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La Bible en 3 ans - Jour 453

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Versets relatifs

    • Jean 19

      1 Alors donc Pilate prit Jésus et le fit fouetter.
      2 Et les soldats, ayant tressé une couronne d'épines, la mirent sur sa tête, et le vêtirent d'un vêtement de pourpre,
      3 et vinrent à lui et dirent : Salut, roi des Juifs ! Et ils lui donnaient des soufflets.
      4 Et Pilate sortit encore et leur dit : Voici, je vous l'amène dehors, afin que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun crime.
      5 Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d'épines et le vêtement de pourpre. Et il leur dit : Voici l'homme !
      6 Quand donc les principaux sacrificateurs et les huissiers le virent, ils s'écrièrent, disant : Crucifie, crucifie-le ! Pilate leur dit : Prenez-le, vous, et le crucifiez ; car moi je ne trouve pas de crime en lui.
      7 Les Juifs lui répondirent : Nous avons une loi, et selon notre loi il doit mourir, car il s'est fait Fils de Dieu.
      8 Quand donc Pilate entendit cette parole, il craignit davantage,
      9 et il entra de nouveau dans le prétoire, et dit à Jésus : D'où es-tu ? Et Jésus ne lui donna pas de réponse.
      10 Pilate donc lui dit : Ne me parles-tu pas ? Ne sais-tu pas que j'ai le pouvoir de te relâcher, et que j'ai le pouvoir de te crucifier ?
      11 Jésus répondit : Tu n'aurais aucun pouvoir contre moi, s'il ne t'était donné d'en haut ; c'est pourquoi celui qui m'a livré à toi a plus de péché.
      12 Dès lors Pilate cherchait à le relâcher ; mais les Juifs criaient, disant : Si tu relâches celui-ci, tu n'es pas ami de César ; quiconque se fait roi, s'oppose à César.
      13 Pilate donc, ayant entendu ces paroles, amena Jésus dehors, et s'assit sur le tribunal, dans le lieu appelé le Pavé,
      14 et en hébreu Gabbatha ; (or c'était la Préparation de la Pâque, c'était environ la sixième heure ;) et il dit aux Juifs : Voici votre roi !
      15 Mais ils crièrent : Ote, ôte ! crucifie-le ! Pilate leur dit : Crucifierai-je votre roi ? Les principaux sacrificateurs répondirent : Nous n'avons pas d'autre roi que César.
      16 Alors donc il le leur livra pour être crucifié ; et ils prirent Jésus, et l'emmenèrent.
      17 Et il sortit portant sa croix, et s'en alla au lieu appelé lieu du crâne, qui est appelé en hébreu Golgotha,
      18 où ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu.
      19 Et Pilate fit aussi un écriteau, et le plaça sur la croix ; et il y était écrit : Jésus le Nazaréen, le roi des Juifs.
      20 Plusieurs des Juifs donc lurent cet écriteau, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville ; et il était écrit en hébreu, en grec, en latin.
      21 Les principaux sacrificateurs des Juifs donc dirent à Pilate : N'écris pas : Le roi des Juifs ; mais que lui a dit : Je suis le roi des Juifs.
      22 Pilate répondit : Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit.
      23 Les soldats donc, quand ils eurent crucifié Jésus, prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une part pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique. Or la tunique était sans couture, tissée tout d'une pièce depuis le haut jusqu'en bas.
      24 Ils dirent donc entre eux : Ne la déchirons pas, mais jetons-la au sort, à qui elle sera, -afin que l'écriture fût accomplie, qui dit :" Ils ont partagé entre eux mes vêtements, et ils ont jeté le sort sur ma robe ". Les soldats donc firent ces choses.
      25 Or, près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère, et la soeur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala.
      26 Jésus donc voyant sa mère, et le disciple qu'il aimait se tenant là, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils.
      27 Puis il dit au disciple : Voila ta mère. Et dès cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
      28 Après cela Jésus, sachant que toutes choses étaient déjà accomplies, dit, afin que l'écriture fût accomplie : J'ai soif.
      29 Il y avait donc là un vase plein de vinaigre. Et ils emplirent de vinaigre une éponge, et, l'ayant mise sur de l'hysope, ils la lui présentèrent à la bouche.
      30 Quand donc Jésus eut pris le vinaigre, il dit : C'est accompli. Et ayant baissé la tête, il remit son esprit.
      31 Les Juifs donc, afin que les corps ne demeurassent pas sur la croix en un jour de sabbat, puisque c'était la Préparation (car le jour de ce sabbat-là était grand), firent à Pilate la demande qu'on leur rompît les jambes, et qu'on les ôtât.
      32 Les soldats donc vinrent et rompirent les jambes du premier, et de l'autre qui était crucifié avec lui.
      33 Mais étant venus à Jésus, comme ils virent qu'il était déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes ;
      34 mais l'un des soldats lui perça le côté avec une lance ; et aussitôt il en sortit du sang et de l'eau.
      35 Et celui qui l'a vu rend témoignage ; et son témoignage est véritable ; et lui sait qu'il dit vrai, afin que vous aussi vous croyiez.
      36 Car ces choses sont arrivées afin que l'écriture fût accomplie :" Pas un de ses os ne sera cassé ".
      37 Et encore une autre écriture dit :" Ils regarderont vers celui qu'ils ont percé ".
      38 après ces choses, Joseph d'Arimathée, qui était disciple de Jésus, en secret toutefois par crainte des Juifs, fit à Pilate la demande d'ôter le corps de Jésus ; et Pilate le permit. Il vint donc et ôta le corps de Jésus.
      39 Nicodème aussi, celui qui au commencement était allé de nuit à Jésus, vint, apportant une mixtion de myrrhe et d'aloès, d'environ cent livres.
      40 Ils prirent donc le corps de Jésus, et l'enveloppèrent de linges, avec les aromates, comme les Juifs ont coutume d'ensevelir.
      41 Or il y avait, au lieu où il avait été crucifié, un jardin, et dans le jardin un sépulcre neuf, dans lequel personne n'avait jamais été mis.
      42 Ils mirent donc Jésus là, à cause de la Préparation des Juifs, parce que le sépulcre était proche.
    • Jean 19

