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La Bible en 3 ans - Jour 445

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Versets relatifs

    • Jean 11

      1 Or il y avait un certain homme malade, Lazare, de Béthanie, du village de Marie et de Marthe sa soeur.
      2 (Et c'était la Marie qui oignit le Seigneur d'un parfum et qui lui essuya les pieds avec ses cheveux, de laquelle Lazare, le malade, était le frère).
      3 Les soeurs donc envoyèrent vers lui, disant : Seigneur, voici, celui que tu aimes est malade.
      4 Jésus, l'ayant entendu, dit : Cette maladie n'est pas à la mort, mais pour la gloire de Dieu, afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle.
      5 Or Jésus aimait Marthe, et sa soeur, et Lazare.
      6 Après donc qu'il eut entendu que Lazare était malade, il demeura encore deux jours au lieu où il était.
      7 Puis après cela, il dit à ses disciples : Retournons en Judée.
      8 Les disciples lui disent : Rabbi, les Juifs cherchaient tout à l'heure à te lapider, et tu y vas encore !
      9 Jésus répondit : N'y a-t-il pas douze heures au jour ? Si quelqu'un marche de jour, il ne bronche pas, car il voit la lumière de ce monde ;
      10 mais si quelqu'un marche de nuit, il bronche, car la lumière n'est pas en lui.
      11 Il dit ces choses ; et après cela il leur dit : Lazare, notre ami, s'est endormi ; mais je vais pour l'éveiller.
      12 Les disciples donc lui dirent : Seigneur, s'il s'est endormi, il sera guéri.
      13 Jésus avait parlé de sa mort ; mais eux pensaient qu'il avait parlé du dormir du sommeil.
      14 Jésus leur dit donc alors ouvertement : Lazare est mort ;
      15 et je me réjouis, à cause de vous, de ce que je n'étais pas là, afin que vous croyiez. Mais allons vers lui.
      16 Thomas donc, appelé Didyme, dit à ses condisciples : Allons-y, nous aussi, afin que nous mourions avec lui.
      17 Jésus étant donc arrivé trouva qu'il était déjà depuis quatre jours dans le sépulcre.
      18 Béthanie était près de Jérusalem, à une distance d'environ quinze stades.
      19 Et plusieurs d'entre les Juifs étaient venus auprès de Marthe et de Marie, pour les consoler au sujet de leur frère.
      20 Marthe donc, quand elle eut ouï dire que Jésus venait, alla au-devant de lui ; mais Marie se tenait assise dans la maison.
      21 Marthe donc dit à Jésus : Seigneur, si tu eusses été ici mon frère ne serait pas mort ;
      22 mais même maintenant je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te le donnera.
      23 Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera.
      24 Marthe lui dit : Je sais qu'il ressuscitera en la résurrection, au dernier jour.
      25 Jésus lui dit : Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, encore qu'il soit mort, vivra ;
      26 et quiconque vit, et croit en moi, ne mourra point, à jamais. Crois-tu cela ?
      27 Elle lui dit : Oui, Seigneur, moi je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui vient dans le monde.
      28 Et ayant dit cela, elle s'en alla et appela secrètement Marie, sa soeur, disant : Le maître est venu, et il t'appelle.
      29 Celle-ci, aussitôt qu'elle l'eut entendu, se lève promptement et s'en vient à lui.
      30 (Or Jésus n'était pas encore arrivé dans le village ; mais il était au lieu où Marthe l'avait rencontré).
      31 Les Juifs donc qui étaient avec Marie dans la maison et qui la consolaient, ayant vu que Marie s'était levée promptement et était sortie, la suivirent, disant : Elle s'en va au sépulcre pour y pleurer.
