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La Bible en 3 ans - Jour 299

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    • 2 Rois 7

      1 Elisée répondit : —Ecoutez ce que dit l’Eternel. Voici ce qu’il déclare : « Demain, à cette heure, sur la place de Samarie à la porte de la ville, on vendra dix kilos de fine farine pour une pièce d’argent et vingt kilos d’orge pour le même prix. »
      2 L’aide de camp du roi qui l’accompagnait répondit à l’homme de Dieu : —Même si l’Eternel perçait des trous dans le ciel, comment pareille chose pourrait-elle se réaliser ? Elisée répliqua : —Tu le verras de tes propres yeux, mais tu n’en mangeras pas.
      3 Près de la porte d’entrée de la ville se trouvaient quatre lépreux. Ils se dirent l’un à l’autre : —A quoi bon rester ici à attendre la mort ?
      4 Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous y mourrons, car la famine y règne. Si nous restons ici, nous mourrons également. Venez, descendons plutôt au camp des Syriens et rendons-nous à eux ! S’ils nous laissent vivre, tant mieux, et s’ils nous font mourir, eh bien ! nous mourrons !
      5 Vers le soir, ils se préparèrent donc à descendre au camp des Syriens. Lorsqu’ils furent arrivés à la limite du camp, il n’y avait plus personne.
      6 Le Seigneur avait fait entendre aux assiégeants le bruit d’une grande armée venant avec des chars et des chevaux. Les Syriens s’étaient dit l’un à l’autre : —Le roi d’Israël a certainement enrôlé contre nous les rois des Hittites et les rois des Egyptiens pour qu’ils viennent nous attaquer.
      7 Ainsi, pour sauver leurs vies, ils se levèrent et s’enfuirent à la tombée de la nuit, abandonnant leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes et laissant leur camp tel quel.
      8 Lorsque les lépreux furent donc arrivés à la limite du camp, ils entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu’ils y trouvèrent. Puis ils emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements pour les cacher ailleurs. Ensuite, ils revinrent et pénétrèrent sous une autre tente, y prirent ce qu’ils trouvèrent et allèrent encore le cacher.
      9 Puis ils se dirent l’un à l’autre : —Ce n’est pas bien, ce que nous faisons là ! Ce jour est un jour de bonne nouvelle. Si nous gardons cette bonne nouvelle pour nous et si nous attendons qu’il fasse jour pour la publier, le châtiment nous atteindra. Venez maintenant, allons prévenir le palais royal.
      10 Ils retournèrent à la ville et appelèrent les sentinelles. Ils leur firent ce rapport : —Nous avons poussé jusqu’au camp des Syriens, et voici qu’il n’y a plus personne, on n’y entend plus une seule voix humaine ; il reste seulement des chevaux et des ânes attachés, les tentes ont été abandonnées telles quelles.
      11 Les sentinelles de la porte appelèrent quelqu’un de l’intérieur pour transmettre la nouvelle au palais royal.
      12 Le roi se leva au milieu de la nuit et dit à ses ministres : —A mon avis, voici ce que les Syriens sont en train de machiner contre nous : ils savent que nous sommes affamés, c’est pourquoi ils ont quitté leur camp pour se cacher dans la campagne. Ils doivent se dire : « Les assiégés vont sortir de la ville, alors nous les saisirons vivants et nous pénétrerons dans la ville. »
      13 L’un des ministres proposa la chose suivante : —On pourrait envoyer quelques hommes et les cinq chevaux qui nous restent encore dans la ville. Nous n’avons rien à y perdre, car ils connaîtront le même sort que celui de toute la multitude d’Israël qui reste dans la ville et qui va vers sa fin. Envoyons-les donc et nous verrons bien.
      14 On équipa donc deux chars attelés de chevaux, et le roi envoya une patrouille à la recherche de l’armée syrienne en leur disant d’aller voir ce qui se passait.
