisse qui y adhère ainsi qu’aux flancs, et le lobe du foie qu’on détache en même temps que les rognons.
      5 Les prêtres brûlent tous ces morceaux sur l’autel, avec le sacrifice complet placé sur les bûches enflammées. C’est un sacrifice consumé dont le Seigneur apprécie la fumée odorante.
      6 « Si quelqu’un offre au Seigneur en sacrifice de communion une tête de petit bétail, il doit prendre une bête sans défaut, mâle ou femelle.
      7 Si c’est un mouton, il le conduit au sanctuaire ;
      8 il pose la main sur sa tête et l’égorge devant la tente. Les prêtres aspergent de son sang les côtés de l’autel.
      9 On présente au Seigneur les morceaux gras suivants, qui lui sont réservés : la queue tout entière, qu’on détache de la colonne vertébrale, toute la graisse qui recouvre les entrailles,
      10 les deux rognons avec la graisse qui y adhère ainsi qu’aux flancs, et le lobe du foie qu’on détache en même temps que les rognons.
      11 Le prêtre brûle tous ces morceaux sur l’autel. C’est une nourriture consumée pour le Seigneur.
      12 « Si quelqu’un offre un bouc ou une chèvre, il conduit l’animal au sanctuaire ;
      13 il pose la main sur sa tête et l’égorge devant la tente. Les prêtres aspergent de son sang les côtés de l’autel.
      14 On présente au Seigneur les morceaux suivants, qui lui sont réservés : toute la graisse qui recouvre les entrailles,
      15 les deux rognons avec la graisse qui y adhère ainsi qu’aux flancs, et le lobe du foie qu’on détache en même temps que les rognons.
      16 Le prêtre brûle tous ces morceaux sur l’autel. C’est une nourriture consumée à la fumée odorante. « Toutes les parties grasses sont réservées au Seigneur.
      17 C’est pourquoi, en tout temps et quel que soit l’endroit où vous habiterez, vous observerez la prescription suivante : Vous ne consommerez ni les morceaux gras, ni le sang d’un animal. »

      Proverbes 18

      1 Celui qui ne cherche que son intérêt s’isole des autres, il s’irrite quand on lui propose de l’aide.
      2 Ce qui intéresse le sot n’est pas de comprendre, mais de faire étalage de son opinion.
      3 La méchanceté amène avec elle le mépris, et la honte accompagne l’affront.
      4 Les paroles de l’homme peuvent être profondes comme l’océan, vivifiantes comme un torrent et source de sagesse.
      5 Il n’est pas bien de favoriser le coupable en refusant de faire justice à l’innocent.
      6 Les paroles du sot entraînent des disputes, ce qu’il dit provoque la bagarre.
      7 Quand le sot parle, il cause sa ruine ; il est pris au piège de ses propres paroles.
      8 Les calomnies sont comme des friandises, elles s’insinuent jusqu’au fond de soi-même.
      9 Celui qui néglige sa besogne et celui qui la gâche sont de la même famille.
      10 Le Seigneur est une forteresse. L’homme juste accourt près de lui et il est en sécurité.
      11 La fortune du riche lui tient lieu de citadelle, dans son coffre-fort elle le protège comme un rempart élevé.
      12 L’orgueil de l’homme le conduit à la faillite. Avant d’accéder aux honneurs, il convient d’être humble.
      13 Qui répond avant d’avoir écouté montre sa bêtise et se couvre de ridicule.
      14 La volonté de vivre soutient l’homme malade, mais qui peut rétablir une volonté défaillante ?
      15 Celui qui réfléchit acquiert des connaissances, le sage cherche à entendre des paroles instructives.
      16 Offrir un cadeau ouvre bien des portes et permet de rencontrer des gens haut placés.
      17 Le premier à plaider une cause semble avoir raison jusqu’au moment où son adversaire le contredit.
      18 Jeter les dés fait cesser les querelles et tranche le débat entre les plaideurs.
      19 Un frère offensé est plus difficile à aborder qu’une forteresse. Les disputes sont aussi tenaces que les verrous d’un château.
      20 Un homme peut assurer sa nourriture par ses paroles ; ce qu’il dit lui permet de gagner sa vie.
      21 Les paroles peuvent être source de vie ou de mort. Qui aime parler doit en accepter les conséquences.
      22 Celui qui trouve une compagne, trouve le bonheur. Il a obtenu l’approbation du Seigneur.
      23 Le pauvre parle en suppliant, le riche répond avec dureté.
      24 Il y a des amis qui mènent au malheur. Un ami véritable est plus loyal qu’un frère.

