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La Bible en 3 ans - Jour 610

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    • 1 Corinthiens 7

      1 Passons maintenant aux sujets dont vous m’avez parlé dans votre lettre. Il est bon pour un homme de ne pas se marier.
      2 Cependant, en raison de l’immoralité si répandue, il vaut mieux que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari.
      3 Le mari doit remplir son devoir d’époux envers sa femme et la femme, de même, doit remplir son devoir d’épouse envers son mari.
      4 La femme ne peut pas faire ce qu’elle veut de son propre corps : son corps est à son mari ; de même, le mari ne peut pas faire ce qu’il veut de son propre corps : son corps est à sa femme.
      5 Ne vous refusez pas l’un à l’autre, à moins que, d’un commun accord, vous n’agissiez ainsi momentanément pour vous consacrer à la prière ; mais ensuite, reprenez une vie conjugale normale, sinon vous risqueriez de ne plus pouvoir vous maîtriser et de céder aux tentations de Satan.
      6 Ce que je vous dis là n’est pas un ordre, mais une concession.
      7 En réalité, je préférerais que tout le monde soit célibataire comme moi ; mais chacun a le don particulier que Dieu lui a accordé, l’un ce don-ci, l’autre ce don-là.
      8 Voici ce que je déclare aux célibataires et aux veuves : il serait bon pour vous que vous continuiez à vivre seuls, comme moi.
      9 Mais si vous ne pouvez pas vous maîtriser, mariez-vous : il vaut mieux se marier que de brûler de désir.
      10 A ceux qui sont mariés, je donne cet ordre (qui ne vient pas de moi, mais du Seigneur) : la femme ne doit pas se séparer de son mari,
      11 – au cas où elle en serait séparée, qu’elle ne se remarie pas, ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari – et un mari ne doit pas renvoyer sa femme.
      12 Aux autres, voici ce que je dis (moi-même, et non le Seigneur) : si un mari chrétien a une femme non croyante et qu’elle soit d’accord de continuer à vivre avec lui, il ne doit pas la renvoyer ;
      13 de même, si une femme chrétienne a un mari non croyant et qu’il soit d’accord de continuer à vivre avec elle, elle ne doit pas le renvoyer.
      14 En effet, le mari non croyant est proche de Dieu à cause de son union avec sa femme ; de même, la femme non croyante est proche de Dieu à cause de son union avec son mari chrétien. Autrement, vos enfants seraient considérés comme impurs, alors que, en réalité, ils sont proches de Dieu.
      15 Cependant, si celui qui n’est pas croyant veut se séparer de son conjoint chrétien, qu’on le laisse agir ainsi. Dans un tel cas le conjoint chrétien, que ce soit l’époux ou l’épouse, est libre, car Dieu vous a appelés à vivre en paix.
      16 Comment pourrais-tu être sûre, toi, femme chrétienne, que tu sauveras ton mari ? Ou comment pourrais-tu être sûr, toi, mari chrétien, que tu sauveras ta femme ?
      17 Ce cas excepté, il faut que chacun continue à vivre conformément au don que le Seigneur lui a accordé et conformément à ce qu’il était quand Dieu l’a appelé. Telle est la règle que j’établis dans toutes les Églises.
      18 Si un homme était circoncis lorsque Dieu l’a appelé, il ne doit pas chercher à dissimuler sa circoncision ; si un autre était incirconcis lorsque Dieu l’a appelé, il ne doit pas se faire circoncire.
      19 Être circoncis ou ne pas l’être n’a pas d’importance : ce qui importe, c’est d’obéir aux commandements de Dieu.
      20 Il faut que chacun demeure dans la condition où il était lorsque Dieu l’a appelé.
      21 Étais-tu esclave quand Dieu t’a appelé ? Ne t’en inquiète pas ; mais si une occasion se présente pour toi de devenir libre, profites-en.
      22 Car l’esclave qui a été appelé par le Seigneur est un homme libéré qui dépend du Seigneur ; de même, l’homme libre qui a été appelé par le Christ est son esclave.
      23 Dieu vous a acquis, il a payé le prix pour cela ; ne devenez donc pas esclaves des hommes.
      24 Oui, frères, il faut que chacun demeure devant Dieu dans la condition où il était lorsqu’il a été appelé.
      25 En ce qui concerne les personnes non mariées, je n’ai pas d’ordre du Seigneur ; mais je donne mon opinion en homme qui, grâce à la bonté du Seigneur, est digne de confiance.
