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La Bible en 3 ans - Jour 99

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    • Lévitique 13

      1 L'Eternel parla aussi à Moïse et à Aaron, en disant :
      2 L'homme qui aura dans la peau de sa chair une tumeur, ou gâle, ou bouton, et que cela paraîtra dans la peau de sa chair comme une plaie de lèpre, on l'amènera à Aaron Sacrificateur, ou à un de ses fils Sacrificateurs.
      3 Et le Sacrificateur regardera la plaie qui est dans la peau de sa chair, et si le poil de la plaie est devenu blanc, et si la plaie, à la voir, est plus enfoncée que la peau de sa chair, c'est une plaie de lèpre ; le Sacrificateur donc le regardera, et le jugera souillé.
      4 Mais si le bouton est blanc en la peau de sa chair, et qu'à le voir il ne soit point plus enfoncé que la peau, et si son poil n est pas devenu blanc, le Sacrificateur fera enfermer pendant sept jours celui qui a la plaie.
      5 Et le Sacrificateur la regardera le septième jour, et s'il aperçoit que la plaie se soit arrêtée, et qu'elle n'ait point crû dans la peau, le Sacrificateur le fera renfermer pendant sept autres jours.
      6 Et le Sacrificateur la regardera encore le septième jour suivant, et s'il aperçoit que la plaie s'est retirée, et qu'elle ne s'est point accrue sur la peau, le Sacrificateur le jugera net ; c'est de la gâle, et il lavera ses vêtements, et sera net.
      7 Mais si la gâle a crû en quelque sorte que ce soit sur la peau, après qu'il aura été examiné par le Sacrificateur pour être jugé net, et qu'il aura été examiné pour la seconde fois par le Sacrificateur ;
      8 Le Sacrificateur le regardera encore, et s'il aperçoit que la gâle ait crû sur la peau, le Sacrificateur le jugera souillé ; c'est de la lèpre.
      9 Quand il y aura une plaie de lèpre en un homme ; on l'amènera au Sacrificateur.
      10 Lequel le regardera ; et s'il aperçoit qu'il y ait une tumeur blanche en la peau, et que le poil soit devenu blanc, et qu'il paraisse de la chair vive en la tumeur ;
      11 C'est une lèpre invétérée en la peau de sa chair, et le Sacrificateur le jugera souillé, et ne le fera point enfermer ; car il est jugé souillé.
      12 Si la lèpre boutonne fort dans la peau, et qu'elle couvre toute la peau de la plaie, depuis la tête de cet homme jusqu'à ses pieds, autant qu'en pourra voir le Sacrificateur ;
      13 Le Sacrificateur le regardera, et s'il aperçoit que la lèpre ait couvert toute la chair de cet homme, alors il jugera net [celui qui a] la plaie ; la plaie est devenue toute blanche ; il est net.
      14 Mais le jour auquel on aura aperçu de la chair vive, il sera souillé.
      15 Alors le Sacrificateur regardera la chair vive, et le jugera souillé ; la chair vive est souillée ; c'est de la lèpre.
      16 Que si la chair vive se change, et devient blanche, alors il viendra vers le Sacrificateur.
      17 Et le Sacrificateur le regardera, et s'il aperçoit que la plaie soit devenue blanche, le Sacrificateur jugera net [celui qui a] la plaie : il est net.
      18 Si la chair a eu en sa peau un ulcère, qui soit guéri ;
      19 Et qu'à l'endroit où était l'ulcère il y ait une tumeur blanche, ou une pustule blanche-roussâtre, il sera regardé par le Sacrificateur.
      20 Le Sacrificateur donc la regardera, et s'il aperçoit qu'à la voir elle soit plus enfoncée que la peau, et que son poil soit devenu blanc, alors le Sacrificateur le jugera souillé ; c'est une plaie de lèpre, la lèpre a boutonné dans l'ulcère.