      1 Alors Pilate ordonna de prendre Jésus et de le fouetter.
      2 Les soldats tressèrent une couronne d'épines qu'ils posèrent sur sa tête et lui mirent un manteau de couleur pourpre.
      3 Puis, [s'approchant de lui] ils disaient : « Salut, roi des Juifs ! » et ils lui donnaient des gifles.
      4 Pilate sortit de nouveau et dit aux Juifs : « Voilà, je vous l'amène dehors afin que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de le condamner. »
      5 Jésus sortit donc, portant la couronne d'épines et le manteau de couleur pourpre. Pilate leur dit : « Voici l'homme. »
      6 Lorsque les chefs des prêtres et les gardes le virent, ils s'écrièrent : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et crucifiez-le, car pour ma part, je ne trouve en lui aucun motif de le condamner. »
      7 Les Juifs lui répondirent : « Nous avons une loi et, d’après notre loi, il doit mourir parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. »
      8 Quand il entendit cette parole, Pilate eut très peur.
      9 Il rentra dans le prétoire et dit à Jésus : « D'où es-tu ? » mais Jésus ne lui donna aucune réponse.
      10 Pilate lui dit : « C'est à moi que tu refuses de parler ? Ne sais-tu pas que j'ai le pouvoir de te relâcher et que j'ai le pouvoir de te crucifier ? »
      11 Jésus répondit : « Tu n'aurais aucun pouvoir sur moi s'il ne t'avait pas été donné d'en haut. C'est pourquoi celui qui me livre à toi est coupable d'un plus grand péché. »
      12 Dès ce moment-là, Pilate chercha à le relâcher, mais les Juifs criaient : « Si tu le relâches, tu n'es pas l'ami de l'empereur. Tout homme qui se fait roi se déclare contre l'empereur. »
      13 Après avoir entendu ces paroles, Pilate amena Jésus dehors et siégea au tribunal à l'endroit appelé « le Pavé », en hébreu Gabbatha.
      14 C'était le jour de la préparation de la Pâque, il était environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. »
      15 Ils s'écrièrent alors : « A mort ! A mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Dois-je crucifier votre roi ? » Les chefs des prêtres répondirent : « Nous n'avons pas d'autre roi que l'empereur. »
      16 Alors il le leur livra pour qu'il soit crucifié. Ils prirent donc Jésus et l'emmenèrent.
      17 Jésus, portant sa croix, sortit de la ville pour aller vers l’endroit appelé « le Crâne », qui se dit en hébreu Golgotha.
      18 C'est là qu'ils le crucifièrent, et avec lui deux autres, un de chaque côté et Jésus au milieu.
      19 Pilate rédigea aussi un écriteau qu'il plaça sur la croix ; il y était écrit : « Jésus de Nazareth, le roi des Juifs. »
      20 Beaucoup de Juifs lurent cette inscription parce que l'endroit où Jésus fut crucifié était près de la ville. Elle était écrite en hébreu, en grec et en latin.
      21 Les chefs des prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N'écris pas : ‘Le roi des Juifs’, mais plutôt : ‘Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.’ »
      22 Pilate répondit : « Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. »
      23 Après avoir crucifié Jésus, les soldats prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique, qui était sans couture, d'une seule pièce depuis le haut jusqu'en bas. Ils se dirent entre eux :
      24 « Ne la déchirons pas, mais tirons au sort pour savoir à qui elle sera. » C'est ainsi que s'accomplit cette parole de l'Ecriture : Ils se sont partagé mes vêtements et ils ont tiré au sort mon habit. Voilà ce que firent les soldats.
      25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère, la sœur de sa mère, Marie la femme de Clopas et Marie de Magdala.
      26 Jésus vit sa mère et, près d'elle, le disciple qu'il aimait. Il dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
      27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès ce moment-là, le disciple la prit chez lui.
      28 Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà accompli, dit, afin que l'Ecriture se réalise pleinement : « J'ai soif. »
      29 Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge, la fixèrent à une branche d'hysope et l'approchèrent de sa bouche.
      30 Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : « Tout est accompli. » Puis il baissa la tête et rendit l'esprit.
      31 C'était la préparation de la Pâque et ce sabbat allait être un jour solennel. Craignant que les corps ne restent en croix pendant le sabbat, les Juifs demandèrent à Pilate qu'on brise les jambes aux crucifiés et qu'on enlève les corps.
      32 Les soldats vinrent donc briser les jambes du premier, puis du second des condamnés qui avaient été crucifiés avec Jésus.
      33 Quand ils s'approchèrent de lui, ils virent qu'il était déjà mort. Ils ne lui brisèrent pas les jambes,
      34 mais un des soldats lui transperça le côté avec une lance et aussitôt il en sortit du sang et de l'eau.
      35 Celui qui a vu ces choses en rend témoignage et son témoignage est vrai. Il sait qu'il dit la vérité afin que vous croyiez aussi.
      36 En effet, cela est arrivé afin que ce passage de l'Ecriture soit accompli : Aucun de ses os ne sera brisé.
      37 Ailleurs l'Ecriture dit encore : Ils verront celui qu'ils ont transpercé.
      38 Après cela, Joseph d'Arimathée, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des chefs juifs, demanda à Pilate la permission d'enlever le corps de Jésus. Pilate le lui permit. Il vint donc et enleva le corps de Jésus.
      39 Nicodème, l'homme qui auparavant était allé trouver Jésus de nuit, vint aussi. Il apportait un mélange d'environ 30 kilos de myrrhe et d'aloès.
      40 Ils prirent donc le corps de Jésus et l'enveloppèrent de bandelettes, avec les aromates, comme c'est la coutume d'ensevelir chez les Juifs.
      41 Or, il y avait un jardin à l'endroit où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un tombeau neuf où personne encore n'avait été mis.
      42 Ce fut là qu'ils déposèrent Jésus parce que c’était la préparation de la Pâque des Juifs et que le tombeau était proche.
    • Jean 19