      26 En raison de la détresse présente, voici ce que je pense : il est bon pour chacun de demeurer comme il est.
      27 As-tu une femme ? Alors, ne cherche pas à t’en séparer. N’es-tu pas marié ? Alors, ne cherche pas de femme.
      28 Cependant, si tu te maries, tu ne commets pas de péché ; et si une jeune fille se marie, elle ne commet pas de péché. Mais ceux qui se marient auront des tracas dans leur vie quotidienne, et je voudrais vous les épargner.
      29 Voici ce que je veux dire, frères : il reste peu de temps ; dès maintenant, il faut que les hommes mariés vivent comme s’ils n’étaient pas mariés,
      30 ceux qui pleurent comme s’ils n’étaient pas tristes, ceux qui rient comme s’ils n’étaient pas joyeux, ceux qui achètent comme s’ils ne possédaient pas ce qu’ils ont acheté,
      31 ceux qui usent des biens de ce monde comme s’ils n’en usaient pas. Car ce monde, tel qu’il est, ne durera plus très longtemps.
      32 J’aimerais que vous soyez libres de tout souci. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des affaires du Seigneur, il cherche à plaire au Seigneur ;
      33 mais celui qui est marié se préoccupe des affaires du monde, il cherche à plaire à sa femme,
      34 et il est ainsi partagé entre deux préoccupations. De même, une femme qui n’est pas mariée ou une jeune fille se préoccupe des affaires du Seigneur, car elle désire être à lui dans tout ce qu’elle fait et pense ; mais celle qui est mariée se préoccupe des affaires du monde, elle cherche à plaire à son mari.
      35 Je dis cela pour votre bien et non pour vous imposer une contrainte ; je désire que vous fassiez ce qui convient le mieux, en demeurant totalement attachés au service du Seigneur.
      36 Maintenant, si un jeune homme pense qu’il cause du tort à sa fiancée en ne l’épousant pas, s’il est dominé par le désir et estime qu’ils devraient se marier, eh bien, qu’ils se marient, comme il le veut ; il ne commet pas de péché.
      37 Par contre, si le jeune homme, sans subir de contrainte, a pris intérieurement la ferme résolution de ne pas se marier, s’il est capable de dominer sa volonté et a décidé en lui-même de ne pas avoir de relations avec sa fiancée, il fait bien.
      38 Ainsi, celui qui épouse sa fiancée fait bien, mais celui qui y renonce fait mieux encore.
      39 Une femme est liée à son mari aussi longtemps qu’il vit ; mais si son mari meurt, elle est libre d’épouser qui elle veut, à condition que ce soit un mariage chrétien.
      40 Pourtant, elle sera plus heureuse si elle demeure comme elle est. C’est là mon opinion et j’estime avoir, moi aussi, l’Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1 Pour ce qui est des choses dont vous m'avez écrit, il est bon à l'homme de ne point toucher de femme.
      2 Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari.
      3 Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit ; et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 La femme n'est point maîtresse de son propre corps, mais c'est le mari ; de même aussi, le mari n'est point maître de son propre corps, mais c'est la femme.
      5 Ne vous privez point l'un de l'autre, si ce n'est d'un consentement mutuel, pour un temps, afin de vaquer au jeûne et à la prière ; et ensuite, retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence.
      6 Or, je dis ceci par condescendance, et non pas par commandement.
      7 Car je voudrais que tous les hommes fussent comme moi ; mais chacun a reçu de Dieu un don particulier, l'un d'une manière, l'autre d'une autre.
      8 Je dis donc à ceux qui ne sont point mariés, et aux veuves, qu'il leur est avantageux de demeurer comme moi.
      9 Mais s'ils manquent de continence, qu'ils se marient ; car il vaut mieux se marier que de brûler.
      10 Quant à ceux qui sont mariés, je leur prescris (non pas moi toutefois, mais le Seigneur) que la femme ne se sépare pas de son mari ;
      11 (Et si elle se sépare, qu'elle demeure sans se remarier, ou qu'elle se réconcilie avec son mari) et que le mari ne quitte point sa femme.