      32 Marie donc, quand elle fut venue là où était Jésus, et qu'elle l'eut vu, se jeta à ses pieds, lui disant : Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort.
      33 Jésus donc, quand il la vit pleurer, et les Juifs qui étaient venus avec elle, pleurer, frémit en son esprit, et se troubla,
      34 et dit : Où l'avez-vous mis ? Ils lui disent : Seigneur, viens et vois.
      35 Jésus pleura.
      36 Les Juifs donc dirent : Voyez comme il l'affectionnait.
      37 Mais quelques-uns d'entre eux dirent : Celui-ci qui a ouvert les yeux de l'aveugle, n'aurait-il pas pu faire aussi que cet homme ne mourût pas ?
      38 Jésus donc, frémissant encore en lui-même, vient au sépulcre (or c'était une grotte, et il y avait une pierre dessus).
      39 Jésus dit : Otez la pierre. Marthe, la soeur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà, car il est là depuis quatre jours.
      40 Jésus lui dit : Ne t'ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ?
      41 Ils ôtèrent donc la pierre. Et Jésus leva les yeux en haut et dit : Père, je te rends grâces de ce que tu m'as entendu.
      42 Or moi je savais que tu m'entends toujours ; mais je l'ai dit à cause de la foule qui est autour de moi, afin qu'ils croient que toi, tu m'as envoyé.
      43 ayant dit ces choses, il cria à haute voix : Lazare, sors dehors !
      44 Et le mort sortit, ayant les pieds et les mains liés de bandes ; et son visage était enveloppé d'un suaire. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller.
      45 Plusieurs donc d'entre les Juifs qui étaient venus auprès de Marie, et qui avaient vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui ;
      46 mais quelques-uns d'entre eux s'en allèrent auprès des pharisiens et leur dirent ce que Jésus avait fait.
      47 Les principaux sacrificateurs et les pharisiens donc assemblèrent un sanhédrin, et dirent : Que faisons-nous ? car cet homme fait beaucoup de miracles.
      48 Si nous le laissons ainsi faire, tous croiront en lui, et les Romains viendront, et ôteront et notre lieu et notre nation.
      49 Et l'un d'entre eux, appelé Caïphe, qui était souverain sacrificateur cette année-là, leur dit :
      50 Vous ne savez rien, ni ne considérez qu'il nous est avantageux qu'un seul homme meure pour le peuple et que la nation entière ne périsse pas.
      51 Or il ne dit pas cela de lui-même ; mais étant souverain sacrificateur cette année-là, il prophétisa que Jésus allait mourir pour la nation ;
      52 et non pas seulement pour la nation, mais aussi pour rassembler en un les enfants de Dieu dispersés.
      53 Depuis ce jour-là donc, ils consultèrent ensemble pour le faire mourir.
      54 Jésus donc ne marcha plus ouvertement parmi les Juifs ; mais il s'en alla de là dans la contrée qui est près du désert, en une ville appelée Éphraïm ; et il séjourna là avec les disciples.
      55 Or la Pâque des Juifs était proche, et plusieurs montèrent de la campagne à Jérusalem, avant la Pâque, afin de se purifier.
      56 Ils cherchaient donc Jésus, et se disaient l'un à l'autre, comme ils étaient dans le temple : Que vous semble ? Pensez-vous qu'il ne viendra point à la fête ?
      57 Or les principaux sacrificateurs et les pharisiens avaient donné ordre que si quelqu'un savait où il était, il le déclarât, afin qu'on le prît.
    • Jean 11

