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La Bible en 3 ans - Jour 614

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Versets relatifs

    • 1 Corinthiens 11

      1 Soyez mes imitateurs, comme moi aussi je le suis de Christ.
      2 Or je vous loue de ce que vous vous souvenez de moi en toutes choses, et de ce que vous gardez les enseignements, comme je vous les ai donnés.
      3 Mais je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c'est le Christ, et que le chef de la femme, c'est l'homme, et que le chef du Christ, c'est Dieu.
      4 Tout homme qui prie ou qui prophétise en ayant quelque chose sur la tête, déshonore sa tête ;
      5 et toute femme qui prie ou qui prophétise, la tête découverte, déshonore sa tête, car c'es la même chose qu'une femme qui serait rasée.
      6 Car si la femme n'est pas couverte, qu'on lui coupe aussi les cheveux. Mais s'il est déshonnête pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle soit couverte.
      7 Car l'homme, étant l'image et la gloire de Dieu, ne doit pas se couvrir la tête ; mais la femme est la gloire de l'homme.
      8 Car l'homme ne procède pas de la femme, mais la femme de l'homme ;
      9 car aussi l'homme n'a pas été crée à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
      10 C'est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l'autorité à laquelle est est soumise.
      11 Toutefois ni la femme n'est sans l'homme, ni l'homme sans la femme, dans le Seigneur ;
      12 car comme la femme procède de l'homme, ainsi aussi l'homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu.
      13 Jugez-en vous-mêmes : est-t-il convenable qu'une femme prie Dieu sans être couverte ?
      14 La nature même ne vous enseigne-t-elle pas que, si un homme a une longue chevelure, c'est un déshonneur pour lui ?
      15 Mais si une femme a une longue chevelure, c'est une gloire pour elle, parce que la chevelure lui est donnée en guise de voile.
      16 Mais si quelqu'un paraît vouloir contester, nous, nous n'avons pas une telle coutume, ni les assemblées de Dieu.
      17 Or, en prescrivant ceci, je ne vous loue pas, -c'est que vous vous réunissez, non pas pour votre profit, mais à votre détriment.
      18 Car d'abord, quand vous vous réunissez en assemblée, j'entends dire qu'il y a des divisions parmi vous, et je le crois en partie ;
      19 car il faut aussi qu'il y ait des sectes parmi vous, afin que ceux qui sont approuvés soient manifestes parmi vous.
      20 Quand donc vous vous réunissez ensemble, ce n'est pas manger la cène dominicale :
      21 car lorsqu'on mange, chacun prend par avance son propre souper, et l'un a faim, et l'autre s'enivre.
      22 N'avez-vous donc pas des maisons pour manger et pour boire ? Ou méprisez-vous l'assemblée de Dieu, et faites-vous honte à ceux qui n'ont rien ? Que vous dirai-je ? Vous louerai-je ? En cela, je ne vous loue pas.
      23 Car moi, j'ai reçu du Seigneur ce qu'aussi je vous ai enseigné : c'est que le Seigneur Jésus, la nuit qu'il fut livré, prit du pain,
      24 et après avoir rendu grâces, il le rompit et dit : "Ceci est mon corps, qui est pour vous ; faites ceci en mémoire de moi."
      25 De même il prit la coupe aussi, après le souper, en disant : "Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang : faites ceci, toutes les fois que vous la boirez, en mémoire de moi."
      26 Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez la coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne.
      27 Ainsi quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable à l'égard du corps et du sang du Seigneur.
      28 Mais que chacun s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange du pain et boive de la coupe ;
      29 car celui qui mange et qui boit, mange et boit un jugement contre lui-même, ne distinguant pas le corps.
      30 C'est pour cela que plusieurs sont faibles et malades parmi vous, et qu'un assez grand nombre dorment.
      31 Mais si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
      32 Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
      33 Ainsi, mes frères, quand vous vous réunissez pour manger, attendez-vous l'un l'autre ;
      34 si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour être jugés. Or, quant aux autres points, je les réglerai quand j'irai vers vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1 Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ.
      2 Je vous félicite de ce que vous vous souvenez de moi à tout point de vue et de ce que vous retenez mes instructions telles que je vous les ai transmises.
      3 Je veux cependant que vous sachiez ceci : Christ est le chef de tout homme, l'homme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ.
      4 Tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte déshonore son chef.
      5 Toute femme, en revanche, qui prie ou qui prophétise la tête non couverte déshonore son chef à elle. En effet, c'est exactement comme si elle était rasée.
      6 Si une femme n'a pas la tête couverte, qu'elle se tonde aussi les cheveux. Et s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux tondus ou d'être rasée, qu'elle se couvre donc la tête.
      7 L'homme n’est pas tenu de se couvrir la tête, puisqu'il est l'image et la gloire de Dieu ; la femme, elle, est la gloire de l'homme.
      8 En effet, ce n’est pas l'homme qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ;
      9 et ce n’est pas l'homme qui a été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l'homme.
      10 Voilà pourquoi, à cause des anges, la femme doit porter sur la tête une marque d'autorité.
      11 Toutefois, dans le Seigneur, la femme n'existe pas sans l'homme, ni l'homme sans la femme,
      12 car, de même que la femme a été tirée de l'homme, de même l'homme naît de la femme, et tout vient de Dieu.
      13 Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable pour une femme de prier Dieu sans avoir la tête couverte ?
      14 La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c'est une honte pour l'homme de porter des cheveux longs,
      15 alors que c'est une gloire pour la femme d'en porter parce que la chevelure lui a été donnée pour servir de voile ?
      16 Si quelqu'un se plaît à contester, nous n'avons pas une telle habitude, et les Eglises de Dieu non plus.
      17 En faisant la remarque suivante, je ne peux pas vous féliciter, car vous vous rassemblez non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires.
      18 Tout d'abord, j'apprends que, lorsque vous vous réunissez en assemblée, il y a parmi vous des divisions – et je le crois en partie.
      19 Il faut bien en effet qu'il y ait aussi des divisions parmi vous, afin que l'on puisse reconnaître ceux qui sont approuvés de Dieu au milieu de vous. –
