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La Bible en 3 ans - Jour 674

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    • Philémon 1

      1 Paul, prisonnier de Jésus Christ, et le frère Timothée, à Philémon, notre bien-aimé et notre compagnon d'oeuvre,
      2 à la soeur Apphia, à Archippe, notre compagnon de combat, et à l'Église qui est dans ta maison :
      3 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus Christ !
      4 Je rends continuellement grâces à mon Dieu, faisant mention de toi dans mes prières,
      5 parce que je suis informé de la foi que tu as au Seigneur Jésus et de ta charité pour tous les saints.
      6 Je lui demande que ta participation à la foi soit efficace pour la cause de Christ, en faisant reconnaître en nous toute espèce de bien.
      7 J'ai, en effet, éprouvé beaucoup de joie et de consolation au sujet de ta charité ; car par toi, frère, le coeur des saints a été tranquillisé.
      8 C'est pourquoi, bien que j'aie en Christ toute liberté de te prescrire ce qui est convenable,
      9 c'est de préférence au nom de la charité que je t'adresse une prière, étant ce que je suis, Paul, vieillard, et de plus maintenant prisonnier de Jésus Christ.
      10 Je te prie pour mon enfant, que j'ai engendré étant dans les chaînes, Onésime,
      11 qui autrefois t'a été inutile, mais qui maintenant est utile, et à toi et à moi.
      12 Je te le renvoie lui, mes propres entrailles.
      13 J'aurais désiré le retenir auprès de moi, pour qu'il me servît à ta place, pendant que je suis dans les chaînes pour l'Évangile.
      14 Toutefois, je n'ai rien voulu faire sans ton avis, afin que ton bienfait ne soit pas comme forcé, mais qu'il soit volontaire.
      15 Peut-être a-t-il été séparé de toi pour un temps, afin que tu le recouvres pour l'éternité,
      16 non plus comme un esclave, mais comme supérieur à un esclave, comme un frère bien-aimé, de moi particulièrement, et de toi à plus forte raison, soit dans la chair, soit dans le Seigneur.
      17 Si donc tu me tiens pour ton ami, reçois-le comme moi-même.
      18 Et s'il t'a fait quelque tort, ou s'il te doit quelque chose, mets-le sur mon compte.
      19 Moi Paul, je l'écris de ma propre main, -je paierai, pour ne pas te dire que tu te dois toi-même à moi.
      20 Oui, frère, que j'obtienne de toi cet avantage, dans le Seigneur ; tranquillise mon coeur en Christ.
      21 C'est en comptant sur ton obéissance que je t'écris, sachant que tu feras même au delà de ce que je dis.
      22 En même temps, prépare-moi un logement, car j'espère vous être rendu, grâce à vos prières.
      23 Épaphras, mon compagnon de captivité en Jésus Christ,
      24 te salue, ainsi que Marc, Aristarque, Démas, Luc, mes compagnons d'oeuvre.
      25 Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec votre esprit !
    • Philémon 1

