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La Bible en 3 ans - Jour 790

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    • Job 30

      1 Mais maintenant, je suis tourné en ridicule par des petits jeunots. Leurs pères autrefois m’auraient paru indignes de figurer parmi les chiens de mon troupeau.
      2 Et d’ailleurs, que pouvais-je attendre de ces gens à la force mourante ?
      3 Épuisés par la faim et par les privations, ils cherchaient quelque chose à ronger dans la steppe, sombre région de ruine et de désolation.
      4 Ils recueillaient l’herbe salée près des buissons, ils se nourrissaient des racines du genêt.
      5 Chassés par tout le monde, poursuivis à grands cris comme des malfaiteurs,
      6 ils cherchaient un abri sur les flancs des ravins, dans les trous de la terre ou les creux des rochers.
      7 Ils étaient entassés à couvert sous les ronces, on entendait leurs cris au milieu des buissons :
      8 Des espèces de fous, des êtres innommables, qu’on chassait du pays à grands coups de bâton !
      9 Mais maintenant je suis un thème de chansons, me voilà devenu sujet de racontars.
      10 Ils s’éloignent de moi pour marquer leur dégoût, ou bien, sans se gêner, me crachent au visage.
      11 Dès lors que Dieu m’a affaibli et humilié, ils n’ont plus envers moi la moindre retenue !
      12 Pour m’accuser, une foule de gens se lèvent, cherchant à me faire tomber d’un croche-pied. Ils lancent contre moi leur assaut pour me perdre.
      13 Ils m’ont coupé toute retraite, chacun travaille à mon malheur, aucun d’entre eux n’a besoin d’aide.
      14 Ils pénètrent chez moi par une large brèche et se glissent vers moi à travers les décombres.
      15 Toutes sortes de terreurs me prennent pour cible, balayant ma dignité comme un coup de vent ; mon bonheur a été un nuage qui passe.
      16 Enfermé maintenant dans ce temps de misère, il ne me reste plus qu’à exprimer ma plainte.
      17 La nuit, les douleurs me transpercent jusqu’à l’os, elles me rongent sans m’accorder de repos.
      18 Dieu a saisi brutalement mon vêtement, il me serre le cou comme un col trop étroit,
      19 me jette dans la boue ; on dirait que je suis de poussière et de cendre.
      20 Mon Dieu, je t’appelle, mais tu ne réponds pas ; je me tiens devant toi, mais ton regard me perce.
      21 Te voilà devenu cruel à mon égard, tu mets toute ta force à t’acharner sur moi.
      22 Tu m’emportes au grand galop avec le vent, et la tempête me secoue dans tous les sens.
      23 Je le sais bien, tu me ramènes chez la mort, ce lieu de rendez-vous fixé à tout vivant.
      24 Mais quand tout est ruiné, ne tend-on pas la main ? Dans la détresse, n’appelle-t-on pas à l’aide ?
      25 N’ai-je pas pleuré sur ceux que la vie malmène ? Le sort des malheureux m’a toujours tourmenté !
      26 J’espérais du bonheur, mais j’ai eu le malheur ; j’attendais la lumière, et la nuit est venue.
      27 L’émotion ne cesse de bouillonner en moi depuis que j’affronte cette vie de misère.
      28 Je marche dans le deuil ; pas de soleil pour moi ! En plein public je lance des appels à l’aide.
      29 Par mes lugubres cris, me voilà devenu compagnon des chacals et frère des hiboux.
      30 Sur moi, ma peau noircit, au plus profond de moi, la fièvre me dévore.
      31 Ma guitare ne joue que des airs pour le deuil, ma flûte ne soutient que le chant des pleureurs.
    • Job 30