      20 Ainsi donc, lorsque vous vous réunissez, ce n'est pas pour prendre part au repas du Seigneur,
      21 car, dès que vous vous mettez à table, chacun s'empresse de prendre son propre repas, de sorte que l'un a faim, tandis que l'autre est ivre.
      22 N'avez-vous pas des maisons pour manger et boire ? Ou bien méprisez-vous l'Eglise de Dieu et voulez-vous faire honte à ceux qui n'ont rien ? Que vous dire ? Faut-il vous féliciter ? Sur ce point, je ne vous félicite pas.
      23 En effet, j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai transmis. Le Seigneur Jésus, la nuit où il a été arrêté, a pris du pain.
      24 Après avoir remercié Dieu, il l’a rompu et a dit : [ « Prenez, mangez. ] Ceci est mon corps qui est [rompu] pour vous. Faites ceci en souvenir de moi. »
      25 De même, après le repas, il a pris la coupe et a dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang. Faites ceci en souvenir de moi toutes les fois que vous en boirez. »
      26 En effet, toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne.
      27 C'est pourquoi, celui qui mange ce pain ou boit la coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc s'examine lui-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe,
      29 car celui qui mange et boit [indignement], sans discerner le corps [du Seigneur], mange et boit un jugement contre lui-même.
      30 C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et que plusieurs sont morts.
      31 Si nous nous examinions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.
      32 Mais quand nous sommes jugés, c’est le Seigneur qui nous corrige afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
      33 Ainsi, mes frères et sœurs, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres.
      34 Si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Quant aux autres questions, je les réglerai quand je viendrai chez vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1 Suivez mon exemple, comme je suis l’exemple du Christ.
      2 Je vous félicite : vous vous souvenez de moi en toute occasion et vous suivez les instructions que je vous ai transmises.
      3 Cependant, je veux que vous compreniez ceci : le Christ est le chef de tout homme, le mari est le chef de sa femme, et Dieu est le chef du Christ.
      4 Si donc, pendant le culte, un homme a la tête couverte lorsqu’il prie ou donne des messages reçus de Dieu, il déshonore le Christ.
      5 Mais si une femme est tête nue lorsqu’elle prie ou donne des messages reçus de Dieu, elle déshonore son mari ; elle est comme une femme aux cheveux tondus.
      6 Si une femme ne se couvre pas la tête, elle pourrait tout aussi bien se couper la chevelure ! Mais puisqu’il est honteux pour une femme de se couper les cheveux ou de les tondre, il faut alors qu’elle se couvre la tête.
      7 L’homme n’a pas besoin de se couvrir la tête, parce qu’il reflète l’image et la gloire de Dieu. Mais la femme reflète la gloire de l’homme ;
      8 en effet, l’homme n’a pas été créé à partir de la femme, mais c’est la femme qui a été créée à partir de l’homme.
      9 Et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais c’est la femme qui a été créée pour l’homme.
      10 C’est pourquoi, à cause des anges, la femme doit avoir sur la tête un signe marquant ses responsabilités.
      11 Cependant, dans notre vie avec le Seigneur, la femme n’est pas indépendante de l’homme et l’homme n’est pas indépendant de la femme.
      12 Car de même que la femme a été créée à partir de l’homme, de même l’homme naît de la femme, et tout vient de Dieu.
      13 Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable qu’une femme soit tête nue lorsqu’elle prie Dieu pendant le culte ?
      14 La nature elle-même vous enseigne qu’il est indécent pour l’homme de porter les cheveux longs,
      15 tandis que c’est un honneur pour la femme de les porter ainsi. En effet, les cheveux longs ont été donnés à la femme pour lui servir de voile.
      16 Mais si quelqu’un désire encore discuter à ce sujet, qu’il sache simplement ceci : ni les Églises de Dieu, ni nous-mêmes n’avons d’autre coutume dans le culte.
      17 En passant aux remarques qui suivent, je ne peux pas vous féliciter, car vos réunions vous font plus de mal que de bien.
      18 Tout d’abord, on m’a dit que lorsque vous tenez des assemblées, il y a parmi vous des groupes rivaux, – et je le crois en partie.
      19 Il faut bien qu’il y ait des divisions parmi vous pour qu’on puisse reconnaître ceux d’entre vous qui sont vraiment fidèles. –
      20 Quand vous vous réunissez, ce n’est pas le repas du Seigneur que vous prenez :
      21 en effet, dès que vous êtes à table, chacun se hâte de prendre son propre repas, de sorte que certains ont faim tandis que d’autres s’enivrent.
      22 N’avez-vous pas vos maisons pour y manger et y boire ? Ou bien méprisez-vous l’Église de Dieu et voulez-vous humilier ceux qui n’ont rien ? Qu’attendez-vous que je vous dise ? Faut-il que je vous félicite ? Non, je ne peux vraiment pas vous féliciter !
      23 En effet, voici l’enseignement que j’ai reçu du Seigneur et que je vous ai transmis : Le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain
      24 et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. »
      25 De même, il prit la coupe après le repas et dit : « Cette coupe est la nouvelle alliance de Dieu, garantie par mon sang. Toutes les fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. »
      26 En effet, jusqu’à ce que le Seigneur vienne, vous annoncez sa mort toutes les fois que vous mangez de ce pain et que vous buvez de cette coupe.
      27 C’est pourquoi, celui qui mange le pain du Seigneur ou boit de sa coupe de façon indigne, se rend coupable de péché envers le corps et le sang du Seigneur.
      28 Que chacun donc s’examine soi-même et qu’il mange alors de ce pain et boive de cette coupe ;
      29 car si quelqu’un mange du pain et boit de la coupe sans reconnaître leur relation avec le corps du Seigneur, il attire ainsi le jugement sur lui-même.
      30 C’est pour cette raison que beaucoup d’entre vous sont malades et faibles, et que plusieurs sont morts.
      31 Si nous commencions par nous examiner nous-mêmes, nous éviterions de tomber sous le jugement de Dieu.
      32 Mais nous sommes jugés et corrigés par le Seigneur afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.
      33 Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour prendre le repas du Seigneur, attendez-vous les uns les autres.
      34 Si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous n’attiriez pas le jugement de Dieu sur vous dans vos réunions. Quant aux autres questions, je les réglerai quand je serai arrivé chez vous.
    • 1 Corinthiens 11

