Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
17
je te bénirai. Tes enfants et les enfants de leurs enfants, je les rendrai aussi nombreux que les étoiles du ciel et les grains de sable au bord de la mer. Ils prendront les villes de leurs ennemis.
4
Le roi répond : « D’accord ! Je ferai ce qui vous semble bon. » Alors l’armée sort par groupes de 100 soldats et par groupes de 1 000. Pendant ce temps, le roi se tient près de la porte de la ville.
17
Est-ce que tu as vu l’entrée du monde des morts ? As-tu aperçu ses portes ?
13
Il recherche les assassins, il se souvient de ceux qu’ils ont tués, il n’oublie pas le cri des gens sans défense.
12
quand je mets un habit de deuil, ils se moquent de moi.
18
Ils ne pouvaient plus rien avaler, ils étaient proches de la mort.
1
Ceux qui ont confiance dans le SEIGNEUR sont comme la montagne de Sion : elle ne tremble pas, elle est là pour toujours.
2
Des montagnes entourent Jérusalem. Ainsi le SEIGNEUR entoure son peuple, aujourd’hui et pour toujours.
5
Il est heureux, l’homme qui a rempli sa maison de telles armes ! Quand il se défendra contre ses ennemis aux portes de la ville, il ne sera pas couvert de honte.
7
Un homme stupide ne peut pas atteindre la sagesse. C’est pourquoi il ne doit pas ouvrir la bouche quand on discute des affaires de la ville.
6
Il donnera un esprit de justice à ceux qui doivent rendre la justice. Il remplira de force ceux qui repoussent les ennemis devant la porte de la ville.
16
C’est pourquoi, voici la parole du Seigneur DIEU : « Je pose à Sion une pierre de fondation très dure, une pierre principale, solidement fixée. Celui qui s’appuie sur elle ne tombera pas.
10
Moi, je me disais : j’ai vécu seulement la moitié de ma vie et je dois déjà partir. C’est dans le monde des morts que je dois passer le reste de mes années.
17
Aucune arme faite pour t’attaquer ne peut te faire de mal. Et si quelqu’un veut t’accuser au tribunal, tu pourras prouver qu’il a tort. « Voilà la part que je réserve à ceux qui sont mes serviteurs, voilà comment je leur rends justice. Moi, le SEIGNEUR, je le déclare. »
12
Tu lui diras : Voici le message du SEIGNEUR de l’univers : Il y a ici un homme qui s’appelle Germe. La vie germera là où il est, et c’est lui qui rebâtira mon temple.
13
Oui, c’est lui qui le rebâtira. Il portera les habits d’un roi. Il occupera un siège royal pour gouverner le peuple. Un prêtre se tiendra près de lui, et tous les deux s’entendront parfaitement.
2
Voici les noms de ces douze apôtres : d’abord Simon qu’on appelle Pierre et André, son frère, Jacques et son frère Jean, les fils de Zébédée,
23
« Et toi, ville de Capernaüm, est-ce que Dieu te fera monter jusqu’au ciel ? Au contraire, il te fera descendre chez les morts ! C’est chez toi que Dieu a fait de grandes choses, et non à Sodome. S’il avait fait ces choses-là à Sodome, cette ville existerait encore aujourd’hui !
18
Et moi, je te dis ceci : Tu es Pierre, et sur cette pierre, je construirai mon Église, et la puissance de la mort ne pourra rien contre elle.
17
S’il refuse de les écouter, dis-le à l’Église. S’il refuse d’écouter l’Église, traite-le comme un non-Juif ou comme un employé des impôts.
42
Il conduit Simon auprès de Jésus. Jésus regarde Simon avec attention et il lui dit : « Tu es Simon, le fils de Jean. Tu t’appelleras Céphas. » Ce nom veut dire « Pierre ».
27
Mes moutons écoutent ma voix. Moi, je les connais et ils me suivent.
28
Je leur donne la vie avec Dieu pour toujours. Ils ne mourront jamais, et personne ne pourra les arracher de ma main.
29
Mon Père me les a donnés, et mon Père est plus puissant que tout. Personne ne peut rien arracher de la main du Père.
30
Mon Père et moi, nous sommes un. »
47
Ils chantent la louange de Dieu, et tout le peuple les aime. Et chaque jour, le Seigneur ajoute à leur communauté ceux qui sont sauvés.