      21 Que si le Sacrificateur la regardant aperçoit que le poil ne soit point devenu blanc, et qu'elle ne soit point plus enfoncée que la peau ; mais qu'elle se soit retirée, le Sacrificateur le fera enfermer pendant sept jours.
      22 Que si elle s'est étendue en quelque sorte que ce soit sur la peau, le Sacrificateur le jugera souillé ; c'est une plaie.
      23 Mais si le bouton s'arrête en son lieu, ne croissant point, c'est un feu d'ulcère ; ainsi le Sacrificateur le jugera net.
      24 Que si la chair a en sa peau une inflammation de feu, et que la chair vive de la partie enflammée soit un bouton blanc-roussâtre, ou blanc [seulement] ;
      25 Le Sacrificateur le regardera, et s'il aperçoit que le poil soit devenu blanc dans le bouton, et qu'à le voir il soit plus enfoncé que la peau, c'est de la lèpre, elle a boutonné dans l'inflammation ; le Sacrificateur donc le jugera souillé ; c'est une plaie de lèpre.
      26 Mais si le Sacrificateur le regardant aperçoit qu'il n'y a point de poil blanc au bouton, et qu'il n'est point plus bas que la peau, et qu'il s'est retiré, le Sacrificateur le fera enfermer pendant sept jours.
      27 Puis le Sacrificateur le regardera le septième jour, [et] si [le bouton] a crû en quelque sorte que ce soit dans la peau, le Sacrificateur le jugera souillé ; c'est une plaie de lèpre.
      28 Que si le bouton s'arrête en son lieu sans croître sur la peau, et s'est retiré, c'est une tumeur d'inflammation ; et le Sacrificateur le jugera net ; c'est un feu d'inflammation.
      29 Si l'homme ou la femme a une plaie en la tête, ou [l'homme] en la barbe,
      30 Le Sacrificateur regardera la plaie, et si à la voir elle est plus enfoncée que la peau, ayant en soi du poil jaunâtre délié, le Sacrificateur le jugera souillé ; c'est de la teigne, c'est une lèpre de tête, ou de barbe.
      31 Et si le Sacrificateur regardant la plaie de la teigne, aperçoit, qu'à la voir elle n'est point plus enfoncée que la peau, et n'a en soi aucun poil noir, le Sacrificateur fera enfermer pendant sept jours [celui qui a] la plaie de la teigne ;
      32 Et le septième jour le Sacrificateur regardera la plaie, et s'il aperçoit que la teigne ne s'est point étendue, et qu'elle n'a [aucun] poil jaunâtre, et qu'à voir la teigne elle ne soit pas plus enfoncée que la peau ;
      33 [Celui qui a la plaie de la teigne] se rasera, mais il ne rasera point [l'endroit] de la teigne, et le Sacrificateur fera enfermer pendant sept autres jours [celui qui a] la teigne.
      34 Puis le Sacrificateur regardera la teigne au septième jour, et s'il aperçoit que la teigne ne s'est point étendue sur la peau, et qu'à la voir elle n'est point plus enfoncée que la peau, le Sacrificateur le jugera net, et cet homme lavera ses vêtements, et sera net.
      35 Mais si la teigne croît en quelque sorte que ce soit dans la peau, après sa purification,
      36 Le Sacrificateur la regardera ; et s'il aperçoit que la teigne ait crû dans la peau, le Sacrificateur ne cherchera point de poil jaunâtre ; il est souillé.
      37 Mais s'il aperçoit que la teigne se soit arrêtée, et qu il y soit venu du poil noir, la teigne est guérie ; il est net, et le Sacrificateur le jugera net.
      38 Et si l'homme ou la femme ont dans la peau de leur chair des boutons, des boutons, [dis-je], qui soient blancs,
      39 Le Sacrificateur les regardera, et s'il aperçoit que dans la peau de leur chair il y ait des boutons retirés et blancs, c'est une tache blanche qui a boutonné dans la peau ; il est donc net.