      15 La patrouille suivit les traces de l’armée syrienne jusqu’au *Jourdain. Les hommes virent la route toute jonchée de vêtements et de matériel que les Syriens avaient abandonnés dans leur précipitation. Ils revinrent faire leur rapport au roi.
      16 Alors le peuple de Samarie se précipita vers le camp des Syriens pour le piller. C’est ainsi que l’on put acheter dix kilos de fine farine ou vingt kilos d’orge pour une pièce d’argent, comme l’Eternel l’avait dit.
      17 Le roi avait chargé son aide de camp qui l’accompagnait de surveiller la porte de la ville, mais celui-ci fut piétiné là par la foule et il mourut, comme l’homme de Dieu l’avait annoncé au moment où le roi était venu le trouver.
      18 En effet, c’est à ce moment qu’il avait dit au roi : —Demain, à cette heure, sur la place de Samarie, à la porte de la ville, on pourra acheter vingt kilos d’orge ou dix kilos de fine farine pour une pièce d’argent.
      19 Et l’aide de camp lui avait répliqué : —Même si l’Eternel perçait des trous dans le ciel, comment pareille chose pourrait-elle se réaliser ? A quoi Elisée avait répondu : —Tu le verras de tes propres yeux, mais tu n’en mangeras pas.
      20 C’est bien en effet ce qui lui arriva : la foule le piétina à la porte de la ville, et il mourut.
    • 2 Rois 7

      1 Élisée répondit : « Écoutez tous ce que déclare le Seigneur : “Demain à la même heure, on ne payera qu’une pièce d’argent pour douze kilos de farine ou vingt-quatre kilos d’orge, au marché de Samarie.” »
      2 L’aide de camp du roi, celui qui l’accompagnait toujours, répliqua : « Même si le Seigneur envoyait du grain en perçant des trous dans la voûte du ciel, ce que tu viens de dire pourrait-il se réaliser ? » – « Eh bien, répondit Élisée, tu le verras, mais tu n’en profiteras pas. »
      3 Il y avait quatre lépreux, installés hors de la ville, près de la grande porte. Ils se dirent l’un à l’autre : « Pourquoi restons-nous ici en attendant la mort ?
      4 Si nous décidons d’entrer dans la ville, nous y mourrons parce qu’on n’y trouve plus rien à manger ; si nous restons ici, nous mourrons également ! Descendons plutôt au camp des Syriens et rendons-nous à eux ; s’ils nous laissent vivre, tant mieux, nous vivrons ; et s’ils nous font mourir, eh bien, nous mourrons ! »
      5 Vers le soir, ils descendirent donc en direction du camp des Syriens. Ils arrivèrent à la limite du camp, mais ils ne trouvèrent personne.
      6 En effet, dans le camp des Syriens, le Seigneur avait fait entendre le bruit d’une puissante armée, équipée de chevaux et de chars. Les Syriens s’étaient dit les uns aux autres : « Le roi d’Israël a payé les rois des Hittites et des Égyptiens pour qu’ils envoient leurs armées contre nous ! »
      7 A la nuit tombée, ils s’étaient donc enfuis pour sauver leur vie ; ils avaient abandonné leur camp tel qu’il était, laissant sur place les tentes, les chevaux et les ânes.
      8 Les quatre lépreux arrivèrent donc à la limite du camp. Ils entrèrent dans une tente, où ils mangèrent et burent ce qu’ils y trouvèrent ; puis ils emportèrent de l’argent, de l’or et des vêtements qu’ils allèrent cacher ailleurs ; ensuite ils entrèrent dans une autre tente et emportèrent divers objets qu’ils allèrent aussi cacher.