      Jean 21

      1 Quelque temps après, Jésus se montra de nouveau à ses disciples, au bord du lac de Tibériade. Voici dans quelles circonstances il leur apparut :
      2 Simon Pierre, Thomas – surnommé le Jumeau –, Nathanaël – qui était de Cana en Galilée –, les fils de Zébédée, et deux autres disciples de Jésus, étaient ensemble.
      3 Simon Pierre leur dit : « Je vais à la pêche. » Ils lui dirent : « Nous aussi, nous allons avec toi. » Ils partirent donc et montèrent dans la barque. Mais ils ne prirent rien cette nuit-là.
      4 Quand il commença à faire jour, Jésus se tenait là, au bord de l’eau, mais les disciples ne savaient pas que c’était lui.
      5 Jésus leur dit alors : « Avez-vous pris du poisson, mes enfants ? » – « Non », lui répondirent-ils.
      6 Il leur dit : « Jetez le filet du côté droit de la barque et vous en trouverez. » Ils jetèrent donc le filet, et ils n’arrivaient plus à le retirer de l’eau, tant il était plein de poissons.
      7 Le disciple que Jésus aimait dit à Pierre : « C’est le Seigneur ! » Quand Simon Pierre entendit ces mots : « C’est le Seigneur », il remit son vêtement de dessus, car il l’avait enlevé pour pêcher, et il se jeta à l’eau.
      8 Les autres disciples revinrent en barque, en tirant le filet plein de poissons : ils n’étaient pas très loin du bord, à cent mètres environ.
      9 Lorsqu’ils furent descendus à terre, ils virent là un feu avec du poisson posé dessus, et du pain.
      10 Jésus leur dit : « Apportez quelques-uns des poissons que vous venez de prendre. »
      11 Simon Pierre monta dans la barque et tira à terre le filet plein de gros poissons : cent cinquante-trois en tout. Et quoiqu’il y en eût tant, le filet ne se déchira pas.
      12 Jésus leur dit : « Venez manger. » Aucun des disciples n’osait lui demander : « Qui es-tu ? », car ils savaient que c’était le Seigneur.
      13 Jésus s’approcha, prit le pain et le leur partagea ; il leur donna aussi du poisson.
      14 C’était la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples, depuis qu’il était revenu d’entre les morts.
      15 Après le repas, Jésus demanda à Simon Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes agneaux. »
      16 Puis il lui demanda une deuxième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » – « Oui, Seigneur, répondit-il, tu sais que je t’aime. » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis. »
      17 Puis il lui demanda une troisième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » Pierre fut attristé de ce que Jésus lui avait demandé pour la troisième fois : « M’aimes-tu ? » et il lui répondit : « Seigneur, tu sais tout ; tu sais que je t’aime ! » Jésus lui dit : « Prends soin de mes brebis.
      18 Oui, je te le déclare, c’est la vérité : quand tu étais jeune, tu attachais toi-même ta ceinture et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras les bras, un autre attachera ta ceinture et te mènera où tu ne voudras pas aller. »
      19 Par ces mots, Jésus indiquait de quelle façon Pierre allait mourir et servir ainsi la gloire de Dieu. Puis Jésus lui dit : « Suis-moi ! »
      20 Pierre se retourna et vit derrière eux le disciple que Jésus aimait – celui qui s’était penché vers Jésus pendant le repas et lui avait demandé : « Seigneur, qui est celui qui va te trahir ? » –
      21 Pierre le vit donc et dit à Jésus : « Et lui, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? »
      22 Jésus lui répondit : « Si je désire qu’il vive jusqu’à ce que je revienne, que t’importe ? Toi, suis-moi ! »
      23 La nouvelle se répandit alors parmi les croyants que ce disciple ne mourrait pas. Pourtant Jésus n’avait pas dit à Pierre : « Il ne mourra pas », mais il avait dit : « Si je désire qu’il vive jusqu’à ce que je revienne, que t’importe ? »
      24 C’est ce même disciple qui témoigne de ces faits et les a mis par écrit, et nous savons que son témoignage est vrai.
      25 Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses. Si on les racontait par écrit l’une après l’autre, je pense que le monde entier ne pourrait pas contenir les livres qu’on écrirait.
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