1
Et Saul est d’accord avec ceux qui ont tué Étienne. Ce jour-là, on commence à faire souffrir très durement l’Église de Jérusalem. Tous les croyants, sauf les apôtres, s’en vont un peu partout dans les régions de Judée et de Samarie.
33
Qui peut accuser ceux que Dieu a choisis ? Personne ! En effet, Dieu les rend justes.
34
Qui peut les condamner ? Personne ! En effet, le Christ Jésus est mort, de plus, il s’est réveillé de la mort : il est à la droite de Dieu et il prie pour nous.
35
Qui peut nous séparer de l’amour du Christ ? Est-ce que c’est le malheur ? ou l’inquiétude ? la souffrance venant des autres ? ou bien la faim, la pauvreté ? les dangers ou la mort ?
36
Les Livres Saints disent : « À cause de toi, nous risquons sans arrêt la mort. On nous traite comme des moutons de boucherie. »
37
Mais dans tout ce qui nous arrive, nous sommes les grands vainqueurs par celui qui nous a aimés.
38
Oui, j’en suis sûr, rien ne pourra nous séparer de l’amour que Dieu nous a montré dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les esprits, ni le présent, ni l’avenir, ni tous ceux qui ont un pouvoir, ni les forces d’en haut, ni les forces d’en bas, ni toutes les choses créées, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu !
9
Car nous travaillons ensemble au service de Dieu, et vous êtes le champ de Dieu. Vous êtes aussi la maison de Dieu.
10
Selon le don que Dieu m’a fait, j’ai placé les fondations comme un bon constructeur. Un autre construit dessus. Mais chacun doit faire attention à la façon de construire dessus.
11
Les fondations sont déjà là : c’est Jésus-Christ. Personne ne peut en placer d’autres.
55
Mort, où est ta victoire ? Mort, où est ton arme ? »
9
Jacques, Céphas et Jean, sont considérés comme les chefs de l’Église. Eh bien, eux, ils ont reconnu le don que Dieu m’avait fait. Ils nous ont tendu la main, à moi et à Barnabas, pour montrer qu’ils étaient d’accord avec nous. Nous devions partir vers les non-Juifs, et eux, ils devaient aller vers les Juifs.
19
C’est pourquoi vous n’êtes plus des étrangers, ni des gens de passage. Mais vous faites partie du peuple de Dieu, vous en avez tous les droits et vous êtes de la famille de Dieu.
20
Vous êtes devenus la maison qui a pour fondations les apôtres et les prophètes. La pierre principale, c’est le Christ Jésus lui-même.
21
C’est en union avec le Christ que toutes les pierres de la maison tiennent ensemble. Et cette maison s’agrandit pour former un temple saint dans le Seigneur.
22
C’est en union avec le Christ que vous aussi, vous faites partie de la maison qui est construite. Et vous formez avec tous les autres un lieu où Dieu habite par son Esprit.
10
Alors maintenant, par l’Église, tous ceux qui ont autorité et pouvoir dans les cieux peuvent connaître la sagesse de Dieu. Cette sagesse, Dieu la montre de mille manières,
25
Maris, aimez votre femme comme le Christ a aimé l’Église. Il a donné sa vie pour elle,
26
afin qu’elle soit sainte : il l’a rendue pure par l’eau et par la Parole.
27
Il a voulu que l’Église se présente devant lui pleine de gloire, sans tache, sans ride, sans aucun défaut. Il a voulu qu’elle soit sainte et sans reproche.
32
Ce mystère est grand, et moi, je vous dis qu’il s’agit du Christ et de l’Église.
18
C’est lui qui est la tête du corps, c’est-à-dire de l’Église. Il est le commencement, celui qui, le premier, s’est levé de la mort, pour être le premier de tous, toujours et partout.
5
Si quelqu’un ne sait pas diriger sa famille, comment peut-il s’occuper de l’Église de Dieu ?
15
Mais si je n’arrive pas tout de suite, tu sauras par cette lettre comment te conduire dans la famille de Dieu. Cette famille, c’est l’Église du Dieu vivant, qui soutient et protège la vérité.