      1 Il y avait un homme malade ; c'était Lazare de Béthanie, le village de Marie et de sa sœur Marthe.
      2 ? Marie était celle qui versa du parfum sur les pieds du Seigneur et qui les essuya avec ses cheveux ; c'était son frère Lazare qui était malade. ?
      3 Les sœurs envoyèrent dire à Jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. »
      4 A cette nouvelle, Jésus dit : « Cette maladie n'aboutira pas à la mort, mais elle servira à la gloire de Dieu, afin qu’à travers elle la gloire du Fils de Dieu soit révélée. »
      5 Or, Jésus aimait Marthe, sa sœur et Lazare.
      6 Quand il eut appris que Lazare était malade, il resta encore deux jours à l'endroit où il était.
      7 Puis il dit aux disciples : « Retournons en Judée. »
      8 Les disciples lui dirent : « Maître, tout récemment les Juifs cherchaient à te lapider et tu retournes là-bas ? »
      9 Jésus répondit : « N'y a-t-il pas douze heures de jour ? Si quelqu'un marche pendant le jour, il ne trébuche pas, parce qu'il voit la lumière de ce monde ;
      10 mais si quelqu'un marche pendant la nuit, il trébuche, parce que la lumière n'est pas en lui. »
      11 Après ces paroles, il leur dit : « Notre ami Lazare s'est endormi, mais je vais aller le réveiller. »
      12 Les disciples lui dirent : « Seigneur, s'il s'est endormi, il sera guéri. »
      13 En fait, Jésus avait parlé de la mort de Lazare, mais ils crurent qu'il parlait de l'assoupissement du sommeil.
      14 Jésus leur dit alors ouvertement : « Lazare est mort.
      15 Et à cause de vous, afin que vous croyiez, je me réjouis de ce que je n'étais pas là. Mais allons vers lui. »
      16 Là-dessus Thomas, appelé Didyme, dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, afin de mourir avec lui. »
      17 A son arrivée, Jésus trouva que Lazare était depuis quatre jours déjà dans le tombeau.
      18 Béthanie était près de Jérusalem, à moins de trois kilomètres,
      19 et beaucoup de Juifs étaient venus chez Marthe et Marie pour les consoler de la mort de leur frère.
      20 Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison.
      21 Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.
      22 [Cependant, ] même maintenant, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l'accordera. »
      23 Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. »
      24 « Je sais, lui répondit Marthe, qu'il ressuscitera lors de la résurrection, le dernier jour. »
      25 Jésus lui dit : « C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ;
      26 et toute personne qui vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
      27 Elle lui dit : « Oui, Seigneur, je crois que tu es le Messie, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde. »
      28 Après avoir dit cela, elle alla appeler secrètement sa sœur Marie en lui disant : « Le maître est ici et te demande. »
      29 A ces mots, Marie se leva sans attendre et alla vers lui.
      30 Jésus n'était pas encore entré dans le village, mais il était à l'endroit où Marthe l'avait rencontré.
      31 Les Juifs qui étaient avec Marie dans la maison et qui la consolaient la virent se lever soudain et sortir ; ils la suivirent en disant : « Elle va au tombeau pour y pleurer. »
      32 Marie arriva à l'endroit où était Jésus. Quand elle le vit, elle tomba à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. »
      33 En la voyant pleurer, elle et les Juifs venus avec elle, Jésus fut profondément indigné et bouleversé.
      34 Il dit : « Où l'avez-vous mis ? » « Seigneur, lui répondit-on, viens et tu verras. »
      35 Jésus pleura.
      36 Les Juifs dirent alors : « Voyez comme il l'aimait ! »
      37 Et quelques-uns d'entre eux dirent : « Lui qui a ouvert les yeux de l'aveugle, ne pouvait-il pas aussi faire en sorte que cet homme ne meure pas ? »
      38 Jésus, de nouveau profondément indigné, se rendit au tombeau. C'était une grotte ; une pierre fermait l'entrée.
      39 Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu'il est là. »
      40 Jésus lui dit : « Ne t'ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? »
      41 Ils enlevèrent donc la pierre [de l’endroit où le mort avait été déposé]. Jésus leva alors les yeux et dit : « Père, je te remercie de ce que tu m'as écouté.
      42 Pour ma part, je savais que tu m'écoutes toujours, mais j'ai parlé à cause de la foule qui m'entoure, afin qu'ils croient que c'est toi qui m'as envoyé. »
      43 Après avoir dit cela, il cria d'une voix forte : « Lazare, sors ! »
      44 Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés par des bandelettes et le visage enveloppé d'un linge. Jésus leur dit : « Détachez-le et laissez-le s’en aller. »
      45 Beaucoup de Juifs qui étaient venus auprès de Marie et qui virent ce que Jésus avait fait crurent en lui.
      46 Mais quelques-uns d'entre eux allèrent trouver les pharisiens et leur racontèrent ce que Jésus avait fait.
      47 Alors les chefs des prêtres et les pharisiens rassemblèrent le sanhédrin et dirent : « Qu'allons-nous faire ? En effet, cet homme fait beaucoup de signes miraculeux.
      48 Si nous le laissons faire, tous croiront en lui et les Romains viendront détruire et notre ville et notre nation. »
      49 L'un d'eux, Caïphe, qui était grand-prêtre cette année-là, leur dit : « Vous n'y comprenez rien ;
      50 vous ne réfléchissez pas qu'il est dans notre intérêt qu'un seul homme meure pour le peuple et que la nation tout entière ne disparaisse pas. »
      51 Or il ne dit pas cela de lui-même, mais comme il était grand-prêtre cette année-là, il prophétisa que Jésus devait mourir pour la nation.
      52 Et ce n'était pas pour la nation seulement, c'était aussi afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés.
      53 Dès ce jour, ils tinrent conseil pour le faire mourir.
      54 C'est pourquoi Jésus ne se montra plus ouvertement parmi les Juifs, mais il se retira dans la région voisine du désert, dans une ville appelée Ephraïm, où il resta avec ses disciples.
      55 La Pâque des Juifs était proche et beaucoup de gens montèrent de la campagne à Jérusalem avant la Pâque pour se purifier.
      56 Ils cherchaient Jésus et se disaient les uns aux autres dans le temple : « Qu'en pensez-vous ? Ne viendra-t-il pas à la fête ? »
      57 Or les chefs des prêtres et les pharisiens avaient donné l'ordre que, si quelqu'un savait où était Jésus, il le dénonce, afin qu'on l'arrête.
    • Jean 11

