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La Bible en 3 ans - Jour 799

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Versets relatifs

    • Job 39

      1 Sais-tu le temps où les chamois mettent bas ? As-tu observé quand les biches faonnent ?
      2 As-tu compté les mois de leur portée, et sais-tu le temps où elles mettent bas ?
      3 Elles se courbent, elles font sortir leurs petits, et se délivrent de leurs douleurs ;
      4 Leurs petits se fortifient, ils croissent en plein air, ils s'en vont et ne reviennent plus vers elles.
      5 Qui a lâché l'onagre en liberté, et qui a délié les liens de cet animal farouche,
      6 A qui j'ai donné la steppe pour demeure, et la terre salée pour habitation ?
      7 Il se rit du bruit de la ville ; il n'entend pas les clameurs de l'ânier.
      8 Il parcourt les montagnes qui sont ses pâturages, il cherche partout de la verdure.
      9 Le buffle veut-il te servir ? Passe-t-il la nuit auprès de ta crèche ?
      10 Attaches-tu le buffle par la corde au sillon ? Herse-t-il tes champs en te suivant ?
      11 Te fies-tu à lui parce que sa force est grande, et lui abandonnes-tu ton travail ?
      12 Comptes-tu sur lui pour rentrer ton grain, et pour l'amasser sur ton aire ?
      13 L'aile de l'autruche s'agite joyeusement ; est-ce l'aile et la plume de la cigogne ?
      14 Non, car elle abandonne ses oeufs à terre, elle les fait couver sur la poussière ;
      15 Elle oublie qu'un pied peut les fouler, une bête des champs les écraser.
      16 Elle est dure envers ses petits, comme s'ils n'étaient pas siens. Son travail est vain, elle ne s'en inquiète pas.
      17 Car Dieu l'a privée de sagesse, et ne lui a point départi d'intelligence.
      18 Quand elle se lève, et bat des ailes, elle se moque du cheval et de son cavalier.
      19 As-tu donné au cheval sa vigueur ? As-tu revêtu son cou de la crinière frémissante ?
      20 Le fais-tu bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement donne la terreur.
      21 De son pied il creuse la terre ; il se réjouit en sa force ; il va à la rencontre de l'homme armé ;
      22 Il se rit de la crainte, il n'a peur de rien ; il ne recule point devant l'épée.
      23 Sur lui retentit le carquois, la lance étincelante et le javelot.
      24 Bondissant et frémissant, il dévore l'espace ; il ne peut se contenir dès que la trompette sonne ;
      25 Dès qu'il entend la trompette, il hennit ; il sent de loin la bataille, la voix tonnante des chefs et les clameurs des guerriers.
      26 Est-ce par ta sagesse que l'épervier prend son vol, et déploie ses ailes vers le Midi ?
      27 Est-ce sur ton ordre que l'aigle s'élève, et qu'il place son aire sur les hauteurs ?
      28 Il habite sur les rochers, il se tient sur la dent des rochers, sur les lieux inaccessibles.
      29 De là, il découvre sa proie ; ses yeux la voient de loin.
      30 Ses petits sucent le sang, et partout où il y a des corps morts, il s'y trouve.
    • Job 39

