Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

La Bible en 3 ans - Jour 594

Sommaire
TopChrétien est une plate-forme diffuseur de contenu de partenaires de qualité sélectionnés. Toutefois, si vous veniez à trouver un contenu vidéo illicite ou avec un problème technique, merci de nous le signaler en cliquant sur ce lien.

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Romains 7

      1 Frères, vous savez sûrement déjà ce que je vais vous dire, car vous connaissez la loi : la loi n’a autorité sur un homme qu’aussi longtemps qu’il vit.
      2 Par exemple, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il vit ; mais si le mari meurt, elle est libérée de la loi qui la liait à lui.
      3 Si donc elle devient la femme d’un autre homme du vivant de son mari, on la considère comme adultère ; mais si son mari meurt, elle est libre par rapport à la loi, de sorte qu’elle peut devenir la femme d’un autre sans être adultère.
      4 Il en va de même pour vous, mes frères. Vous êtes morts à l’égard de la loi, en étant unis au corps du Christ. Ainsi vous appartenez maintenant à un autre, c’est-à-dire à celui qui a été ramené d’entre les morts afin que nous produisions ce qui est agréable à Dieu.
      5 En effet, quand nous vivions selon notre propre nature, les désirs mauvais excités par la loi agissaient dans notre être tout entier et nous produisions ce qui mène à la mort.
      6 Mais maintenant, nous sommes libérés de la loi, car nous sommes morts à ce qui nous retenait prisonniers. Nous pouvons donc servir Dieu d’une façon nouvelle, sous l’autorité de l’Esprit Saint, et non plus à la façon ancienne, sous l’autorité de la loi écrite.
      7 Que faut-il en conclure ? La loi est-elle péché ? Certainement pas ! Mais la loi m’a fait connaître ce qu’est le péché. En effet, je n’aurais pas su ce qu’est la convoitise si la loi n’avait pas dit : « Tu ne convoiteras pas. »
      8 Le péché a saisi l’occasion offerte par le commandement pour produire en moi toutes sortes de convoitises. Car, sans la loi, le péché est chose morte.
      9 Autrefois, sans la loi, j’étais vivant ; mais quand le commandement est intervenu, le péché a pris vie
      10 et moi je suis mort : le commandement qui devait conduire à la vie s’est trouvé, dans mon cas, conduire à la mort.
      11 Car le péché a saisi l’occasion, il m’a trompé au moyen du commandement et, par lui, il m’a fait mourir.
      12 Ainsi, la loi elle-même est sainte et le commandement est saint, juste et bon.
      13 Ce qui est bon est-il devenu alors une cause de mort pour moi ? Certainement pas ! C’est le péché qui en a été la cause. Il a fait apparaître ainsi sa véritable nature de péché : il a utilisé ce qui est bon pour causer ma mort. Et voilà comment le péché est devenu, au moyen du commandement, plus gravement péché que jamais.
      14 Nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis un être faible, vendu comme esclave au péché.
      15 Je ne comprends pas ce que je fais : car je ne fais pas ce que je voudrais faire, mais je fais ce que je déteste.
      16 Si je fais précisément ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.
      17 Ce n’est donc pas moi qui agis ainsi, mais c’est le péché qui habite en moi.
      18 Car je sais que le bien n’habite pas en moi, c’est-à-dire en l’être faible que je suis. Certes, le désir de faire le bien existe en moi, mais non la capacité de l’accomplir.
      19 En effet, je ne fais pas le bien que je veux et je fais le mal que je ne veux pas.
      20 Si je fais ce que je ne veux pas, alors ce n’est plus moi qui agis ainsi, mais le péché qui habite en moi.
      21 Je découvre donc ce principe : moi qui veux faire le bien, je suis seulement capable de faire le mal.
      22 Au fond de moi-même, je prends plaisir à la loi de Dieu.
      23 Mais je trouve dans mon être une autre loi qui combat contre celle qu’approuve mon intelligence. Elle me rend prisonnier de la loi du péché qui est en moi.
      24 Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui m’entraîne à la mort ?
      25 Dieu soit loué, par Jésus-Christ notre Seigneur ! Ainsi, je suis au service de la loi de Dieu par mon intelligence, mais dans ma faiblesse humaine, je suis asservi à la loi du péché.
    • Romains 7

