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La Bible en 3 ans - Jour 772

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Versets relatifs

    • Job 10

      1 Mon âme a pris en dégoût la vie ; je laisserai aller ma plainte, je parlerai dans l'amertume de mon âme.
      2 Je dirai à Dieu : Ne me condamne point ; fais-moi savoir pourquoi tu me prends à partie.
      3 Peux-tu te plaire à accabler, à repousser l'oeuvre de tes mains, et à éclairer les desseins des méchants ?
      4 As-tu des yeux de chair ? Vois-tu comme voient les mortels ?
      5 Tes jours sont-ils comme les jours des mortels ? Tes années sont-elles comme les jours des humains ?
      6 Pour que tu fasses la recherche de mon iniquité et l'enquête de mon péché,
      7 Quoique tu saches que je ne suis pas coupable, et que nul ne peut me délivrer de ta main.
      8 Tes mains m'ont formé et m'ont fait tout entier. Et tu me détruirais !
      9 Souviens-toi donc que tu m'as formé comme de l'argile, et tu me ferais rentrer dans la poussière !
      10 Ne m'as-tu pas coulé comme du lait, et caillé comme un fromage ?
      11 Tu m'as revêtu de peau et de chair, et tu m'as composé d'os et de nerfs.
      12 Tu m'as comblé de vie et de grâces, et ta providence a gardé mon souffle.
      13 Et voici ce que tu me réservais en ton coeur ! Et voici, je le vois, ce qui était dans ta pensée :
      14 Si je péchais, tu le remarquerais, et tu ne m'absoudrais pas de ma faute ;
      15 Si j'étais méchant, malheur à moi ! Si j'étais juste, je n'en lèverais pas la tête plus haut, je serais rassasié d'ignominie et spectateur de ma propre misère.
      16 Si je redressais la tête, tu me donnerais la chasse comme à un lion, et tu multiplierais tes exploits contre moi ;
      17 Tu produirais de nouveaux témoins contre moi, tu redoublerais de colère à mon égard, tes bataillons se renouvelleraient contre moi.
      18 Mais pourquoi m'as-tu fait sortir du sein de ma mère ? J'eusse expiré, et aucun oeil ne m'aurait vu !
      19 Je serais comme n'ayant pas été ; j'aurais été porté du sein maternel au tombeau !
      20 Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre ? Qu'il me laisse ! Qu'il éloigne sa main de moi, et que je respire un peu !
      21 Avant que j'aille, pour n'en plus revenir, dans la terre des ténèbres et de l'ombre de la mort ;
      22 Terre obscure comme la nuit, où règnent l'ombre de la mort et le chaos, où la lumière est comme la nuit !
    • Job 10

      1 » Je suis dégoûté de la vie ! Je laisserai s’exprimer ma plainte, je parlerai, dans l'amertume de mon âme.
      2 Je dis à Dieu : ‘Ne me condamne pas ! Fais-moi connaître pourquoi tu me prends à partie !
      3 Prends-tu plaisir à maltraiter, à repousser le fruit de ton activité et à faire reposer ta faveur sur les projets des méchants ?
      4 As-tu des yeux humains, vois-tu comme voit un homme ?
      5 Tes jours sont-ils pareils à ceux de l'homme, et tes années pareilles à ses années,
      6 pour que tu recherches ma faute, pour que tu te renseignes au sujet de mon péché ?
      7 » Tu sais bien, pourtant, que je ne suis pas coupable et que personne ne peut me délivrer de ton pouvoir.
      8 Tes mains m'ont façonné, elles m'ont créé, elles m'ont fait tout entier, et tu me détruirais !
      9 Souviens-toi donc que tu m'as façonné comme de l'argile. Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière ?
      10 Ne m'as-tu pas coulé comme du lait ? Ne m'as-tu pas fait cailler comme du fromage ?
      11 Tu m'as couvert de peau et de chair, tu m'as tissé d'os et de nerfs,
      12 tu m'as accordé la vie et tu as fait preuve de bonté envers moi. Tes soins constants m’ont permis de subsister.
      13 » Mais voici ce que tu cachais dans ton cœur, ce que tu avais décidé en toi-même, je le sais :
      14 que je pèche, tu ne me raterais pas et tu ne me considérerais pas comme innocent de ma faute.
      15 Suis-je coupable, malheur à moi ! Suis-je juste, je n'ose pas lever la tête, rempli de honte et absorbé par ma misère.
      16 Si j'ose néanmoins la redresser, tu me pourchasses comme un jeune lion pourchasse sa proie, tu fais de nouveau des miracles contre moi.
      17 Tu renouvelles tes attaques contre moi, tu fais bouillonner ta colère contre moi, des armées se succèdent pour m’assaillir.
      18 » Pourquoi m'as-tu fait sortir du ventre de ma mère ? J’aurais expiré et aucun œil ne m'aurait vu.
      19 Ce serait comme si je n'avais jamais existé et je serais passé du ventre de ma mère à la tombe.
      20 Ma vie est si courte ! Laisse-moi, éloigne-toi de moi pour que je respire un peu
      21 avant de m'en aller, pour ne pas en revenir, dans le pays des ténèbres et de l'ombre de la mort,
      22 pays où règnent une obscurité épaisse, l'ombre de la mort et le chaos, où la lumière n’est qu’obscurité.’ »
    • Job 10

