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La Bible en 3 ans - Jour 850

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Versets relatifs

    • Cantique 5

      1

      La réponse de Christ, à l’église. (Cantique 5:1)
      Les déceptions de l'église, face à sa propre folie. (Cantique 5:2-8)
      L’excellence de Christ. (Cantique 5:9-16)

      Nous voyons dans ce texte, comment Christ est prêt à accepter l’invitation de Son peuple. Le désir en nous, de pratiquer le moindre bien, serait vain si le Seigneur ne nous aidait pas.

      Christ, dans ce verset, invite Son peuple bien-aimé à manger et à boire sans modération. En fait, quand les Siens observent les ordonnances du Seigneur, ils L’honorent, le tout provenant de Sa Grâce !

      2 Par insouciance et à cause de leur sommeil spirituel, les églises et les croyants, en arrivent à laisser Christ s'éloigner des Siens.

      Nous devons veiller à ne pas nous assoupir spirituellement. Christ frappe à notre porte pour nous « réveiller », Il nous interpelle au moyen de Sa parole et de Son Esprit, Il nous frappe par l’épreuve, Il sensibilise notre conscience ; tout cela nous est répété en \\#Re 3:20\\

      Lorsque nous avons tendance à « délaisser » le Seigneur, ce Dernier continue néanmoins à nous observer. L'Amour que Christ éprouve à notre égard devrait motiver le nôtre, envers Lui, surtout dans les moments de faiblesse spirituelle ; en Christ, nous sommes plus que vainqueurs !

      Les impies et les insouciants méprisent Jésus-Christ. Nulle autre que Lui ne peut être envoyé pour ouvrir la porte de notre cœur. Christ nous appelle, mais parfois, nous n'y prêtons guère attention, ou nous prétendons ne pas avoir assez de force, ne pas disposer de suffisamment de temps, cherchant mille excuses. Une telle attitude correspond à ne faire que peu de cas de Christ.

      Ceux qui ne supportent pas la moindre épreuve, ou qui hésitent à quitter leur « lit douillet » pour servir le Seigneur, négligent en fait leur devoir spirituel. Constatons les effets bénéfiques de la Grâce divine : Christ avance Sa main pour déverrouiller la porte, Il est las d'attendre. Ceci traduit l’œuvre de l'Esprit envers une âme : le croyant cherche à se relever, à ne pas s’apitoyer sur lui-même, il cherche, par la prière, à recevoir les consolations de Christ, il fait tout pour ne pas altérer une parfaite communion avec Lui ; toutes les actions d’une telle âme sont imagées dans ce texte, par des mains couvertes de myrrhe, qui ouvrent la porte (verset six). Mais le Bien-aimé est parti...

      En décidant parfois de s'éloigner des Siens, Christ veut les sensibiliser, les avertir, pour chercher à valoriser Ses visites pleines de Grâce.

      Nous observons que l'âme mentionnée au verset 4 continue à appeler Christ « son Bien-aimé ». Quand le Seigneur décide de s’éloigner quelque peu, cela ne signifie pas que le cas de Son enfant soit désespéré.

      « Seigneur, je crois, viens au secours de mon incrédulité, » Marc 9:24*. Les paroles du Seigneur touchent toujours l’âme assoiffée : « j’étais un tel misérable que je veux m’agenouiller devant Lui. » Lorsque Dieu ouvre nos yeux, la peine causée par les convictions de péché est souvent très amère. L'âme recherche alors le Seigneur, non seulement par la prière, mais par tous les moyens.

      « Les gardes m'ont rencontrée, ils m’ont blessée (verset sept). » Certains commentateurs appliquent ce texte à ceux qui ne réagissent pas aux appels de leur conscience, par le Saint-Esprit. Cette blessure, infligée aux filles de Jérusalem, semble représenter un croyant, faible et affligé.

      Une âme en éveil est plus sensible aux abandons de Christ qu'à toute autre épreuve.