      1 Alors Pilate ordonna d’emmener Jésus et de le frapper à coups de fouet.
      2 Les soldats tressèrent une couronne avec des branches épineuses et la posèrent sur la tête de Jésus ; ils le revêtirent aussi d’un manteau rouge.
      3 Ils s’approchaient de lui et lui disaient : « Salut, roi des Juifs ! » Et ils lui donnaient des gifles.
      4 Pilate sortit une nouvelle fois et dit à la foule : « Eh bien, je vais vous l’amener ici, dehors, afin que vous compreniez que je ne trouve aucune raison de condamner cet homme. »
      5 Jésus sortit donc ; il portait la couronne d’épines et le manteau rouge. Et Pilate leur dit : « Voilà l’homme ! »
      6 Mais lorsque les chefs des prêtres et les gardes le virent, ils crièrent : « Cloue-le sur une croix ! Cloue-le sur une croix ! » Pilate leur dit : « Allez le clouer vous-mêmes sur une croix, car je ne trouve personnellement aucune raison de le condamner. »
      7 Les Juifs lui répondirent : « Nous avons une loi, et selon cette loi il doit mourir, car il a prétendu être le Fils de Dieu. »
      8 Quand Pilate entendit ces mots, il eut encore plus peur.
      9 Il rentra dans le palais et demanda à Jésus : « D’où es-tu ? » Mais Jésus ne lui donna pas de réponse.
      10 Pilate lui dit alors : « Tu ne veux pas me répondre ? Ne sais-tu pas que j’ai le pouvoir de te relâcher et aussi celui de te faire clouer sur une croix ? »
      11 Jésus lui répondit : « Tu n’as aucun pouvoir sur moi à part celui que Dieu t’a accordé. C’est pourquoi, l’homme qui m’a livré à toi est plus coupable que toi. »
      12 Dès ce moment, Pilate cherchait un moyen de relâcher Jésus. Mais les Juifs se mirent à crier : « Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de l’empereur ! Quiconque se prétend roi est un ennemi de l’empereur ! »
      13 Quand Pilate entendit ces mots, il fit amener Jésus dehors ; il s’assit sur le siège du juge à l’endroit appelé « Place pavée » – qu’on nomme « Gabbatha » en hébreu –.
      14 C’était le jour qui précédait la fête de la Pâque, vers midi. Pilate dit aux Juifs : « Voilà votre roi ! »
      15 Mais ils se mirent à crier : « A mort ! A mort ! Cloue-le sur une croix ! » Pilate leur dit : « Faut-il que je cloue votre roi sur une croix ? » Les chefs des prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. »
      16 Alors Pilate leur livra Jésus, pour qu’on le cloue sur une croix. Ils emmenèrent donc Jésus.
      17 Celui-ci dut porter lui-même sa croix pour sortir de la ville et aller à un endroit appelé « le lieu du Crâne » – qu’on nomme « Golgotha » en hébreu –.
      18 C’est là que les soldats clouèrent Jésus sur la croix. En même temps, ils mirent deux autres hommes en croix, de chaque côté de Jésus, qui se trouvait ainsi au milieu.
      19 Pilate ordonna aussi de faire un écriteau et de le mettre sur la croix ; il portait cette inscription : « Jésus de Nazareth, le roi des Juifs. »
      20 Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, car l’endroit où l’on avait mis Jésus en croix était près de la ville et l’inscription était en hébreu, en latin et en grec.
      21 Alors les chefs des prêtres juifs dirent à Pilate : « Tu ne dois pas laisser cette inscription “le roi des Juifs” mais tu dois mettre : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs.” £ »