      1 Un homme appelé Lazare tomba malade. Il habitait Béthanie, le village où vivaient Marie et sa sœur Marthe.
      2 – Marie était cette femme qui répandit du parfum sur les pieds du Seigneur et les essuya avec ses cheveux, et c’était son frère Lazare qui était malade. –
      3 Les deux sœurs envoyèrent quelqu’un dire à Jésus : « Seigneur, ton ami est malade. »
      4 Lorsque Jésus apprit cette nouvelle, il dit : « La maladie de Lazare ne le fera pas mourir ; elle doit servir à montrer la puissance glorieuse de Dieu et à manifester ainsi la gloire du Fils de Dieu. »
      5 Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare.
      6 Or, quand il apprit que Lazare était malade, il resta encore deux jours à l’endroit où il se trouvait,
      7 puis il dit à ses disciples : « Retournons en Judée. »
      8 Les disciples lui répondirent : « Maître, il y a très peu de temps on cherchait à te tuer à coups de pierres là-bas et tu veux y retourner ? »
      9 Jésus leur dit : « Il y a douze heures dans le jour, n’est-ce pas ? Si quelqu’un marche pendant le jour, il ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde.
      10 Mais si quelqu’un marche pendant la nuit, il trébuche, parce qu’il n’y a pas de lumière en lui. »
      11 Après avoir dit cela, Jésus ajouta : « Notre ami Lazare s’est endormi, mais je vais aller le réveiller. »
      12 Les disciples répondirent : « Seigneur, s’il s’est endormi, il guérira. »
      13 En fait, Jésus avait parlé de la mort de Lazare, mais les disciples pensaient qu’il parlait du sommeil ordinaire.
      14 Jésus leur dit alors clairement : « Lazare est mort.
      15 Je me réjouis pour vous de n’avoir pas été là-bas, parce que ainsi vous croirez en moi. Mais allons auprès de lui. »
      16 Alors Thomas – surnommé le Jumeau – dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, pour mourir avec notre Maître ! »
      17 Quand Jésus arriva, il apprit que Lazare était dans la tombe depuis quatre jours déjà.
      18 Béthanie est proche de Jérusalem, à moins de trois kilomètres,
      19 et beaucoup de Juifs étaient venus chez Marthe et Marie pour les consoler de la mort de leur frère.
      20 Quand Marthe apprit que Jésus arrivait, elle partit à sa rencontre ; mais Marie resta assise à la maison.
      21 Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.
      22 Mais je sais que même maintenant Dieu te donnera tout ce que tu lui demanderas. »
      23 Jésus lui dit : « Ton frère se relèvera de la mort. »
      24 Marthe répondit : « Je sais qu’il se relèvera lors de la résurrection des morts, au dernier jour. »
      25 Jésus lui dit : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt ;
      26 et celui qui vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » –
      27 « Oui, Seigneur, répondit-elle, je crois que tu es le Messie, le Fils de Dieu, celui qui devait venir dans le monde. »
      28 Sur ces mots, Marthe s’en alla appeler sa sœur Marie et lui dit tout bas : « Le Maître est là et il te demande de venir. »
      29 Dès que Marie eut entendu cela, elle se leva et courut au-devant de Jésus.
      30 Or, Jésus n’était pas encore entré dans le village, mais il se trouvait toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré.
      31 Quand les Juifs qui étaient dans la maison avec Marie pour la consoler la virent se lever et sortir en hâte, ils la suivirent. Ils pensaient qu’elle allait au tombeau pour y pleurer.