      40 Si l'homme a la tête pelée, il est chauve, [et néanmoins] il est net.
      41 Mais si sa tête est pelée du côté de son visage, il est chauve, [et néanmoins] il est net.
      42 Et si dans la partie pelée ou chauve, il y a une plaie blanche-roussâtre, c'est une lèpre qui a bourgeonné dans sa partie pelée ou chauve.
      43 Et le Sacrificateur le regardera, et s'il aperçoit que la tumeur de la plaie soit blanche-roussâtre dans sa partie pelée ou chauve, semblable à la lèpre de la peau de la chair ;
      44 L'homme est lépreux, il est souillé ; le Sacrificateur ne manquera pas de le juger souillé : sa plaie est en sa tête.
      45 Or le lépreux en qui sera la plaie, aura ses vêtements déchirés, et sa tête nue, et il sera couvert sur la lèvre de dessus, et il criera : le souillé, le souillé.
      46 Pendant tout le temps qu'il aura cette plaie, il sera jugé souillé ; il est souillé, il demeurera seul, et sa demeure sera hors du camp.
      47 Et si le vêtement est infecté de la plaie de la lèpre, soit vêtement de laine, soit vêtement de lin ;
      48 Ou dans la chaîne, ou dans la trame du lin, ou de la laine, ou aussi dans la peau, ou dans quelque ouvrage que ce soit de pelleterie.
      49 Et si cette plaie est verte, ou roussâtre dans le vêtement, ou dans la peau, ou dans la chaîne, ou dans la trame, ou dans quelque chose que ce soit de peau, ce sera une plaie de lèpre, et elle sera montrée au Sacrificateur.
      50 Et le Sacrificateur regardera la plaie, et fera enfermer pendant sept jours [celui qui a] la plaie.
      51 Et au septième jour il regardera la plaie ; si la plaie est crue au vêtement, ou en la chaîne, ou en la trame, ou en la peau, ou en quelque ouvrage que ce soit de pelleterie, la plaie est une lèpre rongeante, elle est souillée.
      52 Il brûlera donc le vêtement, la chaîne, ou la trame de laine, ou de lin, et toutes les choses de peau, qui auront cette plaie ; car c'est une lèpre rongeante, cela sera brûlé au feu.
      53 Mais si le Sacrificateur regarde, et aperçoit que la plaie ne soit point crue au vêtement, ou en la chaîne, ou en la trame, ou en quelque [autre] chose qui soit faite de peau ;
      54 Le Sacrificateur commandera qu'on lave la chose où est la plaie, et il le fera enfermer pendant sept autres jours.
      55 Que si le Sacrificateur, après qu'on aura fait laver la plaie, la regarde, et s'il aperçoit que la plaie n'ait point changé sa couleur, et qu'elle ne soit point accrue, c'est une chose souillée, tu la brûleras au feu ; c'est une enfonçure en son envers, ou en son endroit pelé.
      56 Que si le Sacrificateur regarde, et aperçoit que la plaie se soit retirée après qu'on l'a fait laver, il la déchirera du vêtement, ou de la peau, ou de la chaîne, ou de la trame.
      57 Que si elle paraît encore au vêtement, ou dans la chaîne, ou dans la trame, ou dans quelque chose que ce soit de peau, c'est une lèpre qui a boutonné ; vous brûlerez au feu la chose où est la plaie.
      58 Mais si tu as lavé le vêtement, ou la chaîne, ou la trame, ou quelque chose de peau, et que la plaie s'en soit allée, il sera encore lavé ; puis il sera net.
      59 Telle est la loi de la plaie de la lèpre au vêtement de laine, ou de lin, ou en la chaîne, ou en la trame, ou en quelque chose que ce soit de peau, pour la juger nette, ou souillée.
