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La Bible en 3 ans - Jour 847

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    • Cantique 2

      1 Et moi, je suis une fleur de la plaine du Saron, une anémone des vallées.
      2 Oui, une anémone parmi les ronces, voilà ma tendre amie parmi les autres filles !
      3 Un pommier parmi les arbres du bois, voilà mon bien-aimé parmi les autres garçons ! A son ombre, j’ai plaisir à m’asseoir et je trouve à ses fruits un goût délicieux.
      4 Il m’a conduite au palais de l’ivresse, sous l’enseigne “A l’Amour”.
      5 « Vite, des gâteaux de raisin pour me rendre des forces, et des pommes pour me réconforter, car je suis malade d’amour. »
      6 Sa main gauche soutient ma tête, son bras droit m’enlace la taille.
      7 Ah, filles de la capitale, au nom des gazelles en liberté, je vous le demande instamment : n’éveillez pas l’amour, ne le provoquez pas avant qu’il y consente !
      8 Écoutez, c’est mon bien-aimé, c’est lui qui arrive, franchissant d’un bond monts et collines.
      9 On dirait une gazelle ou un jeune cerf. Le voici qui s’arrête derrière notre mur, cherchant à voir à travers la fenêtre, jetant un coup d’œil à travers le treillage.
      10 Et maintenant il me parle : « Allons, ma tendre amie, ma belle, viens.
      11 L’hiver est passé, la pluie a cessé, elle est loin.
      12 On voit les champs fleurir ; c’est le temps où tout chante. Sur nos terres on entend la tourterelle qui roucoule.
      13 Les figues vertes grossissent sur les figuiers, les vignes sont en fleur et répandent leur parfum. Allons, ma tendre amie, ma belle, viens.
      14 Ma colombe nichée au creux des rochers, cachée dans la falaise, montre-moi ton visage ; fais-moi entendre ta voix, elle est si agréable, et ton visage est si joli ! »
      15 Attrapez-nous ces renards, ces petites bêtes qui mettent à mal nos vignes, quand notre vigne est en fleur !
      16 Mon bien-aimé est à moi et je suis à lui. Il trouve sa pâture là où poussent les anémones.
      17 A la fraîcheur du soir, quand les ombres s’allongeront, tu reviendras, mon amour, leste comme une gazelle ou comme un jeune cerf sur les monts séparés.
    • Cantique 2

      1 I am a rose of Sharon, a lily of the valleys. Lover
      2 As a lily among thorns, so is my love among the daughters. Beloved
      3 As the apple tree among the trees of the wood, so is my beloved among the sons. I sat down under his shadow with great delight, his fruit was sweet to my taste.
      4 He brought me to the banquet hall. His banner over me is love.
      5 Strengthen me with raisins, refresh me with apples; For I am faint with love.
      6 His left hand is under my head. His right hand embraces me.
      7 I adjure you, daughters of Jerusalem, by the roes, or by the hinds of the field, that you not stir up, nor awaken love, until it so desires.
      8 The voice of my beloved! Behold, he comes, leaping on the mountains, skipping on the hills.
      9 My beloved is like a roe or a young hart. Behold, he stands behind our wall! He looks in at the windows. He glances through the lattice.
      10 My beloved spoke, and said to me, "Rise up, my love, my beautiful one, and come away.
      11 For, behold, the winter is past. The rain is over and gone.
      12 The flowers appear on the earth. The time of the singing has come, and the voice of the turtledove is heard in our land.
      13 The fig tree ripens her green figs. The vines are in blossom. They give forth their fragrance. Arise, my love, my beautiful one, and come away." Lover
      14 My dove in the clefts of the rock, In the hiding places of the mountainside, Let me see your face. Let me hear your voice; for your voice is sweet, and your face is lovely.
      15 Catch for us the foxes, the little foxes that spoil the vineyards; for our vineyards are in blossom. Beloved
      16 My beloved is mine, and I am his. He browses among the lilies.
      17 Until the day is cool, and the shadows flee away, turn, my beloved, and be like a roe or a young hart on the mountains of Bether.
    • Cantique 2

      1

      L'amour mutuel, entre Christ et Son église. (Cantique 2:1-7)
      L'espérance et la vocation de l'église. (Cantique 2:8-13)
      Le soin de Christ envers l'église ; la foi et l'espérance que celle-ci place en Lui. (Cantique 2:14-17)

      Que les croyants sont magnifiques, lorsqu'ils sont revêtus de la Justice de Christ ! Quel parfum, ils exhalent lorsqu'ils reçoivent les grâces de Son Esprit ! Ils croissent spirituellement sous les rayons bienfaisants du Soleil de justice.

      Le lis est une plante d’Orient relativement noble ; il grandit, pour atteindre une hauteur considérable, mais sa tige reste assez faible. L'église, par nature, est vulnérable, mais elle reste forte, en Celui qui la soutient. Les méchants, les « enfants de ce monde », n’éprouvent aucun amour pour Christ ; ils ressemblent à des épines, sans valeur, inutiles, nuisibles et nocives. Les corruptions de ce monde sont de véritables épines, elles attaquent la chair ; le lis, qui croît parmi ces épines, sera transplanté dans le paradis, là où ne se trouvent aucune ronce.

      Le monde est un « arbre stérile » pour l'âme ; Christ, quant à Lui, est un arbre qui porte de nombreux fruits. Lorsque de pauvres âmes, desséchées par la conviction et l’angoisse du péché, ou les épreuves de ce monde, sont lasses et lourdement chargées, elles peuvent trouver le repos en Christ ! Il ne suffit pas passer sous « l’ombre bienfaisante et rafraichissante du Seigneur », nous devons y séjourner longuement !