3
Mais Jésus reçoit plus de gloire que Moïse. En effet, celui qui construit une maison est plus honoré que la maison.
4
Chaque maison est construite par quelqu’un, et celui qui construit tout, c’est Dieu.
28
Nous, nous recevons un royaume que personne ne peut faire bouger. Alors remercions Dieu et servons-le d’une façon qui lui plaise, avec confiance et respect.
15
Le septième ange fait sonner sa trompette. Dans le ciel, on entend des voix fortes. Elles disent : « Maintenant, le pouvoir de gouverner le monde est à Dieu notre Seigneur et à son Messie. Il sera roi pour toujours. »
1
Ensuite, je vois un ciel nouveau et une terre nouvelle. En effet, le premier ciel et la première terre ont disparu, la mer n’existe plus.
2
Et je vois la ville sainte, la Jérusalem nouvelle. Elle descend du ciel, envoyée par Dieu. Elle s’est faite belle comme une jeune mariée qui attend son mari.
3
Alors j’entends une voix forte qui vient du siège royal. Elle dit : « Maintenant, la maison de Dieu est au milieu des êtres humains. Il va habiter avec eux. Ils seront ses peuples, Dieu lui-même sera avec eux et il sera leur Dieu.
4
Il essuiera toutes les larmes de leurs yeux. La mort n’existera plus, il n’y aura plus ni deuil, ni cris, ni souffrance. Oui, le monde ancien a disparu. »
14
Les murs de la ville sont posés sur 12 pierres de fondation, et sur ces pierres, il y a les noms des 12 apôtres de l’Agneau.
Le français comme le grec rend ce jeu de mots : "Tu es Pierre, et sur cette pierre..." Mais Jésus parlait araméen et répéta identiquement le même terme : "Tu es Kèphas (roc) et sur ce Kèphas..." (Jean 1.43)
- On a trouvé une contradiction entre ce dernier passage et notre récit : d'après Jean, Pierre aurait reçu ce nom dès le commencement. Mais ici Jésus ne lui donne pas ce nom, il le lui confirme : tu es Pierre.
- Quel est le sens des paroles si longuement controversées : sur ce roc je bâtirai mon Eglise ? Et d'abord, qu'est-ce ici que l'Eglise, mot qui ne se trouve nulle part dans nos évangiles, sauf dans notre passage et dans Matthieu 18.17 ?
Le terme français Eglise est grec par son étymologie (ecclèsia), et dans la langue originale, il signifie toute assemblée ou plutôt convocation même en dehors d'un but religieux. (Actes 19.39,40) Jésus se servit sûrement du mot hébreu kahal, qui désignait les convocations solennelles du Peuple israélite. Par ce terme, il n'entendait pas désigner une Eglise particulière, mais l'ensemble de ceux qui croiraient en lui. (Il en est autrement au Matthieu 18.17)
Enfin, il considère l'Eglise, suivant une figure de langage qu'emploiera fréquemment l'apôtre Paul, comme un édifice qu'il s'agit de bâtir.
La critique négative, n'admettant pas que Jésus pût ainsi parler de son Eglise avant qu'elle existât, révoque en doute l'authenticité de ces paroles, qui, selon elle, appartiennent à un ordre de faits postérieurs.
Comment alors Jésus pourrait-il parler si souvent de son royaume (vers. 19), en décrire tous les caractères et tous les développements, jusqu'à la perfection ? La notion d'une telle société spirituelle était d'ailleurs donnée par la communion des âmes pieuses du milieu du peuple d'Israël, qui formaient déjà une Eglise. Et même le petit nombre de croyants réunis autour du Sauveur n'étaient-ils pas déjà son Eglise ? Et Jésus n'aurait pu en prévoir tous les développements futurs ! Il faut s'y résigner : retrancher du Nouveau Testament la prescience et la divinité de Jésus-Christ, c'est se condamner à n'y plus trouver qu'une longue suite d'énigmes.