      1 Mais hélas, aujourd’hui me voilà la risée de gamins dont les pères étaient si méprisables que je n’aurais daigné les mettre avec mes chiens pour garder mon troupeau.
      2 D’ailleurs, qu’aurais-je fait des efforts de leurs bras ? Leur vigueur s’en allait :
      3 épuisés par la faim et par les privations, ils rôdaient dans la steppe lugubre et isolée.
      4 Ils arrachaient l’herbe salée au milieu des buissons, ils prenaient les racines du genêt comme pain.
      5 Ils ont été chassés du milieu de leur peuple, on criait après eux comme après des voleurs.
      6 Ils hantaient les cavernes au flanc des précipices, ils logeaient dans des grottes ou des trous de la terre.
      7 Au milieu des épines retentissaient leurs cris, ils se couchaient à l’abri des broussailles.
      8 Ces êtres *insensés et innommables ont été refoulés hors du pays.
      9 Me voici devenu l’objet de leurs chansons, celui dont tous se moquent.
      10 Ils ont horreur de moi, et s’éloignent de moi, ou bien, sans hésiter, me crachent au visage.
      11 Car il a détendu la corde de mon arc, et il m’a humilié. Aussi n’ont-ils plus envers moi la moindre retenue.
      12 Ils sont nombreux, à ma droite, ils se lèvent et me font lâcher pied, ils se fraient un accès jusqu’à moi pour me perdre.
      13 Ils coupent ma retraite, travaillant à ma ruine, sans avoir besoin d’aide.
      14 Ils arrivent sur moi par une large brèche, et ils se précipitent au milieu des décombres.
      15 La terreur m’envahit, ma dignité s’évanouit ; comme en un coup de vent, mon bonheur a passé, chassé comme un nuage.
      16 Et maintenant, ma vie s’échappe. Car des jours d’affliction ont fondu sur mon être.
      17 La nuit perce mes os, je suis écartelé, et le mal qui me ronge ne prend pas de repos.
      18 Avec toute sa force, il s’agrippe à mon vêtement, comme un col, il m’enserre.
      19 Dieu m’a précipité au milieu de la fange, et je ne vaux pas mieux que poussière et que cendre.
      20 De mes cris je t’implore, et tu ne réponds pas. Je me tiens devant toi et tu ne fais rien d’autre que de me regarder.
      21 Que tu es devenu cruel à mon égard ! De ta main vigoureuse, tu t’acharnes sur moi !
      22 Tu m’as fait enlever sur les chevaux du vent, et tu me fais tanguer au sein de l’ouragan.
      23 Je ne le sais que trop : tu me mènes à la mort, au lieu de rendez-vous de tout être vivant.
      24 Mais celui qui périt n’étend-il pas la main ? Celui qui est dans le malheur ne crie-t-il pas ?
      25 Je pleurais autrefois avec ceux dont la vie est dure, et je compatissais à la peine du pauvre.
      26 J’espérais le bonheur, et le malheur est arrivé, j’attendais la lumière et les ténèbres sont venues.
      27 Tout mon être intérieur bouillonne sans relâche. Des jours d’humiliation sont venus m’affronter.
      28 Je m’avance, l’air sombre, et sans voir le soleil. Au milieu de la foule je me dresse et je hurle.
      29 C’est comme si j’étais un frère du chacal ou un compagnon de l’autruche.
      30 Ma peau noircit sur moi, mes os sont consumés par le feu de la fièvre.
      31 Ma lyre ne sert plus que pour des airs funèbres, ma flûte n’accompagne que le chant des pleureurs.
    • Job 30

      1 » Et maintenant, je suis un objet de moquerie pour de plus jeunes que moi, pour ceux dont je méprisais trop les pères pour les mettre parmi les chiens de mon troupeau.
      2 » Mais à quoi me servirait la force de leurs mains ? Ils n’ont pas la moindre vigueur.
      3 Desséchés par la privation et la faim, ils rongent les endroits arides, depuis longtemps dévastés et déserts.
      4 Ils arrachent des herbes sauvages à côté des buissons et se nourrissent de la racine des genêts.
      5 On les chasse du milieu des hommes, on crie après eux comme après un voleur.
      6 Ils habitent dans d'affreux ravins, dans les grottes de la terre et dans les rochers,
      7 ils hurlent au milieu des buissons, ils s’entassent près des broussailles.
      8 » Espèces de fous sans identité, on les chassait du pays,
      9 et maintenant je suis l'objet de leurs chansons, me voilà devenu le thème de leurs discussions.
      10 Ils ont horreur de moi et se tiennent loin de moi, ils ne se retiennent pas de me cracher au visage.
      11 Puisque Dieu m’a privé de ressources et m’a humilié, plus rien ne les arrête.
      12 » Ces misérables se lèvent à ma droite et me tendent des croche-pieds. Ils se construisent des chemins jusqu'à moi, mais c’est pour ma ruine.
      13 Ils me coupent toute issue et travaillent à ma perte, eux à qui personne ne viendrait en aide.
      14 Ils affluent comme par une large brèche, ils se précipitent au milieu des décombres.
      15 Des terreurs m'assaillent. Ma dignité est emportée comme par le vent, ma prospérité s’en va comme un nuage.
      16 » Et maintenant, je me liquéfie de l’intérieur. Les jours de souffrance se sont emparés de moi.
      17 La nuit me transperce les os, les douleurs qui me rongent ne s’accordent aucun repos.
      18 La force du mal est telle que mon habit perd toute forme, il me serre comme le col de ma tunique.
      19 Dieu m'a jeté dans la boue et je ressemble à la poussière et à la cendre.
      20 » Je t’appelle au secours, mais tu ne me réponds pas. Je me tiens debout, mais tu te bornes à me regarder.
      21 Tu t’es changé en ennemi cruel contre moi, tu me combats avec toute la force de ta main.
      22 Tu me soulèves et me fais voler au-dessus du vent, tu me dissous au plus profond de moi-même.
      23 En effet, je le sais, c’est à la mort que tu me conduis, au rendez-vous de tous les êtres vivants.
      24 » Cependant, celui qui va sombrer ne tend-il pas les mains ? Celui qui est dans le malheur n’appelle-t-il pas au secours ?
      25 N'avais-je pas des larmes pour celui qui rencontrait des difficultés ? N'étais-je pas triste pour le pauvre ?
      26 De fait, j'attendais le bonheur, mais c’est le malheur qui est arrivé ; j'espérais la lumière, mais c’est l’obscurité qui est venue.
      27 » Je suis sans arrêt profondément bouleversé. Les jours de souffrance m'ont surpris.
      28 Je marche noirci, mais pas par le soleil. Si je me lève en pleine assemblée, c’est pour appeler au secours.
      29 Je suis devenu le frère des chacals, le compagnon des autruches.
      30 Ma peau devient noire et pèle, mes os sont brûlants de fièvre.
      31 Ma harpe n'est plus qu'un instrument de deuil, et ma flûte se confond avec la voix des pleureurs.
    • Job 30

