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La Bible en 3 ans - Jour 847

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    • Cantique 2

      1

      L'amour mutuel, entre Christ et Son église. (Cantique 2:1-7)
      L'espérance et la vocation de l'église. (Cantique 2:8-13)
      Le soin de Christ envers l'église ; la foi et l'espérance que celle-ci place en Lui. (Cantique 2:14-17)

      Que les croyants sont magnifiques, lorsqu'ils sont revêtus de la Justice de Christ ! Quel parfum, ils exhalent lorsqu'ils reçoivent les grâces de Son Esprit ! Ils croissent spirituellement sous les rayons bienfaisants du Soleil de justice.

      Le lis est une plante d’Orient relativement noble ; il grandit, pour atteindre une hauteur considérable, mais sa tige reste assez faible. L'église, par nature, est vulnérable, mais elle reste forte, en Celui qui la soutient. Les méchants, les « enfants de ce monde », n’éprouvent aucun amour pour Christ ; ils ressemblent à des épines, sans valeur, inutiles, nuisibles et nocives. Les corruptions de ce monde sont de véritables épines, elles attaquent la chair ; le lis, qui croît parmi ces épines, sera transplanté dans le paradis, là où ne se trouvent aucune ronce.

      Le monde est un « arbre stérile » pour l'âme ; Christ, quant à Lui, est un arbre qui porte de nombreux fruits. Lorsque de pauvres âmes, desséchées par la conviction et l’angoisse du péché, ou les épreuves de ce monde, sont lasses et lourdement chargées, elles peuvent trouver le repos en Christ ! Il ne suffit pas passer sous « l’ombre bienfaisante et rafraichissante du Seigneur », nous devons y séjourner longuement !

      Les croyants ont goûté à la Grâce qui émane du Seigneur Jésus ; Ses fruits sont les précieux privilèges qui caractérisent la « nouvelle alliance » ; Christ nous a rachetés par Son sang, et appelés, par Son Esprit ; Ses promesses et Ses préceptes apaisent l’âme du croyant ; Son joug est doux, ainsi que la Paix qu’Il répand dans notre conscience.

      Si nous ne sommes plus attirés par les vains plaisirs du péché, les consolations divines nous paraîtront douces et bienfaisantes. Christ conduit l'âme à rechercher tout réconfort dans Ses ordonnances ; nous serons dans une sainte communion avec le Seigneur, attablés à un véritable « banquet spirituel », décrit dans ce texte comme « la maison du vin », où ses saints se réjouiront avec Lui.

      L'Amour de Christ, manifesté dans Sa Parole et dans Sa mort, est une véritable bannière qu'Il déploie ; les croyants se rallient derrière elle.

      Combien il est préférable pour l'âme d'être comblée par son amour pour Christ, plutôt que d'être rassasiée de l'amour de ce monde ! Même lorsque Christ peut parfois sembler s'être retiré, Il demeure cependant notre aide, toujours présente ! Tous les saints sont en Sa main ; elle les soutient avec tendresse.

      En découvrant que Christ est si proche d'elle, l'âme veille avec grande attention, à ce que sa communion avec Lui ne soit pas rompue. Nous chagrinons facilement l'Esprit par nos mauvaises pensées. Que ceux qui ont reçu Son réconfort spirituel rejettent le péché au plus loin !

      8 L'église se réjouit de pouvoir être en communion avec Christ ! Nul autre que Christ ne peut en effet parler davantage à notre cœur !

      « Le voici, il vient ! » Cette phrase peut s’appliquer à la perspective de la venue de Christ ici-bas, qu'avaient les saints de l'Ancien Testament. Christ est venu volontairement en ce monde.

      « Il vient rapidement ». Même lorsque Christ semble abandonner les Siens, ce n'est que temporaire ; Il revient toujours, avec Son éternel amour et Sa merveilleuse tendresse. Les saints de l'ancien temps l'ont « discerné spirituellement », apparaissant lors des sacrifices et des institutions cérémonielles. Nous le voyons aujourd’hui comme au travers d’un verre obscurci, comme « à travers les treillis » (verset neuf).

