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La Bible en 3 ans - Jour 776

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Versets relatifs

    • Job 14

      1 L'homme né de femme est de peu de jours et rassasié de trouble ;
      2 Il sort comme une fleur, et il est fauché ; il s'enfuit comme une ombre, et il ne dure pas.
      3 Pourtant, sur lui tu ouvres tes yeux, et tu me fais venir en jugement avec toi !
      4 Qui est-ce qui tirera de l'impur un homme pur ? Pas un !
      5 Si ses jours sont déterminés, si le nombre de ses mois est par devers toi, si tu lui as posé ses limites, qu'il ne doit pas dépasser,
      6 Détourne de lui ton regard, et il aura du repos, jusqu'à ce que, comme un mercenaire, il achève sa journée ;
      7 Car il y a de l'espoir pour un arbre : s'il est coupé, il repoussera encore, et ses rejetons ne cesseront pas.
      8 Si sa racine vieillit dans la terre, et si son tronc meurt dans la poussière,
      9 l'odeur de l'eau il poussera, et il fera des branches comme un jeune plant ;
      10 Mais l'homme meurt et gît là ; l'homme expire, et où est-il ?
      11 Les eaux s'en vont du lac ; et la rivière tarit et sèche :
      12 Ainsi l'homme se couche et ne se relève pas : jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de cieux, ils ne s'éveillent pas, et ils ne se réveillent pas de leur sommeil.
      13 Oh ! si tu voulais me cacher dans le shéol, me tenir caché jusqu'à ce que ta colère se détourne, me fixer un temps arrêté, et puis te souvenir de moi, -
      14 (Si un homme meurt, revivra-t-il ?), tous les jours de ma détresse, j'attendrais jusqu'à ce que mon état vînt à changer :
      15 Tu appellerais, et moi je te répondrais ; ton désir serait tourné vers l'oeuvre de tes mains ;
      16 Car maintenant tu comptes mes pas : ne veilles-tu pas sur mon péché ?
      17 Ma transgression est scellée dans un sac, et dans tes pensées, tu ajoutes à mon iniquité.
      18 Mais une montagne qui s'éboule est réduite en poussière, et le rocher est transporté de son lieu ;
      19 Les eaux usent les pierres, leur débordement emporte la poussière de la terre : ainsi tu fais périr l'espoir de l'homme.
      20 Tu le domines pour toujours, et il s'en va ; tu changes sa face, et tu le renvoies.
      21 Ses fils sont honorés, et il ne le sait pas ; ils sont abaissés, et il ne s'en aperçoit pas.
      22 Sa chair ne souffre que pour lui-même, et son âme ne mène deuil que sur lui-même.
    • Job 14

      1 L'homme né de la femme ! Sa vie est courte, sans cesse agitée.
      2 Il naît, il est coupé comme une fleur ; Il fuit et disparaît comme une ombre.
      3 Et c'est sur lui que tu as l'oeil ouvert ! Et tu me fais aller en justice avec toi !
      4 Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur ? Il n'en peut sortir aucun.
      5 Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir,
      6 Détourne de lui les regards, et donne-lui du relâche, Pour qu'il ait au moins la joie du mercenaire à la fin de sa journée.
      7 Un arbre a de l'espérance : Quand on le coupe, il repousse, Il produit encore des rejetons ;
      8 Quand sa racine a vieilli dans la terre, Quand son tronc meurt dans la poussière,
      9 Il reverdit à l'approche de l'eau, Il pousse des branches comme une jeune plante.
      10 Mais l'homme meurt, et il perd sa force ; L'homme expire, et où est-il ?
      11 Les eaux des lacs s'évanouissent, Les fleuves tarissent et se dessèchent ;
      12 Ainsi l'homme se couche et ne se relèvera plus, Il ne se réveillera pas tant que les cieux subsisteront, Il ne sortira pas de son sommeil.
      13 Oh ! si tu voulais me cacher dans le séjour des morts, M'y tenir à couvert jusqu'à ce que ta colère fût passée, Et me fixer un terme auquel tu te souviendras de moi !
      14 Si l'homme une fois mort pouvait revivre, J'aurais de l'espoir tout le temps de mes souffrances, Jusqu'à ce que mon état vînt à changer.
      15 Tu appellerais alors, et je te répondrais, Tu languirais après l'ouvrage de tes mains.
      16 Mais aujourd'hui tu comptes mes pas, Tu as l'oeil sur mes péchés ;
      17 Mes transgressions sont scellées en un faisceau, Et tu imagines des iniquités à ma charge.
      18 La montagne s'écroule et périt, Le rocher disparaît de sa place,
      19 La pierre est broyée par les eaux, Et la terre emportée par leur courant ; Ainsi tu détruis l'espérance de l'homme.
      20 Tu es sans cesse à l'assaillir, et il s'en va ; Tu le défigures, puis tu le renvoies.
      21 Que ses fils soient honorés, il n'en sait rien ; Qu'ils soient dans l'abaissement, il l'ignore.
      22 C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur en son corps, C'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse en son âme.
    • Job 14