    • Lévitique 13

      1 L’Eternel parla à Moïse et à Aaron en ces termes :
      2 —Si une boursouflure, une dartre ou une tache sur la peau de quelqu’un devient une plaie qui fait suspecter une maladie de peau évolutive, du genre lèpre, on le présentera au prêtre Aaron ou à l’un de ses descendants.
      3 Celui-ci examinera cette affection de la peau. Si, à l’endroit malade, les poils sont devenus blancs et si la plaie forme une dépression dans la peau, c’est bien un cas de maladie de peau évolutive. Sur la base de l’examen, le prêtre déclarera cette personne impure.
      4 Mais si la tache blanche ne forme pas de dépression visible de la peau, et si le poil n’est pas devenu blanc, le prêtre isolera le sujet pendant sept jours.
      5 Le septième jour, il l’examinera. S’il constate que le mal est resté stationnaire sans s’étendre sur la peau, il isolera le malade une deuxième semaine,
      6 puis il procédera à un nouvel examen. Si la partie malade s’est estompée, et ne s’est pas étendue sur la peau, le prêtre déclarera cet homme pur ; c’est une simple dartre. La personne lavera ses vêtements et sera pure.
      7 Mais si la dartre s’étend sur la peau après que le prêtre a examiné la personne et l’ait déclarée pure, celle-ci retournera se faire examiner par le prêtre.
      8 Si celui-ci constate une extension de la dartre sur la peau, il déclarera la personne impure : c’est une maladie de peau évolutive.
      9 Lorsqu’un homme sera atteint d’une maladie de peau évolutive, on l’amènera au prêtre
      10 qui l’examinera. S’il constate une boursouflure blanche sur la peau qui ait fait blanchir le poil et qu’il y ait un bourgeonnement de chair vive dans la tumeur,
      11 c’est une maladie de peau infectieuse et chronique. Le prêtre déclarera cet homme impur ; il ne sera pas nécessaire de l’isoler, car il est manifestement impur.
      12 Mais si cette affection s’étend sur toute la peau du malade et le couvre de la tête aux pieds, où que porte le regard du prêtre,
      13 celui-ci procédera à un nouvel examen. S’il constate que l’éruption couvre tout le corps du malade, il le déclarera pur : puisqu’il est devenu complètement blanc, il est pur.
      14 Toutefois, le jour où l’on apercevra sur lui de la chair vive, il devient impur.
      15 Après avoir constaté la présence de cette chair vive, le prêtre déclarera la personne impure : la chair vive est impure : c’est une maladie de peau évolutive.
      16 Si la chair vive redevient blanche, la personne retournera auprès du prêtre
      17 qui l’examinera. S’il constate que la plaie est effectivement devenue blanche, il déclarera la chair pure, et la personne sera en état de pureté.
      18 Si quelqu’un avait sur la peau un abcès qui a guéri,
      19 mais qu’à la place de cet abcès apparaisse une boursouflure blanche ou une tache d’un blanc rougeâtre, cette personne se fera examiner par le prêtre.
      20 Si celui-ci constate un creux dans la peau et un blanchissement du poil, il déclarera cette personne impure : c’est une affection de peau infectieuse qui est en train de bourgeonner dans l’abcès.
      21 Mais si, à l’examen, le prêtre constate qu’il n’y a pas de poil blanc à cet endroit, ni de creux dans la peau et que la tache s’est estompée, il isolera le malade pendant sept jours.
      22 Si la tache s’étend sur la peau, il le déclarera impur : il a une maladie.
      23 Mais si la tache est restée stationnaire, sans s’étendre, ce n’est que la cicatrice de l’abcès ; alors le prêtre le déclarera pur.
      24 Autre cas : lorsque la peau de quelqu’un aura une brûlure causée par le feu et qu’il se forme sur l’endroit de cette brûlure une tache blanche ou d’un blanc rougeâtre,
      25 le prêtre l’examinera ; si le poil a viré au blanc dans la tache et s’il y a une dépression dans la peau, c’est une affection de peau infectieuse qui s’est développée sur la brûlure. Le prêtre déclarera cette personne impure, car elle est atteinte d’une maladie de peau évolutive.