      1 Frères, ne savez-vous pas, (car je parle à des personnes qui connaissent la loi) que la loi n'a de pouvoir sur l'homme que pendant qu'il est en vie ?
      2 En effet, la femme qui est mariée, est liée par la loi à son mari, tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi du mari.
      3 Si donc, durant la vie de son mari, elle épouse un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si son mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère, si elle épouse un autre homme.
      4 Ainsi donc, vous aussi, mes frères, vous êtes morts à la loi, par le corps de Christ, pour être à un autre, savoir, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.
      5 Car lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés, excitées par la loi, agissaient dans nos membres, de manière à produire des fruits pour la mort.
      6 Mais maintenant que nous sommes délivrés de la loi, étant morts à celle sous laquelle nous étions retenus, nous servons Dieu dans un esprit nouveau, et non selon la lettre, qui a vieilli.
      7 Que dirons-nous donc ? La loi est-elle la cause du péché ? Nullement ! Au contraire, je n'ai connu le péché que par la loi ; car je n'eusse point connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point.
      8 Mais le péché, prenant occasion du commandement, a produit en moi toute sorte de convoitises. Car sans la loi, le péché est mort.
      9 Pour moi, autrefois sans loi, je vivais ; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie,
      10 Et moi, je suis mort ; et il s'est trouvé que le commandement, qui devait me donner la vie, m'a donné la mort.
      11 Car le péché, prenant occasion du commandement m'a séduit, et par lui m'a fait mourir.
      12 Ainsi la loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.
      13 Ce qui est bon m'a-t-il donc donné la mort ? Nullement ! mais c'est le péché, afin qu'il parût péché, en me donnant la mort par une chose bonne et que le péché devînt excessivement pécheur par le commandement.
      14 En effet, nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi je suis charnel, vendu au péché.
      15 Car je n'approuve point ce que je fais, je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais.
      16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.
      17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.
      18 Car je sais que le bien n'habite point en moi, c'est-à-dire, dans ma chair, parce que j'ai la volonté de faire le bien ; mais je ne parviens pas à l'accomplir.
      19 Car je ne fais pas le bien que je veux ; mais je fais le mal que je ne veux pas faire.
      20 Que si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.
      21 Je trouve donc cette loi en moi ; c'est que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.
      22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;
      23 Mais je vois une autre loi dans mes membres, qui combat contre la loi de mon esprit et qui me rend captif sous la loi du péché, qui est dans mes membres.
      24 Misérable homme que je suis ! qui me délivrera de ce fardeau de mort ?
      25 Je rends grâces à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! Je suis donc assujetti moi-même, par l'esprit, à la loi de Dieu, mais par la chair, à la loi du péché.
    • Romains 7

