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La Bible en 3 ans - Jour 768

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Versets relatifs

    • Job 6

      1 Et Job prit la parole, et dit :
      2 Oh ! si l'on pesait ma douleur, et si l'on mettait en même temps mes calamités dans la balance !
      3 Elles seraient plus pesantes que le sable des mers ! Voilà pourquoi mes paroles sont outrées.
      4 Car les flèches du Tout-Puissant sont sur moi : mon âme en boit le venin. Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
      5 L'onagre brait-il auprès de l'herbe ? Et le boeuf mugit-il auprès de son fourrage ?
      6 Mange-t-on sans sel ce qui est fade ? Trouve-t-on du goût dans un blanc d'oeuf ?
      7 Ce que mon âme refusait de toucher, est comme devenu ma dégoûtante nourriture.
      8 Oh ! puisse mon voeu s'accomplir et Dieu me donner ce que j'attends !
      9 Qu'il plaise à Dieu de me réduire en poussière, qu'il laisse aller sa main pour m'achever !
      10 Et j'aurai une consolation, et j'aurai des transports de joie au milieu des tourments qu'il ne m'épargne pas : c'est que je n'ai pas renié les paroles du Saint.
      11 Quelle est ma force pour que j'espère, et quelle est ma fin pour que je prenne patience ?
      12 Ma force est-elle la force des pierres ? Ma chair est-elle d'airain ?
      13 Ne suis-je pas sans secours, et toute ressource ne m'est-elle pas ôtée ?
      14 Le malheureux a droit à la pitié de son ami, eût-il abandonné la crainte du Tout-Puissant.
      15 Mes amis m'ont trompé comme un torrent, comme le lit des torrents qui passent ;
      16 Ils sont troublés par les glaçons, la neige s'y engloutit ;
      17 Mais, au temps de la sécheresse, ils tarissent, et, dans les chaleurs, ils disparaissent de leur place.
      18 Les caravanes se détournent de leur route ; elles montent dans le désert et se perdent.
      19 Les caravanes de Théma y comptaient ; les voyageurs de Shéba s'y attendaient.
      20 Ils sont honteux d'avoir eu cette confiance : ils arrivent sur les lieux, et restent confondus.
      21 C'est ainsi que vous me manquez à présent ; vous voyez une chose terrible, et vous en avez horreur !
      22 Mais vous ai-je dit : "Donnez-moi quelque chose, et, de vos biens, faites des présents en ma faveur ;
      23 Délivrez-moi de la main de l'ennemi, et rachetez-moi de la main des violents ?"
      24 Instruisez-moi, et je me tairai. Faites-moi comprendre en quoi j'ai erré.
      25 Oh ! que les paroles droites ont de force ! Mais que veut censurer votre censure ?
      26 Sont-ce des mots que vous voulez censurer ? Mais il faut laisser au vent les paroles d'un homme au désespoir.
      27 Vraiment, vous joueriez au sort un orphelin, et vous vendriez votre ami !
      28 Mais, à présent, veuillez jeter les yeux sur moi, et voyez si je vous mens en face !
      29 Revenez donc, et soyez sans injustice ! Revenez, et que mon bon droit paraisse !
      30 Y a-t-il de l'injustice dans ma langue ? Et mon palais ne sait-il pas discerner le mal ?
    • Job 6