      26 Si, au contraire, le prêtre, à l’examen, ne constate pas de poils blancs dans la tache, ni de dépression dans la peau, et si la tache s’est estompée, il isolera le sujet pendant sept jours.
      27 Il l’examinera le septième jour, si la tache s’est étendue sur la peau, il le déclarera impur car il est atteint d’une maladie de peau infectieuse.
      28 Mais si la tache est restée stationnaire, sans s’étendre, et qu’elle s’est estompée, c’était une boursouflure due à la brûlure ; le prêtre déclarera donc le sujet pur, car c’est la cicatrice de la brûlure.
      29 Si un homme ou une femme a une plaie à la tête ou au menton,
      30 le prêtre examinera cette plaie. Si elle forme une dépression dans la peau et qu’il s’y trouve du poil jaunâtre ou clairsemé, il déclarera cette personne impure : c’est la teigne, c’est-à-dire une maladie de peau infectieuse de la tête ou du menton.
      31 Mais si le prêtre constate, à l’examen, qu’il n’y a pas de dépression visible de la peau, sans toutefois qu’il y ait de poil noir, il isolera le sujet pendant sept jours.
      32 Le septième jour, s’il constate que l’éruption ne s’est pas étendue, qu’elle ne renferme pas de poil de couleur douteuse et que la plaie ne semble pas plus profonde que la peau,
      33 le malade se rasera — sauf à l’endroit de la plaie — et le prêtre l’isolera de nouveau pour sept jours.
      34 Le septième jour, il examinera le mal. Si le mal ne s’est pas étendu sur la peau et s’il ne forme pas de dépression visible, il le déclarera pur ; le sujet lavera ses vêtements et il sera pur.
      35 Mais si la teigne s’est étendue sur la peau après que le malade a été déclaré pur,
      36 le prêtre en fera le constat et n’aura pas besoin de vérifier si le poil est de couleur jaunâtre : la personne est impure.
      37 Si le mal semble stationnaire et que des poils sombres ont poussé à l’endroit malade, c’est qu’il est guéri et pur. Le prêtre déclarera la personne pure.
      38 Si un homme ou une femme a des taches blanches sur la peau,
      39 le prêtre l’examinera ; si les taches sont d’un blanc pâle, c’est une éruption bénigne : le sujet est pur.
      40 Lorsqu’un homme perd ses cheveux, c’est une calvitie ; il est pur.
      41 Si la tête se dégarnit sur le devant, c’est une calvitie du front ; il est pur.
      42 Mais si une plaie d’un blanc rougeâtre apparaît dans la partie chauve sur la tête ou sur le front, c’est une maladie de peau infectieuse qui s’est déclarée dans la partie chauve.
      43 Si, à l’examen, le prêtre constate que la plaie provoque une boursouflure d’un blanc rougeâtre sur le crâne ou sur le front chauve, et qu’elle a l’aspect d’une maladie évolutive de la peau,
      44 l’homme a une maladie infectieuse, il est impur, et le prêtre doit le déclarer impur. C’est à la tête que le mal l’a frappé.
      45 La personne atteinte d’une telle maladie de la peau portera des vêtements déchirés et aura la tête décoiffée ; elle se couvrira la partie inférieure du visage et criera : « Impur ! Impur ! »
      46 Tant qu’elle a ce mal, elle est impure. Elle habitera à l’écart, à l’extérieur du camp.
      47 —Si une tache de moisissure, du genre lèpre, apparaît sur des vêtements en laine ou en lin,
      48 ou sur un tissu ou un tricot de lin ou de laine, ou encore sur une peau ou sur un objet en cuir,
      49 si elle devient verdâtre ou rougeâtre, sur le vêtement ou sur la peau, sur le tissu ou le tricot ou sur tout objet en cuir, c’est une sorte de « lèpre » des tissus : on la montrera au prêtre.
