Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci à Bibles et Publications Chrétiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Un outil révolutionnaire de lecture et d'étude de la Bible en ligne. Démarrez dès aujourd'hui le plan de lecture offert dont vous avez besoin.

La Bible en 3 ans - Jour 778

Sommaire
TopChrétien est une plate-forme diffuseur de contenu de partenaires de qualité sélectionnés. Toutefois, si vous veniez à trouver un contenu vidéo illicite ou avec un problème technique, merci de nous le signaler en cliquant sur ce lien.

Ce texte est la propriété du TopChrétien. Autorisation de diffusion autorisée en précisant la source. © 2022 - www.topchretien.com
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Versets relatifs

    • Job 16

      1 Et Job prit la parole, et dit :
      2 J'ai souvent entendu de pareils discours ; vous êtes tous des consolateurs fâcheux.
      3 N'y aura-t-il point de fin à ces discours en l'air ? Et qu'est-ce qui te force à me répondre ?
      4 Moi aussi, je parlerais comme vous, si vous étiez à ma place. J'accumulerais des paroles contre vous ; je hocherais la tête sur vous ;
      5 Je vous fortifierais avec ma bouche, et le mouvement de mes lèvres vous soulagerait.
      6 Si je parle, ma douleur ne sera point soulagée. Si je me tais, en sera-t-elle diminuée ?
      7 Maintenant il m'a épuisé. Tu as dévasté toute ma famille,
      8 Tu m'as saisi, et cela témoigne contre moi ; ma maigreur s'est élevée contre moi, elle m'accuse en face.
      9 Sa fureur m'a déchiré, et s'est acharnée sur moi. Il a grincé des dents contre moi ; mon ennemi aiguise contre moi ses yeux.
      10 Ils ont ouvert contre moi leur bouche ; ils m'ont frappé à la joue pour m'outrager ; ils se réunissent tous ensemble contre moi.
      11 Dieu m'a livré à l'impie ; il m'a jeté aux mains des méchants.
      12 J'étais en repos, et il m'a écrasé ; il m'a saisi à la gorge, et il m'a brisé. Il m'a posé en butte à ses traits.
      13 Ses flèches m'environnent ; il me perce les reins, et ne m'épargne pas ; il répand à terre mon fiel.
      14 Il me fait plaie sur plaie ; il court sur moi comme un guerrier.
      15 J'ai cousu un sac sur ma peau ; j'ai souillé mon front dans la poussière ;
      16 J'ai le visage tout enflammé, à force de pleurer, et l'ombre de la mort est sur mes paupières,
      17 Quoiqu'il n'y ait point de crime dans mes mains, et que ma prière soit pure.
      18 O terre, ne cache point mon sang, et qu'il n'y ait aucun lieu où s'arrête mon cri !
      19 A présent même, voici, j'ai mon témoin dans les cieux, et mon garant dans les hauts lieux.
      20 Mes amis se moquent de moi : c'est vers Dieu que mon oeil se tourne en pleurant,
      21 Pour qu'il décide entre l'homme et Dieu, entre le fils d'Adam et son semblable.
      22 Car les années qui me sont comptées s'en vont, et j'entre dans un chemin d'où je ne reviendrai pas !

      Job 17

      1 Mon souffle se perd ; mes jours s'éteignent ; le tombeau m'attend !
      2 Certes, je suis entouré de railleurs, et mon oeil veille toute la nuit au milieu de leurs insultes.
      3 Dépose un gage, sois ma caution auprès de toi-même ; car qui voudrait répondre pour moi ?
      4 Tu as fermé leur coeur à l'intelligence ; c'est pourquoi tu ne les feras pas triompher.
      5 Tel livre ses amis au pillage, dont les enfants auront les yeux consumés.
      6 On a fait de moi la fable des peuples, un être à qui l'on crache au visage.
      7 Et mon oeil s'est consumé de chagrin, et tous mes membres sont comme une ombre.
      8 Les hommes droits en sont consternés, et l'innocent est irrité contre l'impie.
      9 Le juste néanmoins persévère dans sa voie, et celui dont les mains sont pures redouble de constance.
      10 Mais, pour vous tous, allons, recommencez ! Je ne trouverai pas un sage parmi vous.
      11 Mes jours sont passés ; mes desseins, chers à mon coeur, sont renversés.
      12 Ils changent la nuit en jour ; ils disent la lumière proche, en face des ténèbres !
      13 Quand je n'attends plus pour demeure que le Sépulcre, quand j'étends ma couche dans les ténèbres,
      14 Quand je crie au tombeau : Tu es mon père ! et aux vers : Vous êtes ma mère et ma soeur !
      15 Où est donc mon espérance ? Et mon espérance, qui pourrait la voir ?
      16 Elle descendra aux portes du Sépulcre, quand nous irons en-semble reposer dans la poussière !
    • Job 16