      1 » Sais-tu quand les bouquetins font leurs petits ? Observes-tu les biches quand elles mettent bas ?
      2 Comptes-tu les mois pendant lesquels elles portent et connais-tu l'époque où elles mettent bas ?
      3 Elles se courbent, libèrent leurs petits et sont délivrées de leurs douleurs.
      4 Leurs petits prennent des forces et grandissent en plein air, puis ils s'éloignent et ne reviennent plus vers elles.
      5 » Qui a rendu l'âne sauvage indépendant et l'a libéré de tout lien ?
      6 J'ai fait de la steppe son domicile, de la terre salée son habitation.
      7 Il se moque du grondement des villes, il n'entend pas les cris d’un maître.
      8 Il parcourt les montagnes pour trouver sa nourriture, il est à la recherche de tout ce qui est vert.
      9 » Le buffle désire-t-il être à ton service ? Passe-t-il la nuit près de ta mangeoire ?
      10 L'attaches-tu avec une corde pour qu'il trace un sillon ? Traînera-t-il la herse derrière toi dans les vallées ?
      11 Pourras-tu t’appuyer sur lui parce que sa force est grande ? Lui laisseras-tu ton travail ?
      12 Peux-tu te fier à lui pour rentrer ta récolte ? La rassemblera-t-il dans ton aire de battage ?
      13 » L'aile des autruches se déploie joyeusement. On dirait l'aile, le plumage de la cigogne.
      14 Cependant, l'autruche abandonne ses œufs à la terre et les laisse chauffer sur la poussière.
      15 Elle oublie qu’un pied peut les écraser, qu'une bête sauvage peut les piétiner.
      16 Elle traite durement ses petits, comme s'ils n'étaient pas à elle. Elle n’est pas inquiète à l’idée d’avoir travaillé pour rien.
      17 En effet, Dieu lui a refusé la sagesse, il ne lui a pas attribué l'intelligence.
      18 Quand elle se dresse et prend sa course, elle se moque du cheval et de son cavalier.
      19 » Est-ce toi qui donnes la puissance au cheval et qui habilles son cou d'une crinière flottante ?
      20 Le fais-tu bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement est source de terreur.
      21 Il trépigne dans la vallée et se réjouit de sa force, il s'élance au-devant des armes.
      22 Il se moque de la peur, il n'est pas effrayé, il ne recule pas devant l'épée.
      23 Sur lui résonnent le carquois, la lance étincelante et le javelot.
      24 Bouillonnant d'ardeur, il dévore l’espace. Il ne tient pas en place quand le son de la trompette retentit.
      25 Chaque fois que la trompette sonne, il dit : ‘En avant !’De loin il flaire la bataille, la voix retentissante des chefs et les cris de guerre.
      26 » Est-ce grâce à ton intelligence que l'épervier prend son vol et déploie ses ailes en direction du sud ?
      27 Est-ce sur ton ordre que l'aigle royal prend de la hauteur et place son nid sur les sommets ?
      28 C'est dans les rochers qu'il réside et passe les nuits, c’est sur une dent de rocher qu’il a sa forteresse.
      29 De là il cherche sa proie. Ses yeux l’aperçoivent de loin.
      30 Ses petits boivent le sang et *là où sont des cadavres, là il se trouve. »
    • Job 39

      1 (39 : 4) Sais-tu quand les chèvres sauvages font leurs petits ? Observes-tu les biches quand elles mettent bas ?
      2 (39 : 5) Comptes-tu les mois pendant lesquels elles portent, Et connais-tu l'époque où elles enfantent ?
      3 (39 : 6) Elles se courbent, laissent échapper leur progéniture, Et sont délivrées de leurs douleurs.
      4 (39 : 7) Leurs petits prennent de la vigueur et grandissent en plein air, Ils s'éloignent et ne reviennent plus auprès d'elles.
      5 (39 : 8) Qui met en liberté l'âne sauvage, Et l'affranchit de tout lien ?
      6 (39 : 9) J'ai fait du désert son habitation, De la terre salée sa demeure.
      7 (39 : 10) Il se rit du tumulte des villes, Il n'entend pas les cris d'un maître.
      8 (39 : 11) Il parcourt les montagnes pour trouver sa pâture, Il est à la recherche de tout ce qui est vert.
      9 (39 : 12) Le buffle veut-il être à ton service ? Passe-t-il la nuit vers ta crèche ?
      10 (39 : 13) L'attaches-tu par une corde pour qu'il trace un sillon ? Va-t-il après toi briser les mottes des vallées ?
      11 (39 : 14) Te reposes-tu sur lui, parce que sa force est grande ? Lui abandonnes-tu le soin de tes travaux ?
      12 (39 : 15) Te fies-tu à lui pour la rentrée de ta récolte ? Est-ce lui qui doit l'amasser dans ton aire ?
      13 (39 : 16) L'aile de l'autruche se déploie joyeuse ; On dirait l'aile, le plumage de la cigogne.
      14 (39 : 17) Mais l'autruche abandonne ses oeufs à la terre, Et les fait chauffer sur la poussière ;
      15 (39 : 18) Elle oublie que le pied peut les écraser, Qu'une bête des champs peut les fouler.
      16 (39 : 19) Elle est dure envers ses petits comme s'ils n'étaient point à elle ; Elle ne s'inquiète pas de l'inutilité de son enfantement.
      17 (39 : 20) Car Dieu lui a refusé la sagesse, Il ne lui a pas donné l'intelligence en partage.
      18 (39 : 21) Quand elle se lève et prend sa course, Elle se rit du cheval et de son cavalier.
      19 (39 : 22) Est-ce toi qui donnes la vigueur au cheval, Et qui revêts son cou d'une crinière flottante ?
      20 (39 : 23) Le fais-tu bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement répand la terreur.
      21 (39 : 24) Il creuse le sol et se réjouit de sa force, Il s'élance au-devant des armes ;
      22 (39 : 25) Il se rit de la crainte, il n'a pas peur, Il ne recule pas en face de l'épée.
      23 (39 : 26) Sur lui retentit le carquois, Brillent la lance et le javelot.
      24 (39 : 27) Bouillonnant d'ardeur, il dévore la terre, Il ne peut se contenir au bruit de la trompette.
      25 (39 : 28) Quand la trompette sonne, il dit : En avant ! Et de loin il flaire la bataille, La voix tonnante des chefs et les cris de guerre.
      26 (39 : 29) Est-ce par ton intelligence que l'épervier prend son vol, Et qu'il étend ses ailes vers le midi ?
      27 (39 : 30) Est-ce par ton ordre que l'aigle s'élève, Et qu'il place son nid sur les hauteurs ?
      28 (39 : 31) C'est dans les rochers qu'il habite, qu'il a sa demeure, Sur la cime des rochers, sur le sommet des monts.
      29 (39 : 32) De là il épie sa proie, Il plonge au loin les regards.
      30 (39 : 33) Ses petits boivent le sang ; Et là où sont des cadavres, l'aigle se trouve.
    • Job 39