      1 L’homme n’est rien d’autre que l’enfant de la femme. Sa vie demeure brève et remplie de tourments.
      2 Comme la fleur, il s’épanouit, et puis se fane ; comme l’ombre qui fuit sans pouvoir s’arrêter.
      3 Et c’est cela, mon Dieu, que ton regard épie ! Et c’est moi que tu traînes ainsi en justice !
      4 Mais qui peut donc tirer quelque chose de pur de ce qui est impur ? Pas un seul être au monde !
      5 Car la durée de vie est limitée pour l’homme ; c’est toi qui as fixé le nombre de ses mois, il ne peut dépasser la ligne que tu traces.
      6 Cesse de le guetter et laisse-le tranquille, pour qu’il termine en paix sa journée d’ouvrier.
      7 Or il reste toujours de l’espoir pour un arbre : si on le coupe, il peut se mettre à repousser, il ne manquera pas de produire un bourgeon.
      8 Même si sa racine vieillit dans la terre, et si sa souche paraît morte dans le sol,
      9 l’odeur de l’eau suffit pour qu’il reprenne vie et pousse des rameaux comme s’il était jeune.
      10 Quand l’homme meurt, par contre, il est privé de force. Que devient-il, une fois qu’il a expiré ?
      11 Un jour peut-être, les fleuves seront taris, et la mer n’aura plus la moindre goutte d’eau.
      12 Mais l’homme qui est mort ne se lèvera pas ; pas de réveil pour lui, tant que dure le ciel, il ne sortira plus de son dernier sommeil.
      13 Ah ! si tu me cachais dans le monde des morts, m’y abritant jusqu’à la fin de ta colère ! Si tu me fixais un délai, après lequel tu voudrais de nouveau te souvenir de moi !
      14 – Mais l’homme qui est mort, peut-il reprendre vie ? – Je saurais patienter, le temps de mon service, jusqu’au moment où l’on viendrait me relever.
      15 Alors, je répondrais quand tu m’appellerais, quand tu voudrais me voir, moi que tu as créé !
      16 Tandis que maintenant tu comptes tous mes pas, tu cesserais de surveiller mes manquements,
      17 dans un sac bien fermé tu cacherais mes fautes, tu couvrirais mes torts d’une couche de plâtre.
      18 Cependant les montagnes tombent en morceaux, et les rochers finissent par changer de place.
      19 Les eaux arrivent à user même les pierres, et l’averse emporte la poussière du sol. Toi aussi tu ruines l’espérance de l’homme.
      20 Tu le jettes par terre, il s’en va pour toujours ; la mort le défigure, et tu le chasses loin.
      21 Si on couvre ses fils d’honneurs, il n’en sait rien ; si on les humilie, il ne s’en rend pas compte.
      22 Il est seul à souffrir de sa propre douleur, il est seul à gémir de son propre malheur.
    • Job 14

      1 » L'être humain né de la femme ! Sa vie est courte mais pleine d’agitation.
      2 Il pousse comme une fleur, puis il se flétrit ; il s’enfuit comme une ombre, sans résister.
      3 Pourtant c'est sur lui que tu as l'œil ouvert, et tu me fais aller en justice avec toi !
      4 Qui fera sortir le pur de l’impur ? Personne.
      5 » Si les jours de l’homme sont fixés, si tu as déterminé le nombre de ses mois, si tu en as marqué les limites qu'il ne peut franchir,
      6 détourne les regards de lui et accorde-lui du répit pour qu'il ait au moins la joie du salarié à la fin de sa journée !
      7 » En effet, pour un arbre il y a de l'espérance : quand on le coupe, il repousse et il produit encore des rejetons ;
      8 même si sa racine a vieilli dans la terre et que son tronc meurt dans la poussière,
      9 il reverdit à l'approche de l'eau, il développe des branches comme une jeune plante.
      10 Quant à l'homme, il meurt et il reste inerte. Quand l’être humain expire, où est-il ?
      11 » L’eau de la mer se retire, les fleuves arrêtent de couler et deviennent tout secs.
      12 De la même manière, l'homme se couche pour ne plus se relever. Il ne se réveillera pas tant que le ciel subsistera, il ne sortira pas de son sommeil.
      13 » Si seulement tu voulais me cacher dans le séjour des morts, m'y tenir à l’abri jusqu'à ce que ta colère soit passée ! Tu me fixerais un délai, puis tu te souviendrais de moi.
      14 Mais si l'homme meurt, revivra-t-il ? Si tel était le cas, je garderais l'espoir, pendant toute ma vie de luttes, que ma situation vienne à changer.
      15 Tu appellerais et moi, je te répondrais. Ton désir serait résolument tourné vers ta créature.
      16 Alors que maintenant tu comptes mes pas, tu n’aurais plus l'œil sur mes péchés ;
      17 tu enfermerais ma transgression dans un sac et tu blanchirais ma faute.
      18 » Mais la montagne qui s'écroule est réduite en poussière, le rocher bouge de son emplacement,
      19 l’eau use les pierres et ses courants entraînent la poussière de la terre. De la même manière, tu fais disparaître l'espérance de l'homme.
      20 Tu l'assailles sans cesse et il s'en va ; tu le défigures, puis tu le renvoies.
      21 Ses fils peuvent connaître la gloire, il n'en sait rien ; ils peuvent devenir insignifiants, il n’en perçoit rien.
      22 C'est pour lui seul qu'il éprouve de la douleur dans son corps, c'est pour lui seul qu'il ressent de la tristesse dans son âme. »
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