      12 Mais je dis aux autres (moi et non le Seigneur) : Si quelque frère a une femme incrédule, et qui consente à demeurer avec lui, qu'il ne la quitte point ;
      13 Et si quelque femme a un mari incrédule, et qui consente à demeurer avec elle, qu'elle ne le quitte point.
      14 Car le mari incrédule est sanctifié par la femme ; et la femme incrédule est sanctifiée par le mari ; autrement, vos enfants seraient impurs, au lieu qu'ils sont saints maintenant.
      15 Que si l'incrédule se sépare, qu'il se sépare ; le frère et la soeur ne sont pas assujettis dans ce cas ; mais Dieu nous a appelés à la paix.
      16 Car que sais-tu, femme, si tu ne sauveras point ton mari ? Ou que sais-tu, mari, si tu ne sauveras point ta femme ?
      17 Au reste que chacun marche selon que Dieu lui a départi, et selon que le Seigneur l'a appelé. C'est là ce que j'ordonne dans toutes les Églises.
      18 Quelqu'un a-t-il été appelé étant circoncis ? qu'il demeure circoncis. Quelqu'un a-t-il été appelé étant incirconcis ? qu'il ne se fasse pas circoncire.
      19 La circoncision n'est rien ; l'incirconcision n'est rien ; mais l'observation des commandements de Dieu est tout.
      20 Que chacun demeure dans l'état où il a été appelé.
      21 As-tu été appelé étant esclave ? ne t'en mets point en peine ; mais si tu peux devenir libre, profites-en plutôt.
      22 Car l'esclave qui a été appelé par le Seigneur, est l'affranchi du Seigneur ; de même aussi, l'homme libre qui a été appelé, est l'esclave de Christ.
      23 Vous avez été achetés à un grand prix ; ne devenez point esclaves des hommes.
      24 Frères, que chacun demeure devant Dieu dans l'état où il a été appelé.
      25 Pour ce qui est des vierges, je n'ai point de commandement du Seigneur ; mais je vous donne un conseil, comme ayant eu part à la miséricorde du Seigneur, pour lui être fidèle.
      26 J'estime donc qu'il est bon, à cause des afflictions présentes, qu'il est bon à l'homme de demeurer comme il est.
      27 Es-tu lié à une femme ? ne cherche point à t'en séparer. N'es-tu pas lié à une femme ? ne cherche pas de femme.
      28 Que si tu te maries, tu ne pèches pas ; et si la vierge se marie, elle ne pèche pas non plus ; mais ces personnes auront des afflictions dans la chair ; et je voudrais vous les épargner.
      29 Or je dis ceci, frères : Le temps est court désormais ; que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient point ;
      30 Ceux qui pleurent, comme s'ils ne pleuraient pas ; ceux qui sont dans la joie, comme s'ils n'étaient point dans la joie ; ceux qui achètent, comme s'ils ne possédaient rien ;
      31 Et ceux qui usent de ce monde, comme s'ils n'en usaient point ; car la figure de ce monde passe.
      32 Or, je voudrais que vous fussiez sans inquiétude. Celui qui n'est pas marié, s'occupe des choses du Seigneur, pour plaire au Seigneur.
      33 Mais celui qui est marié, s'occupe des choses du monde, pour plaire à sa femme.
      34 Il y a cette différence entre la femme mariée et la vierge, que celle qui n'est pas mariée, s'occupe des choses du Seigneur, pour être sainte de corps et d'esprit ; mais celle qui est mariée, s'occupe des choses du monde, pour plaire à son mari.
      35 Or, je dis ceci pour votre bien, et non pour vous tendre un piège, mais en vue de ce qui est honnête et de ce qui unit dans le Seigneur sans distraction.
      36 Toutefois si quelqu'un croit que ce soit un déshonneur pour sa fille de passer la fleur de son âge sans être mariée, et s'il faut qu'il en soit ainsi, qu'il fasse ce qu'il voudra, il ne pèche point ; que les filles se marient.
      37 Mais celui qui reste ferme dans son coeur, qui n'est pas contraint, qui au contraire est maître de sa volonté, et qui a décidé en son coeur de garder sa fille, fait bien.
