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La Bible en 3 ans - Jour 769

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Versets relatifs

    • Job 7

      1 La vie est rude pour les hommes sur la terre : ils ont la condition d’un travailleur de force,
      2 d’un esclave au soleil, qui voudrait un peu d’ombre, ou d’un pauvre ouvrier, qui attend qu’on le paie.
      3 Tel est aussi mon sort : des mois de déception, et des nuits de tourments ; c’est ce que j’ai gagné.
      4 Dès que je suis couché, je commence à me dire : « Quand me lèverai-je ? » Le soir n’en finit pas. Je n’en peux plus de m’agiter jusqu’à l’aurore.
      5 J’ai le corps recouvert de vermine et de croûtes, et ma peau écorchée n’est que plaies purulentes.
      6 Ma vie aura passé plus vite que la navette d’un tisserand, elle touche à sa fin quand le fil de l’espoir est arrivé au bout.
      7 O Dieu, ne l’oublie pas, ma vie tient à un souffle, mes yeux ne reverront plus jamais le bonheur.
      8 Toi qui veillais sur moi, tu ne me verras plus ; tu me regarderas, je ne serai plus là.
      9 Comme un nuage se dissipe et disparaît, on descend chez les morts pour n’en plus remonter.
      10 Celui qui part ainsi ne revient plus chez lui, et là où il vivait, on l’oubliera bientôt.
      11 Alors je ne veux plus me taire davantage ; j’ai l’esprit en détresse, il faut donc que je parle. Mon cœur est trop amer, j’exprimerai ma plainte.
      12 Toi, pourquoi me fais-tu surveiller de si près : serais-je l’Océan ou le Monstre marin ?
      13 Quand je me mets au lit en espérant trouver quelque soulagement ou quelque apaisement,
      14 tu viens me terroriser par des cauchemars ; ce que tu me fais voir me jette dans l’angoisse.
      15 Ah, si tu m’étranglais, j’aimerais mieux cela ! Je préfère mourir, plutôt qu’être réduit à l’état de squelette.
      16 Je n’en peux plus, je ne durerai pas toujours. Ma vie tient à un rien, laisse-moi donc tranquille.
      17 Pourquoi donner tant d’importance à un humain ? Oui, pourquoi le prends-tu tellement au sérieux,
      18 et viens-tu l’inspecter matin après matin ? Pourquoi à chaque instant le mets-tu à l’épreuve ?
      19 Quand donc cesseras-tu de t’occuper de moi ? Quand me laisseras-tu avaler ma salive ?
      20 Si je me suis rendu coupable à ton égard, que t’ai-je fait, dis-moi, inspecteur des humains ? Pourquoi fais-tu de moi une cible pour toi ? Serais-je devenu une charge pour toi ?
      21 Pourquoi refuses-tu de supporter ma faute, de pardonner mes torts ? Me voilà maintenant couché dans la poussière ; quand tu me chercheras, je ne serai plus là.
    • Job 7

      1 Le sort de l’homme sur la terre est celui d’un soldat et ses jours sont semblables à ceux d’un mercenaire.
      2 Il est comme un esclave qui soupire après l’ombre et comme un ouvrier qui attend son salaire.
      3 J’ai reçu en partage des mois de déception, j’ai trouvé dans mon lot des nuits de peine amère.
      4 Dès que je suis couché, je dis : « Quand vais-je me lever ? » Sitôt levé, je pense : « Quand donc viendra le soir ? » Et, jusqu’au crépuscule, je suis agité de douleurs.
      5 Mon corps est couvert de vermine et de croûtes terreuses, ma peau s’est crevassée, partout, mes plaies suppurent.
      6 Mes jours se sont enfuis plus rapides que la navette d’un tisserand habile. Ils tirent à leur fin sans qu’il y ait d’espoir.
      7 Rappelle-toi, ô Dieu, que ma vie n’est qu’un souffle et que jamais mes yeux ne reverront plus le bonheur.
      8 Oui, l’œil qui me regarde ne pourra plus me voir, tes yeux me chercheront et j’aurai disparu.
      9 Tout comme une nuée qui se dissipe et passe, l’homme va dans la tombe pour n’en plus remonter.
      10 Il ne reviendra plus dans sa maison et sa demeure même ne le reconnaît plus.
      11 C’est pourquoi je ne veux plus réfréner ma langue, je parlerai dans ma détresse, je me lamenterai car mon cœur est amer.
      12 Suis-je donc une mer ou un monstre marin pour que tu établisses contre moi, une garde ?
      13 Si je me dis : « Mon lit m’apaisera, ma couche m’aidera à porter ma douleur »,
      14 alors tu m’épouvantes par d’affreux cauchemars et tu me terrifies par des visions nocturnes.
      15 J’aimerais mieux être étranglé, la mort vaudrait bien mieux que vivre dans ces os.
      16 Je suis plein de dégoût ! Je ne durerai pas toujours. Laisse-moi donc tranquille : ma vie est si fragile.
      17 Qu’est-ce que l’homme, pour que tu fasses un si grand cas de lui, et pour que tu lui prêtes une telle attention,
      18 pour que tu l’examines matin après matin, et pour qu’à chaque instant tu viennes l’éprouver ?
      19 Quand détourneras-tu enfin tes yeux de moi ? Ne lâcheras-tu pas un instant ton étreinte, ne fût-ce que le temps d’avaler ma salive ?
      20 Et puis même si j’ai péché, que t’ai-je fait, à toi, censeur des hommes ? Pourquoi donc m’as-tu pris pour cible ? Suis-je devenu une charge ?
      21 Pourquoi ne veux-tu pas pardonner mon offense et ne passes-tu pas sur mon iniquité ? Bientôt j’irai dormir au sein de la poussière et tu me chercheras, mais je ne serai plus.
    • Job 7