      50 Celui-ci l’examinera et enfermera l’objet atteint pendant sept jours.
      51 Le septième jour, il examinera la tache. Si elle s’est étendue sur le vêtement, le tissu ou le tricot, sur la peau ou l’objet en cuir, il s’agit d’une moisissure maligne ; l’objet est impur.
      52 Il le brûlera, quel qu’il soit, car il s’agit d’une moisissure maligne ; l’objet doit être brûlé au feu.
      53 Mais si le prêtre constate que la tache ne s’est pas étendue sur l’objet,
      54 il ordonnera de le laver, puis il le tiendra enfermé une deuxième semaine.
      55 Après ce lavage, il examinera à nouveau la tache ; si elle n’a pas changé d’aspect de façon visible, même si elle ne s’est pas étendue, l’objet est impur et devra être brûlé, que la moisissure l’ait corrodé à l’endroit ou à l’envers.
      56 Mais si le prêtre voit que la tache s’est estompée après le lavage, il arrachera cette partie du vêtement, de la peau, du tissu ou du tricot.
      57 Si la tache réapparaît plus tard sur l’objet, c’est une moisissure qui se développe, tu brûleras l’objet où est la tache.
      58 Quant au vêtement, au tissu, au tricot, ou à l’objet en cuir que tu auras lavé et d’où la tache aura disparu, tu le laveras une seconde fois, et il sera pur.
      59 Telle est la loi relative à une tache de moisissure sur un vêtement de laine ou de lin, sur un tissu ou un tricot ou sur tout objet de cuir selon laquelle on déterminera s’il est pur ou impur.
    • Lévitique 13

      1 Le Seigneur dit à Moïse et à Aaron :
      2 « Quand une boursouflure, une dartre ou une tache luisante apparaît sur la peau d’un homme et prend l’aspect d’une forme de lèpre, on amène cet homme chez le prêtre Aaron ou chez l’un de ses descendants.
      3 Le prêtre examine la partie malade : si les poils y sont devenus blancs et qu’une cavité se forme dans la peau, c’est un cas de lèpre ; sitôt après l’examen, le prêtre déclare l’homme impur.
      4 S’il s’agit d’une tache luisante et blanche, sans cavité dans la peau et sans poil blanc, le prêtre met le malade à l’isolement pour une semaine.
      5 Le septième jour, il refait un examen : s’il constate que la tache n’a pas changé et ne s’est pas étendue sur la peau, il met le malade à l’isolement pour une deuxième semaine.
      6 A la fin de celle-ci, il procède à un nouvel examen : si la tache s’est ternie et ne s’est pas étendue sur la peau, le prêtre déclare l’homme pur ; c’est une simple dartre. L’homme doit seulement laver ses vêtements pour être pur.
      7 Mais si la dartre prend de l’extension après que le prêtre a examiné l’homme et l’a déclaré pur, celui-ci retourne chez le prêtre.
      8 Le prêtre l’examine une nouvelle fois : lorsqu’il constate que la dartre s’est étendue sur la peau, il déclare l’homme impur ; c’est une forme de lèpre.
      9 « Quand un homme est atteint d’une forme de lèpre, on l’amène chez le prêtre.
      10 Le prêtre l’examine : s’il y a une boursouflure blanche sur la peau, avec des poils blancs et de la chair à vif,
      11 il s’agit d’un cas de lèpre chronique ; le prêtre déclare l’homme impur. Il est inutile de le mettre en observation à l’isolement, car il est manifestement impur.
      12 Par contre si le prêtre a l’impression qu’une éruption de boutons recouvre tout le corps de l’homme, de la tête aux pieds,
      13 il procède à un examen approfondi. S’il constate que les boutons s’étendent effectivement sur tout le corps, il déclare que ce mal ne rend pas impur ; l’homme est pur puisque tout son corps est devenu blanc.