      9 Mais ils se dirent alors l’un à l’autre : « Ce que nous faisons là n’est pas bien : aujourd’hui nous connaissons une bonne nouvelle et nous la gardons pour nous. Si nous attendons qu’il fasse jour pour la publier, nous serons certainement punis. Allons ! Nous devons porter cette nouvelle au palais royal. »
      10 Ils retournèrent à la ville, appelèrent les sentinelles de la grande porte et les informèrent : « Nous sommes allés au camp des Syriens, dirent-ils ; il n’y a plus personne, nous n’avons pas entendu une voix humaine. Il ne reste que les chevaux et les ânes attachés et les tentes abandonnées. »
      11 Les sentinelles appelèrent aussitôt quelqu’un pour transmettre ce message à l’intérieur du palais royal.
      12 Le roi se leva, en pleine nuit, puis il dit à son entourage : « Je vais vous expliquer ce que les Syriens sont en train de nous préparer ! Ils savent que nous sommes affamés : c’est pourquoi ils ont quitté leur camp et sont allés se cacher dans la campagne. Ils se disent que nous sortirons de Samarie, et qu’alors ils pourront nous capturer vivants et pénétrer dans la ville. »
      13 Un des officiers proposa au roi : « Prenons cinq des chevaux qui sont encore vivants – de toute façon, ils risquent de mourir comme tous les habitants de la ville – et envoyons quelques hommes avec ces chevaux pour voir ce qui se passe. »
      14 Le roi fit donc atteler deux chars et envoya une patrouille pour rechercher l’armée syrienne et voir ce qui se passait.
      15 La patrouille suivit les traces de l’armée jusqu’au Jourdain ; tout le long du chemin, il y avait des quantités de vêtements et d’objets dont les Syriens s’étaient débarrassés pour fuir plus vite. Alors les envoyés revinrent en informer le roi.
      16 Aussitôt, les habitants de Samarie descendirent vers le camp abandonné par les Syriens, pour le piller. Et, comme le Seigneur l’avait annoncé, on ne paya qu’une pièce d’argent pour douze kilos de farine ou vingt-quatre kilos d’orge.
      17 Le roi avait ordonné à son aide de camp, celui qui l’accompagnait toujours, d’aller surveiller ce qui se passait au marché, à la porte de la ville ; mais la foule massée à cet endroit le piétina et il mourut, comme le prophète Élisée l’avait annoncé, lorsque le roi d’Israël était venu le trouver.
      18 En effet, Élisée avait annoncé au roi : « Demain à la même heure, on ne payera qu’une pièce d’argent pour vingt-quatre kilos d’orge ou douze kilos de farine, au marché de Samarie. »
      19 L’aide de camp du roi avait alors répliqué : « Même si le Seigneur envoyait du grain en perçant des trous dans la voûte du ciel, ce que tu viens de dire pourrait-il se réaliser ? », et Élisée lui avait répondu : « Tu le verras, mais tu n’en profiteras pas. »
      20 C’est bien ce qui arriva : la foule massée à la porte de la ville piétina l’aide de camp, qui mourut.
    • 2 Rois 7

      1 Alors Elisée dit : Ecoutez la parole de l'Eternel. Ainsi a dit l'Eternel : Demain à cette heure-ci [on donnera] le sat de fine farine pour un sicle, et les deux sats d'orge pour un sicle, à la porte de Samarie.
      2 Mais un capitaine, sur la main duquel le Roi s'appuyait, répondit à l'homme de Dieu, et dit : Quand l'Eternel ferait maintenant des ouvertures au ciel, cela arriverait-il ? Et Elisée dit : Voilà, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.
      3 Or il y avait à l'entrée de la porte quatre hommes lépreux, et ils dirent l'un à l'autre : Pourquoi demeurons-nous ici, jusqu'à ce que nous mourions ?
      4 Si nous parlons d'entrer dans la ville, la famine y est, et nous mourrons là ; et si nous demeurons ici, nous mourrons aussi. Maintenant donc venez, et glissons-nous au camp des Syriens ; s'ils nous laissent vivre, nous vivrons, et s'ils nous font mourir, nous mourrons.
      5 C'est pourquoi ils se levèrent avant le jour pour entrer au camp des Syriens, et ils vinrent jusqu'à l'un des bouts du camp, et voilà il n'y avait personne.