      1 » Le sort de l'homme sur la terre n’est-il pas celui d'un soldat, et sa vie n’est-elle pas celle d'un ouvrier ?
      2 L'esclave aspire à jouir de l'ombre et l’ouvrier attend son salaire.
      3 De même, j’ai hérité de mois de douleur, on m’a attribué des nuits de souffrance.
      4 Je me couche en disant : ‘Quand pourrai-je me lever ?’Le soir se prolonge et je suis rassasié d'insomnies jusqu'au lever du jour.
      5 Mon corps se couvre de vers et d'une croûte terreuse, ma peau s’est crevassée et se décompose.
      6 Plus rapides que la navette d’un tisserand, mes jours s'évanouissent : plus d'espérance !
      7 » Mon Dieu, souviens-toi que ma vie est un simple souffle ! Mes yeux ne reverront pas le bonheur.
      8 L'œil qui me regarde ne me verra plus. Ton œil me cherchera, et je ne serai plus là.
      9 Pareil à un nuage qui se dissipe et s'en va, celui qui descend au séjour des morts n’en remontera pas.
      10 Il ne reviendra plus chez lui et son domicile ne le connaîtra plus.
      11 C'est pourquoi je ne me retiendrai pas. Je parlerai, dans la détresse de mon esprit ; je me plaindrai, dans l'amertume de mon âme.
      12 » Suis-je une mer ou un monstre marin, pour que tu places des gardes autour de moi ?
      13 Quand je me dis : ‘Mon divan me soulagera, mon lit calmera mes douleurs’,
      14 tu m'effraies par des rêves, tu m’assailles de visions.
      15 Je voudrais être étranglé, je voudrais mourir plutôt que d’être réduit à l’état de squelette !
      16 Je suis dégoûté ! Je n’en ai plus pour longtemps. Laisse-moi, car ma vie est sans consistance.
      17 » Qu'est-ce que l'homme, pour que tu fasses tant de cas de lui, pour que tu lui portes tant d’attention,
      18 pour que tu le visites tous les matins, pour que tu le mettes à l'épreuve à chaque instant ?
      19 Quand cesseras-tu de me fixer du regard ? Quand me laisseras-tu le temps d'avaler ma salive ?
      20 Si j'ai péché, qu'ai-je pu te faire, gardien des hommes ? Pourquoi m’as-tu pris pour cible ? Pourquoi te serais-je à charge ?
      21 Pourquoi ne pardonnes-tu pas ma transgression et n'oublies-tu pas ma faute ? En effet, je vais bientôt me coucher dans la poussière. Tu auras beau me chercher de bon matin, je ne serai plus là ! »
    • Job 7

      1 Le sort de l'homme sur la terre est celui d'un soldat, Et ses jours sont ceux d'un mercenaire.
      2 Comme l'esclave soupire après l'ombre, Comme l'ouvrier attend son salaire,
      3 Ainsi j'ai pour partage des mois de douleur, J'ai pour mon lot des nuits de souffrance.
      4 Je me couche, et je dis : Quand me lèverai-je ? quand finira la nuit ? Et je suis rassasié d'agitations jusqu'au point du jour.
      5 Mon corps se couvre de vers et d'une croûte terreuse, Ma peau se crevasse et se dissout.
      6 Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, Ils s'évanouissent : plus d'espérance !
      7 Souviens-toi que ma vie est un souffle ! Mes yeux ne reverront pas le bonheur.
      8 L'oeil qui me regarde ne me regardera plus ; Ton oeil me cherchera, et je ne serai plus.
      9 Comme la nuée se dissipe et s'en va, Celui qui descend au séjour des morts ne remontera pas ;
      10 Il ne reviendra plus dans sa maison, Et le lieu qu'il habitait ne le connaîtra plus.
      11 C'est pourquoi je ne retiendrai point ma bouche, Je parlerai dans l'angoisse de mon coeur, Je me plaindrai dans l'amertume de mon âme.
      12 Suis-je une mer, ou un monstre marin, Pour que tu établisses des gardes autour de moi ?
      13 Quand je dis : Mon lit me soulagera, Ma couche calmera mes douleurs,
      14 C'est alors que tu m'effraies par des songes, Que tu m'épouvantes par des visions.
      15 Ah ! je voudrais être étranglé ! Je voudrais la mort plutôt que ces os !
      16 Je les méprise !... je ne vivrai pas toujours... Laisse-moi, car ma vie n'est qu'un souffle.
      17 Qu'est-ce que l'homme, pour que tu en fasses tant de cas, Pour que tu daignes prendre garde à lui,
      18 Pour que tu le visites tous les matins, Pour que tu l'éprouves à tous les instants ?
      19 Quand cesseras-tu d'avoir le regard sur moi ? Quand me laisseras-tu le temps d'avaler ma salive ?
      20 Si j'ai péché, qu'ai-je pu te faire, gardien des hommes ? Pourquoi me mettre en butte à tes traits ? Pourquoi me rendre à charge à moi-même ?
      21 Que ne pardonnes-tu mon péché, Et que n'oublies-tu mon iniquité ? Car je vais me coucher dans la poussière ; Tu me chercheras, et je ne serai plus.
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