- Maintenant, quelle prérogative le Seigneur confère-t-il à Pierre par ces paroles ? Il faut d'abord en écarter toutes les interprétations contraires à une saine exégèse. Ainsi l'idée d'Augustin que Jésus, en disant : sur ce roc, se désignait lui-même du geste. Ainsi encore celle de plusieurs Pères et de la plupart des interprètes protestants que ce roc, c'est la confession de Pierre, ou sa foi considérée dans un sens abstrait. Sans doute, c'est a cause de cette foi que le Seigneur le proclame le roc sur lequel il fondera. son Eglise, et l'instant d'après quand Pierre ne comprendra point les choses divines, il l'appellera Satan. (verset 23)
Mais il faut bien reconnaître que Jésus en lui disant : Tu es Pierre,...sur cette pierre, je bâtirai,...désigne bien la personne de l'apôtre. C'est sur sa personne, pour autant du moins qu'il se montrera, par l'obéissance et la foi, un rocher, c'est sur son action personnelle, que reposera l'édifice de l'Eglise.
L'événement a confirmé la prophétie. Les premiers chapitres du livre des Actes nous présentent Pierre comme le fondateur de l'Eglise, parmi les Juifs, Matthieu 2 parmi les Samaritains (Matthieu 8.14 et suivants) et parmi les païens. (Matthieu 10) Dans tous les catalogues des apôtres, Pierre est nommé le premier. (Matthieu 10.2 ; Marc 3.16 ; Luc 6.14 ; Actes 1.13) Il a donc bien occupé aux yeux de l'Eglise primitive le rang que le Maître lui avait assigné.
Qu'y a-t-il dans ce fait qui puisse donner le moindre prétexte aux inventions absurdes et impies de l'Eglise de Rome ? Un apôtre n'a point de successeurs, Pierre n'a point fondé l'Eglise de Rome et n'en fut jamais l'évêque (voir l'introduction à l'épître aux Romains) ; mais l'eut-il été, la prétention des papes à hériter de son rang et de beaucoup plus encore, constitue une impiété. Paul sans doute ne craint pas de montrer l'Eglise bâtie "sur le fondement des apôtres," mais il a soin d'ajouter que Jésus-Christ en reste "la pierre angulaire" (Ephésiens 2.20 ; comparez Matthieu 21.42), le seul fondement divin qu'on puisse poser. (1Corinthiens 3.11 ; 1Pierre 2.6)
Quant à Pierre s'il joua un rôle prépondérant tant qu'il s'agit de jeter les premiers fondements de l'Eglise, d'autres apôtres, Paul par son action, Jean par ses écrits, y sont, dans la suite, devenus plus grands que lui. Et lui-même n'eut jamais d'autre sentiment. (1Pierre 5.1 ; comparez Matthieu 19.28 ; Apocalypse 21.14) En outre, dans tout le Nouveau Testament, on ne trouve pas trace d'une suprématie exercée par Pierre dans le gouvernement de l'Eglise. C'est l'Eglise qui élit les diacres. (Actes 6) Quand il s'agit de baptiser les premiers païens, Pierre consulte les disciples, (Actes 10.47) puis il se justifie humblement devant l'Eglise ; (Actes 11.2 et suivants) dans le concile de Jérusalem, il prend une part décisive à la discussion mais c'est Jacques qui propose et fait adopter la résolution ; (Actes 15) enfin cet apôtre accepte la répréhension de Paul. (Galates 2)
Ajoutons que tout ce discours de Jésus a Pierre est omis dans le récit de Marc, son "interprète," et dans celui de Luc, preuve que ces prérogatives temporaires avaient peu d'importance dans la tradition apostolique. (Voir sur ce passage R. Stier, Discours du Seigneur, tome II, p. 204 et suivants)
Le séjour des morts (grec hadès, le lieu invisible, comparez Matthieu 11.23, note) est considéré comme une forteresse ayant des portes si fermes, que nul n'en peut ressortir. (Comparer Job 38.17 ; Esaïe 38.10 ; Psaumes 9.14) Or, Jésus affirme que l'édifice de son Eglise sera plus ferme encore, et qu'elle ne périra jamais. Toutes les interprétations qui supposent ici un combat de la puissance des ténèbres contre l'Eglise faussent l'image ; des portes n'attaquent pas, mais ces portes de la mort s'ouvrent pour engloutir des victimes, et elles n'engloutiront jamais l'Eglise : celle-ci ne mourra point.
De plus, il ne faut pas, comme nos versions ordinaires, confondre le hadès, séjours des morts, avec l'enfer.