      38 C'est pourquoi celui qui marie sa fille, fait bien ; mais celui qui ne la marie pas, fait mieux.
      39 La femme est liée à son mari par la loi tout le temps qu'il est en vie ; mais si son mari meurt, elle est libre de se remarier à qui elle veut, seulement que ce soit selon le Seigneur.
      40 Toutefois, elle est plus heureuse, selon mon opinion, si elle demeure comme elle est. Or, je crois que j'ai aussi l'Esprit de Dieu.
    • 1 Corinthiens 7

      1 J’en viens à présent aux questions que vous m’avez posées dans votre lettre : « C’est une excellente chose, dites-vous, qu’un homme se passe de femme ».
      2 Oui, mais que de dangers menacent les célibataires et que les tentations sont puissantes ! C’est pourquoi, pour éviter tout dérèglement, il est préférable que chaque homme ait sa femme, et chaque femme son mari.
      3 Que le mari accorde à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari.
      4 En effet, le corps de la femme ne lui appartient plus : il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus : il est à sa femme.
      5 Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, convenir mutuellement de renoncer pour un certain temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais que ce soit pour une courte période après laquelle vous reprendrez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan le moyen d’exploiter votre incapacité à dominer vos instincts.
      6 Notez bien qu’il s’agit d’un simple conseil, d’une concession et nullement d’un ordre.
      7 Personnellement, je souhaiterais que tout le monde soit comme moi, mais je sais que chacun reçoit de Dieu son don particulier, l’un le don (du célibat), l’autre celui (du mariage).
      8 J’aimerais cependant dire aux non-mariés, et en particulier aux veuves, que c’est une bonne chose de vivre seul comme moi.
      9 Toutefois, s’ils trouvent qu’ils n’ont pas reçu le don de continence et ne peuvent se maîtriser en ce domaine, qu’ils se marient, car mieux vaut se marier que de se consumer en désirs insatisfaits.
      10 Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, ou plutôt, ce que le Seigneur lui-même leur commande : que la femme ne se sépare pas de son mari.
      11 Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas divorcer d’avec sa femme.
      12 Pour les autres couples, je n’ai pas d’indication expresse de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis : si un frère chrétien est lié à une femme non croyante qui consente à rester avec lui, qu’il ne divorce pas.
      13 De même, si une femme a un mari non croyant qui consente à habiter avec elle, qu’elle ne se sépare pas de son mari.
      14 Car le mari non croyant est bien un mari légitime, du fait de son union avec sa femme ; et de même, la femme non croyante est bien une épouse légitime, du fait de son union avec un mari croyant. Si cela n’était pas, vos enfants seraient des bâtards, alors qu’en réalité, ce sont des enfants légitimes.
      15 Mais si le conjoint non croyant est déterminé à demander la séparation, eh bien ! qu’il s’en aille ; dans ce cas, ni le frère ni la sœur ne sont liés : Dieu vous a appelés à vivre dans la paix.
      16 Certes, (par le maintien du lien conjugal,) toi, femme, tu peux amener ton mari au salut, mais sais-tu si tu y parviendras ? De même, toi mari, tu peux devenir le moyen de conversion de ta femme, mais comment en avoir la certitude ?
      17 En dehors de ce cas, tenez-vous en à la règle générale que j’enseigne partout : que chacun continue à vivre dans la condition que le Seigneur lui a assignée comme son lot, qu’il organise sa vie conformément à la vocation qui lui a été adressée et suivant les dons qu’il a reçus ; qu’il demeure dans le cadre où l’a trouvé l’appel de Dieu. C’est là ce que je prescris dans toutes les Églises.
      18 Par exemple, quelqu’un était-il circoncis lors de son appel ? Qu’il ne cherche pas à le dissimuler. L’appel l’a-t-il trouvé incirconcis ? Qu’il ne se fasse pas circoncire.
      19 Les rites extérieurs ne signifient rien : que l’on soit juif ou non juif n’a aucune importance. Ce qui importe, c’est d’obéir aux commandements de Dieu.
      20 Que chacun demeure dans l’état où l’appel de Dieu l’a touché.
      21 Étais-tu esclave lors de ton appel ? Ne te fais pas de souci à ce sujet. Même si tu peux devenir libre, vois les avantages de ta condition présente et mets-les à profit.