      1 Job prit la parole et dit :
      2 « J'ai entendu beaucoup de propos semblables. Vous êtes tous des consolateurs pénibles.
      3 Quand finiront ces discours qui ne sont que du vent ? Pourquoi cette irritation dans tes réponses ?
      4 Moi aussi, je pourrais parler comme vous, si vous étiez à ma place : j’alignerais les discours contre vous, je hocherais la tête sur vous,
      5 je vous fortifierais par mes paroles, le mouvement de mes lèvres vous apporterait du soulagement.
      6 » Si je parle, ma souffrance n’est pas soulagée, si je me tais, elle ne s’en ira pas loin de moi.
      7 Maintenant, hélas, il m'a épuisé. Tu as dévasté tous les miens.
      8 Tu m'as creusé des rides qui témoignent contre moi. Ma maigreur se dresse contre moi et m'accuse en face.
      9 » Sa colère me déchire et s’attaque à moi, il grince des dents contre moi. Mon adversaire me transperce de son regard.
      10 Ils ouvrent la bouche contre moi, ils m'insultent et me frappent les joues, ils s’attroupent contre moi.
      11 » Dieu m’a livré au pouvoir d’un gamin, il me jette entre les mains des méchants.
      12 J'étais tranquille et il m'a secoué. Il m'a attrapé par la nuque et m'a brisé, il m’a redressé et me prend pour cible.
      13 Ses flèches m'environnent. Il me transperce les reins sans aucune pitié, il verse ma bile par terre.
      14 Il fait en moi brèche sur brèche, il se précipite sur moi comme un guerrier.
      15 J'ai cousu un sac sur ma peau, j'ai traîné ma fierté dans la poussière.
      16 Mon visage est enflammé à force de pleurer, l'ombre de la mort est sur mes paupières.
      17 Pourtant, je n'ai commis aucune violence et ma prière a toujours été pure.
      18 » Terre, ne couvre pas mon sang, que mon cri ne reste pas cantonné à un endroit !
      19 Déjà maintenant, mon témoin est dans le ciel, mon défenseur est dans les lieux élevés.
      20 Mes amis se moquent de moi ? C'est Dieu que j'implore avec larmes.
      21 Puisse-t-il être l’arbitre entre l'homme et Dieu, entre l’être humain et son ami !
      22 En effet, encore quelques années seulement et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.

      Job 17

      1 » Mon souffle se perd, mes jours s'éteignent, la tombe m'attend.
      2 Je suis environné de moqueurs, je connais l’insomnie à cause de leurs insultes.
      3 Sois donc mon garant auprès de toi-même ! Qui d’autre s’engagerait pour moi ?
      4 En effet, tu as fermé leur cœur au bon sens ; c’est pourquoi tu ne les laisseras pas triompher.
      5 » On invite des amis au partage du butin, alors que l'on a des enfants dont les yeux sont épuisés.
      6 Il a fait de moi un sujet de proverbes pour les peuples, je suis devenu celui sur le visage duquel on crache.
      7 Ma vue est affaiblie par l’exaspération, tous mes membres sont pareils à une ombre.
      8 Les hommes droits en sont stupéfaits et l'innocent se dresse contre l'impie.
      9 Le juste néanmoins persévère dans sa voie, celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus.
      10 » Quant à vous tous, vous pouvez répéter les mêmes discours, je ne trouverai pas un sage parmi vous.
      11 Comment ! Mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, ces projets qui remplissaient mon cœur,
      12 et ils prétendent que la nuit, c'est le jour, que la lumière est proche quand les ténèbres sont là !
      13 » Qu’ai-je à espérer ? Le séjour des morts sera mon domicile, c'est dans les ténèbres que je prépare mon lit.
      14 Je crie à la tombe : ‘Tu es mon père !’et aux vers : ‘Vous êtes ma mère et ma sœur !’
      15 Qu’ai-je donc à espérer ? Mon espérance, qui peut l’entrevoir ?
      16 Elle descendra vers les portes du séjour des morts quand nous serons étendus ensemble dans la poussière. »
    • Job 16