      1 De la part de Paul, prisonnier de Jésus-Christ, et de la part du frère Timothée à Philémon, notre bien-aimé collaborateur,
      2 à notre bien-aimée Apphia, à Archippe, notre compagnon de combat, et à l'Eglise qui se réunit dans ta maison :
      3 que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ !
      4 Je dis constamment à mon Dieu toute ma reconnaissance en faisant mention de toi dans mes prières,
      5 car j'entends parler de ta foi dans le Seigneur Jésus et de ton amour pour tous les saints.
      6 Je lui demande que ta participation à la foi soit efficace et fasse reconnaître tout le bien que nous accomplissons pour la cause de [Jésus-]Christ.
      7 Nous éprouvons en effet beaucoup de reconnaissance et de réconfort au sujet de ton amour, car grâce à toi, frère, le cœur des saints a été tranquillisé.
      8 C'est pourquoi, bien que j'aie en Christ toute liberté de te prescrire ce qui convient,
      9 c'est au nom de l'amour que je préfère t’adresser une requête, moi Paul, qui suis un vieillard et de plus, maintenant, un prisonnier de Jésus-Christ.
      10 Je t’adresse cette requête à propos de mon enfant, celui qui est devenu mon fils en prison, Onésime.
      11 Autrefois il t'a été inutile, mais maintenant il nous est bien utile, à toi comme à moi.
      12 Je te le renvoie, [et toi, accueille-le, ] lui qui est une partie de moi-même.
      13 J'aurais désiré le garder près de moi pour qu'il me serve à ta place pendant que je suis en prison pour l'Evangile,
      14 mais je n'ai rien voulu faire sans ton avis, afin que ton bienfait ne paraisse pas forcé, mais qu’il soit volontaire.
      15 Peut-être a-t-il été séparé de toi pour un temps afin que tu le retrouves pour toujours,
      16 non plus comme un esclave, mais bien mieux encore, comme un frère bien-aimé. Il l'est particulièrement pour moi, il le sera d’autant plus pour toi dans vos rapports humains et dans le Seigneur.
      17 Si donc tu me considères comme ton ami, accueille-le comme si c’était moi.
      18 Et s'il t'a fait du tort ou te doit quelque chose, mets-le sur mon compte.
      19 Moi Paul, je l'écris de ma propre main, je te rembourserai, sans vouloir te rappeler que toi aussi, tu as une dette envers moi : c’est toi-même.
      20 Oui, frère, rends-moi ce service dans le Seigneur : tranquillise mon cœur en Christ.
      21 C'est en comptant sur ton obéissance que je t'ai écrit, sachant que tu feras même plus que je ne demande.
      22 En même temps, prépare-moi un logement, car j'espère vous être rendu grâce à vos prières.
      23 Epaphras, mon compagnon de détention en Jésus-Christ, te salue,
      24 ainsi que Marc, Aristarque, Démas et Luc, mes collaborateurs.
      25 Que la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec votre esprit !
    • Philémon 1

      2 Et à notre bien-aimé Apphie, et à Archippe, notre compagnon d'armes, et à l'Église qui est dans ta maison.
      3 La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ !
      4 Je rends grâces à mon Dieu, faisant toujours mention de toi dans mes prières ; en apprenant la foi que tu as au Seigneur Jésus,
      5 Et ta charité envers tous les Saints ; afin que la communication de la foi soit efficace,
      6 Par la connaissance de tout le bien qui se fait parmi vous, pour Jésus-Christ.
      7 Car, mon frère, ta charité nous a donné une grande joie et une grande consolation, en ce que tu as réjoui les entrailles des Saints.
      8 C'est pourquoi, bien que j'aie en Christ une grande liberté pour te commander ce qui est convenable,
      9 Cependant je te prie plutôt, étant ce que je suis, Paul avancé en âge, et même actuellement prisonnier de Jésus-Christ, au nom de la charité,
      10 Je te prie pour mon fils Onésime, que j'ai engendré étant dans les chaînes,
      11 Qui t'a été autrefois inutile, mais qui maintenant te sera utile, aussi bien qu'à moi, et que je te renvoie.
      12 Reçois-le donc comme mes propres entrailles.
      13 Je voulais le retenir auprès de moi, afin qu'il me servît à ta place dans les liens où je suis pour l'Évangile.
      14 Mais je n'ai rien voulu faire sans ton avis, afin que ton bienfait ne fût pas comme forcé, mais volontaire.
      15 Car peut-être n'a-t-il été séparé de toi pour quelque temps, qu'afin que tu le recouvrasses pour toujours ;
      16 Non plus comme un esclave, mais comme supérieur à un esclave, comme un frère, particulièrement chéri de moi, et bien plus de toi, selon la chair, et selon le Seigneur.
      17 Si donc tu me regardes comme uni à toi reçois-le comme moi-même.
      18 S'il t'a fait quelque tort, ou s'il te doit quelque chose, mets-le sur mon compte.
      19 Moi, Paul, je te l'écris de ma propre main, je te le rendrai, sans te dire que tu te dois toi-même à moi.
      20 Oui, frère, que je reçoive ce plaisir de toi dans le Seigneur ; réjouis mes entrailles dans le Seigneur.
      21 Je t'écris, persuadé de ton obéissance, sachant que tu feras même plus que je ne dis.
      22 Mais en même temps prépare-moi un logement, car j'espère que je vous serai rendu par vos prières.
      23 Épaphras, mon compagnon de captivité en Jésus-Christ,
      24 Marc, Aristarque, Démas et Luc, mes compagnons de travaux, te saluent.
      25 La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ soit avec votre esprit !
    • Philémon 1