      1

      Dieu interroge Job, au sujet de plusieurs animaux.

      - Par ces diverses questions, l'Éternel continue à humilier Job. Dans ce chapitre, on nous parle de plusieurs animaux, dont la nature et la situation révèlent particulièrement la Puissance et la Sagesse divines, avec les nombreuses œuvres accomplies par Dieu.

      Tout d'abord, l'âne sauvage : on serait tenté de croire qu'il serait plus utile à travailler et être bon à quelque chose, plutôt que d'errer çà et là. Il est en fait indomptable ; nous voyons ainsi combien nous sommes incompétents pour guider la Providence, ne connaissant qu'imparfaitement les lois qui régissent certains éléments naturels.

      Ensuite on nous parle du buffle, une créature pleine de force, majestueuse et fière, étant incapable de supporter le joug ; Dieu défie Job en insistant sur ces diverses caractéristiques.

      C'est une grande grâce de voir Dieu donner à quelqu'un la compétence pour un service, tout en lui donnant également un cœur bien disposé ; cela doit être pour nous un sujet de prière, privilège que nous avons par rapport aux animaux. Les dons visibles de l'extérieur ne sont pas toujours les plus enviables. Qui voudrait posséder la voix du rossignol plutôt que la majesté d'une queue de paon ? Disposer de l'œil de l'aigle et de ses ailes capables de planer, ou de l'affection naturelle de la cigogne, plutôt que la beauté des plumes de l'autruche, incapable de voler et d'avoir une quelconque affection naturelle pour ses petits ?

      La description du cheval de combat nous aide à comprendre le caractère présomptueux des pécheurs. Tous se précipitent dans une même course, comme le cheval se rue dans la bataille. Quand le cœur d'un homme est pleinement disposé à la pratique du mal, quand il se dirige vers le chemin de la perversion, conduit par la violence de ses appétits et de ses passions, rien ne peut lui faire craindre la colère divine et par là, les conséquences fatales du péché. Les pécheurs se figurent être en sécurité dans leurs iniquités, tout comme l'aigle, dans son nid haut perché, dans les fentes des rochers. Mais le Seigneur annonce : « Je t'en précipiterai », Jer 49:16. Touts ces rappels des forces de la nature devraient nous donner un aperçu réel des richesses de la Sagesse de Celui qui a créé et qui détient toutes choses. Cette recherche de la Sagesse divine, qui est présente partout, a conduit Job à témoigner de sa grande considération envers la Providence de Dieu.

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