      1

      L'apôtre, après une exhortation, (1 Corinthiens 11:1)
      corrige quelques abus. (1 Corinthiens 11:2-16)
      Les disputes, divisions, et désordres au sujet de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:17-22)
      L’apôtre rappelle aux Corinthiens la nature et le but de l’institution de la Sainte Cène. (1 Corinthiens 11:23-26)
      Il leur indique ce qu'ils doivent en attendre, et comment se conduire à ce sujet. (1 Corinthiens 11:27-34)

      Le premier verset de ce chapitre paraît être en réalité la conclusion du chapitre précédent. L'apôtre prêchait non seulement la doctrine que les Corinthiens devaient reconnaître, mais surtout celle qu’ils devaient mettre en pratique, dans leur vie courante.

      Christ est notre « Exemple » parfait ; la conduite des hommes, relatée dans les Écritures, ne peut être suivie que si elle reflète parfaitement celle du Seigneur.

      2 Dans ce texte, jusqu’au chapitre 1Co 14, nous découvrons les détails relatifs à la tenue et à la conduite que l’on doit avoir dans l’assemblée.

      Parmi l'abondance de dons spirituels octroyés aux Corinthiens, quelques abus étaient néanmoins remarquables ; de même que Christ accomplissait la volonté de Dieu, tout en Le glorifiant, le chrétien doit reconnaître sa soumission à Christ, faire Sa volonté et rechercher Sa gloire.