      1 Mes frères, vous connaissez bien la loi juive ; en tout cas, vous possédez tous suffisamment de notions juridiques pour savoir qu’une personne est soumise à la loi seulement de son vivant. Si elle meurt, la loi perd toute emprise sur elle.
      2 Ainsi, par exemple, une femme mariée est liée légalement à son mari tant que celui-ci est en vie. S’il vient à mourir, elle est dégagée de la loi matrimoniale qui l’unissait à lui.
      3 Si, du vivant de son époux, elle se donnait à un autre homme, elle serait taxée d’adultère. Après le décès de son conjoint, elle est légalement libre et ne commet donc pas d’adultère en épousant quelqu’un d’autre.
      4 Il en est de même pour vous, mes frères : la mort subie par le Christ est aussi la vôtre, puisque vous êtes devenus un avec lui. Cette mort a creusé un fossé infranchissable entre la loi et vous. Si vous êtes morts, le lien qui vous unissait à la loi est donc rompu. La loi n’a plus de pouvoir sur vous. Vous êtes par conséquent libres d’appartenir à un autre, de contracter une union avec lui, je veux dire : avec le Christ, le Ressuscité, qui vous a arrachés à la mort avec lui. Unis à lui, vous pouvez à présent porter des fruits pour Dieu et accomplir ce qui lui est agréable.
      5 Lorsque, livrés à nous-mêmes, nous croyions mener notre vie selon notre bon plaisir, c’étaient en fait nos instincts corrompus qui nous dictaient notre comportement. La loi ne réussissait qu’à exciter et attiser nos passions. Les désirs coupables, exaspérés par l’interdiction, nous poussaient au mal. Ils étaient si actifs dans nos membres que les fruits de notre vie nous destinaient à la mort.
      6 Mais maintenant, nous avons été soustraits au pouvoir de la loi. Oui, le tyran n’a pu retenir ses esclaves : la mort nous a fait sortir de la prison où la loi nous gardait captifs. À présent, nous possédons une nouvelle vie. Nous sommes libres de servir Dieu, et nous le servons, non plus comme sous le régime périmé du code légal, en étant assujettis à des prescriptions écrites, mais d’une manière spirituelle, avec les forces que nous donne l’Esprit du Christ en nous.
      7 Faudrait-il en conclure que « loi et péché sont une seule et même chose » ? Certes non ! Mais, par la loi, j’ai appris à identifier le péché et à prendre conscience de ma culpabilité. Par exemple, je n’aurais pas su que c’est mal de désirer ce que les autres possèdent, si la loi ne m’avait pas dit : Tu ne convoiteras pas. Je ne me serais jamais senti coupable sans cette déclaration.
      8 Mais alors, le péché qui était en moi a trouvé dans le commandement une occasion de se manifester ; il s’en est forgé une arme contre moi. L’interdiction même lui a servi pour susciter en moi toutes sortes de convoitises, la défense n’a fait qu’exciter mes mauvais désirs. Or, là où il n’y a pas de loi, le péché est inerte.
      9 Ah ! autrefois, avant d’être soumis à la loi, je vivais tranquille. Mais dès que survint le commandement, le péché s’éveilla à la vie –
      10 et moi, je mourus. Je pris conscience d’être un pécheur, c’est-à-dire un condamné à mort. Ainsi, la loi qui devait me servir de guide sur le chemin de la vie m’a, en fait, mené vers la condamnation et la mort.
      11 En réalité, le commandement devint l’instrument du mal qui a saisi cette occasion pour me séduire et me tuer,
      12 car la loi en elle-même est sainte et chaque commandement est saint, juste et bon.
      13 Est-il donc possible que quelque chose de bon en soi ait des conséquences si néfastes ? Le bien peut-il me faire mourir ? Évidemment non ! L’auteur de ce crime, c’est le péché. Sa véritable nature devait être démasquée. Or, en me donnant la mort par une bonne chose, il a montré son vrai visage : grâce au commandement, il est apparu dans toute sa virulence. Sa nature foncièrement maléfique a donc paru au grand jour.
      14 Nous savons que la loi a été inspirée par l’Esprit de Dieu. Elle est donc spirituelle, mais moi, je ne le suis pas. Je préfère laisser mes propres pensées me diriger. Et voilà pourquoi je suis comme un homme livré à lui-même, à la merci du péché, comme un esclave entre ses mains.
      15 Vraiment, je ne me comprends pas moi-même : mon comportement me désoriente et je ne reconnais pas mes propres actes : ma façon d’agir me paraît étrangère à moi-même. Je fais, non ce que ma volonté a décidé, mais ce que je déteste et que mon sens moral réprouve.
      16 Par mes convictions intimes, je rends hommage à la loi, mon être profond l’approuve et en reconnaît l’excellence. Mais c’est plus fort que moi. Je ne puis faire autrement.
      17 Le véritable acteur, ce n’est donc plus moi, mais le péché qui s’est installé en moi. C’est lui qui me pousse irrésistiblement à de mauvaises actions.
      18 Par expérience, je sais qu’en moi, c’est-à-dire dans mon être naturel, n’habite rien de bon. Ce n’est pas la bonne volonté qui me manque, mais plutôt la force de réaliser mes bonnes intentions.
      19 Je n’arrive pas à accomplir le bien que je me propose et je commets, malgré moi, le mal que j’étais pourtant décidé à éviter.
      20 Si donc je fais ce que je ne veux pas, je ne suis pas vraiment maître de moi-même. Celui qui me gouverne et me fait agir, ce n’est plus mon moi, c’est le péché qui a élu domicile en moi.
      21 Je vis en constante contradiction avec moi-même : je voudrais faire le bien, mais je constate que seul le mal est à ma portée, et je ne puis résister à ses sollicitations.
      22 Mon être intérieur adhère de tout cœur à la loi divine, il en approuve joyeusement les exigences.
      23 Cependant, je suis bien obligé de constater, en mon corps, l’empreinte d’une autre loi. Mes facultés humaines sont régies par un principe opposé à celui de ma raison et qui me met sans cesse en conflit avec la loi de ma conscience. Et cette force mauvaise me domine si bien que je me retrouve prisonnier sous la férule du péché qui est à l’œuvre dans mes membres.
      24 Quel déchirement terrible ! Infortuné que je suis ! Qui me libérera de l’emprise de ma nature pécheresse ? Qui affranchira mon corps de l’esclavage des mauvais instincts ?
      25 Dieu merci ! Il existe une issue : Dieu lui-même m’a délivré par Jésus-Christ notre Seigneur. (En résumé,) livré à moi-même et à mes propres forces, je suis, d’un côté, lié à la loi de Dieu par ma conscience et ma raison, mais d’un autre côté, je suis, dans ce que je vis concrètement, esclave de la loi du péché.
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.