      1 Et maintenant !... je suis la risée de plus jeunes que moi, De ceux dont je dédaignais de mettre les pères Parmi les chiens de mon troupeau.
      2 Mais à quoi me servirait la force de leurs mains ? Ils sont incapables d'atteindre la vieillesse.
      3 Desséchés par la misère et la faim, Ils fuient dans les lieux arides, Depuis longtemps abandonnés et déserts ;
      4 Ils arrachent près des arbrisseaux les herbes sauvages, Et ils n'ont pour pain que la racine des genêts.
      5 On les chasse du milieu des hommes, On crie après eux comme après des voleurs.
      6 Ils habitent dans d'affreuses vallées, Dans les cavernes de la terre et dans les rochers ;
      7 Ils hurlent parmi les buissons, Ils se rassemblent sous les ronces.
      8 Etres vils et méprisés, On les repousse du pays.
      9 Et maintenant, je suis l'objet de leurs chansons, Je suis en butte à leurs propos.
      10 Ils ont horreur de moi, ils se détournent, Ils me crachent au visage.
      11 Ils n'ont plus de retenue et ils m'humilient, Ils rejettent tout frein devant moi.
      12 Ces misérables se lèvent à ma droite et me poussent les pieds, Ils se fraient contre moi des sentiers pour ma ruine ;
      13 Ils détruisent mon propre sentier et travaillent à ma perte, Eux à qui personne ne viendrait en aide ;
      14 Ils arrivent comme par une large brèche, Ils se précipitent sous les craquements.
      15 Les terreurs m'assiègent ; Ma gloire est emportée comme par le vent, Mon bonheur a passé comme un nuage.
      16 Et maintenant, mon âme s'épanche en mon sein, Les jours de la souffrance m'ont saisi.
      17 La nuit me perce et m'arrache les os, La douleur qui me ronge ne se donne aucun repos,
      18 Par la violence du mal mon vêtement perd sa forme, Il se colle à mon corps comme ma tunique.
      19 Dieu m'a jeté dans la boue, Et je ressemble à la poussière et à la cendre.
      20 Je crie vers toi, et tu ne me réponds pas ; Je me tiens debout, et tu me lances ton regard.
      21 Tu deviens cruel contre moi, Tu me combats avec la force de ta main.
      22 Tu mu soulèves, tu mu fais voler au-dessus du vent, Et tu m'anéantis au bruit de la tempête.
      23 Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants.
      24 Mais celui qui va périr n'étend-il pas les mains ? Celui qui est dans le malheur n'implore-t-il pas du secours ?
      25 N'avais-je pas des larmes pour l'infortuné ? Mon coeur n'avait-il pas pitié de l'indigent ?
      26 J'attendais le bonheur, et le malheur est arrivé ; J'espérais la lumière, et les ténèbres sont venues.
      27 Mes entrailles bouillonnent sans relâche, Les jours de la calamité m'ont surpris.
      28 Je marche noirci, mais non par le soleil ; Je me lève en pleine assemblée, et je crie.
      29 Je suis devenu le frère des chacals, Le compagnon des autruches.
      30 Ma peau noircit et tombe, Mes os brûlent et se dessèchent.
      31 Ma harpe n'est plus qu'un instrument de deuil, Et mon chalumeau ne peut rendre que des sons plaintifs.
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