      22 Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit reste écrit. »
      23 Quand les soldats eurent mis Jésus en croix, ils prirent ses vêtements et les divisèrent en quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique, qui était sans couture, tissée en une seule pièce du haut en bas.
      24 Les soldats se dirent les uns aux autres : « Ne déchirons pas cette tunique, mais tirons au sort pour savoir à qui elle appartiendra. » C’est ainsi que devait se réaliser le passage de l’Écriture qui déclare : « Ils se sont partagé mes habits et ils ont tiré au sort mon vêtement. » Voilà ce que firent les soldats.
      25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère, la sœur de sa mère, Marie la femme de Clopas et Marie du village de Magdala.
      26 Jésus vit sa mère et, auprès d’elle, le disciple qu’il aimait. Il dit à sa mère : « Voici ton fils, mère. »
      27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et dès ce moment, le disciple la prit chez lui.
      28 Après cela, comme Jésus savait que, maintenant, tout était achevé, il dit pour accomplir le texte de l’Écriture : « J’ai soif. »
      29 Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats trempèrent donc une éponge dans le vinaigre, la fixèrent à une branche d’hysope et l’approchèrent de la bouche de Jésus.
      30 Jésus prit le vinaigre, puis il dit : « Tout est achevé ! » Alors, il baissa la tête et mourut.
      31 C’était vendredi et les chefs juifs ne voulaient pas que les corps restent sur les croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat-là était spécialement important ; ils demandèrent donc à Pilate de faire briser les jambes des crucifiés et de faire enlever les corps.
      32 Alors les soldats vinrent briser les jambes du premier condamné mis en croix en même temps que Jésus, puis du second.
      33 Quand ils arrivèrent à Jésus, ils virent qu’il était déjà mort ; c’est pourquoi ils ne lui brisèrent pas les jambes.
      34 Mais un des soldats lui perça le côté avec sa lance, et du sang et de l’eau en sortirent aussitôt.
      35 L’homme qui témoigne de ces faits les a vus, et son témoignage est vrai ; il sait, lui, qu’il dit la vérité. Il en témoigne afin que vous aussi vous croyiez.
      36 En effet, cela est arrivé pour que ce passage de l’Écriture se réalise : « On ne lui brisera aucun os. »
      37 Et un autre texte dit encore : « Ils regarderont à celui qu’ils ont transpercé. »
      38 Après cela, Joseph, qui était d’Arimathée, demanda à Pilate l’autorisation d’emporter le corps de Jésus. – Joseph était un disciple de Jésus, mais en secret parce qu’il avait peur des autorités juives. – Et Pilate le lui permit. Joseph alla donc emporter le corps de Jésus.
      39 Nicodème, cet homme qui était allé trouver une fois Jésus pendant la nuit, vint aussi et apporta environ trente kilos d’un mélange de myrrhe et d’aloès.
      40 Tous deux prirent le corps de Jésus et l’enveloppèrent de bandes de lin, en y mettant les huiles parfumées, comme les Juifs ont coutume de le faire quand ils enterrent leurs morts.
      41 A l’endroit où l’on avait mis Jésus en croix, il y avait un jardin, et dans ce jardin il y avait un tombeau neuf dans lequel on n’avait jamais déposé personne.
      42 Comme c’était la veille du sabbat des Juifs et que le tombeau était tout proche, ils y déposèrent Jésus.
    • Jean 19