      Les croyants ont goûté à la Grâce qui émane du Seigneur Jésus ; Ses fruits sont les précieux privilèges qui caractérisent la « nouvelle alliance » ; Christ nous a rachetés par Son sang, et appelés, par Son Esprit ; Ses promesses et Ses préceptes apaisent l’âme du croyant ; Son joug est doux, ainsi que la Paix qu’Il répand dans notre conscience.

      Si nous ne sommes plus attirés par les vains plaisirs du péché, les consolations divines nous paraîtront douces et bienfaisantes. Christ conduit l'âme à rechercher tout réconfort dans Ses ordonnances ; nous serons dans une sainte communion avec le Seigneur, attablés à un véritable « banquet spirituel », décrit dans ce texte comme « la maison du vin », où ses saints se réjouiront avec Lui.

      L'Amour de Christ, manifesté dans Sa Parole et dans Sa mort, est une véritable bannière qu'Il déploie ; les croyants se rallient derrière elle.

      Combien il est préférable pour l'âme d'être comblée par son amour pour Christ, plutôt que d'être rassasiée de l'amour de ce monde ! Même lorsque Christ peut parfois sembler s'être retiré, Il demeure cependant notre aide, toujours présente ! Tous les saints sont en Sa main ; elle les soutient avec tendresse.

      En découvrant que Christ est si proche d'elle, l'âme veille avec grande attention, à ce que sa communion avec Lui ne soit pas rompue. Nous chagrinons facilement l'Esprit par nos mauvaises pensées. Que ceux qui ont reçu Son réconfort spirituel rejettent le péché au plus loin !

      8 L'église se réjouit de pouvoir être en communion avec Christ ! Nul autre que Christ ne peut en effet parler davantage à notre cœur !

      « Le voici, il vient ! » Cette phrase peut s’appliquer à la perspective de la venue de Christ ici-bas, qu'avaient les saints de l'Ancien Testament. Christ est venu volontairement en ce monde.

      « Il vient rapidement ». Même lorsque Christ semble abandonner les Siens, ce n'est que temporaire ; Il revient toujours, avec Son éternel amour et Sa merveilleuse tendresse. Les saints de l'ancien temps l'ont « discerné spirituellement », apparaissant lors des sacrifices et des institutions cérémonielles. Nous le voyons aujourd’hui comme au travers d’un verre obscurci, comme « à travers les treillis » (verset neuf).

      Christ invite le nouveau converti à abandonner « le chemin large » de la paresse et du découragement, à laisser le péché et les vanités de ce monde, pour s'unir spirituellement et entrer en communion avec lui. L'hiver (verset onze) peut représenter pour l’enfant de Dieu, soit des années passées dans le désert spirituel et le péché, de façon stérile et misérable, soit les orages et les tempêtes qui ont accompagné sa conviction de culpabilité et de danger de mort.

      Même si les fruits de la sanctification d’une âme ne sont pas encore parfaitement « mûrs », Celui qui les a produits, par Sa Grâce, les regarde toujours favorablement. Tous ces signes encourageants et ces évidences de la faveur divine, sont des motifs qui doivent inciter une âme à suivre Christ avec bonheur.

      Levons-nous et éloignons-nous des attraits du monde et de la chair, pour entrer dans la « connaissance de Christ ». Nous connaîtrons alors un formidable changement en notre cœur, au contact de cette merveilleuse Lumière spirituelle !

      14 L'église est la « colombe » de Christ, mentionnée dans ce texte ; elle revient vers Lui, comme celle qui revint vers Noé, à la fin du déluge.

      Christ est le Rocher, le seul lieu dans lequel l’église puisse se sentir en sécurité, et se trouver à l’aise, telle une colombe protégée, lorsqu'elle est poursuivie par des oiseaux de proie. Christ appelle l'église à s’approcher sans crainte du trône de la Grâce, là où elle bénéficie d’un « Souverain Sacrificateur » parfait. L’église peut s’adresser à Lui librement, sans crainte d'être réprimandée ni d'être repoussée. Pour Dieu, la voix de la prière est douce et agréable ; ceux qui sont sanctifiés en Jésus-Christ sont vraiment purs aux yeux de Dieu.

      Les premières manifestations de mauvaises pensées et de désirs coupables, les vaines poursuites des attraits du monde, les mauvaises fréquentations, les manques à la vérité, tout ce qui permet de confondre une âme « rachetée » avec le monde, sont des « petits renards » qui doivent être éliminés. Ce texte invite les croyants, par cette image, à mortifier leurs appétits et leurs passions coupables. Nous devons rejeter tout ce que qui nous entrave dans la pratique des bonnes œuvres.

      « Il fait paître son troupeau parmi les lis ; » cette image est une manifestation de la présence de la Grâce de Christ parmi les croyants. Le Seigneur est tendre envers tout Son peuple. Il appartient aux siens de croire cela, lors de l’épreuve, afin qu’ils soient préservés des tentations mauvaises.

      La période de la dispensation juive et de la loi a été remplacée par celle de l’Évangile : le réconfort spirituel de ce Dernier allait faire suite au refroidissement des enfants d’Israël.

      Traversons les « montagnes de Béther », « ces montagnes qui nous éloignent, » de ce jour de lumière et d'amour. Christ franchit chaque montagne qui nous sépare de Lui, pour nous amener dans Sa demeure !

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