      Christ invite le nouveau converti à abandonner « le chemin large » de la paresse et du découragement, à laisser le péché et les vanités de ce monde, pour s'unir spirituellement et entrer en communion avec lui. L'hiver (verset onze) peut représenter pour l’enfant de Dieu, soit des années passées dans le désert spirituel et le péché, de façon stérile et misérable, soit les orages et les tempêtes qui ont accompagné sa conviction de culpabilité et de danger de mort.

      Même si les fruits de la sanctification d’une âme ne sont pas encore parfaitement « mûrs », Celui qui les a produits, par Sa Grâce, les regarde toujours favorablement. Tous ces signes encourageants et ces évidences de la faveur divine, sont des motifs qui doivent inciter une âme à suivre Christ avec bonheur.

      Levons-nous et éloignons-nous des attraits du monde et de la chair, pour entrer dans la « connaissance de Christ ». Nous connaîtrons alors un formidable changement en notre cœur, au contact de cette merveilleuse Lumière spirituelle !

      14 L'église est la « colombe » de Christ, mentionnée dans ce texte ; elle revient vers Lui, comme celle qui revint vers Noé, à la fin du déluge.

      Christ est le Rocher, le seul lieu dans lequel l’église puisse se sentir en sécurité, et se trouver à l’aise, telle une colombe protégée, lorsqu'elle est poursuivie par des oiseaux de proie. Christ appelle l'église à s’approcher sans crainte du trône de la Grâce, là où elle bénéficie d’un « Souverain Sacrificateur » parfait. L’église peut s’adresser à Lui librement, sans crainte d'être réprimandée ni d'être repoussée. Pour Dieu, la voix de la prière est douce et agréable ; ceux qui sont sanctifiés en Jésus-Christ sont vraiment purs aux yeux de Dieu.

      Les premières manifestations de mauvaises pensées et de désirs coupables, les vaines poursuites des attraits du monde, les mauvaises fréquentations, les manques à la vérité, tout ce qui permet de confondre une âme « rachetée » avec le monde, sont des « petits renards » qui doivent être éliminés. Ce texte invite les croyants, par cette image, à mortifier leurs appétits et leurs passions coupables. Nous devons rejeter tout ce que qui nous entrave dans la pratique des bonnes œuvres.

      « Il fait paître son troupeau parmi les lis ; » cette image est une manifestation de la présence de la Grâce de Christ parmi les croyants. Le Seigneur est tendre envers tout Son peuple. Il appartient aux siens de croire cela, lors de l’épreuve, afin qu’ils soient préservés des tentations mauvaises.

      La période de la dispensation juive et de la loi a été remplacée par celle de l’Évangile : le réconfort spirituel de ce Dernier allait faire suite au refroidissement des enfants d’Israël.

      Traversons les « montagnes de Béther », « ces montagnes qui nous éloignent, » de ce jour de lumière et d'amour. Christ franchit chaque montagne qui nous sépare de Lui, pour nous amener dans Sa demeure !

    • Cantique 2

      1 Et moi, je suis une fleur de la plaine du Saron, une anémone des vallées.
      2 Oui, une anémone parmi les ronces, voilà ma tendre amie parmi les autres filles !
      3 Un pommier parmi les arbres du bois, voilà mon bien-aimé parmi les autres garçons ! A son ombre, j’ai plaisir à m’asseoir et je trouve à ses fruits un goût délicieux.
      4 Il m’a conduite au palais de l’ivresse, sous l’enseigne “A l’Amour”.
      5 « Vite, des gâteaux de raisin pour me rendre des forces, et des pommes pour me réconforter, car je suis malade d’amour. »
      6 Sa main gauche soutient ma tête, son bras droit m’enlace la taille.
      7 Ah, filles de la capitale, au nom des gazelles en liberté, je vous le demande instamment : n’éveillez pas l’amour, ne le provoquez pas avant qu’il y consente !
      8 Écoutez, c’est mon bien-aimé, c’est lui qui arrive, franchissant d’un bond monts et collines.
      9 On dirait une gazelle ou un jeune cerf. Le voici qui s’arrête derrière notre mur, cherchant à voir à travers la fenêtre, jetant un coup d’œil à travers le treillage.
      10 Et maintenant il me parle : « Allons, ma tendre amie, ma belle, viens.
      11 L’hiver est passé, la pluie a cessé, elle est loin.
      12 On voit les champs fleurir ; c’est le temps où tout chante. Sur nos terres on entend la tourterelle qui roucoule.
      13 Les figues vertes grossissent sur les figuiers, les vignes sont en fleur et répandent leur parfum. Allons, ma tendre amie, ma belle, viens.
      14 Ma colombe nichée au creux des rochers, cachée dans la falaise, montre-moi ton visage ; fais-moi entendre ta voix, elle est si agréable, et ton visage est si joli ! »
      15 Attrapez-nous ces renards, ces petites bêtes qui mettent à mal nos vignes, quand notre vigne est en fleur !
      16 Mon bien-aimé est à moi et je suis à lui. Il trouve sa pâture là où poussent les anémones.
      17 A la fraîcheur du soir, quand les ombres s’allongeront, tu reviendras, mon amour, leste comme une gazelle ou comme un jeune cerf sur les monts séparés.
    • Cantique 2