      1

      Christ condamné et crucifié. (Jean 19:1-18)
      Christ sur la croix. (Jean 19:19-30)
      Son côté est percé. (Jean 19:31-37)

      L'ensevelissement de Jésus. (Jean 19:38-42)

      Jean 19:1-18 Pilate était certainement loin de penser que Christ, par Ses souffrances imméritées, allait être considéré au cours des siècles, comme le meilleur et le plus grands des exemples. En effet, notre Seigneur Jésus est venu ici-bas, étant prêt à être exposé au mépris.

      Il est bon pour chacun, de discerner, par la foi, Christ dans Ses souffrances ; de Le voir spirituellement, de L'aimer, et de Le contempler à nouveau. La haine des opposants de Jésus n'a-t telle pas motivé leurs efforts contre Lui ? Notre amour pour le Seigneur, au contraire, ne dynamisera t-il pas nos efforts en Sa faveur et celle de Son royaume ?

      Pilate semble avoir pensé que Jésus était une personne hors du commun. Même la conscience de certaines personnes impies les fait trembler, face à l’idée qu’elles aient à combattre contre Dieu.

      Notre Seigneur ayant à souffrir pour les péchés des Juifs, comme pour ceux des Païens, la Sagesse divine fit en sorte que les Juifs voulurent en premier Sa mort, et que les Païens mirent ensuite ce projet à exécution. Si Christ n'avait pas été ainsi rejeté des hommes, nous aurions pour toujours été exclus de la Grâce divine.

      Maintenant le Fils de l'homme allait être livré aux mains de Ses bourreaux. Il a été crucifié pour que nous puissions échapper à la condamnation du péché. Il a été cloué à la croix, tel un Sacrifice immolé sur l'autel. L'Écriture a été ainsi accomplie ; Christ n'est pas mort sur l'autel en tant que sacrifié innocent, mais en tant que criminel, condamné par la justice publique.

      Arrêtons nous un instant pour regarder par la foi le Seigneur Jésus. A-t-on jamais vu une douleur aussi grande que la Sienne ? Regardez Le, Il saigne, Il va mourir ; regardez Le, aimez Le ! Aimez-ce Sauveur, et consacrez-vous à Lui !

      19 Nous trouvons dans ce texte quelques détails particuliers, relatifs à la mort de Jésus ; ils y sont mieux relatés que dans les autres évangiles.

      Pilate n'a pas voulu céder au désir des principaux sacrificateurs, en permettant que l’inscription au dessus de Jésus soit modifiée ; cela manifestait indubitablement le pouvoir secret de Dieu sur son cœur, de façon à ce que cette formulation du caractère de notre Seigneur et de Son autorité, puisse être perpétrée.

      De nombreux actes exécutés par les soldats romains furent en fait l’accomplissement de prophéties de l'Ancien Testament. Tout ce qui a été écrit s’est accompli !

      Avant Sa mort, Christ eut une pensée d’affection pour sa mère. Quand Dieu nous prive parfois d’un certain réconfort, Il nous en accorde un autre, auquel nous ne nous attendions pas. Cette parole de Jésus, au sujet de Sa mère, nous convie à honorer nos parents, durant leur vivant et même à respecter leur mémoire quand ils sont dans l’au delà ; Il nous enseigne aussi de pourvoir à leurs besoins, et à assurer leur bien-être par tous les moyens possibles.