      14 Mais le jour où apparaît sur lui de la chair vive, l’homme devient impur :
      15 le prêtre examine l’endroit où la chair est à vif et déclare l’homme impur. La chair vive est impure, elle résulte d’une forme de lèpre.
      16 Si l’endroit où la chair est à vif redevient blanc, l’homme retourne chez le prêtre ;
      17 celui-ci l’examine et s’il constate que la plaie est effectivement redevenue blanche, il déclare qu’elle ne rend plus impur et que l’homme est donc pur.
      18 « Quand un homme a eu un furoncle qui a guéri,
      19 si une boursouflure blanche ou une tache d’un blanc rougeâtre apparaît à l’emplacement du furoncle, l’homme va trouver le prêtre.
      20 Celui-ci examine la partie malade : si une cavité se forme dans la peau et que les poils y deviennent blancs, le prêtre déclare l’homme impur ; c’est une forme de lèpre qui se développe sur la cicatrice du furoncle.
      21 Mais si, lors de l’examen, le prêtre ne trouve pas de poil blanc, si la cicatrice ne forme pas de cavité dans la peau et qu’elle est terne, il met le malade à l’isolement pour une semaine.
      22 Après quoi, si le mal s’est étendu sur la peau, le prêtre déclare l’homme impur ; c’est une forme de lèpre.
      23 Mais si la tache n’a pas changé et ne s’est pas étendue, c’est alors simplement la cicatrice du furoncle, et le prêtre déclare l’homme pur.
      24 « Quand un homme a été brûlé et qu’une tache luisante et blanche ou d’un blanc rougeâtre se forme à l’endroit de la brûlure,
      25 le prêtre examine la partie malade : si les poils y sont devenus blancs et qu’une cavité apparaît dans la peau, c’est une forme de lèpre qui se développe à l’emplacement de la brûlure et, par conséquent, le prêtre déclare l’homme impur.
      26 Mais si, lors de l’examen, le prêtre ne trouve pas de poil blanc, si la tache ne forme pas de cavité dans la peau et qu’elle est terne, il met le malade à l’isolement pour une semaine.
      27 Si, le septième jour, le prêtre constate que le mal s’est étendu sur la peau, il déclare l’homme impur ; c’est une forme de lèpre.
      28 Par contre si la tache n’a pas changé, si elle ne s’est pas étendue mais qu’elle s’est ternie, c’est une simple boursouflure due à la brûlure. Le prêtre déclare l’homme pur, car il s’agit seulement de la cicatrice de la brûlure.
      29 « Quand un homme ou une femme est atteint d’une maladie de la peau sur la tête ou au menton,
      30 le prêtre examine la partie malade : si une cavité apparaît dans la peau, avec du poil jaunâtre et clairsemé, le prêtre déclare la personne impure ; c’est la teigne, qui attaque la peau sur la tête ou au menton.
      31 Mais si, lors de l’examen, le prêtre remarque qu’il n’y a pas de cavité dans la peau, et qu’il n’y a cependant pas de poil foncé, il met le malade à l’isolement pour une semaine.
      32 Si, le septième jour, le prêtre constate par un nouvel examen que le mal ne s’est pas étendu, qu’il n’y a pas de poil jaunâtre ni de cavité dans la peau,
      33 le malade doit se raser la tête, sauf la partie atteinte, puis le prêtre le met à l’isolement pour une deuxième semaine.
      34 A la fin de celle-ci, il procède à un nouvel examen de la partie atteinte : si le mal ne s’est pas étendu sur la peau et ne forme pas de cavité, le prêtre déclare la personne pure. Elle doit seulement laver ses vêtements pour être pure.