      1 Job prit la parole et dit :
      2 « Si seulement il était possible de peser mon exaspération, si seulement on plaçait tous mes malheurs ensemble sur une balance !
      3 Ils seraient plus lourds que le sable de la mer : voilà pourquoi mes paroles dépassent la mesure.
      4 Oui, les flèches du Tout-Puissant m'ont transpercé et mon esprit en suce le venin ; les terreurs de Dieu se rangent en ordre de bataille contre moi.
      5 » L'âne sauvage se met-il à braire quand il est près de l'herbe ? Le bœuf se met-il à mugir quand il est près de son fourrage ?
      6 Mange-t-on ce qui est fade, sans sel ? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un œuf ?
      7 Ce que je voudrais ne pas toucher, c’est justement ma nourriture, si dégoûtante soit-elle !
      8 Si seulement mon vœu pouvait se réaliser ! Si seulement Dieu pouvait m’accorder ce que j’attends !
      9 » Que Dieu consente donc à m'écraser, qu'il libère sa main et m'achève !
      10 Il me restera au moins une consolation, une joie, malgré la douleur dont il m'accable : c’est que jamais je n'ai négligé les paroles du Saint.
      11 » Aurai-je encore la force d’espérer ? Quelle sera ma fin, pour que je veuille persister à vivre ?
      12 Ma force serait-elle aussi résistante que la pierre ? Mon corps serait-il en bronze ?
      13 N’est-il pas vrai que je suis dépourvu de ressources, que le succès a été chassé loin de moi ?
      14 » Celui qui souffre a droit à la bienveillance de son ami, même s’il abandonne la crainte du Tout-Puissant.
      15 Mes frères m’ont trompé comme le fait un torrent, comme les cours d’eau qui disparaissent.
      16 La fonte des glaces assombrit leur eau, la neige s'y dissimule.
      17 Mais à la saison chaude, ils arrêtent de couler ; sous l’effet de la chaleur, leur lit devient tout sec.
      18 Les caravanes quittent leur chemin, s'enfoncent dans le désert et disparaissent.
      19 Les caravanes de Théma les cherchent du regard, les voyageurs de Séba sont pleins d'espoir,
      20 mais ils se retrouvent tout honteux d'avoir eu confiance, ils sont tout désappointés quand ils y arrivent.
      21 » De fait, maintenant, vous n’êtes pas vraiment présents pour moi. Vous voyez mon angoisse et vous en êtes tout effrayés !
      22 Vous ai-je demandé de me donner quelque chose, de tirer pour moi un cadeau de vos ressources,
      23 de me délivrer d’un adversaire ou de me libérer d’hommes violents ?
      24 » Enseignez-moi et je me tairai. Faites-moi comprendre quelle est mon erreur !
      25 Quelle force auraient des paroles à propos ! Mais que prouvent vos critiques ?
      26 Voulez-vous donc corriger ce que j'ai dit, vous débarrasser des discours d'un désespéré ?
      27 Vous seriez même capables de tirer au sort pour un orphelin, de faire du commerce sur le dos de votre ami.
      28 » Et maintenant, je vous en prie, regardez-moi ! Vous mentirais-je en face ?
      29 Revenez donc, je vous en prie, ne soyez pas injustes ! Revenez et reconnaissez-le, ma justice est intacte dans cette affaire.
      30 Y a-t-il de l'injustice sur ma langue et ma bouche ne discerne-t-elle pas le mal ?
    • Job 6

      1 Job prit la parole et dit :
      2 Oh ! s'il était possible de peser ma douleur, Et si toutes mes calamités étaient sur la balance,
      3 Elles seraient plus pesantes que le sable de la mer ; Voilà pourquoi mes paroles vont jusqu'à la folie !
      4 Car les flèches du Tout Puissant m'ont percé, Et mon âme en suce le venin ; Les terreurs de Dieu se rangent en bataille contre moi.
      5 L'âne sauvage crie-t-il auprès de l'herbe tendre ? Le boeuf mugit-il auprès de son fourrage ?
      6 Peut-on manger ce qui est fade et sans sel ? Y a-t-il de la saveur dans le blanc d'un oeuf ?
      7 Ce que je voudrais ne pas toucher, C'est là ma nourriture, si dégoûtante soit-elle !
      8 Puisse mon voeu s'accomplir, Et Dieu veuille réaliser mon espérance !
      9 Qu'il plaise à Dieu de m'écraser, Qu'il étende sa main et qu'il m'achève !
      10 Il me restera du moins une consolation, Une joie dans les maux dont il m'accable : Jamais je n'ai transgressé les ordres du Saint.
      11 Pourquoi espérer quand je n'ai plus de force ? Pourquoi attendre quand ma fin est certaine ?
      12 Ma force est-elle une force de pierre ? Mon corps est-il d'airain ?
      13 Ne suis-je pas sans ressource, Et le salut n'est-il pas loin de moi ?
      14 Celui qui souffre a droit à la compassion de son ami, Même quand il abandonnerait la crainte du Tout Puissant.
      15 Mes frères sont perfides comme un torrent, Comme le lit des torrents qui disparaissent.
      16 Les glaçons en troublent le cours, La neige s'y précipite ;
      17 Viennent les chaleurs, et ils tarissent, Les feux du soleil, et leur lit demeure à sec.
      18 Les caravanes se détournent de leur chemin, S'enfoncent dans le désert, et périssent.
      19 Les caravanes de Théma fixent le regard, Les voyageurs de Séba sont pleins d'espoir ;
      20 Ils sont honteux d'avoir eu confiance, Ils restent confondus quand ils arrivent.
      21 Ainsi, vous êtes comme si vous n'existiez pas ; Vous voyez mon angoisse, et vous en avez horreur !
      22 Vous ai-je dit : Donnez-moi quelque chose, Faites en ma faveur des présents avec vos biens,
      23 Délivrez-moi de la main de l'ennemi, Rachetez-moi de la main des méchants ?
      24 Instruisez-moi, et je me tairai ; Faites-moi comprendre en quoi j'ai péché.
      25 Que les paroles vraies sont persuasives ! Mais que prouvent vos remontrances ?
      26 Voulez-vous donc blâmer ce que j'ai dit, Et ne voir que du vent dans les discours d'un désespéré ?
      27 Vous accablez un orphelin, Vous persécutez votre ami.
      28 Regardez-moi, je vous prie ! Vous mentirais-je en face ?
      29 Revenez, ne soyez pas injustes ; Revenez, et reconnaissez mon innocence.
      30 Y a-t-il de l'iniquité sur ma langue, Et ma bouche ne discerne-t-elle pas le mal ?
    • Job 6