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      9 Même ceux qui n'ont qu'une faible connaissance de Christ, ne peuvent que discerner Sa merveilleuse beauté. Ils ont soif de commencer à Le connaître, dans toutes Ses perfections.

      Les chrétiens, qui connaissent bien le Seigneur, doivent faire tout leur possible pour partager cette connaissance avec leur entourage. Christ est vraiment magnifique aux yeux de tous ceux qui discernent Sa gloire divine ! Il est blanc (verset dix), sans tache, Il est aussi de couleur vermeil, à cause de Ses souffrances et du sang qu’Il a versé lors de Sa mort à la croix.

      Cette description de Christ, le Bien-aimé, est un modèle de beauté et de grâce ; d’autres détails, relatifs à Sa personne, ne nous apparaîtront que plus tard, lorsqu’Il viendra pour être glorifié avec tous ses saints, et pour être admiré par tous ceux qui croient en Lui.

      Puisse Son amour nous contraindre à vivre à Sa gloire !

    • Cantique 5

      1 Je viens à mon jardin, petite sœur, ma promise, et j’y fais ma cueillette de myrrhe et d’herbes parfumées ; j’y mange mon rayon de miel, j’y bois mon vin et mon lait. Amis Mangez, mes amis, buvez, enivrez-vous d’amour.
      2 J’étais endormie, mais mon cœur restait en éveil. J’entends quelque chose, c’est mon bien-aimé qui frappe à la porte : Lui « Ouvre-moi, petite sœur, ma tendre amie, ma colombe, mon trésor. J’ai la tête couverte de rosée et les cheveux trempés des gouttes de la nuit.
      3 J’ai retiré mes vêtements, je ne vais pas me rhabiller ! Je viens de me laver les pieds, je ne vais pas les resalir ! »
      4 Mon bien-aimé passe la main par le guichet de la porte, et j’en ai le cœur battant.
      5 D’un bond je suis debout pour ouvrir à mon bien-aimé. J’ai les mains et les doigts couverts d’huile de myrrhe, quand je saisis la poignée du verrou.
      6 J’ouvre à mon bien-aimé ; mais il est parti, il n’est plus là. Je sors à sa poursuite, je le cherche, sans le trouver. J’ai beau l’appeler, pas de réponse.
      7 Mais je rencontre les gardes, qui font leur ronde sur les remparts de la ville. Ils me frappent, ils me blessent, ils m’arrachent mon châle.
      8 Ah, filles de la capitale, je vous le demande instamment : si vous rencontrez mon bien-aimé, que lui raconterez-vous ? Que je suis malade d’amour ! Dites-le-lui.
      9 Dis-nous, la belle, qu’a-t-il de plus qu’un autre, ton amoureux ? Oui, qu’a-t-il de plus qu’un autre pour que tu nous fasses pareille demande ?
      10 Mon bien-aimé est reconnaissable entre dix mille à son teint resplendissant et cuivré.
      11 Sa tête est dorée. Il a les cheveux bouclés comme les fleurs de dattier, et d’un noir de corbeau.
      12 Ses yeux ont le charme des colombes penchées sur un ruisseau ; leur iris semble baigner dans du lait, comme logé dans un écrin.
      13 Ses joues sont une plate-bande odorante, semée d’herbes parfumées. Ses lèvres ont l’éclat de l’anémone où perle une huile de myrrhe.
      14 Ses bras sont comme un anneau d’or chargé de pierreries. Son corps est une plaque d’ivoire couverte de saphirs.
      15 Ses jambes font penser à des colonnes de marbre blanc, solidement plantées sur des socles d’or fin. Il a fière allure, comme les monts du Liban ; il a la distinction des cèdres.
      16 Sa bouche est douce à mon baiser, tout en lui appelle mon désir. Voilà mon bien-aimé, filles de la capitale, voilà mon ami !
    • Cantique 5