      32 Marie arriva là où se trouvait Jésus ; dès qu’elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. »
      33 Jésus vit qu’elle pleurait, ainsi que ceux qui étaient venus avec elle. Il en fut profondément ému et troublé,
      34 et il leur demanda : « Où l’avez-vous mis ? » Ils lui répondirent : « Seigneur, viens et tu verras. »
      35 Jésus pleura.
      36 Les Juifs dirent alors : « Voyez comme il l’aimait ! »
      37 Mais quelques-uns d’entre eux dirent : « Lui qui a guéri les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas aussi empêcher Lazare de mourir ? »
      38 Jésus, de nouveau profondément ému, se rendit au tombeau. C’était une caverne, dont l’entrée était fermée par une grosse pierre.
      39 « Enlevez la pierre », dit Jésus. Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Seigneur, il doit sentir mauvais, car il y a déjà quatre jours qu’il est ici. »
      40 Jésus lui répondit : « Ne te l’ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. »
      41 On enleva donc la pierre. Jésus leva les yeux vers le ciel et dit : « Père, je te remercie de m’avoir écouté.
      42 Je sais que tu m’écoutes toujours, mais je le dis à cause de ces gens qui m’entourent, afin qu’ils croient que tu m’as envoyé. »
      43 Cela dit, il cria très fort : « Lazare, sors de là ! »
      44 Le mort sortit, les pieds et les mains entourés de bandes et le visage enveloppé d’un linge. Jésus dit alors : « Déliez-le et laissez-le aller. »
      45 Beaucoup de Juifs, parmi ceux qui étaient venus chez Marie et avaient vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui.
      46 Mais quelques-uns d’entre eux allèrent trouver les Pharisiens et leur racontèrent ce que Jésus avait fait.
      47 Les chefs des prêtres et les Pharisiens réunirent alors le Conseil supérieur et dirent : « Qu’allons-nous faire ? Car cet homme réalise beaucoup de signes miraculeux !
      48 Si nous le laissons agir ainsi, tous croiront en lui, puis les autorités romaines interviendront et détruiront notre temple et notre nation ! »
      49 L’un d’entre eux, nommé Caïphe, qui était grand-prêtre cette année-là, leur dit : « Vous n’y comprenez rien !
      50 Ne saisissez-vous pas qu’il est de votre intérêt qu’un seul homme meure pour le peuple et qu’ainsi la nation entière ne soit pas détruite ? »
      51 Or, ce n’est pas de lui-même qu’il disait cela ; mais, comme il était grand-prêtre cette année-là, il prophétisait que Jésus devait mourir pour la nation juive,
      52 et non seulement pour cette nation, mais aussi pour rassembler en un seul corps tous les enfants de Dieu dispersés.
      53 Dès ce jour-là, les autorités juives décidèrent de faire mourir Jésus.
      54 C’est pourquoi Jésus cessa d’aller et venir en public parmi les Juifs. Il se rendit dans une région voisine du désert, dans une localité appelée Éfraïm, où il resta avec ses disciples.
      55 La fête juive de la Pâque était proche, et beaucoup de gens du pays se rendirent à Jérusalem pour se purifier avant cette fête.
      56 Ils cherchaient Jésus et, alors qu’ils se tenaient dans le temple, ils se demandaient les uns aux autres : « Qu’en pensez-vous ? Viendra-t-il à la fête ou non ? »
      57 Les chefs des prêtres et les Pharisiens avaient ordonné que si quelqu’un savait où était Jésus, il devait les avertir, afin qu’on puisse l’arrêter.
    • Jean 11