      Observons spécialement la dernière parole de Jésus, juste avant qu’Il n'expire : « Tout est accompli » ; cela signifie que les décisions de Dieu relatives aux souffrances de Son Fils, sont désormais réalisées. En cette simple phrase, toutes les prophéties de l'Ancien Testament, concernant la souffrance du Messie ont été accomplies : - La loi, avec toutes ses cérémonies, est abolie ; - La Lumière est venue ici-bas, toutes les « ombres » du péché ont été chassées. - Le châtiment que nous méritions par nos transgressions, fait place à la Justice éternelle. - Les souffrances de Jésus sont désormais terminées : celles de Son âme, comme celles de Son corps. - L'œuvre de la rédemption de l'homme et de son salut est désormais achevée.

      La vie de Christ ne lui a pas été prise de force : Il l'a offerte librement !

      31 Un soldat, en perçant le côté de Jésus, vérifia qu’Il était bien mort. Ce Dernier est décédé plus rapidement que ceux qui étaient crucifiés avec Lui. Jésus a montré qu'Il a donné Sa vie de Lui-même. La lance du soldat Romain a percé les « sources de la vie » ; aucun corps humain ne peut survivre à une telle blessure.

      Toute l’existence de notre Seigneur ici-bas a attesté solennellement qu'Il y avait quelque chose de particulier en Lui : le sang et l'eau qui ont coulé de Son côté étaient une image des deux grands bienfaits qu’Il octroie à tous les croyants, la justification et la sanctification ; le sang représente l'expiation, l'eau, la purification. Ces deux éléments ont coulé du côté percé de notre Rédempteur ; à Christ crucifié, nous devons notre justification, à l'Esprit et à la Grâce, notre sanctification. Que cette blessure du corps de notre Seigneur puisse étouffer les craintes de ceux qui sont faibles en la foi, qu’elle encourage leur espérance ; le sang et l'eau qui ont coulé du flanc de Jésus ont été versés à la fois pour les justifier et les sanctifier ! L'Écriture a été encore accomplie par ce fait : les jambes de Jésus n'ont pas été brisées, Psaume 34:20. C’est aussi une image de l'agneau pascal, dans Exode 12:46.

      Puissions-nous toujours porter notre regard vers Jésus, Celui que, par ignorance et insouciance, nous avons « percé » par nos péchés, malgré Sa Miséricorde ; Christ a versé Son sang et de l'eau pour que nous puissions être justifiés et sanctifiés en Son Nom !

      38 Joseph d'Arimathée était secrètement, un disciple de Christ. Les disciples devraient afficher ouvertement leur appartenance ; certains, cependant, au temps de l’épreuve, restent prudents ; ils se montrent aussi très courageux lors des grandes persécutions...

      Lorsque Dieu a une œuvre à accomplir, Il sait trouver ceux qui sont capables de l’exécuter. L'embaumement du corps de Jésus a été fait par Nicodème qui était un ami de Christ, sans en être toutefois un farouche partisan. Au début, la motivation de Joseph d’Arimathée et de Nicodème ressemblait à un frêle roseau, elle était désormais semblable à un cèdre vigoureux. Par leurs actes, ces deux hommes riches montrèrent leur estime pour Christ et Sa doctrine, estime qui ne s’est pas flétrie lors du supplice de la croix.

      Nous devons accomplir notre devoir au temps présent, quand l'occasion se présente, pour permettre à Dieu d'accomplir Ses promesses, selon Ses propres voies, au temps marqué.

      La tombe de Jésus était parmi celles des brigands, car le Seigneur était considéré comme un criminel ; mais « Il a été avec le riche dans Sa mort », comme cela a été prophétisé dans \\# Isa 53:9\\ ; il était invraisemblable que ces deux attributs puissent être réunis en la même personne. Jésus a été enseveli dans un sépulcre neuf ; il ne pouvait donc y avoir d’usurpation d’identité lors de Sa résurrection !

      Cela nous enseigne aussi à ne pas exiger d’être absolument inhumé en un lieu bien précis. Jésus a été enterré dans un sépulcre proche du lieu de Sa mort. Le « Soleil de Justice » a connu quelques temps le séjour des morts, mais Il l’a quitté, pour ressusciter dans une grande Gloire !

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