      1

      Job justifie ses plaintes. (Job 6:1-7)
      Il désire mourir. (Job 6:8-13)
      Job reproche à ses amis leur dureté. (Job 6:14-30)

      Job continue à essayer de se justifier, tout en se plaignant. En plus de la souffrance provoquée par ses épreuves, la colère divine a anéanti tout ce qui lui restait comme courage et résolution. Il est plus difficile de supporter la colère de Dieu que toutes les afflictions extérieures. Songez à ce qu'a supporté le Sauveur, dans le jardin de Gethsémané et sur la croix, quand Il a porté nos péchés, et quand son âme a été sacrifiée pour nous justifier ! Quel que soit le fardeau qui nous afflige, (dans le corps ou dans notre entourage), Dieu se plait à nous couvrir de Son aile, de sorte que nous puissions nous soumettre à Lui aussi longtemps qu'Il se révèle à notre raison et à notre conscience, par Sa paix ; mais si la communion est rompue, notre cas est alors vraiment pitoyable. Job se retourne contre ses amis. Il estime n'avoir reçu aucun soulagement de leurs jugements, malgré son état de désarroi, de répugnance et d'accablement.
      8 Job avait désiré la mort, qui lui semblait la seule fin heureuse à ses malheurs. Éliphaz l'avait réprimandé à cause de cette pensée, mais il le critique encore, avec plus de véhémence. L'ulcère de Job devait être vraiment pénible à supporter pour qu'il puisse dire que Dieu se plaisait à le détruire. Qui, pour une heure, pourrait supporter la colère du Tout-Puissant, si ce Dernier étendait Sa main contre lui ?

      Faisons plutôt, comme David, qui disait à Dieu : « Épargne-moi » !

      Job, au plus profond de son épreuve, en livrant son état de conscience, a été, dans un certain sens, utile à la Gloire de Dieu. Ceux qui bénéficient de la Grâce, qui la possèdent de toute évidence et qui la manifeste dans leur vie, possèdent la sagesse, ce qui s'avère être une aide dans les plus mauvais moments.

      14 Au temps de sa prospérité, Job estimait beaucoup ses amis, mais maintenant, ces derniers le décevaient vraiment. Il compare le déroulement de ces faits aux torrents qui tarissent en été. Ceux qui placent leur attente dans les hommes, ne récolteront que déconvenue lorsqu'ils réclameront leur aide ; par contre, ceux qui placent leur confiance en Dieu, seront secourus s'ils se trouvent un jour dans le besoin, Heb 4:16. Ceux qui fondent tout leur espoir sur l'or, en y plaçant leur confiance, en éprouveront tôt ou tard de la honte.

      Il est sage d'éviter toute dépendance par rapport à l'homme. Plaçons toute notre confiance dans le Rocher éternel, au lieu de nous appuyer sur des roseaux avachis ! Abreuvons-nous à la Fontaine de la vie au lieu d'aller vers les citernes crevassées ! L'affirmation est très lourde de sens ; « vous êtes comme si vous n'existiez pas ». Il serait bon pour nous d'avoir toujours de telles convictions, par rapport à la vanité de l'homme, lors de la maladie, des ennuis de conscience ou à l'approche de la mort. Job réprimande ses amis pour leur sévérité. Il ne désirait en somme rien de plus de leur part, que de bonnes appréciations ou des paroles d'encouragement. Ce genre de situation se produit souvent : nous recevons de l'homme moins que nous ne pouvions en escompter. Par contre, nous recevons de Dieu, beaucoup plus que nous ne pouvions imaginer dans le meilleur des cas ! Bien que Job soit différent de ses amis, il était prêt à reconnaître ses erreurs, si elles étaient mises en évidence. Bien que Job puisse avoir été en faute, ses amis n'auraient pas dû le réprimander aussi durement. La droiture était le leitmotiv dont il ne voulait pas dévier. Il estimait ne pas être aussi inique qu'ils l'avaient supposé. Mais il n'y a rien de mieux que de nous placer devant Celui qui garde nos âmes ; au grand jour du jugement, le croyant intègre recevra finalement l'éloge de Dieu.

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