      1 « Je viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel, et je viens boire mon vin avec mon lait. Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés. »
      2 « Je me suis endormie, pourtant mon cœur veillait. J’entends mon bien-aimé frapper : “Ma sœur, mon amie, ouvre-moi, toi, ma colombe, toi, ma parfaite, car j’ai la tête couverte de rosée. Mes boucles sont trempées des gouttes de la nuit.”
      3 J’ai ôté ma tunique, comment la remettrais-je ? Et j’ai lavé mes pieds : comment les salirais-je ?
      4 Mon bien-aimé avance sa main par l’ouverture, mon cœur en a frémi
      5 et je me suis levée pour aller lui ouvrir. De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé, de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte.
      6 J’ouvre à mon bien-aimé. Hélas, mon bien-aimé était déjà parti : il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu.
      7 Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville, les gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts.
      8 O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure : si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis malade d’amour ! »
      9 « Qu’a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre ? Dis-nous, toi la plus belle parmi toutes les femmes, oui, qu’a-t-il donc ton bien-aimé de plus qu’un autre pour que tu nous conjures, de façon si pressante ? »
      10 « Mon bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille.
      11 Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau.
      12 Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait et sont comme enchâssés dans un chaton de bague.
      13 Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis distillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse,
      14 et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli émaillé de saphirs.
      15 Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres.
      16 Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. »
    • Cantique 5

      1 J'entre dans mon jardin, ma sœur, ma chérie. Je cueille ma myrrhe et mes aromates, je mange mon rayon de miel avec mon miel, je bois mon vin avec mon lait. Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour !
      2 J'étais endormie, mais mon cœur veillait. C'est la voix de mon bien-aimé ! Il frappe : « Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, ma colombe, ma parfaite, car ma tête est couverte de rosée, mes boucles sont pleines des gouttelettes de la nuit. »
      3 J'ai enlevé mon habit. Comment pourrais-je le remettre ? J'ai lavé mes pieds. Comment pourrais-je les salir ?
      4 Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre et j’ai été bouleversée à cause de lui.
      5 J’ai commencé à ouvrir à mon bien-aimé, et de mes mains a perlé la myrrhe, de mes doigts la myrrhe a coulé sur la poignée du verrou.
      6 J'ai ouvert à mon bien-aimé, mais mon bien-aimé s'était retiré, il avait disparu. Je perdais tous mes moyens pendant qu’il parlait ! Je l'ai cherché, mais je ne l'ai pas trouvé. Je l'ai appelé, mais il ne m'a pas répondu.
      7 Ce sont les gardes qui font la ronde dans la ville qui m'ont trouvée. Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée, ils m'ont enlevé mon châle, les gardes des murailles.
      8 Je vous en supplie, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui direz-vous ? Que je suis malade d'amour.
      9 Qu’a-t-il de plus qu'un autre, ton bien-aimé, toi la plus belle des femmes ? Qu’a-t-il de plus qu'un autre, ton bien-aimé, pour que tu nous supplies de cette manière ?
      10 Mon bien-aimé est blanc et vermeil, on le remarque au milieu de dizaines de milliers.
      11 Sa tête est d’or pur. Ses boucles sont flottantes, noires comme le corbeau.
      12 Ses yeux sont pareils à des colombes au bord des ruisseaux : ils baignent dans le lait, ils reposent au sein de l'abondance.
      13 Ses joues sont comme un parterre d'aromates, ce sont des amas d’épices. Ses lèvres sont des lis d'où coule la myrrhe.
      14 Ses mains sont des anneaux d'or garnis de chrysolithes. Son ventre est d’ivoire poli, couvert de saphirs.
      15 Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc posées sur des bases en or pur. Son aspect est aussi majestueux que le Liban, aussi distingué que ses cèdres.
      16 Son palais n'est que douceur et toute sa personne est désirable. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, filles de Jérusalem !
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