      1

      Philémon était un habitant de Colosse, une personne riche, d’une certaine notoriété, convertie sous le ministère de l’apôtre Paul. Onésime était l'esclave de Philémon. Après avoir fui de chez son maître, il s'en alla à Rome où il se convertit à la foi chrétienne, grâce au témoignage dispensé par Paul ; l’apôtre retint Onésime jusqu'à ce que la véracité et la sincérité de sa conversion deviennent évidentes.

      Onésime souhaitait réparer l'injure qu'il avait faite à son maître, mais, craignant qu’une punition due à son offense lui soit infligée, il supplia l'apôtre d'écrire à Philémon. Paul ne semble nulle part ailleurs, raisonner avec plus d'éloquence, ni supplier quelqu’un avec autant de force, que dans cette épître adressée à Philémon.

      Joie de l'apôtre et sa louange à Dieu, pour la foi ferme de Philémon envers le Seigneur Jésus, et son amour pour tous les saints. (Philémon 1:1-7) Il recommande Onésime, en tant que personne qui voudrait faire amende honorable pour la mauvaise conduite dont il s'était rendu précédemment coupable ; Paul désirait rétablir de bonnes relations entre Philémon et Onésime. (Philémon 1:8-22) Salutations et bénédictions (Philémon 1:23-25)

      Philémon 1:1-7 La foi en Christ et l'amour envers Lui, devraient unir les saints dans une grande fraternité, plus que n'importe quelle autre relation qui pourrait rapprocher les gens du monde. Paul, dans ses prières personnelles, se souvenait remarquablement de ses amis.

      Nous devons nous efforcer de ne pas oublier nos amis chrétiens, et lorsque leur cas le nécessite, les porter dans nos prières et notre cœur, devant Dieu. Les divergences mineures qui peuvent éventuellement affecter nos relations avec nos frères et sœurs, doivent être évitées autant que possible !.

      Paul s'informait, au sujet des saints : il désirait connaître leur vision de la Vérité, leur croissance et leur fruits spirituels, leur foi et leur amour envers en Christ.

      Les progrès dans la foi que Philémon pouvait manifester, étaient un sujet de joie et de consolation pour l’apôtre, comme pour les autres ; Paul désirait le voir de plus en plus continuer à produire de bons fruits spirituels, en l'honneur de Dieu !

      8 Le fait de céder à la volonté, voire aux supplications de quelqu’un, n’est pas forcément synonyme d’abaissement, tant qu’une stricte droiture est respectée ; nous pouvons parfois être appelé à ce genre d’exercice...

      L'apôtre Paul, dans sa requête pour Onésime, récemment converti, est davantage animé par l’amour, que par l'autorité. Par allusion à ce nom (Onésime) qui signifie « utile », l'apôtre admet que dans le passé ce serviteur avait été « inutile » à Philémon ; il s'empresse toutefois de mentionner le changement radical et positif de sa conduite.

      Les païens, dénués de toute sainteté, sont inutiles, spirituellement ; ils ne répondent pas à la destinée initiale que Dieu avait prévu pour eux. Mais quel heureux changement opère la conversion à Jésus-Christ ! Du mal, elle conduit vers le bien, de l'inutile vers l'utile ! Les serviteurs pieux sont de véritables « trésors », au sein d’une famille. Ils prennent entièrement conscience du rôle qu’ils doivent assumer ici-bas, et ce, de la meilleure manière.

      Rien ne devrait engager qui que ce soit à négliger ses obligations, ou à défaillir dans l'obéissance envers ses supérieurs. Une véritable repentance se traduit par un retour à la pratique des devoirs qui ont été négligés auparavant. Tant qu’il n’était pas converti, Onésime était à l’origine de plusieurs déboires chez son maître ; mais désormais, il avait constaté ses fautes et s'en était repenti ; il avait la volonté d’accomplir son devoir initial.