      1 Job prit la parole et dit :
      2 J'ai souvent entendu pareilles choses ; Vous êtes tous des consolateurs fâcheux.
      3 Quand finiront ces discours en l'air ? Pourquoi cette irritation dans tes réponses ?
      4 Moi aussi, je pourrais parler comme vous, Si vous étiez à ma place : Je vous accablerais de paroles, Je secouerais sur vous la tête,
      5 Je vous fortifierais de la bouche, Je remuerais les lèvres pour vous soulager.
      6 Si je parle, mes souffrances ne seront point calmées, Si je me tais, en quoi seront-elles moindres ?
      7 Maintenant, hélas ! il m'a épuisé... Tu as ravagé toute ma maison ;
      8 Tu m'as saisi, pour témoigner contre moi ; Ma maigreur se lève, et m'accuse en face.
      9 Il me déchire et me poursuit dans sa fureur, Il grince des dents contre moi, Il m'attaque et me perce de son regard.
      10 Ils ouvrent la bouche pour me dévorer, Ils m'insultent et me frappent les joues, Ils s'acharnent tous après moi.
      11 Dieu me livre à la merci des impies, Il me précipite entre les mains des méchants.
      12 J'étais tranquille, et il m'a secoué, Il m'a saisi par la nuque et m'a brisé, Il a tiré sur moi comme à un but.
      13 Ses traits m'environnent de toutes parts ; Il me perce les reins sans pitié, Il répand ma bile sur la terre.
      14 Il me fait brèche sur brèche, Il fond sur moi comme un guerrier.
      15 J'ai cousu un sac sur ma peau ; J'ai roulé ma tête dans la poussière.
      16 Les pleurs ont altéré mon visage ; L'ombre de la mort est sur mes paupières.
      17 Je n'ai pourtant commis aucune violence, Et ma prière fut toujours pure.
      18 O terre, ne couvre point mon sang, Et que mes cris prennent librement leur essor !
      19 Déjà maintenant, mon témoin est dans le ciel, Mon témoin est dans les lieux élevés.
      20 Mes amis se jouent de moi ; C'est Dieu que j'implore avec larmes.
      21 Puisse-t-il donner à l'homme raison contre Dieu, Et au fils de l'homme contre ses amis !
      22 Car le nombre de mes années touche à son terme, Et je m'en irai par un sentier d'où je ne reviendrai pas.

      Job 17

      1 Mon souffle se perd, Mes jours s'éteignent, Le sépulcre m'attend.
      2 Je suis environné de moqueurs, Et mon oeil doit contempler leurs insultes.
      3 Sois auprès de toi-même ma caution ; Autrement, qui répondrait pour moi ?
      4 Car tu as fermé leur coeur à l'intelligence ; Aussi ne les laisseras-tu pas triompher.
      5 On invite ses amis au partage du butin, Et l'on a des enfants dont les yeux se consument.
      6 Il m'a rendu la fable des peuples, Et ma personne est un objet de mépris.
      7 Mon oeil est obscurci par la douleur ; Tous mes membres sont comme une ombre.
      8 Les hommes droits en sont stupéfaits, Et l'innocent se soulève contre l'impie.
      9 Le juste néanmoins demeure ferme dans sa voie, Celui qui a les mains pures se fortifie de plus en plus.
      10 Mais vous tous, revenez à vos mêmes discours, Et je ne trouverai pas un sage parmi vous.
      11 Quoi ! mes jours sont passés, mes projets sont anéantis, Les projets qui remplissaient mon coeur...
      12 Et ils prétendent que la nuit c'est le jour, Que la lumière est proche quand les ténèbres sont là !
      13 C'est le séjour des morts que j'attends pour demeure, C'est dans les ténèbres que je dresserai ma couche ;
      14 Je crie à la fosse : Tu es mon père ! Et aux vers : Vous êtes ma mère et ma soeur !
      15 Mon espérance, où donc est-elle ? Mon espérance, qui peut la voir ?
      16 Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.
    • Job 16

      1

      Job réprimande ses amis. (Job 16:1-5)
      Il trouve que sa situation est pitoyable. (Job 16:6-16)
      Job clame son innocence. (Job 16:17-22)

      Éliphaz a avancé que les discours de Job n'apportaient rien de constructif, qu'ils étaient hors du sujet débattu jusqu'à présent ; Job, de son côté, estimait que les paroles d'Éliphaz avaient le même caractère. Ceux qui émettent des critiques doivent s'attendre à recevoir des répliques ; il est facile de juger, mais c'est parfois inutile : quel bien cela peut-il procurer réellement ? Les réponses violentes excitent les passions des hommes, mais en fait, ne les convainquent jamais, et ne font jamais ressortir une vérité claire.

      Ce que Job indique au sujet de ses amis, aux yeux de Dieu, s'applique à tout le monde ; un jour ou l'autre, nous serons confrontés à ce rôle de consolateurs infortunés. Quand nous sommes en état de conviction de péché, la conscience terrorisée, ou aux portes de la mort, seul l'Esprit de bénédiction peut nous soulager efficacement ; tous ceux qui se passent de l'Esprit, ne peuvent être que malheureux, sans aucun but.