      1 « Moi, je suis une fleur qui pousse dans la plaine du Saron, un lis de la vallée. »
      2 « Oui, comme un lis parmi des ronces est mon amie parmi les filles. »
      3 « Comme un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens, j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre. Combien son fruit est doux à mon palais.
      4 Il m’a conduite dans la maison du vin et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour.
      5 Restaurez-moi avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour.
      6 Son bras gauche soutient ma tête, et son bras droit m’enlace.
      7 O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure par les gazelles ou par les biches de la campagne : n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille.
      8 « J’entends mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes et bondissant sur les collines.
      9 Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici : il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres et lançant des regards à travers les treillis.
      10 Mon bien-aimé me parle, et il me dit : “Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle,
      11 car l’hiver est passé et les pluies ont cessé, leur saison est finie.
      12 On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs.
      13 Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle.”
      14 Ma colombe nichée aux fentes du rocher, cachée au plus secret des parois escarpées, fais-moi voir ton visage et entendre ta voix, car ta voix est bien douce et ton visage est beau.
      15 Prenez-nous les renards, oui, les petits renards qui ravagent nos vignes quand elles sont en fleur.
      16 Mon bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis.
      17 Et quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle ou à un jeune faon sur les monts escarpés.
    • Cantique 2

      1 Je suis un narcisse du Saron, un lis des vallées.
      2 Pareille à un lis au milieu des ronces, telle est mon amie parmi les filles.
      3 Pareil à un pommier au milieu des arbres de la forêt, tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’aime m'asseoir à son ombre, et son fruit est doux à mon goût.
      4 Il m'a fait entrer dans la maison du vin, et l’étendard qu’il déploie au-dessus de moi, c'est l'amour.
      5 Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, fortifiez-moi avec des pommes, car je suis malade d'amour !
      6 Que sa main gauche soutienne ma tête et que de sa main droite il m’enlace !
      7 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, par les gazelles et les biches des champs, ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour avant qu'elle ne le veuille !
      8 C'est la voix de mon bien-aimé ! Le voici qui arrive, sautant sur les montagnes, bondissant sur les collines.
      9 Mon bien-aimé est pareil à la gazelle ou au jeune cerf. Le voici : il se tient derrière notre mur, observant par la fenêtre, regardant par le treillis.
      10 Mon bien-aimé parle et me dit : « Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
      11 En effet, l'hiver est passé, la pluie a cessé, elle s'en est allée.
      12 Les fleurs apparaissent dans le pays, le temps de chanter est arrivé et l’on entend le roucoulement de la tourterelle dans notre pays.
      13 Le figuier embaume par ses fruits et les vignes en fleur répandent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
      14 Ma colombe, toi qui te tiens dans les fentes du rocher, qui te caches dans les parois escarpées, fais-moi voir ta figure, fais-moi entendre ta voix, car ta voix est douce et ta figure est charmante ! »
      15 Attrapez pour nous les renards, les petits renards qui dévastent les vignes, car nos vignes sont en fleur !
      16 Mon bien-aimé est à moi, et moi je suis à lui. Il conduit son troupeau parmi les lis.
      17 Avant que la brise du jour ne souffle et que les ombres ne fuient, tourne-toi ! Montre-toi pareil, mon bien-aimé, à la gazelle ou au jeune cerf, sur les montagnes rocailleuses !
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