      Nous devons, dans notre tenue vestimentaire, comme dans nos habitudes, éviter tout ce qui pourrait déshonorer Christ. La femme a été assujettie à l'homme, pour l'aider et le réconforter. Elle ne doit rien faire, dans l’assemblée, qui puisse ressembler à une revendication de l'égalité des sexes. Elle doit porter une « marque de l'autorité », un voile sur sa tête, à cause des anges, (verset 1 Corinthiens 11:10*) : leur présence doit préserver les chrétiens de tout mauvais pas, durant le culte d'adoration à Dieu.

      L'homme et la femme ont été faits l'un pour l'autre. Ils devaient se réconforter et s’entraider mutuellement, sans être l’esclave, ni le tyran de l’autre. Dieu a institué ces préceptes, à la fois dans le domaine de la Providence et celui de la Grâce, pour que l'autorité ou la soumission de chacun puisse être une aide à son conjoint.

      Il était d’usage dans les églises, que les femmes se montrent voilées en public, pour se joindre au culte d'adoration ; Paul estime que c’est tout à fait convenable. La religion chrétienne est en accord avec les usages d’un pays, là où ceux-ci ne sont pas opposés aux grands principes de vérité et de sainteté enseignés par la Parole ; toute déviation ou singularité quant au respect des ordonnances de la Bible, doit être évitée.

      * Référence ajoutée par le traducteur, pour faciliter la compréhension du texte.

      17 L'apôtre dénonce les désordres constatés chez les Corinthiens, lors de leur participation au repas du Seigneur. Si les ordonnances de ce Dernier ne servent pas à nous sanctifier, nous aurons rapidement tendance à nous dégrader spirituellement. Si la pratique de Ses commandements ne nous améliore pas, elle finira par nous endurcir...

      Bien qu'unis en apparence, les Corinthiens étaient en fait divisés, tombant dans de nombreux schismes. Les chrétiens peuvent être dénués de toute communion fraternelle authentique, tout en pratiquant cependant une certaine charité mutuelle ; ils peuvent hélas rester longtemps dans cet état, cette situation étant favorable à la naissance de schismes...

      Il est possible de participer irrégulièrement au repas du Seigneur, avec une certaine insouciance : cela ne peut qu’alourdir notre culpabilité.

      Beaucoup de Corinthiens aisés semblaient s’être mal comportés à la table du Seigneur, ou lors de certaines agapes, ces deux types de repas bien distincts, ayant lieu en même temps. Les riches avaient une attitude méprisante envers les pauvres : ils mangeaient et buvaient en priorité ce qu’ils avaient préparé, avant que les pauvres ne puissent accéder à ces repas ; certains n'avaient pas suffisamment, alors que d'autres en avaient trop... Ce repas, destiné à fortifier les liens d'amour mutuel et d'affection, était alors une source de désaccords et de désunions.

      Nous devons prendre garde à ce que notre comportement à la table du Seigneur, ne puisse souffrir d’aucune légèreté de conduite, face à cette institution sacrée. Le repas du Seigneur n'est pas une occasion de gloutonnerie ou d'ivrognerie ; ne souligne-t-il pas parfois hélas, l’orgueil ou l’hypocrisie, chez le « justifié » ?

      Ne pratiquons jamais certaines formes d'adoration, qui n’ont d’apparence, que l’extérieur ; regardons plutôt l’état de notre cœur !

      23 L'apôtre décrit l'ordonnance sacrée de la cène, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cène sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apôtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invité tous Ses disciples à boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait être privé de la coupe. Ces éléments, le pain et le vin, représentent le corps brisé et le sang versé de Christ, avec tous les bienfaits qui découlent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grâces et présenta ces éléments à Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mémoire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne représentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considérer Jésus en tant que Seigneur et Maître de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici décrits, les buts de cette ordonnance.

      La cène doit être prise en mémoire de Christ, pour que nous gardions à l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercède pour nous, en vertu de Sa mort, à la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son œuvre et de toutes Ses souffrances, mais de célébrer également Sa Grâce, nécessaire à notre rédemption.

      Nous déclarons par ce repas que la mort du Seigneur est à la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos réconforts et de notre espérance. Dans une telle déclaration, nous glorifions Christ et témoignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos péchés.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance épisodique, il doit être pratiqué régulièrement. L'apôtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de manière inconsidérée, ou en étant dans une situation de péché, tout en déclarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilité, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas décourager les croyants « timides » de participer à cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les véritables chrétiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadés.

      L'apôtre s'adressait aux chrétiens, les avertissant de se méfier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgré ces châtiments, Dieu rappelle Sa Miséricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutôt que d'être spirituellement misérable, à jamais...

      L'apôtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement à cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mêmes tous nos manquements, pour les confesser à Dieu, nous pourrons ainsi éviter Ses jugements.

      L'apôtre termine par une mise en garde relative aux irrégularités dont les Corinthiens étaient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considérer cet avertissement, de façon à ne pas venir présenter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sévère.

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