      1

      La maladie de Lazare. (Jean 11:1-6)
      Christ revient en Judée. (Jean 11:7-10)
      La mort de Lazare. (Jean 11:11-16)
      Christ arrive à Béthanie. (Jean 11:17-32)
      Il ressuscite Lazare. (Jean 11:33-46)
      Les pharisiens complotent contre Jésus. (Jean 11:47-53)
      Les Juifs recherchent Jésus. (Jean 11:54-57)

      Il n’est pas nouveau de voir certaines personnes, aimées de Christ, tomber malades ; les disfonctionnements corporels nous rappellent notre faiblesse, ils manifestent aussi souvent la Grâce de Dieu à l’égard de Son peuple.

      Jésus n'est pas venu ici-bas pour nous préserver des afflictions, mais pour nous sauver de nos péchés, et de la colère divine à venir ; il nous incombe cependant de recourir à la Puissance du Seigneur, quand nos parents ou nos amis sont malades ou dans l’affliction. Puissions-nous être spirituellement « en phase » avec les actions parfois incompréhensibles de la Providence divine, afin qu’elles manifestent toutes la Gloire de Dieu, que ce soit dans la maladie, les déceptions, voire le décès d’un proche... Si Dieu en ressort glorifié, nous en serons alors les plus heureux !

      Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Les familles dans lesquelles l'amour et la paix abondent, sont grandement privilégiées ; quant à celles que Jésus aime, et au sein desquelles Il est le « bien-aimé », elles sont encore plus heureuses. Ce cas semble hélas assez rare...

      Dieu accorde toujours Sa Grâce, même si Elle semble parfois tarder. Quand l'œuvre de délivrance est différée, qu’elle soit matérielle ou spirituelle, publique ou personnelle, elle s'accomplit toujours au temps marqué par le Seigneur !

      7 Christ ne pousse jamais les Siens à braver le danger seuls : Il les accompagne toujours !

      Nous avons quelquefois tendance à estimer que nous sommes suffisamment zélés pour le Seigneur, alors qu’en réalité nous ne le sommes souvent que pour assurer notre richesse, notre réputation, nos aises, et notre sécurité ; en fait, nous avons besoin de tester réellement nos motivations...

      Le temps nécessaire à notre ministère et à notre témoignage nous sera toujours octroyé par le Seigneur jusqu’à ce que notre tâche soit terminée. Un homme trouve toujours le réconfort et la satisfaction spirituelle tant qu'il est sur le chemin du devoir, conformément à la parole de Dieu et pleinement dirigé par la Providence divine.

      Christ, où qu'Il pût aller, marchait durant le jour : il en sera ainsi pour nous, si nous suivons Ses pas. Si un homme marche selon la voie de son cœur, dans le train de ce monde, s'il se fie davantage à ses propres raisonnements charnels plutôt qu’à la Volonté et à la Puissance divines, il succombe alors aux tentations et aux pièges. Il trébuche parce qu'il n'y a pas de lumière en lui ; la lumière spirituelle qui est en nous est un véritable guide pour nos actions morales : cette lumière éclaire alors tous nos faits et gestes !

      11 Puisque nous sommes certains de ressusciter au dernier jour, pourquoi l'espérance de cette résurrection à la vie éternelle ne nous ôterait-t-elle pas toute crainte de quitter notre corps et de mourir ? Ce passage dans l’au-delà consiste en fait à nous dévêtir de notre parure mortelle et à nous « endormir ».