      22 Car un esclave qui vit dans la communion du Seigneur, parce que Dieu l’y a appelé, est en réalité un affranchi du Seigneur. Inversement, l’homme libre qui a été appelé devient un esclave du Christ.
      23 C’est à un grand prix que vous avez été rachetés ! Ne devenez pas esclaves des hommes.
      24 Donc, frères, que chacun serve Dieu dans les conditions où il était lorsque Dieu l’a appelé.
      25 Pour ceux ou celles qui n’ont jamais été mariés, je n’ai pas d’indication précise de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis, c’est celui d’un homme à qui le Seigneur a témoigné sa miséricorde et qui, par conséquent, est tenu de lui être fidèle, d’un homme qui, par la grâce de Dieu, a droit à votre confiance.
      26 À cause des difficultés de l’heure présente et des calamités imminentes, j’estime qu’il est bon que chacun demeure dans la situation où il se trouve.
      27 Es-tu fiancé ou marié ? Ne cherche pas à rompre. N’as-tu aucun engagement ? Reste libre.
      28 En revanche, si tu te maries, tu ne commets pas de péché. Ce n’est pas un péché pour un jeune homme ou une jeune fille de se marier, mais ces personnes-là auront à subir maintes épreuves dans la vie courante et elles connaîtront bien des souffrances, et je voudrais vous les épargner.
      29 Je vous assure, frères : le temps est bien limité ; que, désormais, ceux qui sont mariés vivent comme s’ils étaient libres de tout lien ;
      30 que ceux qui pleurent ne s’abandonnent pas à leur douleur, et que ceux qui se réjouissent ne s’oublient pas dans leur joie ; que ceux qui achètent ne se cramponnent pas à leurs possessions, qu’ils ne les considèrent pas comme leur propriété : qui sait pour combien de temps elles leur appartiennent ?
      31 Bref, que tous ceux qui sont engagés dans les affaires de ce monde en vivent détachés et que ceux qui jouissent de ses biens apprennent à s’en passer. Car la figure de ce monde passe et le présent ordre des choses s’achemine vers son déclin.
      32 C’est pourquoi je voudrais vous savoir exempts de tout souci et libres de préoccupations et d’inquiétudes. Celui qui n’est pas marié se préoccupe des intérêts du Seigneur. Son seul souci est de lui plaire et de lui donner entière satisfaction.
      33 Celui qui est marié doit s’occuper des questions matérielles, des affaires de ce monde, il cherche à plaire à sa femme ;
      34 et le voilà partagé, tiraillé entre des intérêts opposés. Il en est de même de la femme non mariée ou de la jeune fille. Elles n’ont d’autre souci que de prendre à cœur les intérêts du Seigneur, visant à se consacrer à lui corps et esprit. Tandis que la femme mariée doit se consacrer aux affaires de ce monde, car elle veut plaire à son mari.
      35 Je dis cela dans votre propre intérêt, et non pour vous tendre un piège ou pour vous imposer un joug supplémentaire. Je ne veux pas restreindre votre liberté, mais seulement promouvoir parmi vous une vie digne et bien ordonnée. J’aimerais vous encourager à vous consacrer au Seigneur sans réserve, à vous attacher à lui sans partage et à le servir sans que rien ne vienne vous en détourner.
      36 Mais si quelqu’un pense qu’il y a trop d’inconvénients à rester célibataire, si ses désirs le subjuguent et qu’il s’estime déshonoré en dépassant seul la fleur de l’âge, eh bien ! qu’il suive l’inclination de son cœur et fasse ce qui lui semble bon : il ne pèche pas. Que ces gens-là se marient donc !
      37 Toutefois, si quelqu’un se sent libre de toute contrainte extérieure et capable de tenir son corps en bride, si, après avoir pesé le pour et le contre, il est arrivé en son for intérieur à une ferme conviction et qu’il a pris, dans la pleine liberté de sa volonté, la décision de rester célibataire, il fait bien.
      38 En somme, celui qui renonce à son célibat et se marie fait bien, et celui qui ne se marie pas fait mieux encore.
      39 Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari pour toute sa vie ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien et qu’elle en décide dans la communion avec le Seigneur.
      40 Toutefois elle sera plus heureuse si elle reste comme elle est ; c’est du moins mon avis, et je pense, moi aussi, avoir l’Esprit de Dieu.
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