      1 Mon âme est dégoûtée de la vie ! Je donnerai cours à ma plainte, Je parlerai dans l'amertume de mon âme.
      2 Je dis à Dieu : Ne me condamne pas ! Fais-moi savoir pourquoi tu me prends à partie !
      3 Te paraît-il bien de maltraiter, De repousser l'ouvrage de tes mains, Et de faire briller ta faveur sur le conseil des méchants ?
      4 As-tu des yeux de chair, Vois-tu comme voit un homme ?
      5 Tes jours sont-ils comme les jours de l'homme, Et tes années comme ses années,
      6 Pour que tu recherches mon iniquité, Pour que tu t'enquières de mon péché,
      7 Sachant bien que je ne suis pas coupable, Et que nul ne peut me délivrer de ta main ?
      8 Tes mains m'ont formé, elles m'ont créé, Elles m'ont fait tout entier... Et tu me détruirais !
      9 Souviens-toi que tu m'as façonné comme de l'argile ; Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière ?
      10 Ne m'as-tu pas coulé comme du lait ? Ne m'as-tu pas caillé comme du fromage ?
      11 Tu m'as revêtu de peau et de chair, Tu m'as tissé d'os et de nerfs ;
      12 Tu m'as accordé ta grâce avec la vie, Tu m'as conservé par tes soins et sous ta garde.
      13 Voici néanmoins ce que tu cachais dans ton coeur, Voici, je le sais, ce que tu as résolu en toi-même.
      14 Si je pèche, tu m'observes, Tu ne pardonnes pas mon iniquité.
      15 Suis-je coupable, malheur à moi ! Suis-je innocent, je n'ose lever la tête, Rassasié de honte et absorbé dans ma misère.
      16 Et si j'ose la lever, tu me poursuis comme un lion, Tu me frappes encore par des prodiges.
      17 Tu m'opposes de nouveaux témoins, Tu multiplies tes fureurs contre moi, Tu m'assailles d'une succession de calamités.
      18 Pourquoi m'as-tu fait sortir du sein de ma mère ? Je serais mort, et aucun oeil ne m'aurait vu ;
      19 Je serais comme si je n'eusse pas existé, Et j'aurais passé du ventre de ma mère au sépulcre.
      20 Mes jours ne sont-ils pas en petit nombre ? Qu'il me laisse, Qu'il se retire de moi, et que je respire un peu,
      21 Avant que je m'en aille, pour ne plus revenir, Dans le pays des ténèbres et de l'ombre de la mort,
      22 Pays d'une obscurité profonde, Où règnent l'ombre de la mort et la confusion, Et où la lumière est semblable aux ténèbres.
    • Job 10

      1

      Job se plaint de ses difficultés (Job 10:1-7)
      Il parle en faveur de Dieu, son Créateur (Job 10:8-13)
      Il se plaint de la sévérité de Dieu (Job 10:14-22)

      Job, dégoûté de la vie, se résout de se plaindre, mais il n'accusera pas Dieu d'être injuste. Nous voyons ici, une prière destinée à délivrer le patriarche de la piqûre de ses afflictions, à savoir, le péché. Quand Dieu nous afflige, Il se dresse devant nous ; et quand Il est devant nous, il y a toujours une raison ; il est souhaitable de la connaître, de façon à pouvoir nous repentir et à abandonner notre péché, cause de la polémique que Dieu a avec nous. Mais lorsque, comme Job, nous nous exprimons avec l'amertume dans l'âme, nous augmentons notre culpabilité et notre abaissement. N'hébergeons aucune pensée de révolte contre Dieu, car après coup, nous verrons qu'il n'y avait en fait aucune raison de le faire. Job est convaincu que Dieu ne découvre pas les choses, ni ne les juge comme pourraient le faire les hommes ; il trouve étrange que Dieu le laisse dans son affliction, comme si ce Dernier devait prendre du temps pour s'informer sur le péché du patriarche.
      8 Job semble raisonner avec Dieu, comme si ce Dernier l'avait seulement conçu et gardé pour lui faire connaître la misère. C'est Dieu qui nous a créés, et non pas nous-mêmes.

      Qu'il est triste de voir des individus être de véritables instruments d'iniquité, alors qu'ils pourraient être le temple du Saint Esprit ! Mais l'âme est la vie, elle représente l'homme, elle est le cadeau de Dieu. Si nous nous considérons nous-mêmes comme une œuvre accomplie, nous pouvons alors dire : « Dieu m'a conçu et me garde, je ne vis que par sa grâce ; Tu m'as conçu, fais-moi naître de nouveau ; je T'appartiens, sauve-moi » !

      14 Job n'a pas nié être un pécheur, ne méritant que la Souffrance ; il pensait toutefois que la justice qui lui avait été rendue était particulièrement rigoureuse. Sa tristesse, son incrédulité, et la dureté de son cœur vis-à-vis de Dieu, ne pouvaient qu'être attribuées à l'œuvre de Satan ; l'état de son âme, angoissée par ses épreuves extérieures et sa dépravation, ne pouvait qu'engendrer le mécontentement divin.

      Notre Créateur, devenu également en Christ, notre Rédempteur, ne détruira pas le travail de Ses mains, en la personne d'un humble croyant ; en Lui, Job sera régénéré pour tendre à la sainteté, de façon à jouir de la vie éternelle. Si l'angoisse sur terre peut nous faire souhaiter la tombe, en tant que refuge, quel sera alors l'état de ceux qui sont condamnés à l'obscurité des ténèbres, à jamais ? Que chaque pécheur recherche la délivrance de cet état redoutable, et que chaque croyant soit reconnaissant à Jésus, qui Seul peut délivrer de la colère divine à venir.

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