      Un véritable chrétien ne dort que lorsqu'il meurt ; il se repose des travaux « du jour ». La mort est préférable au sommeil, car ce dernier n’est qu’un court repos, alors que la mort est la fin des soucis et des labeurs terrestres.

      Les disciples pensaient qu'il était maintenant inutile pour Christ d'aller voir Lazare, et de se montrer au peuple... Quand il y a un risque à pratiquer de bonnes œuvres, nous espérons alors que d’autres s’en chargeront ! Quand Jésus a ressuscité Lazare, beaucoup furent amenés à croire en Lui, et la foi de ceux qui croyaient déjà, fut affermie.

      Approchons-nous de Christ ; la mort ne peut pas nous séparer de Son amour, ni nous mettre hors de portée de Son appel. Comme le fit Thomas dans ce texte, les chrétiens doivent s'encourager mutuellement dans les moments difficiles.

      L’obéissance du Seigneur Jésus, lors de Sa mort à la croix, doit nous inciter à accepter sereinement de mourir, à l'heure où Dieu nous appelle...

      17 Nous trouvons dans ce texte une maison où il y avait la crainte de Dieu, et sur laquelle la bénédiction reposait ; c’était cependant une maison en deuil... La Grâce est capable de soulager la peine du cœur, mais pas la tristesse d’une demeure.

      Lorsque Dieu, par Sa Grâce et Sa Providence, s’approche de nous, plein de miséricorde, nous devons, comme Marthe, marcher par la foi, l'espérance et la prière, afin de Le rencontrer. Quand Marthe est allée à la rencontre de Jésus, Marie était encore assise dans la maison ; cette attitude avait été quelque temps auparavant, louée par le Seigneur, alors qu’elle était à Ses pieds pour entendre Sa Parole ; mais aujourd’hui, au jour de la détresse, le cœur de Marie était mélancolique.

      Il est sage de veiller à ne pas céder aux tentations, et chercher à ne pas tomber dans la moindre faiblesse à cet égard. Lorsque nous ne savons pas très bien ce que nous devons demander ou attendre du Seigneur, remettons Lui toutes choses ; laissons Le opérer comme bon Lui semble, ce sera bien !.

      Pour affermir l’espérance de Marthe, notre Seigneur lui déclara qu'Il était Lui-même la Résurrection et la Vie. Dans tous les sens du terme, Il est « la » Résurrection, la source, la substance, les prémices et la cause de la vie. Après la mort, l'âme rachetée vit dans la félicité ; après la résurrection, le corps et l'âme sont gardés ensemble de tout mal, pour toujours.

      Lorsque nous avons lu ou entendu dans la Parole de Dieu, tout ce qui concerne le « grandiose » de l'au-delà, nous pouvons alors nous demander : « crois-tu vraiment tout cela » ? Les épreuves, comme les consolations éphémères de ce monde peuvent nous paraître bien faibles, comparées à la félicité éternelle !

      Lorsque Christ, notre Maître s’approche de nous, Il nous appelle. Il vient Lui-même avec Sa Parole et Ses ordonnances et nous invite à les observer ; ceux qui, paisiblement, sont « assis spirituellement »aux pieds du Seigneur, afin d’être enseignés, peuvent trouver toute consolation au jour de l’épreuve : restez à Ses pieds pour trouver Sa faveur !

      33 Nous voyons dans ce texte l’émotion que Jésus manifeste envers la famille de Lazare : cela prouve la tendre affection qu’Il avait à son égard.

      Devant toutes les afflictions des croyants, Jésus est affligé. Son inquiétude pour eux apparaît dans Sa question au sujet de la dépouille de Son ami décédé. Ayant revêtu ici-bas une nature humaine, Christ réagit comme un homme. Il l'a démontré par Ses larmes, lors de cette scène de la mort de Lazare...

      Christ était un homme de douleurs, habitué à la souffrance. Il versa des larmes de compassion. Il n'a jamais affiché ce genre de fausse sensibilité de laquelle beaucoup se glorifient devant la moindre détresse des autres, mais qui en réalité, demeurent, le cœur endurci, face au véritable malheur. Jésus nous laisse ici un exemple, en quittant le côté plaisant de Son ministère, afin de consoler cette famille affligée.