      6 Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chariots, et un bruit de chevaux, et un bruit d'une grande armée ; de sorte qu'ils avaient dit l'un à l'autre : Voilà le Roi d'Israël a payé les Rois des Héthiens, et les Rois des Egyptiens pour venir contre nous.
      7 C'est pourquoi ils s'étaient levés avant le point du jour, et s'étaient enfuis, et ils avaient laissé leurs tentes, leurs chevaux, leurs ânes, et le camp comme il était ; et ils s'étaient enfuis pour [sauver] leur vie.
      8 Ces lépreux-là donc entrèrent jusqu'à l'un des bouts du camp, puis ils vinrent dans une tente, ils mangèrent, ils burent, ils prirent de là de l'argent, de l'or, et des vêtements, et ils s'en allèrent, et les cachèrent. Après quoi ils retournèrent et entrèrent dans une autre tente, et prirent de là aussi [des mêmes choses], et s'en allèrent, et les cachèrent.
      9 Alors ils dirent l'un à l'autre : Nous ne faisons pas bien ; ce jour est un jour de bonnes nouvelles, et nous ne disons mot ! si nous attendons jusqu'à ce que le jour soit venu, l'iniquité nous trouvera ; maintenant donc venez, allons, et faisons-le savoir à la maison du Roi.
      10 Ils vinrent donc, et crièrent aux portiers de la ville, et leur firent entendre, en disant : Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voilà, il n'y a personne, et on n'y entend la voix d'aucun homme ; mais il y a seulement des chevaux attachés, et des ânes attachés, et les tentes sont comme elles étaient.
      11 Alors les portiers s'écrièrent ; et le firent entendre dans la maison du Roi.
      12 Et le Roi se leva de nuit, et dit à ses serviteurs : Je vous dirai maintenant ce que les Syriens nous auront fait. Ils ont connu que nous sommes affamés, et ils seront sortis du camp pour se cacher aux champs, disant : Quand ils seront sortis hors de la ville, nous les prendrons vifs, et nous entrerons dans la ville.
      13 Qu'on prenne tout-à-l'heure cinq des chevaux qui sont demeurés de reste dans la ville ; [car] voilà c'est presque tout ce qui est resté du grand nombre des chevaux d'Israël, c'est là presque tout ce qui n'a point été consumé de cette multitude [de chevaux] d'Israël, et envoyons voir ce que c'est.
      14 Ils prirent donc deux chevaux de chariot, et ainsi le Roi envoya après le camp des Syriens, en disant : Allez, et voyez.
      15 Et ils s'en allèrent après eux jusqu'au Jourdain, et voilà, le chemin était plein de vêtements, et de hardes que les Syriens avaient jetées en se hâtant ; puis les messagers retournèrent, et le rapportèrent au Roi.
      16 Alors le peuple sortit, et pilla le camp des Syriens, de sorte qu'on donna le sat de fine farine pour un sicle, et les deux sats d'orge pour un sicle, selon la parole de l'Eternel.
      17 Et le Roi donna charge de garder la porte, au capitaine, sur la main duquel il s'appuyait ; et le peuple le foula à la porte, tellement qu'il mourut, suivant ce que l'homme de Dieu avait dit, en parlant au Roi lorsqu'il était descendu vers lui.
      18 Car lorsque l'homme de Dieu avait parlé au Roi, en disant : Demain au matin à cette heure-ci, on donnera à la porte de Samarie les deux sats d'orge pour un sicle, et le sat de fine farine pour un sicle ;
      19 Ce capitaine-là avait répondu à l'homme de Dieu, et avait dit : Quand maintenant l'Eternel ferait des ouvertures au ciel, ce que tu dis pourrait-il arriver ? Et [l'homme de Dieu] avait dit : Voilà, tu le verras de tes yeux, mais tu n'en mangeras point.
      20 Il lui en arriva donc ainsi ; car le peuple le foula à la porte, de sorte qu'il mourut.
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