      Quelles que puissent être les douleurs de nos frères, nous devons, par sympathie, faire cas de leurs problèmes ; bien vite, ils sauront alors l'apprécier !

      6 Nous sommes ici face aux plaintes lugubres de Job. Nous pouvons bénir Dieu, de ne pas avoir à Lui présenter de telles doléances ! Pas même les hommes bons, lors de grandes douleurs, n'éprouvent autant d'anxiété au point d'avoir des pensées rebelles contre Dieu. Éliphaz trouvait que Job était assez hautain, malgré son affliction. Job a nié ce fait, sachant qu'une meilleure destinée l'attendait : « la poussière est désormais l'endroit qui me convient le mieux ».

      En cela, il nous rappelle Christ, homme de douleurs, bénissant ceux qui pleurent, en vue de les soulager.

      17 L'état de Job était vraiment déplorable ; par contre, il bénéficiait du témoignage favorable de sa conscience, ce qui lui a toujours permis d'éviter de céder à la tentation du moindre péché. Nul autre que le patriarche n'était davantage prêt à reconnaître son infirmité, face au péché.

      Éliphaz l'a accusé d'être hypocrite, par contre, il souligne la sincérité de sa prière, cette grande possibilité de s'adresser à Dieu ; il professe qu'en cela, Job était pur, malgré son imperfection. Ce dernier a eu un Dieu vers Lequel il pouvait se tourner, ne doutant pas qu'Il prenait en pleine considération, toutes ses douleurs. Ceux qui versent des larmes devant Dieu, malgré le fait qu'elles n'ont aucun pouvoir pour attirer Sa bonté, en raison de leur péché, ont un Ami capable de plaider pour eux : le Fils de l'homme, sur qui ils doivent fonder tous leurs espoirs pour faire accepter leur présence devant le trône céleste. Mourir, c'est se diriger vers une voie sans retour.

      Nous devons tous, très certainement et assez rapidement, faire ce « voyage ». Le Sauveur ne devrait-il pas être en conséquence, indispensable à nos âmes ? À quel point devrions-nous être prêts à Lui obéir et souffrir pour Sa cause ! Si nos consciences sont inondées de Son sang rédempteur et témoignent que nous ne vivons plus dans le péché ou l'hypocrisie, quand nous nous dirigeons vers un but sans chercher à rebrousser chemin, nous sommes alors comme libérés de prison, en direction de la porte du bonheur éternel.

      Job 17

      1

      Les appels de Job, de l'homme vers son Dieu. (Job 17:1-9)
      Son espérance ne s'appuie pas sur la vie, mais dans le refuge de la mort. (Job 17:10-16)

      Job médite sur les réprimandes sévères que ses amis lui ont adressées et considérant qu'il n'est qu'un homme mortel, il se tourne vers Dieu. Tout le temps mis à notre disposition finit par avoir une fin. Il nous incombe de chercher soigneusement à racheter ce temps, les jours qui passent, afin de les utiliser pour être prêt à entrer dans l'éternité. Les réactions de Job, face à ses afflictions permises par Dieu, sont un bon modèle de conduite, que le juste devrait appliquer face à ses amis, ou ennemis. Au lieu d'être découragés, devant la dure épreuve supportée par ce fidèle serviteur de Dieu, ses amis auraient dû persévérer davantage à le soutenir.

      Ceux qui gardent leur regard tourné vers le ciel, en tant que but final, garderont leurs pas dans les chemins de la piété, quels que soient les difficultés et découragements rencontrés.

      10 Les amis de Job tentaient, pour le soulager, de lui rendre l'espoir d'un retour à la prospérité ; cela révèle ici le type de personne qui ne met pas tout son cœur à soulager l'affligé, qui cherche d'abord à trouver le réconfort que peut procurer le monde. Il est sage pour soulager les autres, ou nous-mêmes, de la détresse, de s'appuyer sur des éléments infaillibles : les promesses de Dieu, Son amour, Sa grâce ainsi qu'une espérance bien fondée de la vie éternelle. Remarquez à quel point Job aspire à aller dans la tombe : que cette attitude puisse enseigner aux croyants à ne pas craindre la mort ! C'est un peu comme s'ils allaient dormir ; ils sont las, et il est temps d'aller au lit ! Pourquoi ne devraient-ils pas y aller volontairement quand leur Père les appelle ?

      Rappelons-nous bien que nos corps sont sujets à la corruption et à la vermine, ils doivent retourner en poussière ; recherchons le but céleste qui a animé notre espérance spirituelle durant notre vie, alors que le méchant, de son côté, verra ses désirs fondre dans les ténèbres ; quand nos corps seront dans la tombe, nos âmes pourront alors apprécier le repos réservé au peuple de Dieu.

Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.