      Peu de personnes discernent véritablement les desseins du Seigneur, quand Celui-ci laisse certains changer de situation, voire s'engager dans diverses entreprises, pour des motifs douteux... Le Seigneur n'a t'il pas annulé certains de nos vains projets, dignes des impies ? Nous pouvons songer à ces différents cas, qui auraient, sans nul doute, engendré notre destruction.

      15 Quand nous parlons de la nature de quelque péché ou d’une offense contre Dieu, le mal qu'ils constituent ne doit pas être amoindri ; de même que Dieu pardonne au pécheur pénitent, nous devons avoir le même sentiment à l’égard de nos semblables repentants. De telles personnes, qui auparavant vivaient dans le péché, peuvent devenir, après s’être tournées vers Dieu, une véritable bénédiction pour tous ceux au milieu desquels ils séjournent.

      Le fait d’être chrétien ne nous fait pas rejeter la pratique de nos devoirs envers les autres, nous devons les accomplir en toute droiture. Les repentants authentiques n’hésitent pas à reconnaître leurs fautes ; c’est ce que fit sans doute Onésime envers Paul, en lui déclarant celles qu’il avait causées auparavant à son maître.

      La communion des saints ne détruit pas la hiérarchie entre un maître et son serviteur. Ce texte en est un bon exemple, révélant la faute incombée à Onésime, à l’encontre de son maître, Philémon : Paul demanda au premier de s’engager volontairement à reconnaître son péché, afin de pouvoir être acquitté de la punition que méritaient ses crimes ; c’est en quelque sorte une image du pécheur repentant qui s’approche de Christ, Celui qui « porte » les péchés, afin qu’il puisse recevoir sa « récompense », et sa justification.

      Philémon était le « fils » de Paul dans la foi ; ce dernier le considéra malgré tout, comme un frère. Onésime n’était qu’un pauvre esclave, mais Paul le supplia pour le relever avec une certaine dignité.

      Les chrétiens devraient tout mettre en œuvre pour apporter de la joie aux autres. Quand ces derniers sont en faute, ils n'attendent du monde que l'affliction, alors qu’ils pourraient trouver la consolation et la joie d’un frère dans le Seigneur.

      Quand nous traversons l’épreuve, notre confiance et notre espérance doivent se baser sur Dieu. Nous devons fidèlement employer les moyens qu’Il a mis à notre disposition pour nous relever, et si personne ne nous aide, prions ardemment. Bien que la prière soit essentielle, tout le mérite du pardon obtenu revient à Dieu. Si les chrétiens sont dans l’impossibilité de se rencontrer ici-bas, il leur reste la Grâce du Seigneur Jésus, qui sera toujours avec eux, et l’espérance de pouvoir se retrouver bientôt devant le Trône céleste, pour se réunir pour goûter les richesses de l'Amour rédempteur.

      L'exemple d'Onésime encourage le plus vil des pécheurs à se tourner vers Dieu ; mais quelle honte et quelle tristesse, si certains se montrent arrogants, en persistant à donner libre cours au mal. N'y en a t'il pas plusieurs qui ont été « foudroyés » dans leurs péchés, voire d'autres endurcis ? Ne résistez plus aujourd’hui aux résolutions de repentance, de peur qu'elles ne se représentent plus...

      23 Jamais les croyants ne peuvent se réjouir davantage en Dieu, que lorsqu’ils souffrent ensemble pour Lui.

      La Grâce est ce qu’il y a de meilleur pour nous-même, comme pour les autres : l’apôtre termine cette lettre avec cette salutation. Toute la Grâce vient de Christ ; Il l'a acquise et Il l'accorde aux Siens. Qu'avons-nous besoin de plus pour être heureux, en possédant la Grâce de notre Seigneur Jésus-Christ, en notre cœur ? Qu'il en soit ainsi désormais et ceci, jusqu'à notre dernier souffle ! Les hommes seront alors prêts à renoncer aux vains attraits de ce monde et à préférer la moindre bribe de Grâce et de foi !

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