      Nous n'avons pas un « Souverain Sacrificateur » qui ne puisse pas compatir à nos infirmités. Pour ramener une âme à la vie, le premier pas consiste à ôter la dalle du « sépulcre spirituel » dans laquelle elle se trouve : elle outrepasse alors les divers préjugés qui pourraient la retenir et le chemin est tout tracé pour laisser la Parole entrer dans son cœur.

      Si nous saisissons la Parole de Christ, en comptant sur Son pouvoir et Sa fidélité, nous verrons alors la Gloire de Dieu : nous connaîtrons la félicité ! Notre Seigneur Jésus nous a enseigné, par Son propre exemple, à invoquer Dieu le Père dans la prière ; Il nous a commandé de nous approcher de Lui, tels des enfants vers leur père, en toute humilité, mais cependant avec une « sainte hardiesse ». Christ a ouvertement manifesté cette attitude devant Dieu, devant le tombeau de Lazare, en élevant les yeux et d'une voix forte, afin que tous puissent être convaincus que le Père L'avait envoyé en tant Fils bien-aimé, en ce monde.

      Jésus aurait pu ressusciter Lazare discrètement, par Son pouvoir et par l'action invisible de l'Esprit de vie ; mais il l'a fait par un appel retentissant. C'est une image de l'appel de l'évangile, par lequel les âmes spirituellement mortes sortent de la « tombe du péché » : au son de la trompette de l'archange, au « dernier jour », tous ceux qui dorment dans la poussière seront réveillés et appelés devant le grand tribunal.

      Le « sépulcre » du péché, le monde, n’est pas un lieu où doivent rester définitivement ceux à qui Christ a donné Sa vie : ils doivent en sortir. Lazare a été totalement ranimé : il a non seulement recouvré la vie, mais aussi la santé. Le pécheur est incapable de régénérer seul son âme, il doit pour cela utiliser la Grâce ; le croyant ne peut pas se sanctifier lui-même, mais il doit d’abord se débarrasser de tout obstacle et de tout fardeau spirituels.

      Nous sommes incapables de convertir nos parents et nos amis à Christ, par contre, nous devons les instruire, les prévenir, et les inviter à s’approcher de Lui !

      47 Il semble, d’après ce texte, qu'il soit difficile de constater plus clairement la folie qui règne dans le cœur de l'homme et l’inimitié irrémédiable de ce dernier envers Dieu.

      De toute évidence, les paroles prophétiques de ce souverain sacrificateur ne manifestaient pas une abondance de Grâce en son cœur. Quand nous cherchons à fuir la calamité en pratiquant le péché, nous ne faisons en réalité qu’attirer cette dernière sur notre tête ; il en est de même pour ceux qui pensent qu’en s'opposant au Royaume de Christ, leurs intérêts ici-bas ne pourront que croître : le sort réservé aux méchants les atteindra inexorablement...

      Lorsque les âmes se convertissent à Christ, elles se rassemblent spirituellement autour de Lui ; Il est leur Souverain et leur Refuge, Il est mort dans ce but ! Par cette mort, Il a racheté ces âmes pour Lui-même, pour leur octroyer ensuite le Saint-Esprit ; en cet Amour manifesté à la croix, les croyants sont alors étroitement unis !

      54 Avant de célébrer le Seigneur, par notre « Pâque spirituelle », nous devons nous purifier, et renouveler notre repentance.

      Par une purification volontaire, ces Juifs témoignaient d’une réelle piété et d’une grande dévotion, en passant un certain temps à Jérusalem, avant la pâque.

      Quand nous espérons rencontrer Dieu, nous devons nous y préparer solennellement. Aucun stratagème humain ne peut changer les desseins de Dieu : alors que les hommes affichent parfois leur piété hypocrite sous différentes formes, et poursuivent leurs propres plans, Jésus conduit toutes choses, pour Sa propre Gloire et le salut de Son peuple !

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