      35 Mais si la teigne prend de l’extension après que le prêtre a déclaré cette personne pure,
      36 le prêtre refait un examen : si la teigne s’est effectivement étendue sur la peau, le prêtre n’a pas besoin de rechercher s’il y a des poils jaunâtres, car l’homme est manifestement impur.
      37 Si par contre la partie atteinte n’a visiblement pas changé d’aspect et si des poils foncés y repoussent, c’est que le mal est guéri et que la personne est pure. Alors le prêtre la déclare pure.
      38 « Quand un homme ou une femme voit apparaître sur sa peau des taches blanches,
      39 le prêtre l’examine : si les taches sont d’un blanc terne, la maladie qui s’est développée n’est pas grave et la personne reste pure.
      40 « Quand un homme perd ses cheveux et devient chauve, il reste pur.
      41 S’il perd ses cheveux sur le devant et a le front dégarni, il reste également pur.
      42 Mais si dans la partie chauve au sommet du crâne ou sur le front, apparaît une affection de la peau d’un blanc rougeâtre, c’est une forme de lèpre qui s’y développe.
      43 Le prêtre l’examine : s’il trouve dans la partie chauve des boursouflures d’un blanc rougeâtre, ressemblant à la lèpre,
      44 l’homme est atteint d’une forme de lèpre et il est impur ; le prêtre le déclare impur, à cause du mal dont il est atteint à la tête.
      45 « Il faut que l’homme atteint de lèpre porte des vêtements déchirés, ne se coiffe pas et se couvre le bas du visage ; il doit crier : “Impur ! Impur !”
      46 Il est impur aussi longtemps qu’il est atteint de son mal ; c’est pourquoi il doit avoir sa demeure à l’écart des autres gens, en dehors du camp. »
      47 « Quand des taches de moisissures apparaissent sur des vêtements de laine ou de lin,
      48 sur des étoffes ou des tricots de laine ou de lin, sur des peaux ou des objets en cuir,
      49 si ces taches sont verdâtres ou rougeâtres, il s’agit de moisissures qu’on doit faire examiner par un prêtre.
      50 Le prêtre, après examen, garde l’objet taché sous clé pendant une semaine.
      51 Le septième jour, il refait un examen : si la tache s’est étendue sur l’objet, il s’agit d’une moisissure qu’on ne peut pas éliminer ; l’objet est impur.
      52 Le prêtre brûle alors le vêtement, l’étoffe, le tricot, en laine ou en lin, ou l’objet en cuir. Puisqu’on ne peut pas éliminer la moisissure, l’objet doit être détruit par le feu.
      53 Mais si, lors de l’examen, le prêtre constate que la tache ne s’est pas étendue sur l’objet,
      54 il ordonne qu’on lave celui-ci, puis il le remet sous clé une deuxième semaine.
      55 Lorsqu’il l’examine de nouveau, après lavage, s’il constate que la tache n’a pas changé d’aspect, même si elle ne s’est pas étendue, l’objet est tenu pour impur ; on doit le brûler, que la moisissure le ronge à l’endroit ou à l’envers.
      56 Mais si, lors de l’examen, le prêtre constate que la tache a pâli après avoir été lavée, il se borne à découper la partie tachée du vêtement, de la peau, de l’étoffe ou du tricot.
      57 Si plus tard la tache reparaît sur le vêtement, l’étoffe, le tricot ou l’objet en cuir, c’est que la moisissure s’y développe de nouveau. On brûle alors l’objet taché.
      58 « Lorsqu’on a lavé un objet atteint de moisissure, vêtement, étoffe, tricot ou objet en cuir, et que la tache a disparu, il faut le laver une seconde fois pour qu’il soit pur. »
      59 Telles sont les instructions concernant les taches de moisissure qui apparaissent sur des vêtements de laine ou de lin, sur des étoffes, des tricots, ou des objets en cuir ; ces instructions permettent de déclarer si l’objet atteint est pur ou impur.
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